mercredi 22 juin 2016
vendredi 10 juin 2016
Quelques morceaux d'Accordéon !
Le Mystère Lee Harvey Oswald !
Le Mystère Lee Harvey Oswald
Dans l’article, les témoins et les preuves sont entre [crochets]. Beaucoup d’éléments largement publiés de la vie d’Oswald ne sont pas traités dans cet article, seuls sont exposés les éléments les moins connus.
De plus, comme je ne prétends pas détenir une quelconque vérité, je vous invite à utiliser la bibliographie afin de vous faire votre propre jugement, qui sera peut-être très différent du mien !
“Nous n’avons pas dit la vérité sur Oswald”
Sénateur Richard Russel, membre de la commission Warren, 1970.
Sénateur Richard Russel, membre de la commission Warren, 1970.
“Et le pire, c’est qu’ils vont tout rejeter sur le dos de ce gamin de vingt-quatre ans”
Ralph Dungan, assistant spécial du président Kennedy, 22 novembre 1963.
Ralph Dungan, assistant spécial du président Kennedy, 22 novembre 1963.
“Je ne suis qu’un pigeon !”
Lee Harvey Oswald, 23 novembre 1963.
Lee Harvey Oswald, 23 novembre 1963.
Pour l’histoire officielle, Lee Harvey Oswald reste l’unique assassin du président John Fitzgerald Kennedy le 22 novembre 1963 à Dallas. Le rapport final de la commission d’enquête Warren sur l’assassinat de Kennedy nous dépeint un Oswald solitaire et désaxé.
Ses conclusions, qui ne font que reprendre le rapport d’enquête du directeur du FBI Edgar Hoover, présentent un Oswald pro- communiste qui aurait assassiné Kennedy à cause de sa politique envers Cuba.
Or, lorsqu’on enquête sur la courte vie d’Oswald, on découvre un homme menant une double vie.
D’un côté un personnage médiocre et instable, vivant de petits boulots. De l’autre, un agent secret accomplissant des missions d’espionnage majeures pour la CIA (Central Intelligence Agency), l’ONI (Office of Naval Intelligence) et le FBI (Federal Bureau of Investigation).
La jeunesse d’Oswald
Le 18 octobre 1939, Marguerite Claverie Oswald met au monde Lee Harvey Oswald à la Nouvelle-Orléans, deux mois après la mort de son mari. Oswald a deux frères plus âgés que lui. Son demi-frère, John Pic, est né d’un précédent mariage.
L’autre, Robert Oswald, est de cinq ans son aîné. Oswald vit à Fort Worth, au Texas, de 1947 à 1952. En août 1952, la famille Oswald rejoint John Pic, en garnison dans les gardes-côtes à New York.
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Du code Da Vinci aux véritables secrets de Leornado da Vinci !
Du code Da Vinci aux véritables secrets de Leornado da Vinci
Par définition ce qui est ésotérique est voilé, caché. Les anciens étaient détenteurs d’un savoir mystérieux qui résultait de leurs observations des lois naturelles. Ce savoir, en partie perdu aujourd’hui, était regroupé au sein de trois grandes sciences : l’Astrologie, la Théurgie (ou magie divine, la magie blanche) et l’Hermétisme ou Alchimie.
Ces sciences, pour survivre -notamment aux bûchers de l’Inquisition- furent contraintes de se dissimuler. Durant plusieurs millénaires, un courant souterrain, invisible, doubla celui de la culture officielle, demeurant masqué au plus grand nombre et accessible aux « initiables », c’est-à-dire aux curieux et assoiffés sincères de connaissance. Les artistes initiés du passé utilisèrent tous les supports artistiques à leur disposition afin de préserver leur culture, s’exprimant par voie de rébus et de charades.
À une époque d’analphabétisme, ce mode d’expression, ancêtre de la bande dessinée, avait le mérite d’être compris des gens du peuple. Leonardo da Vinci fut l’un de ces peintres initiés et toute son oeuvre témoigne qu’il fut dépositaire des théories alchimiques et de leur mise en pratique.
