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dimanche 19 juillet 2015

Jérôme Deliry - Une rivière trop tranquille !


Le sacrifice des combattants de l’ombre.
1942. La population de Chalon-sur-Saône vit au rythme de l’Occupation lorsque les Allemands entreprennent de mystérieux travaux dans le port. 
Grâce à ses entrées à la Kommandantur, Pierre Allerey, un industriel de la région, découvre le but de ce chantier : permettre l’acheminement de vedettes de guerre vers la Méditerranée où les combats contre les Alliés font rage. Allerey en informe l’Intelligence Service qui décide de bombarder la ville au risque de causer un massacre de civils. 
Consterné, il cherche une alternative et entre en contact avec la résistance intérieure. Le temps est compté. Mais la liaison qui se noue entre une jeune secrétaire allemande et le chef du maquis brouille les cartes. L’étau se resserre sur les combattants clandestins quand un nazi fanatique prend en main la répression et fait régner la terreur parmi la population...
Autour d’un épisode réel mais méconnu de la Seconde Guerre mondiale, Jérôme Deliry nous entraîne sur un rythme haletant dans une fresque romanesque où se mêlent insouciance, drame et passion face à l’insoutenable violence de la guerre. 
Un hommage tout en nuances aux héros ordinaires de la Résistance.







Jérôme Deliry - L'Héritage de Terrefondrée !


"Bientôt tout le village eut connaissance de l'incroyable talent du nouveau venu. On n’avait jusque-là guère prêté attention à ce jeune homme à la drôle de démarche. On savait qu’il résidait au château, chez le comte, mais personne ne s’en était ému. On le croyait seulement de passage, peut-être un neveu du vieil aristocrate... »
1940 – Alors que les toiles du Louvre prennent les routes de l’exode, fuyant l’envahisseur nazi, Antoine, un jeune artiste parisien, se voit confi er une étrange mission par le conservateur du musée : dérober la dernière toile du peintre Natanaël Perlmann et la mettre à l’abri dans un château en Bourgogne.
À Terrefondrée, personne ne connaît la vraie raison de sa présence mais tout le monde le protège des inquisitions des Allemands. Jusqu’au jour où son amitié pour une petite fille espiègle lui attire la haine d’un ennemi secret.
Aventure, amour, héroïsme, l’auteur d’Une rivière trop tranquille jette un éclairage passionnant sur un aspect méconnu de la Seconde Guerre mondiale, dans ce roman riche en péripéties et en rebondissements...












mardi 7 juillet 2015

Chanson : Nana Mouskouri - Je pense à vous !






Roses blanches de Corfou 
Chaque nuit je pense à vous 

Pourquoi faut-il que le bateau s'en aille 
Quand le soleil se lève encore dans le ciel bleu 
Quand nous vivons le temps des fiançailles 
Pourquoi faut-il que vienne le temps des adieux 

Roses blanches de Corfou 
Roses blanches, roses blanches 
Chaque nuit je pense à vous 
Roses blanches de Corfou 

Votre parfum est si doux 
Quand l'aurore vient éclore 
Mais je suis bien loin de vous 
Roses blanches de Corfou 

Je reviendrais si tu as su m'attendre 
Quand le printemps nous donnera ses plus beaux jours 
Aucun bateau ne pourra me reprendre 
Je resterais dans le pays de notre amour 

Roses blanches de Corfou 
Roses blanches, roses blanches 
Chaque nuit je pense à vous 
Roses blanches de Corfou 

Je pense à vous 
Je pense à vous 

Chanson : Nana Mouskouri - Adieu mon Coeur !





Adieu mon cœur 
N'aie pas de tourment 
Je reviendrai 
Quand mes filets 
Auront rempli tout mon bateau 
De poissons d'argent 

Tous les pêcheurs 
Sont là sur le port 
Les femmes ont peur 
De l'onde qui dort 
Les femmes pleurent 
Et prient sur le quai 
Tant de pêcheurs 
S'en vont à tout jamais 

Tout est paré 
Le ciel est au bleu 
Et la marée 
N'entend que l'adieu 
Il faut chanter avant le départ 
Il faut chanter ce chant rempli d'espoir 

Adieu mon cœur 
N'aie pas de tourment 
Je reviendrai 
Quand mes filets 
Auront rempli tout mon bateau 
De poissons d'argent 

Je reviendrai 
Quand mes filets 
Auront rempli tout mon bateau 
De poissons d'argent 

Tous les pêcheurs 
Sont là sur le port 
Les femmes ont peur 
De l'onde qui dort 
Les femmes pleurent 
Et prient sur le quai 
Tant de pêcheurs 
S'en vont à tout jamais 

Adieu mon cœur 
N'aie pas de tourment 
Adieu mon cœur 
Addio 

Chanson : Patrice et Mario - Les trappeurs de l'Alaska !






C'est la saison des chasses, 
Partout dans l'Alaska; 
Remuez vos carcasses 
Il faut partir les gars, 
Leur crie d'une voix forte 
Billy le balafré 
" Que le diable l'emporte " 
Il faut nous préparer 
Un claquement de fouet 
Allons en route tout est prêt. 

