Picador100 - SOUVENIR DE PARIS (Accordéon)
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dimanche 20 janvier 2013
samedi 19 janvier 2013
La victoire de la Grande Armée !
La victoire de la Grande Armée
Le 14 septembre 1812, Napoléon fait son entrée dans Moscou. Il pressent qu’à rester trop longtemps, il risque de courir à la catastrophe. Il donne alors à ses maréchaux un ordre stupéfiant : dès demain, la Grande Armée quittera Moscou et regagnera la France. Il ne s’agit pas d’une fuite, mais d’une manœuvre par laquelle il veut écraser Koutouzov en le contraignant à l’offensive. Le héros de ce livre, le général François Beille, est chargé de rester en contact avec l’ennemi de manière à lui faire croire qu’il s’agit de l’arrière-garde de la Grande Armée et que celle-ci est toute proche. Une fois la méprise dissipée, Koutouzov se précipitera sur les traces de l’Empereur pour l’empêcher de quitter le pays. Le lieu de la bataille est choisi par Napoléon, près de Vilna, non loin du Niémen. Les Russes sont écrasés et s’ouvre alors une nouvelle période : Napoléon, de retour en France, décide d’abdiquer et de se consacrer à la paix. Il transmet le pouvoir à son fils adoptif, Eugène de Beauharnais.
Deux cents ans après, l’auteur récrit l’histoire dans un roman original et convaincant où la vie de l’époque, la guerre et deux amours passionnées captivent l’attention.
Le 14 septembre 1812, Napoléon fait son entrée dans Moscou. Il pressent qu’à rester trop longtemps, il risque de courir à la catastrophe. Il donne alors à ses maréchaux un ordre stupéfiant : dès demain, la Grande Armée quittera Moscou et regagnera la France. Il ne s’agit pas d’une fuite, mais d’une manœuvre par laquelle il veut écraser Koutouzov en le contraignant à l’offensive. Le héros de ce livre, le général François Beille, est chargé de rester en contact avec l’ennemi de manière à lui faire croire qu’il s’agit de l’arrière-garde de la Grande Armée et que celle-ci est toute proche. Une fois la méprise dissipée, Koutouzov se précipitera sur les traces de l’Empereur pour l’empêcher de quitter le pays. Le lieu de la bataille est choisi par Napoléon, près de Vilna, non loin du Niémen. Les Russes sont écrasés et s’ouvre alors une nouvelle période : Napoléon, de retour en France, décide d’abdiquer et de se consacrer à la paix. Il transmet le pouvoir à son fils adoptif, Eugène de Beauharnais.
Deux cents ans après, l’auteur récrit l’histoire dans un roman original et convaincant où la vie de l’époque, la guerre et deux amours passionnées captivent l’attention.
Une fois ne compte pas !
Une fois ne compte pas
D’abord, il y a Charlotte, la misanthrope : elle désire ardemment « être seule au monde ». Puis Lorine, la stagiaire timide et maladroite : elle rêve de prendre la place de la Grande Catherine, la rédactrice en chef du journal où elle travaille. Eric a vu sa femme le quitter : depuis qu’ils se sont mariés, il n’a pas réussi à l’aimer, trop occupé à travailler pour oublier qu’il vient d’une famille modeste. Quant à Michèle, soixante ans, après une vie bien rangée, elle donnerait n’importe quoi pour en avoir quarante de moins et faire les quatre cents coups...
Un jour, le destin va leur offrir la possibilité de vivre leur rêve. Lorine prend la place et la vie de la Grande Catherine ; Eric redevient un adolescent qui va pouvoir faire la paix avec sa famille. Michèle rajeunit à vue d’œil. Et Charlotte se réveille dans un Paris désert...
Entraînés dans une histoire surnaturelle, les quatre personnages vont avoir de l’occasion d’expérimenter réellement le proverbe allemand que cite Kundera dans L’insoutenable légèreté de l’être : « une fois ne compte pas, une fois c’est jamais. Ne pouvoir vivre qu’une vie, c’est comme ne pas vivre du tout ».
D’abord, il y a Charlotte, la misanthrope : elle désire ardemment « être seule au monde ». Puis Lorine, la stagiaire timide et maladroite : elle rêve de prendre la place de la Grande Catherine, la rédactrice en chef du journal où elle travaille. Eric a vu sa femme le quitter : depuis qu’ils se sont mariés, il n’a pas réussi à l’aimer, trop occupé à travailler pour oublier qu’il vient d’une famille modeste. Quant à Michèle, soixante ans, après une vie bien rangée, elle donnerait n’importe quoi pour en avoir quarante de moins et faire les quatre cents coups...