Le code da Vinci
En quelques semaines, un roman américain s’est hissé au rang de best-seller en France. Son titre : Da Vinci code. L’engouement du public, à défaut d’être justifié, peut se comprendre par suite de la recette utilisée par son auteur Dan Brown.
De quoi s’agit-il ? D’un thriller concocté selon une recette éprouvée, à défaut d’être sérieuse. Choisissez un personnage historique très connu, ajoutez un soupçon de mystère, une bluette sentimentale, sans grand intérêt, un nuage d’ésotérisme plus ou moins frelaté, mais cautionné par le statut de l’auteur qui est professeur, mixez le tout et servez chaud !
Cela donne une potion indigeste qui, par les vertus de la baguette magique des médias, va se transformer en un pactole. Il n’y aurait pas grand mal, la littérature en ayant vu bien d’autres, si ce roman ne reprenait à son compte -sans jamais en citer les auteurs- les affabulations d’un essai écrit par trois auteurs britanniques, il y a de cela une vingtaine d’années : « L’Énigme sacrée » de Michaël Baigent- Richard Leigh et Henry Lincoln.
Dans ce livre, émergeait un scoop historico-religieux visant à accréditer la thèse d’une descendance mérovingienne, issue des amours de Jésus et de Marie-Madeleine, qui constituerait le grand secret de Rennes-le-Château. Il est vrai que les auteurs s’appuient sur quelques lignes tirées de l’évangile de Philippe et de l’évangile de Marie.
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Le Journal de Bord de l'Amiral Richard E. Byrd (Fev. Mars 1947) Vol d'exploration au-dessus du Pôle Nord (La Terre Intérieure, Mon Journal Secret) !
Le Journal de Bord de l'Amiral Richard E. Byrd (Fev. Mars 1947) Vol d'exploration au-dessus du Pôle Nord (La Terre Intérieure, Mon Journal Secret)
Je dois écrire ce carnet de bord secrètement et dans l'ombre. Il concerne mon vol arctique du 19 Février 1947. Il viendra le temps où la pensée rationnelle des hommes deviendra insignifiante et que l'on devra accepter l'inévitable Vérité.
Je ne suis pas libre d'assurer la mise au jour de la documentation suivante qui fait l'objet de cet écrit, peut-être ne verra-t-elle jamais la lumière de l'analyse publique, mais je dois faire mon Devoir et l'enregistrer ici, pour tout un chacun, afin qu'il puisse un jour en prendre connaissance dans un monde qui, je l'espère profondément, ne laissera pas l'avidité et l'oppression abusive d'une partie de l'humanité nous soustraire ce qui est Vrai plus longtemps.
Carnet de Vol : Camp de Base Arctique, 19 Février 1947
0600 heures - Tous les préparatifs sont complètement faits pour un vol en direction du Nord et nous décollons avec le plein de carburant à 0610 heures.
Quelque chose est définitivement faux et anormal ici ! Nous ne devrions survoler que glace et neige ! A bâbord, on voit de grands massifs forestiers le long des pentes montagneuses. Nos instruments de navigation tournoient encore, le gyroscope oscille d'arrière en avant !
Carnet de Vol : Camp de Base Arctique, 19 Février 1947
0600 heures - Tous les préparatifs sont complètement faits pour un vol en direction du Nord et nous décollons avec le plein de carburant à 0610 heures.
0620 heures - Le carburant du moteur de tribord semble trop riche, on fait l'ajustement et le "Pratt Whitneys" file doucement maintenant.
0730 heures - Le contact radio est vérifié avec le camp de base. Tout est bien et la réception est normale.
0740 heures - On note une légère fuite d'huile dans le moteur de tribord, l'indicateur de pression d'huile cependant semble normal.
0800 heures - Une turbulence légère est notée dans la direction de l'Est à une altitude de 2321 pieds, correction à 1700 pieds, aucune autre turbulence, mais le vent d'arrière s'accroît , légers réglages de contrôle, les performances de l'avion sont très bien maintenant.
0815 heures - Contact radio avec le camp de base, situation normale.
