GRIMM Frères – Livres Audio
GRIMM, Frères – Blanche Neige (Version 2)
Donneur de voix : DanielLuttringer | Durée : 20min | Genre : Contes
La fin du célébrissime conte des Frères Grimm est aussi peu « waltdisneyienne » que possible…
Traduction : Félix Frank (1837-1895) et E. Alsleben (1869).
GRIMM, Frères – Les Aventures Du Coq Chanteclair Et De La Poule Pondeuse
Ce conte est extrait du recueil Vieux Contes pour l’amusement des petits et grands enfants.
Préface des éditeurs :
« Les Contes publiés dans ce volume sont traduits ou imités de vieilles traditions populaires allemandes.
Nous avons cru que ces amusantes et morales fictions procureraient aux enfants un utile délassement et seraient lues avec intérêt par les personnes réfléchies qui cherchent dans leurs lectures le but, quelle que soit la forme.
« Les Contes publiés dans ce volume sont traduits ou imités de vieilles traditions populaires allemandes.
Nous avons cru que ces amusantes et morales fictions procureraient aux enfants un utile délassement et seraient lues avec intérêt par les personnes réfléchies qui cherchent dans leurs lectures le but, quelle que soit la forme.
« Les noix sont toutes mûres maintenant, dit le coq Chanteclair à sa femme Pondeuse. Si nous allions en manger autant que nous pourrions avant que l’écureuil les ait dévorées toutes ? – De tout mon cœur, dit la poule Pondeuse, allons-y et jouissons ensemble de ce jour de fête ! »
Traduction anonyme (1824).
Les Aventures du coq Chanteclair et de la poule Pondeuse.
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GRIMM, Frères – L’Ondine De L’étang
« Il y avait une fois un meunier qui vivait heureux avec sa femme. Ils avaient de l’argent et du bien. Mais le malheur vint et leur fortune diminua d’année en année.
Il était fort affligé et ne goûtait plus de repos. Un matin, ne pouvant dormir, il se leva et sortit pour prendre l’air. Comme il passait près de l’étang, il entendit un peu de bruit. Il se retourna et aperçut une belle femme qui s’élevait lentement du milieu de l’eau. »
Il était fort affligé et ne goûtait plus de repos. Un matin, ne pouvant dormir, il se leva et sortit pour prendre l’air. Comme il passait près de l’étang, il entendit un peu de bruit. Il se retourna et aperçut une belle femme qui s’élevait lentement du milieu de l’eau. »
Traduction : Frédéric Baudry (1818-1885).
Un grand merci à Isabelle qui a fait la statuette pour l’illustration de ce conte. Un grand merci à Christine qui a mis la photo aux normes.
GRIMM, Frères – Blancheneige Et Roserouge
« Une pauvre veuve vivait dans une chaumière isolée dans le jardin qui était devant la porto, il y avait deux rosiers, dont l’un portait des roses blanches et l’autre des roses rouges. La veuve avait deux filles qui ressemblaient aux deux rosiers l’une se nommait Blancheneige et l’autre Rougerose. C’étaient les deux enfants les plus pieux, les plus obéissants et les plus laborieux que le monde eut jamais vus. »
Traducteur : Frédéric Baudry (1818-1885).
GRIMM, Frères – La Belle Au Bois Dormant
« Il était une fois un roi et une reine qui se désolaient de ne pas avoir d’enfant.
Enfin, la reine eut une petite fille et les parents furent si heureux qu’ils donnèrent une grande fête, en invitant leurs amis, connaissances et aussi les femmes sages du royaume.
Malheureusement, ils n’invitèrent pas la treizième, qui apparut à la fin du festin, au moment où les femmes sages donnaient à la princesse la beauté, la richesse et tout ce que l’on peut désirer.
Cette treizième fée prédit que la princesse, lorsqu’elle atteindrait ses quinze ans, se piquerait le doigt à un fuseau et qu’elle en mourrait… »
Enfin, la reine eut une petite fille et les parents furent si heureux qu’ils donnèrent une grande fête, en invitant leurs amis, connaissances et aussi les femmes sages du royaume.
Malheureusement, ils n’invitèrent pas la treizième, qui apparut à la fin du festin, au moment où les femmes sages donnaient à la princesse la beauté, la richesse et tout ce que l’on peut désirer.
Cette treizième fée prédit que la princesse, lorsqu’elle atteindrait ses quinze ans, se piquerait le doigt à un fuseau et qu’elle en mourrait… »
Traduction : René Bories (Licence Art Libre).
Avec une affectueuse pensée pour Émilie, Lukas et Marie.
GRIMM, Frères – L’Homme À La Peau D’ours
Donneuse de voix : Bruissement | Durée : 14min | Genre : Contes
« Il était un jeune homme qui s’engagea dans l’armée : il s’y conduisit bravement, toujours le premier devant les balles. Tout alla bien pendant la guerre mais quand la paix fut conclue, il reçut son congé, et son capitaine lui dit d’aller où il voudrait. Ses parents étaient morts, il n’avait plus de domicile il pria ses frères de le recevoir jusqu’à ce que la guerre recommençât. Mais ils avaient des cœurs durs, et ils lui répondirent qu’ils ne pouvaient rien pour lui, qu’il n’était propre à rien, et que c’était à lui à se tirer d’affaire. Le pauvre garçon ne possédait que son fusil ; il le mit sur son épaule et s’en fut au hasard. Il atteignit une grande lande sur laquelle on ne voyait rien qu’un cercle d’arbres. Là il s’assit à l’ombre en pensant tristement à son sort. »
Traduction : Frédéric Baudry (1818-1885).
GRIMM, Frères – La Douce Bouillie
Donneuse de voix : Bruissement | Durée : 4min | Genre : Contes
« Une fille, pauvre mais vertueuse et craignant Dieu, vivait seule avec sa vieille mère. Leur misère était devenue si grande qu’elles se voyaient sur le point de mourir de faim.
Dans cette extrémité, la pauvre fille, toujours confiante en Dieu, sortit de leur misérable cabane, et pénétra dans le bois voisin.
Elle ne tarda pas à rencontrer une vieille femme qui, devinant (c’était une fée) la détresse de la jeune fille, lui donna un petit pot, bien précieux vraiment. »
Elle ne tarda pas à rencontrer une vieille femme qui, devinant (c’était une fée) la détresse de la jeune fille, lui donna un petit pot, bien précieux vraiment. »
Traduction anonyme (1885).
GRIMM, Frères – Le Soleil Qui Rend Témoignage
Donneuse de voix : Bruissement | Durée : 7min | Genre : Contes
« Un ouvrier tailleur voyageait de ville en ville pour se perfectionner dans son état. Les temps devinrent si difficiles, qu’il ne put plus trouver d’ouvrage, et qu’il tomba dans une misère profonde. Dans cette extrémité, il rencontra un juif au milieu d’un bois touffu ; et chassant de son cœur la pensée de Dieu, il le saisit au collet et lui dit :
- La bourse, ou la vie ! »
Traduction anonyme (1885).