Un jour, le destin va leur offrir la possibilité de vivre leur rêve. Lorine prend la place et la vie de la Grande Catherine ; Eric redevient un adolescent qui va pouvoir faire la paix avec sa famille. Michèle rajeunit à vue d’œil. Et Charlotte se réveille dans un Paris désert...
Entraînés dans une histoire surnaturelle, les quatre personnages vont avoir de l’occasion d’expérimenter réellement le proverbe allemand que cite Kundera dans L’insoutenable légèreté de l’être : « une fois ne compte pas, une fois c’est jamais. Ne pouvoir vivre qu’une vie, c’est comme ne pas vivre du tout ».
Le Roman d'Hortense !
Le Roman d'Hortense
Enchantement était l'un des mots préférés d'Hortense Allart. Au cœur de l'époque romantique, nul n'a peut-être su mieux qu'elle vivre la magie de l'amour sans crainte des préjugés.Après une liaison avec un jeune marquis déjà marié, cette jolie blonde au profil antique prit le chemin de l'Italie pour élever son fils et partir, comme Stendhal, à la quête du bonheur. Espoirs et déceptions, solitude, attentes vaines, battements de cœur... entre le souvenir de son premier amour malheureux et les passions qu'elle inspira, Hortense fit son éducation sentimentale. Elle se laissa séduire par Chateaubriand sous le soleil romain. Auprès d'Hortense, sa dernière maîtresse et non la moins ardente, l'Enchanteur vécut l'un de ses plus délicieux printemps.Hortense plaçait « l'amour et l'indépendance au-dessus de tout ». Près de deux cents ans plus tard, par ses idées féministes, sa vie libre et son énergie, cette héroïne du XIXe siècle est aussi notre contemporaine. Intrigue toute en élégance, documentation sans faille, Ariane Charton réussit ici le magnifique portrait d'une femme qui méritait qu'on la porte au grand jour.
Enchantement était l'un des mots préférés d'Hortense Allart. Au cœur de l'époque romantique, nul n'a peut-être su mieux qu'elle vivre la magie de l'amour sans crainte des préjugés.Après une liaison avec un jeune marquis déjà marié, cette jolie blonde au profil antique prit le chemin de l'Italie pour élever son fils et partir, comme Stendhal, à la quête du bonheur. Espoirs et déceptions, solitude, attentes vaines, battements de cœur... entre le souvenir de son premier amour malheureux et les passions qu'elle inspira, Hortense fit son éducation sentimentale. Elle se laissa séduire par Chateaubriand sous le soleil romain. Auprès d'Hortense, sa dernière maîtresse et non la moins ardente, l'Enchanteur vécut l'un de ses plus délicieux printemps.Hortense plaçait « l'amour et l'indépendance au-dessus de tout ». Près de deux cents ans plus tard, par ses idées féministes, sa vie libre et son énergie, cette héroïne du XIXe siècle est aussi notre contemporaine. Intrigue toute en élégance, documentation sans faille, Ariane Charton réussit ici le magnifique portrait d'une femme qui méritait qu'on la porte au grand jour.
Mufle !
Mufle
Lui : deux fois divorcé, de grands enfants. A cinquante ans, il croyait avoir enfin trouvé la femme de sa vie.
Elle, c'est Charlotte. Elle se sera bien foutue de lui.
Mufle se livre à l'autopsie d'un mensonge. L'amour est toujours une fiction.
Lui : deux fois divorcé, de grands enfants. A cinquante ans, il croyait avoir enfin trouvé la femme de sa vie.
Elle, c'est Charlotte. Elle se sera bien foutue de lui.
Mufle se livre à l'autopsie d'un mensonge. L'amour est toujours une fiction.
Les Seins de Sophie !
Les Seins de Sophie
Les années 60 : Bardot, le ski nautique et l'huile de Monoï sur le sable chaud. Mais aussi les institutions religieuses pour filles, la messe en latin tous les jours, les cours de couture et le mystère de la sexualité.Sophie entre dans l'âge ingrat avec un appareil dentaire et des seins asymétriques. Forte de sentiments ambigus pour un homme, et dotée de convictions radicales sur l'amour, la maternité et le mariage, elle suit les élans de son c ? ur sur des chemins peu conventionnels.Chronique sociale et sentimentale, le premier roman d'Yveline Dupuy restitue avec humour les mœurs, coutumes et principes d'une époque que Mai 68 fera voler en éclats.
Les années 60 : Bardot, le ski nautique et l'huile de Monoï sur le sable chaud. Mais aussi les institutions religieuses pour filles, la messe en latin tous les jours, les cours de couture et le mystère de la sexualité.Sophie entre dans l'âge ingrat avec un appareil dentaire et des seins asymétriques. Forte de sentiments ambigus pour un homme, et dotée de convictions radicales sur l'amour, la maternité et le mariage, elle suit les élans de son c ? ur sur des chemins peu conventionnels.Chronique sociale et sentimentale, le premier roman d'Yveline Dupuy restitue avec humour les mœurs, coutumes et principes d'une époque que Mai 68 fera voler en éclats.
