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dimanche 25 février 2018

ANDREÏEV Léonid – Livres Audio !

            ANDREÏEV Léonid – Livres Audio           



ANDREÏEV, Léonid – L’Étranger

Donneuse de voix : Pomme | Durée : 40min | Genre : Nouvelles

Leonid Andreïev
« De onze heures du matin à huit heures du soir, l’étudiant Tchistiakof courait le cachet ; une fois par semaine seulement, le mercredi, jour où l’heure de ses leçons était retardée, il s’en allait un instant à l’Université, pour s’inscrire chez l’appariteur. Il n’assistait jamais aux cours et ne savait même pas où se trouvaient les auditoires des étudiants en droit de seconde année, car il détestait les professeurs et ne songeait qu’à quitter pour toujours sa patrie et à aller vivre et étudier à l’étranger. C’était pour cela qu’il avait accepté tant de leçons et qu’il économisait sans cesse. Le soir, rentré chez lui, il apprenait le français. [...] »
Traduction : Serge Persky (1870-1938).
L’Étranger.
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ANDREÏEV, Léonid – Bergamote Et Garaska

Donneuse de voix : Pomme | Durée : 28min | Genre : Nouvelles

Léonid Andreïev
Quand un sergent de ville rencontre un pochard, il devrait normalement le conduire au poste de police. Mais c’est le matin de Pâques et un œuf peut alors tout changer !
Nouvelle à la fois drôle par son style et en même temps attendrissante.
Traduction : Serge Persky (1870-1938).
Bergamote et Garaska.
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ANDREÏEV, Léonid – Le Cadeau

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 23min | Genre : Nouvelles

Jean Geoffroy - Jour de visite à l'hôpital
L’alcoolisme est dénoncé comme la cause de la remise trop tardive du cadeau, par Léonid Andreïev dans cette navrante histoire Le Cadeau (1901).
« L’enfant était mort solitaire, oublié, tel un petit chien jeté à l’égout. La veille encore, il aurait pu voir le cadeau de ses yeux qui s’éteignaient ; son cœur enfantin en aurait été réjoui, son âme se serait envolée vers le ciel sans douleur, sans effroi, sans l’angoisse terrible de la solitude. »
Traduction : Serge Persky (1870-1938).
Le Cadeau.
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ANDREÏEV, Léonid – Koussaka

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 25min | Genre : Contes

Rudolf Koller - Chien sautant (1856)
Le héros de ce conte d’Andreïev est un pauvre toutou qui connaît une courte période heureuse dans sa « vie de chien ». On l’a surnomme Koussaka, « celui qui mord » (verbe russe « koussat », mordre), un nom qui ne lui convient pas du tout…
« Il n’appartenait à personne ; il n’avait pas de nom à lui et nul n’aurait pu dire où il avait passé le long hiver rigoureux ni comment il s’était nourri. Des chiens aussi affamés que lui, mais fiers et forts d’avoir des maîtres, le chassaient des chaumières bien chaudes. Quand il se montrait dans la rue, poussé par la faim ou par un instinctif besoin de société, les enfants lui lançaient des pierres, et les grandes personnes l’appelaient gaiement, le sifflant d’une façon terrible et prolongée. Affolé, il courait de côté et d’autre, se cognant aux palissades, aux passants et s’enfuyait au bout du village, au fond d’un grand jardin, dans un endroit qu’il connaissait. Là, il léchait ses plaies et ses blessures et, dans la solitude, la terreur et la haine s’amassaient eu lui.Une fois seulement, quelqu’un le caressa. C’était un paysan ivre qui sortait du cabaret. »
Merci pour lui, petite Lelia !
Traduction : Serge Persky (1870-1938).
Koussaka.
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ANDREÏEV, Leonid – En Attendant Le Train – La Vie Est Belle Pour Les Ressuscités