Quand la lune luit, 
Quand le jour s'enfuit, 
Les trappeurs gaiement s'enfoncent dans la nuit 
Les chiens esquimaux 
Tirant le traineau 
Tout en galopant font tinter leurs grelots. 
Et dans le ciel noir 
S'envole un doux chant d'espoir 
Billy oh! Billy oh! Eh! Oh! Oh! 
Défiant le vent 
Le traineau tout blanc 
Glisse dans la nuit silencieusement 

Ça fait une semaine 
Qu'ensemble ils sont partis, 
Ils ont quitté la plaine 
Pour ce maudit pays 
Suivant la piste blanche 
Ils marchent sans arrêt : 
La neige en avalanche 
Tombe en flocons serrés. 
Un bon coup de whisky 
Ils vont de l'avant sans répit. 

Quand la lune luit, 
Quand le jour s'enfuit, 
Les trappeurs gaiement s'enfoncent dans la nuit 
Les chiens esquimaux 
Tirant le traineau 
Tout en galopant font tinter leurs grelots. 
Et dans le ciel noir 
S'envole un doux chant d'espoir 
Billy oh! Billy oh! Eh! Oh! Oh! 
Défiant le vent 
Le traineau tout blanc 
Glisse dans la nuit silencieusement 

Quand la lune luit, 
Quand le jour s'enfuit, 
Les trappeurs posent leurs pièges dans la nuit 
Les accroupis sommeillent sans bruit 
Près du feu qui chauffe leurs corps engourdis. 
Et dans le ciel noir 
S'envole un doux chant d'espoir 
Billy oh! Billy oh! Eh! Oh! Oh! 
Entassant les peaux 
Sur tous les traineaux 
Les trappeurs songent à retourner bientôt. 

Et dans le ciel noir 
S'envole un doux chant d'espoir 
Billy oh! Billy oh! Eh! Oh! Oh! 
Quand la lune luit, 
Quand le jour s'enfuit 
Les trappeurs fourbus s'endorment dans la nuit.

Chanson : Gloria Lasso - Bon Voyage !





Pas la peine de prendre 
Cet air triste en me quittant 
Puisque celle qui t'aime t'attend 
Offre-lui de ma part ces lilas du jardin 
Je ne lui en veux pas 
Je la plains 

Bon voyage, bon voyage 
Le soleil brillera bien sans toi 
Tu peux faire une croix 
J'ai fini de t'aimer 
Bon voyage et ne reviens jamais 

Que m'importe cette histoire 
Je souhaite d'être heureuse 
On m'a dit tant de bien sur vous deux 
On m'a même ajouté, 
Comme pour t'excuser 
Que tu l'aimes au point de l'épouser 

Bon voyage, bon voyage 
Ta tendresse pour moi, garde-la 
Quand tu vas tout à l'heure 
Te jeter dans ses bras 
N'aie pas peur que je pleure pour ça




Chanson : Frédéric François - Je voudrais dormir près de toi !






Je voudrais dormir près de toi 
Etre là quand tu t'éveilles 
Au premier rayon de soleil 
Oh oh oh oh je voudrais rester près de toi 
M'enfouir loin dans tes draps pour ne pas rentrer chez moi 

Je t'aime, je t'aime 
Passe encore dans mes cheveux 
Tes deux mains qui me rendent si heureux 
Je t'aime, je t'aime 
Ne me laisse pas partir loin de toi 
Je me sens un peu mourir 

Je voudrais dormir près de toi 
Pour te souhaiter le bonjour 
Après une longue nuit d'amour 
Oh oh oh oh je voudrais rester près de toi 
Et découvrir sur ton visage 
Que tu n'es pas un mirage 

Je t'aime, je t'aime 
C'est mon cœur que tu entends 
Car ma voix est parti retenir le temps 
Je t'aime, je t'aime 
J'ai besoin de te le dire 
Dans ma vie il suffit de ton sourire 

(x2) 
voudrais dormir près de toi 
Etre là quand tu t'éveilles 
Au premier rayon de soleil 
Oh oh oh oh je voudrais rester près de toi 
Pour te regarder rêver et te couvrir de baiser 

Je voudrais dormir près de toi 
La la la

Chanson : Frédéric François - Laisse moi vivre ma vie !






Laisse-moi vivre ma vie, 
Non, je ne regrette rien, 
Je ne veux plus être celui, 
Qui ne connaît que des chagrins, 
Laisse-moi vivre ma vie, 
Si tu m'aimes encore un peu, 
Ferme ta porte cette nuit, 
Ça vaut mieux pour tous les deux. 

Comme tu as changé, 
Tu n'es plus la petite fille, 
Que j'ai tant aimée, 
Et que je trouvais si gentille, 
Que de temps perdu 
Depuis que nous vivons ensemble, 
Pourtant au début, 
Tu me disais comme on se ressemble. 
Laisse-moi vivre ma vie 
Et redevenir un homme, 
Je ne sais plus où j'en suis, 
Je ne connais plus personne. 

Comme tu as changé, 
Tu n'es plus la petite fille, 
Que j'ai tant aimée, 
Et que je trouvais si gentille, 
Que de temps perdu 
Depuis que nous vivons ensemble, 
Pourtant au début, 
Tu me disais comme on se ressemble. 
Laisse-moi vivre ma vie 

Ne me retiens surtout pas, 
Si je reste encore une nuit, 
Je n'aurais plus confiance en moi.