0830 heures - Nouvelle turbulence. Augmente l'altitude à 2900 pieds ; conditions de vol normales de nouveau.
0910 heures – Vaste étendue de glace et neige en dessous, notons la coloration de nature jaunâtre qui se disperse linéairement. Modifions l'itinéraire pour un meilleur examen de cette couleur en dessous, et notons une couleur rougeâtre ou violette aussi. Nous exécutons deux tours au-dessus de cette zone et nous reprenons l'itinéraire qu'indique la boussole. Nouveau contact avec le camp de base et transmission des informations relatives aux colorations de la glace et de la neige au sol.
0913 heures - La boussole magnétique et le gyrocompas commençant à tourner et bouger, nous sommes incapables de tenir notre route à l'aide des instruments. Faisons le point avec le compas Solaire et tout semble bien. Nous effectuons des contrôles particulièrement lents et paresseux, mais il n'y a aucune présence de glace.
0915 heures – Au loin apparaît ce qui semble être des montagnes !
0949 heures - Après 29 minutes de vol notre première impression se confirme : ce sont bien des montagnes et pas une illusion. C'est une petite chaîne de montagnes, que je n'ai jamais vue auparavant !
0955 heures - l' Altitude change pour arriver à 2950 pieds, nous rencontrons de fortes turbulences à nouveau.
1000 heures - Nous passons au-dessus de la petite chaîne de montagnes et nous sommes toujours en direction du nord apparemment, au meilleur de notre connaissance. Au-delà la chaîne de montagnes apparaît une vallée avec un petit fleuve ou rivière se dirigeant vers le centre de la vallée. Il ne devrait pas y avoir de vallée verte en dessous !
Quelque chose est définitivement faux et anormal ici ! Nous ne devrions survoler que glace et neige ! A bâbord, on voit de grands massifs forestiers le long des pentes montagneuses. Nos instruments de navigation tournoient encore, le gyroscope oscille d'arrière en avant !
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Le Mystère des Pirates : Trésors, Barbe Noire, La Buse !
Le Mystère des Pirates : Trésors, Barbe Noire, La Buse
La piraterie existait déjà dans l'Antiquité. Toutes les civilisations anciennes ayant possédé une marine l'ont connue, la mer étant considérée comme un espace libre où règne la « loi du plus fort ».
Nous allons voir ensemble trois histoires de grands pirates et découvrir leur vie ainsi que leur façon de procéder.
Pour notre première histoire, nous allons suivre la vie de pirate de Barbe Noire (Edward Teach), le plus terrifiant des pirates, le " diable des mers". Il serait né en 1680 à Bristol en Angleterre. Sa carrière maritime commence sur un navire corsaire patrouillant, les eaux proches de la Jamaïque pendant la guerre de Succession d'Espagne.
Barbe Noire se forge une solide réputation de pirate téméraire et cruel en attaquant régulièrement les installations navales et côtières des Antilles et de la côte atlantique de l'Amérique du Nord. Si l'équipage n'offre pas de résistance, il laisse le navire repartir et continuer sa route. Dans le cas contraire, tous les résistants sont tués.
Barbe Noire avait l'habitude de porter, au combat ou non, plusieurs épées, couteaux ainsi que six pistolets et d'allumer des mèches de poudre à canon dans son abondante barbe noire, ce qui lui valut son surnom. Le 28 novembre 1717, il capture La Concorde, un navire Français en provenance de Nantes et transportant des esclaves.
La Concorde est une frégate de 300 tonnes armée de 40 canons, qui avait sillonné les côtes africaines et capturé de nombreux navires.
Barbe Noire lui donne le nom de Queen Anne's Revenge (La Vengeance de la Reine Anne) après l'avoir conquis aux Français.
Barbe Noire est arrêté par le HMS Pearl dirigé par Robert Maynard, au large des côtes d'Ocracoke. Il reçoit plus de 25 blessures dont cinq par balles au cours d'une lutte avant de mourir et d'être décapité par Maynard.
Une légende raconte que son corps, après avoir été jeté à la mer, aurait fait deux fois le tour du bateau à la nage avant de couler. Barbe Noire est devenu une légende.
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