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 35min | Genre : Nouvelles

Mikalojus Ciurlonis - Cimetière lituanien (1909)
Plusieurs nouvelles d’Andreïev sont accessibles aujourd’hui, qui ne l’étaient pas quand furent ici enregistrés C’était… en 2009, ou À Sabourovo en 2014.
En attendant le train nous décrit le comportement de quelques voyageurs patientant dans une petite gare. On y apprend, entre autres, que l’accès des compartiments était interdit, en Russie, aux individus en état d’ébriété !
La vie est belle pour les ressuscités commence ainsi :
« Vous est-il arrivé de vous promener dans des cimetières ?
Dans ces coins de terre emmurés, étroits et paisibles, pleins d’herbe épaisse, il y a une poésie troublante et toute particulière.
Jour après jour, on y amène de nouveaux morts ; l’énorme ville bruyante et grouillante est déjà tout entière transportée là, et la cité renouvelée attend son tour d’y venir. »
et se continue par :
« Mais que les morts ressuscitent ! Ouvrez-vous, tombeaux maussades, anéantissez-vous, pesants monuments, fendez-vous, grillages de fer !
Ne fût-ce que pour un jour, que pour un instant, rendez la liberté à ceux que vous étouffez de votre poids et de vos ténèbres !
Vous croyez qu’ils sont morts ? Erreur, ils vivent ! Ils se taisaient, mais ils sont vivants.
Vivants !
Laissez-les voir le rayonnement du ciel bleu et sans nuage, aspirer l’air pur du printemps, s’enivrer de chaleur et d’amour. »
Traduction : Serge Persky (1870-1938).
En attendant le train.
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ANDREÏEV, Léonid – À La Fenêtre

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 1h 10min | Genre : Nouvelles

Alexey Tyranov - Studio of the artists N. and G. Tchernetsov (1828)
« Après avoir soupiré en pensant à la bêtise humaine, André Nicolaiévitch regarda de nouveau la rue. Juste en face de la fenêtre, du côté opposé, s’élevait une belle maison. Des sculptures de bois couvraient toute la façade ; c’était comme une dentelle, qui commençait aux soubassements d’un rouge foncé et se terminait au faîte de la toiture de fer, de laquelle s’élançait une flèche également ajourée. [...] André Nicolaiévitch n’avait jamais envié ces gens-là, et n’aurait pas voulu avoir autant d’argent qu’eux. Une ou deux fois l’idée vint à André Nicolaiévitch que lui aussi pourrait être un homme qui gagnerait beaucoup d’argent, qui posséderait une maison aux fenêtres étincelantes et une jolie femme. Mais cette supposition lui causait un grand effroi. [...] Il se trouvait bien, d’ailleurs, dans son bureau. Sa table, la même depuis quinze ans, était recouverte de toile cirée et poussée tout à fait dans le coin, et quand son chef, le conseiller, entrait, il ne voyait pas André Nicolaiévitch caché derrière les autres employés. »
Connaissez mieux cette âme russe peinte par Léonid Andreïev dans À la fenêtre, dernière nouvelle du recueil Les Sept Pendus qui s’exprime ainsi, après une décevante aventure : « Comme elles sont inconstantes, les femmes ! Un jour elles vous appellent « chéri », « bien aimé », le lendemain « fantôme » ! ».
Traduction : Serge Persky (1870-1938).
Illustration : Alexey Tyranov, Studio of the artists N. and G. Tchernetsov (détail, 1828).
À la fenêtre.
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ANDREÏEV, Léonid – Histoire De Sergueï Pétrovitch

Donneuse de voix : Esperiidae | Durée : 1h 37min | Genre : Nouvelles

Andreiev Leonid
Léonid Andreïev (1871-1919). Journaliste et écrivain russe. D’une acuité exceptionnelle et d’une lucidité effrayante, il saisit les facettes de l’âme et les monstruosités de la vie avec une perspicacité et une justesse effroyable. Mais il ne se sort pas indemne de ses observations de l’esprit humain. Alcoolique, révolté, hypersensible, Léonid Andreïev doit se battre avec ses démons.
Lors de son séjour à Saint-Pétersbourg, où il séjourne pour ses études, il découvre Nietzsche, qui le marque profondément. Il mène une existence difficile. La misère, les meublés sordides, la solitude au milieu de la foule des grandes villes, les déceptions amoureuses, l’alcool, les dépressions, plusieurs tentatives de suicide… Ces années resteront dans sa mémoire comme une période sombre qui lui inspirera plusieurs récits, dont Histoire de Sergueï Pétrovitch, que je vous invite à découvrir.
Avec mes remerciements pour leur consentement aux Éditions José Corti, qui ont entrepris la publication de l’intégralité de l’œuvre narrative de Leonid Andreïev (Andreyev). La traduction est assurée par Sophie Benech.
Histoire de Sergueï Pétrovitch.
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ANDREÏEV, Léonid – La Mordeuse

