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mercredi 21 mars 2018

Le grand ménage - Film en Français !

          Le grand ménage - Film en Français          


Marie-Agnès, Myriam et Odile, trois voisines aux personnalités et aux modes de vie diamétralement opposés, ont pourtant une chose en commun : elles approchent de la cinquantaine. Les enfants sont élevés et l'heure est au bilan et aux remises en question ! Bientôt, ces mères de famille aux parcours de vie différents, voient leurs destins se croiser….



LORRAIN Jean – Livres Audio !

                LORRAIN Jean – Livres Audio             


LORRAIN Jean – La Princesse Neigefleur

Donneuse de voix : Cocotte | Durée : 13min | Genre : Contes

La Princesse Neigefleur
« Quand la reine Imogine sut que la princesse Neigefleur n’était pas morte, que le lacet de soie qu’elle lui avait serré elle-même autour du cou ne l’avait qu’à demi étranglée et que les gnomes de la forêt avaient recueilli ce doux corps léthargique dans un cercueil de verre, pis, qu’ils le gardaient invisible dans une grotte magique, elle entra dans une grande colère : elle se dressa toute droite dans la stalle de cèdre où elle songeait, assise dans la plus haute chambre de sa tour, déchira dans toute sa longueur sa lourde dalmatique de brocart jaune enrichie de lys et de feuillages de perles, brisa contre terre le miroir d’acier qui venait de lui apprendre l’odieuse nouvelle et, saisissant de mâle rage par la patte de derrière le crapaud enchanté qui lui servait pour ses maléfices, elle le lança à toute volée dans la flamme de l’âtre où il fit frisst, grisst et prisst et s’évapora comme feuille sèche… »
La Princesse Neigefleur est un des Contes de givre et de sommeil.
La Princesse Neigefleur.
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LORRAIN, Jean – Les Yeux Glauques – Jones Aïssé

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 37min | Genre : Nouvelles

Jones Aïssé
Deux entretiens de plus de Buveurs d’âme (1893) de Jean Lorrain.
Les Yeux glauques
« Une légende de mon pays veut que l’âme de l’amant mort en regardant sa maîtresse revive dans les yeux de celle-ci, et lui donne l’éternelle jeunesse dans les désirs des autres hommes : être toujours désirée, c’est ne jamais vieillir. », dit le Russe Michel Stourdov.
Jones Invernestreeds, connu comme Jones Aïssé « est roux, il a la nuance de poil de la prostituée des Écritures et des courtisanes de l’histoire ; il est roux comme les filles, dont après, avoir jadis été le trop heureux rival, il est aujourd’hui l’associé ; aussi ont-elles pour lui des complaisances de collègue à collègue : leurs métiers se valent. Tout cela, c’est la grande confrérie du vice, l’éternelle franc-maçonnerie de la fripouille en quête de turpitudes à découvrir, de sottises à exploiter : l’entretenu vaut l’entretenue, deux chenilles à même la même branche d’arbre… Une âme de laquais dans un corps de bel horse-guard, voilà l’homme. »
Si vous voulez en apprendre davantage sur le monsieur, ne vous privez pas…
Les Yeux glauques.
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LORRAIN, Jean – La Princesse Ottilia

Donneuse de voix : Cocotte | Durée : 13min | Genre : Contes

La Princesse Ottilia
« Dans la vaste chambre tendue de tapisseries de soie, un groupe de suivantes tourmentait doucement les cordes des théorbes et de grands archi luths, emplissant toute la cour octogone d’un vague et délicat murmure que la jeune fille n’entendait pas, car elle était sourde et muette de naissance. »
La Princesse Ottilia est le premier volet des Princesses d’ambre et d’Italie.
La Princesse Ottilia.
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LORRAIN, Jean – Princesses D’ivoire Et D’ivresse

Donneuse de voix : Cocotte | Durée : 58min | Genre : Contes

Les Très Riches Heures du Duc de Berry, Avril
Princesses d’ivoire et d’ivresse est un recueil de contes écrits par Jean Lorrain, et publiés dans La Revue illustrée entre 1897 et 1899 avant d’être réunis en recueil 1902, quatre ans avant sa mort.
Dès sa préface, l’auteur évoque des personnages à la beauté de « madones avec leur blancheur immaculée aux vêtements de brocarts d’argent et de satins luisants bossués de perles ». Ainsi, une certaine esthétique de la femme est mise en valeur, les princesses sont de belles jeunes femmes pourvues de qualités enchanteresses, dévoilant leur chevelure de ténèbres « blondes » ou « rousses ». Lorrain plonge le lecteur dans une atmosphère de volupté, de richesses et de sensualité.
Cette première partie est complète. On peut trouver, dans la bibliothèque de Littératureaudio.com :

