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mercredi 14 mars 2018

GORKI Maxime – Livres Audio !

               GORKI Maxime – Livres Audio              


GORKI, Maxime – En Gagnant Mon Pain

Donneuse de voix : Pomme | Durée : 10h 16min | Genre : Biographies

Alexey Venetsianov - Jeune Paysan
Ce récit est la suite de Ma vie d’enfant.
Terrible portrait de la Russie au XIXe siècle.
Dès 9 ans, le jeune Gorki commence à travailler. Il plonge dans un univers foncièrement amoral, plein de promiscuité, de saletés et d’obscénités, de violences, d’humiliations, et aussi, d’un ennui exaspérant.
Heureusement, il découvre la littérature qui lui permet de survivre et attise son désir d’apprendre.
Traduction : Serge Persky (1870-1938).
Écouter un extrait : Partie 01.

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GORKI, Maxime – La Mère

Donneuse de voix : Albatros | Durée : 16h 11min | Genre : Romans

Portrait de Gorki par Serov
Lorsqu’il écrit La Mère en 1906, Gorki est aux États-Unis, avec mission de collecter des fonds pour le parti bolchevik. Il le termine à Capri où il s’exile et se soigne. Il vient de participer à la révolution russe de 1905, ce qui lui a valu d’être emprisonné par le gouvernement tsariste. Forcé de travailler à l’âge de 10 ans, devenu écrivain, il est opposant révolutionnaire depuis toujours.
Ce livre montre la pénétration des idées socialistes internationalistes et révolutionnaires, au sein de la classe ouvrière russe, à la veille de 1905, cet épisode préparatoire à la révolution de 1917.
Il montre comment un jeune ouvrier, Pavel, refuse de se laisser abrutir par l’exploitation, de se laisser aller au machisme, à l’alcoolisme, etc., dans lesquels a sombré autrefois son père. Lui et d’autres jeunes se forment et se transforment au contact de militants étrangers au faubourg, issus, pour certains, de la noblesse. Ils interviennent bientôt à la fabrique, à la campagne, dans la rue, lors de la journée internationale du 1er mai, avec la perspective de la répression, de la prison, etc. La mère de Pavel s’arrache douloureusement à son passé de femme battue par son mari – dont elle est veuve, et devient progressivement à son tour une militante.
« J’ai aussi compris votre vérité : tant qu’il y aura des riches, des puissants, le peuple n’obtiendra ni justice, ni joie, ni rien. [...] Parfois, la nuit, je me remémore le passé, ma force foulée aux pieds, mon jeune cœur brisé… et j’ai amèrement pitié de moi-même ! Mais pourtant, ma vie s’est améliorée. [...]
Je me suis tue toute ma vie, je ne pensais qu’à une chose : à éviter pour ainsi dire la journée, à la vivre sans qu’on m’aperçoive, pour qu’on m’ignore… Et maintenant je pense à tous… je ne comprends peut-être pas très bien vos affaires… mais tout le monde m’est proche, j’ai pitié de tous et souhaite le bonheur de tous… » (Première Partie, Chapitre XVI)
« Le moment est venu de résister à la force avide qui vit de notre travail, le moment est venu de se défendre ; il faut que chacun comprenne, que personne ne viendra à notre secours, si ce n’est nous-mêmes ! » [Pavel, Première Partie, Chapitre XII]
« On dit qu’il y a sur la terre toutes sortes de peuples : des Juifs et des Allemands, des Français, des Anglais, des Tatars. Mais je ne crois pas que ce soit vrai. Il y a seulement deux races, deux peuples irréconciliables : les riches et les pauvres ! » [Pavel, Première Partie, Chapitre XXVIII]
Traduction : Serge Perski (1870-1938).
Illustration : Portrait de Maxime Gorki en 1905, par Valentin Alexandrovich Serov (1865-1911).
Écouter un extrait : Chapitre 01.

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GORKI, Maxime – Ma Vie D’enfant

Donneuse de voix : Pomme | Durée : 9h 42min | Genre : Biographies

Ma vie d'enfant
C’est ainsi que le traducteur présente ce livre :
« La connaissance de cette existence d’enfant, de cette petite âme si sensible, en butte aux brutalités d’une tyrannique organisation sociale, éclaire merveilleusement la figure du romancier, explique son inlassable amour de la liberté et de la justice, ainsi que sa foi inébranlable en une régénération russe [...].
Aucune lecture n’est plus émouvante à l’heure actuelle que le récit de cette formation initiale d’une âme de révolutionnaire russe. »
Traduction : Serge Persky (1870-1938).
Écouter un extrait : Chapitre 01.