Donneuse de voix : Esperiidae | Durée : 24min | Genre : Nouvelles

Leonid Andreïev
Leonid Andreïev était un journaliste et écrivain russe (1871-1919). D’une acuité exceptionnelle et d’une lucidité effrayante, il saisissait les facettes de l’âme et les monstruosités de la vie avec une perspicacité et une justesse effroyable. Mais il ne sortit pas indemne de ses observations de l’esprit humain. Alcoolique, révolté, hypersensible, Leonid dut se battre avec ses démons. Le succès ne le lâcha pas jusqu’en 1909, puis ce fut le déclin et l’oubli. Les éditions José Corti ont entrepris la publication de l’intégralité de l’œuvre narrative de Leonid Andreïev. La traduction est assurée par Sophie Benech.
Andreïev pose un regard lucide et implacable mais rempli de tendresse et de compassion sur la désolation, la solitude, et sur le besoin fondamental d’amour, de rapprochement, de tendresse, inhérent à l’être humain. Dans La Mordeuse, comme pour souligner le côté pathétique de cette condition humaine, le côté « bestial », c’est à travers une chienne abandonnée, martyre solitaire, qu’il révèle les ombres et les lumières du vivant. La Mordeuse figure dans le volume Le Gouffre. Avec l’aimable autorisation des éditions José Corti.
La Mordeuse.
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Tous nos livres audio gratuits pour Léonid Andreïev :


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ANDERSEN Hans-Christian – Livres Audio !

    ANDERSEN Hans-Christian – Livres Audio    



ANDERSEN, Hans-Christian – Les Galoches Du Bonheur

Donneuse de voix : Cocotte | Durée : 1h | Genre : Contes

Hans Christian Andersen - Les Galoches du bonheur
« Il ne faut pas que j’oublie, dit la fée, que c’est aujourd’hui fête et, à cette occasion, je vais déposer ici une paire de galoches mystérieuses. Celui qui les mettra sera immédiatement transporté dans le temps et à l’endroit qu’il désire. Je pense que, de cette manière, le porteur de mes galoches sera l’homme le plus heureux de la terre. »
Traduction : David Soldi (1819-1884).
Les Galoches du bonheur.
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ANDERSEN, Hans-Christian – Histoire D’une Mère

Donneuse de voix : Cocotte | Durée : 12min | Genre : Contes

Hans Christian Andersen - Histoire d'une mère
Histoire d’une mère est un conte très émouvant d’Andersen.
« Une jeune mère était assise auprès de son jeune enfant ; le chagrin se peignait sur son visage, elle pensait que peut-être il allait mourir… »
Que ne ferait une mère pour sauver la vie de son enfant ?
Traduction anonyme (1853).
Histoire d’une mère.
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ANDERSEN, Hans-Christian – Contes

Donneurs de voix : Projet collectif | Durée : 7h 35min | Genre : Contes

Hans Christian Andersen - La Petite Sirène
Hans-Christian Andersen a écrit cent cinquante six contes de fées entre 1835 et 1873. Vous trouverez ici les contes disponibles sur Littérature audio.com…
L’Ange,
Les Aventures du chardon,
La Bergère et le Ramoneur,
Le Briquet,
Ce que le vieux fait est bien fait,
Le Chanvre,
Le Coffre volant,
Le Compagnon de voyage,
Un couple d’amoureux,
Le Crapaud,
Les Cygnes sauvages,
Les Fleurs de la petite Ida,
Une feuille du ciel,
Les Galoches du bonheur,
La Grosse Aiguille,
Les Habits neufs du Grand-Duc,
Histoire d’une mère,
L’Intrépide Soldat de plomb,
Le Jardin du Paradis,
L’Ombre,
La Pâquerette,
Petit Claus et grand Claus,
La Petite Fille et les allumettes,
La Petite Fille qui marchait sur le pain,
La Petite Poucette,
La Petite Sirène,
La Princesse sur un pois,
Le Rossignol,
Le Sapin
Une semaine du petit elfe Ferme-L’Œil,
Le Stercoraire,
Le Sylphe,
La Vieille Maison,
Le Vilain Petit Canard,.
Illustration : La Petite Sirène, illustrée par W. Heath Robinson (1913).