Consulter la version texte de ce livre audio.
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LORRAIN, Jean – La Princesse Aux Miroirs

Donneuse de voix : Cocotte | Durée : 16min | Genre : Contes

Fragment de la décoration d'une tombe : femme à une cérémonie
« Ce qu’elle leur demandait n’avait point de prix. Illys, toute à sa chimère et à son désir, avait promis aux magiciennes ce que leurs bouches d’ombre lui avait demandé : en échange de l’herbe qui conserve à jamais la jeunesse, une de ses nuits, oui ! Une de ses nuits de princesse vierge, passée au milieu d’elles, en échange de la beauté éternelle. »
Un nouveau conte du recueil Princesses d’ivoire et d’ivresse
La Princesse aux miroirs.
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LORRAIN, Jean – Les Filles Du Vieux Duc

Donneuse de voix : Cocotte | Durée : 12min | Genre : Contes

Les Filles du vieux duc
« Depuis l’aube, les trois filles du gouverneur se tenaient à la large fenêtre qui dominait la campagne, et déjà le soleil, sombré dans un écroulement de nuages roses, avait disparu de l’horizon.
Dans la vaste salle, tendue de tapisseries de soie, un groupe de suivantes tourmentaient doucement les cordes de théorbes ou de grands archiluths ; toute la cour octogonale était remplie d’un vague et délicat murmure, mais les trois sœurs ne l’entendaient pas. Leurs regards, comme leurs pensées, étaient bien au-delà des remparts de la ville, bien au-delà des champs de seigle et des cultures des villages voisins, regards et pensées fixés au loin, très loin, vers les montagnes bleues… »
Un nouveau conte du recueil Princesses d’ivoire et d’ivresse.
Les Filles du vieux duc.
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LORRAIN, Jean – La Princesse Des Chemins

Donneuse de voix : Cocotte | Durée : 8min | Genre : Contes

La Princesse des chemins
La Princesse des chemins est un conte du recueil Princesses d’ivoire et d’ivresse, de Jean Lorrain.
« Dans la plus belle salle de son palais le Roi a conduit par la main la mendiante. Là, entre les hautes colonnes d’onyx et de porphyre, dont le poli s’enfonce et grandit dédoublé dans le luisant des dalles, il l’a fait monter sur l’estrade du trône qu’entoure une galerie d’or, une galerie telle la grille ajourée d’un chœur de cathédrale, et doucement, avec des yeux de prière, avec des gestes de pitié attendrie il l’y a fait asseoir. Et la mendiante a obéi. »
La Princesse des chemins.
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LORRAIN, Jean – La Princesse Au Sabbat

Donneuse de voix : Cocotte | Durée : 13min | Genre : Contes

La Princesse au Sabbat
« La princesse Ilsée n’aimait que les miroirs et les fleurs. Ce n’étaient, dans tout le palais, que le reflet de corolles et de pétales ; de larges nénuphars baignaient, jour et nuit, dans l’eau de grands vases d’albâtre et c’était dans les hauts vestibules ornementés de marbre et de bronze vert, une éternelle veillée de calices et de feuilles rigides d’une humide pâleur. La princesse Ilsée n’avait jamais regardé ni les hommes ni les femmes ; elle se mirait dans les yeux de tous, comme dans une eau plus bleue et plus profonde et les prunelles de son peuple étaient pur elle autant de vivants et souriants miroirs. »
La Princesse au Sabbat est un conte extrait de Princesses d’ivoire et d’ivresse, de Jean Lorrain. En 1899, ce conte fut adapté en ballet pour Les Folies Bergères avec une musique de Louis Ganne.
La Princesse au sabbat.
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Tous nos livres audio gratuits pour Jean Lorrain :


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LONDRES Albert – Livres Audio !