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GORKI, Maxime – Vingt-Six Et Une

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 45min | Genre : Nouvelles

Vingt-six et une
Le sujet de Vingt-six et une (extrait de Esquisses et récits) est mince. Vingt-six prisonniers, entassés dans un sous-sol presque insalubre fabriquent des craquelins ; leur seule distraction quotidienne est la visite de l’adorable jeune brodeuse de 16 ans Tania qui vient chercher sa provision de craquelins pour ses collègues du deuxième étage.
« Nous nous précipitions pour lui ouvrir la porte, nous nous bousculions les uns les autres, et – la voilà, si gaie, si gentille, qui entrait chez nous, la tête un peu penchée de côté, debout et toujours souriante… Nous autres hommes sales, sombres, laids, nous la regardions de bas en haut, – le seuil de la porte étant plus élevé de quatre marches que le plancher, – nous la regardions, les têtes levées, et lui souhaitions le bonjour ; nous lui disions des paroles particulières, – nous ne les trouvions en nous que pour elle. »
Un jour, un beau soldat fanfaron et « tombeur » de femmes se fait fort, devant les vingt-six réunis, de séduire leur idole… Y réussira-t-il ?
Maxime Gorki avec Esquisses et récits paru en 1899 commença sa carrière d’écrivain pittoresque et social, décrivant les petites gens, les marginaux, humiliés mais profondément humains. Trois ans plus tard, il atteignit la célébrité avec Les Bas Fonds.
Traduction anonyme (1907).
Vingt-six et une.
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GORKI, Maxime – La Mère Du Monstre

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 18min | Genre : Nouvelles

Maxime Gorki
Maxime Gorki (1868-1936), proche de Lénine, a dû, à son retour en Russie en 1906, s’exiler à Capri pour raisons médicales (tuberculose) et policières. De 1906 à 1913 il a donc vécu en Italie et a publié sesContes d’Italie en 1914 d’où est extrait La Mère du monstre, un récit sombre et assez effrayant…
Traduction : Serge Persky (1870-1938).
La Mère du monstre.
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GOGOL Nicolas – Livres Audio !

              GOGOL Nicolas – Livres Audio              


GOGOL, Nicolas – La Place Ensorcelée

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 30min | Genre : Contes

Alexei Ivanovich Korzukhin - Le Retour de la foire
Les Veillées du hameau près de Dikanka (1832) est un recueil d’une douzaine de contes dont le dernier, La Place ensorcelée est une « histoire véritable racontée par le Sacristain de l’église de ….ski ». Elle a pour héros des tchoumaks (voituriers pour ramener sel ou poissons) qui un jour rencontrent leur vieil ami grand-père dans une bachtane (plantation de melons, pastèques, concombres), font la fête dans un kouren (cabane en chaume), se régalent de galouchki (boulettes de pâte cuite) et pourraient honorer la table d’un Pan (seigneur polonais). Le grand père danse une Kozatchka, perd un peu la tête et fait la rencontre de Satan, vrai sujet du conte « histoire véritable ».
Et Gogol… rigole bien de cette histoire russe.
Traduction : Henri Chirol (1899).
La Place ensorcelée.
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GOGOL, Nicolas – La Nuit De La Saint-Jean

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 55min | Genre : Nouvelles

Une nuit sur le mont chauve
« Ainsi, le croiriez-vous (Dieu et la sainte Vierge me renient, si cela n’est pas), un jour je parlais de sorcières devant des gens et, parmi eux, il s’est trouvé un luron qui ne croyait pas aux sorcières », dit le conteur…
On est contraint d’y croire en écoutant une desVeillées de l’Ukraine, racontée par un sacristain : La Nuit de la Saint-Jean, histoire vraie de sorcières à rapprocher de La Missive perdue.
Ce récit de Nicolai Gogol a été la principale source d’inspiration du compositeur russe Moussorgski pour son poème symphonique Une nuit sur le mont Chauve.
Traduction : Ely Halpérine-Kaminsky (1858-1936).
La Nuit de la Saint-Jean.
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GOGOL, Nicolas – La Brouille Des Deux Yvan

Donneuse de voix : Pomme | Durée : 2h 19min | Genre : Romans

Les deux Yvan
Une histoire rocambolesque, picaresque, enlevée, loufoque, d’une absurdité épatante.
Dans la superbe bourgade de Mirgorod « une rue à droite, une autre à gauche » , Yvan (le premier) convoite l’admirable fusil de son excellent ami Yvan (l’autre). Et patatras ! C’est la brouille, que l’intrusion d’une truie, au tribunal, ne va pas arranger…
Traduction : Henri Mongault (1888-1941).
Écouter un extrait : Chapitre 1.