Consulter la version texte de ce livre audio : Contes d’AndersenNouveaux Contes.
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ANDERSEN, Hans-Christian – Le Sapin

Donneuse de voix : Aelia | Durée : 24min | Genre : Contes

Sapin de Noel
« En automne vinrent des bûcherons qui abattirent quelques-uns des plus grands arbres ; tous les ans ils en firent autant. Le jeune sapin ne les voyait plus qu’avec terreur ; car les grands et magnifiques arbres tombaient avec fracas sous leurs cognées. On en coupait les branches, et ils avaient alors l’air si nus et si décharnés qu’on pouvait à peine les reconnaître. Puis on les chargeait sur une voiture, et les chevaux les traînaient hors de la forêt. — Où allaient-ils ? que devenaient-ils ? [...] »
Conte extrait des Nouveaux Contes et traduit du danois par David Soldi (1819-1884).
Le Sapin.
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ANDERSEN, Hans Christian – Une Semaine Du Petit Elfe Ferme-L’Œil

Donneurs de voix : Projet collectif | Durée : 31min | Genre : Contes

Bertall Une semaine du petit elfe Ferme l Œil
« Il n’y a personne au monde qui sache raconter autant d’histoires que Ferme-l’Œil. En voilà un qui raconte bien ! Vers le soir, lorsque les enfants sont assis tranquillement à la table ou sur leur petit banc, arrive Ferme-l’Œil. On l’entend à peine monter l’escalier, parce qu’il a des pantoufles : il ouvre tout doucement la porte, et psitt ! il lance du lait dans les yeux des enfants avec une merveilleuse délicatesse, et cependant toujours en assez grande quantité pour qu’ils ne puissent pas tenir leurs yeux ouverts et, par conséquent, l’apercevoir [...] »
Tiré des Contes d’Andersen, traduits du danois par David Soldi (1819-1884).
Une semaine du petit elfe Ferme-l’Œil.
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ANDERSEN, Hans Christian – Le Compagnon De Voyage

Donneurs de voix : Projet collectif | Durée : 37min | Genre : Contes

Bertall - Le Compagnon de voyage
« Le champ tout entier, avec l’étang, avec le foin, ayant le ciel bleu pour plafond formait une chambre à coucher vraiment délicieuse. L’herbe verte avec ses petites fleurs rouges et blanches, en était le tapis ; les buissons de tilleuls et les haies de roses sauvages l’ornaient de bouquets ; avec son eau limpide et fraîche, l’étang servait de fontaine ; les roseaux, en s’inclinant, y disaient bonjour et bonne nuit ; la lune était comme une grande lampe suspendue au plafond bleu, et cette lampe ne risquait pas d’incendier les rideaux. »
Tiré des Contes d’Andersen, traduits du danois par David Soldi (1819-1884).
Le Compagnon de voyage.
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ANDERSEN, Hans Christian – Le Jardin Du Paradis

Donneurs de voix : Projet collectif | Durée : 30min | Genre : Contes

Bertall - Le Jardin du Paradis
« Il régnait une obscurité telle qu’on n’en voit de pareille qu’au fond d’un puits au milieu de la nuit. Tantôt le prince glissait sur l’herbe mouillée, tantôt il tombait sur les pierres aiguës dont le sol était hérissé. Trempé jusqu’aux os, il fut obligé de grimper sur de gros blocs recouverts d’une mousse épaisse et ruisselante. Il allait tomber évanoui de fatigue, lorsqu’il entendit un bruit étrange, et aperçut devant lui une grande caverne éclairée par un feu qui aurait pu rôtir tout un cerf ; et, en effet, attaché à la broche par les cornes, un superbe cerf y tournait lentement entre deux sapins abattus. »
Tiré des Contes d’Andersen, traduits du danois par David Soldi (1819-1884).
Le Jardin du Paradis.
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ANDERSEN, Hans Christian – L’Ombre

Donneurs de voix : CaroleJ.-Luc & Gilles-C. | Durée : 24min | Genre : Contes

Bertall - L'Ombre
« À ces mots, le savant se leva et l’Ombre fit comme lui. Il se tourna, et l’Ombre se tourna aussi. Quelqu’un qui eût fait attention aurait pu voir que l’Ombre entrait par la porte entr’ouverte chez le voisin, au moment où le savant entrait lui-même dans sa chambre en tirant derrière lui le grand rideau. »
Tiré des Contes d’Andersen, traduits du danois par David Soldi (1819-1884).
L’Ombre.
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