             LONDRES Albert – Livres Audio             


LONDRES, Albert – La Chine En Folie

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 2h | Genre : Histoire

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« Laissez donc la Chine dormir, car lorsque la Chine s’éveillera le monde entier tremblera ». Napoléon aurait proféré ces mots prophétiques en 1816 à Sainte Hélène. Alain Peyrefitte, plusieurs fois ministre, s’est saisi de cette phrase pour en faire le titre de son livre en 1973 qui explique que « la Chine d’aujourd’hui ne prend son sens que si on la met en perspective avec la Chine d’hier ». Sa thèse principale est que compte-tenu de la taille et la croissance de la population chinoise, elle finira inexorablement par s’imposer au reste du monde dès qu’elle maîtrisera une technologie suffisante.
Trente ans après, nous savons à quoi nous en tenir.
Nous vous faisons connaître aujourd’hui un livre surprenant du grand journaliste reporter Albert Londres (1881-1932), paru neuf ans avant sa mort et relatant des faits qui n’ont pas encore un siècle.
Ce reportage enlevé à fière allure, intitulé La Chine en folie, choses vues est composé de huit chapitres qui se succèdent dans cet ordre : La Chine en folieFantastique histoire de Tsang-Tso-linUne assez curieuse journée à PékinUne conversation inattendueOù il faut huit démarches pour voir clairL’éloge de l’anarchieUne veillée d’armes à la chinoiseUn monstre : Shanghaï.
Albert Londres n’épargne rien. Pas un mot gentil à l’égard des Chinois ! Il a même des entretiens avec un dictateur coupeur de têtes !
« Chine : chaos, éclat de rire devant le droit de l’homme, mises à sac, rançons, viols. Un mobile : l’argent. Un but : l’or. Une adoration : la richesse. »
« Si vous désirez rajeunir, soyez satisfaits : nous retournons à sept siècles en arrière. Le territoire est livré aux grandes compagnies. Nous sommes revenus à l’époque de Du Guesclin, mais Du Guesclin n’apparaît pas !
Vingt et une provinces, vingt et un tyrans Les villages moins malins sont ravagés. Les dames qui ont horreur de l’imprévu dans le plaisir se jettent dans les puits pour échapper au rut déchaîné. (Que les puits sont étroits ! Qu’elles doivent avoir de petits corps !)
Il ouvre une porte, les otages sont alignés.
- Où est ta femme ? Celle-ci ? Parfait.
De son sabre, il la coupe en deux.
Voici ta part, quand tu rapporteras cinquante dollars, tu auras l’autre moitié. »
SI la satire, l’humour noir et l’outrance désinvolte n’étaient répandus, la lecture serait insoutenable mais quelle richesse de documents pour un historien !
Écouter un extrait : Première Partie.

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LONDRES, Albert – L’Homme Qui S’évada (Ou Adieu Cayenne !)

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 3h 35min | Genre : Nouvelles

Eugène Dieudonné
Bernède termine sa relation de Bonnot, Garnier et compagnie en indiquant qu’Eugène Dieudonné (pris pour un autre et manifestement innocent) envoyé au bagne de Cayenne s’échappa en 1921, fut retrouvé et réincarcéré… Son texte s’achève ainsi : « Ce n’est que quelques années après, à la suite d’une campagne ardente menée par un de nos confrères de la presse, M. Albert Londres, que Dieudonné, qui n’avait pas cessé d’affirmer son innocence, recouvrait enfin sa liberté. »
Albert Londres (1881-1932) est un de nos premiers journalistes d’enquête ; il fit campagne, dans les colonnes du Petit Parisien, pour la réhabilitation de Dieudonné, membre présumé de « la bande à Bonnot », obtint sa grâce, l’accompagna au Brésil et recueillit toutes ses confidences sur ses évasions et ses souffrances. Ses interviews sont la matière de L’Homme qui s’évada (1928), réédité en 1932 sous le titre de Adieu Cayenne !.
Vous est présenté un des travaux de celui qu’on appelle aujourd’hui un grand reporter. Il est l’auteur de la maxime :
« Je demeure convaincu qu’un journaliste n’est pas un enfant de chœur et que son rôle ne consiste pas à précéder les processions, la main plongée dans une corbeille de pétales de roses. Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie. »
Écouter un extrait : Chapitres 01 à 04.

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LONDRES, Albert – Chez Les Fous

Donneuse de voix : Laetitia | Durée : 2h 43min | Genre : Société

Gustave Courbet - Le Désespéré
Dans ce récit, le journaliste Albert Londres fait une mise au point sur les pratiques psychiatriques au début du vingtième siècle. Si certains spécialistes tendent à humaniser et responsabiliser le patient, d’autres sont partisans des internements arbitraires pour une durée indéterminée. Albert Londres nous entraîne dans les asiles de années 20, avec une kyrielle de personnages tantôt comiques, émouvants, tragiques qui espèrent surtout qu’on les soigne.
Écouter un extrait : Chapitre 01.