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GOGOL, Nicolas – La Missive Perdue

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 40min | Genre : Contes

La Missive perdue
La Missive perdue de Gogol est le dernier des quatre contes du premier tome des Soirées du hameau près de Dikanka (1832), appelées aussi Veillées d’Ukraine, signées par le moujik « éleveur d’abeilles » Roudly Panko.
« Eh bien ! que vais-je donc vous raconter ? ça ne vient pas tout de suite à l’esprit. Ah !oui ! je vais vous dire comment les sorcières
jouèrent avec mon grand-père au dourak. Seulement je vous prierai, messieurs, de ne pas me troubler par des questions, autrement
il en sortirait un salmigondis impossible à servir. »
Précision : Le jeu de dourak est un jeu de cartes où le perdant reste « dourak », c’est-à-dire « crétin, imbécile ».
Traduction : Ely Halpérine-Kaminsky (1858-1936).
La Missive perdue.
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GOGOL, Nicolas – Viï

Donneuse de voix : Pomme | Durée : 1h 53min | Genre : Nouvelles

Nicolas Gogol - Viï
« Viï est une création colossale de l’imagination populaire. On appelle ainsi chez les Petits-Russiens le chef des gnomes, dont les paupières pendent jusqu’à terre. Toute cette nouvelle est une tradition populaire. Je n’ai rien voulu y changer et je la rapporte presque dans la simplicité même où je l’ai entendue raconter. » (Note de Gogol.)
Trois gaillards, étudiants en théologie, philosophie et rhétorique, quittent le séminaire de Kiev, à la fin de l’année scolaire. Perdus dans la plaine ukrainienne, ils trouvent refuge dans la maison d’une vieille femme.
Traduction : Henri Mongault (1888-1941).
Écouter un extrait : Chapitre 01.

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GOGOL, Nicolas – Ménage D’autrefois

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 1h 5min | Genre : Nouvelles

Paysans russes
« Je ne puis oublier deux petits vieux du siècle passé : ils ne sont plus de ce monde, hélas ! mais la pitié me gagne et j’éprouve toujours au cœur un serrement bizarre en songeant que si le sort m’amène quelque jour devant leur domaine abandonné, je découvrirai peut-être au lieu de chaumières un monceau de décombres, un marécage à la place de l’étang, et sur l’emplacement de leur demeure une douve envahie par les ronces… et rien de plus. Oui, il me suffit d’y penser pour que je me sente triste, affreusement triste à l’avance. »
Et c’est le souvenir émouvant d’Athanase Ivanovitch et de Pulchérie Ivanovna qui est la matière de Ménage d’autrefois où abondent belles descriptions et riches commentaires sur la vie rurale en Russie au temps de Gogol.
Traduction : Henri Mongault (1888-1941).
Ménage d’autrefois.
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GOGOL, Nicolas – Les Âmes Mortes

Donneuse de voix : Pomme | Durée : 28h 48min | Genre : Romans

Gogol 2
Narrant sur un ton comique les aventures d’un petit escroc dans la Russie provinciale des années 1820, le roman est aussi une troublante dénonciation de la médiocrité humaine, de toutes les tares de la Russie tsariste (corruption de l’administration, misère et ignorance absolues de la paysannerie, oisiveté de la noblesse, etc.)
Le mot « âme » désignait, en Russie, les serfs mâles. C’est le nombre d’âmes qui déterminait la valeur d’une propriété ainsi que l’impôt foncier dont le propriétaire était redevable. Comme les recensements n’étaient effectués que tous les cinq ans, les serfs morts « vivaient » parfois des années dans les registres de l’état ; et les propriétaires payaient un impôt sur ces âmes mortes. Cette absurdité du système avait donné à des escrocs l’idée d’une arnaque au crédit foncier. (Wikipédia)
Traduction : Ernest Charrière (1805-1865).
Écouter un extrait : Chant 01.

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GOGOL, Nicolas – La Calèche

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 32min | Genre : Nouvelles

La Calèche
Ce n’est ni le Gogol déprimé, ni le mystique maladif qui écrit La Calèche, mais l’humoriste qui nous divertit avec cette amusante histoire où l’alcool joue un rôle déterminant
« À peine assis, il trouva devant lui un verre de punch que, par distraction, il avala d’un trait. Après avoir fait deux robres, il trouva sous sa main un nouveau verre de punch, que, par une nouvelle distraction, il avala également, non sans avoir déclaré :
« Vraiment, messieurs, il est grand temps de me retirer. » [...]
On servit le souper. Les vins n’y furent point épargnés, bien entendu, et Tchertokoutski, qui avait une bouteille à sa droite et une autre à sa gauche, se vit parfois obligé presque inconsciemment de remplir son verre. »
Traduction : Henri Mongault (1888-1941).
Illustration : Boris Kustodiev (1878-1927), La Calèche.
La Calèche.
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