J'y suis, j'y reste ! : Petite anthologie des expressions de notre Histoire !
J'y suis, j'y reste ! : Petite anthologie des expressions de notre Histoire
« Faites l'amour pas la guerre », « Impossible n'est pas français », « C'est la Bérézina », « Au hasard, Balthazar ! », « Dégraisser le mammouth »...Nombreux sont les mots et expressions de l'Histoire de France passés dans le langage courant. On les utilise sans en connaître l'auteur ni le contexte dans lequel ils ont été prononcés. De Clovis à Ségolène Royal ou Nicolas Sarkozy, Gavin's Clemente Ruiz se propose d'en explorer plus de 200.QUI ? OU ? QUAND ? Gavin's Clemente Ruiz livre le sens et l'esprit de l'époque de ces expressions. Et « pour la petite histoire », il nous révèle quelques anecdotes instructives ou cocasses...
« Faites l'amour pas la guerre », « Impossible n'est pas français », « C'est la Bérézina », « Au hasard, Balthazar ! », « Dégraisser le mammouth »...Nombreux sont les mots et expressions de l'Histoire de France passés dans le langage courant. On les utilise sans en connaître l'auteur ni le contexte dans lequel ils ont été prononcés. De Clovis à Ségolène Royal ou Nicolas Sarkozy, Gavin's Clemente Ruiz se propose d'en explorer plus de 200.QUI ? OU ? QUAND ? Gavin's Clemente Ruiz livre le sens et l'esprit de l'époque de ces expressions. Et « pour la petite histoire », il nous révèle quelques anecdotes instructives ou cocasses...
Les Reines noires : Didon, Salomé et la reine de Saba !
Les Reines noires : Didon, Salomé et la reine de Saba
Elles vivent dans un pays où la lumière est reine, elles savent que l’amour brûle toutes limites et elles semblent toujours, quoique très présentes, être ailleurs – happées par le songe, l’invisible, l’absolu. Ce sont des femmes à la peau sombre, au corps cuivré, des femmes solaires et mystérieuses qui s’appellent Didon, Salomé, ou la Reine de Saba.
Qu’elles vivent sous le ciel de Carthage, de Palestine ou d’Arabie heureuse, et en des siècles différents, ces trois femmes ont de nombreux points communs : elles sont conquérantes, insolentes, passionnées, préférant toujours la beauté et l’excès au devoir et aux normes humaines, et aux menues tristesses la grande jubilation. Aussi font-elles peur : elles dérangent, transgressent, subvertissent. Elles sont toutes trois des initiatrices telles qu’il en existait dans les plus anciennes traditions : à ce titre, elles sont reines, incarnant une féminité oubliée de nos jours.
Du monologue déchirant de Didon, abandonnée par le lâche Énée, aux incantations de la flamboyante Salomé, repoussée par le prophète Jean, puis au dialogue d’amour entre le roi Salomon et la reine de Saba tout au long d’une nuit unique, d’une nuit de pleine lune, l’écriture est volontairement lyrique et poétique : défi à la prose quotidienne et aux histoires profanes, approche d’un mystère qui a pris corps de femme.
Elles vivent dans un pays où la lumière est reine, elles savent que l’amour brûle toutes limites et elles semblent toujours, quoique très présentes, être ailleurs – happées par le songe, l’invisible, l’absolu. Ce sont des femmes à la peau sombre, au corps cuivré, des femmes solaires et mystérieuses qui s’appellent Didon, Salomé, ou la Reine de Saba.
Qu’elles vivent sous le ciel de Carthage, de Palestine ou d’Arabie heureuse, et en des siècles différents, ces trois femmes ont de nombreux points communs : elles sont conquérantes, insolentes, passionnées, préférant toujours la beauté et l’excès au devoir et aux normes humaines, et aux menues tristesses la grande jubilation. Aussi font-elles peur : elles dérangent, transgressent, subvertissent. Elles sont toutes trois des initiatrices telles qu’il en existait dans les plus anciennes traditions : à ce titre, elles sont reines, incarnant une féminité oubliée de nos jours.
Du monologue déchirant de Didon, abandonnée par le lâche Énée, aux incantations de la flamboyante Salomé, repoussée par le prophète Jean, puis au dialogue d’amour entre le roi Salomon et la reine de Saba tout au long d’une nuit unique, d’une nuit de pleine lune, l’écriture est volontairement lyrique et poétique : défi à la prose quotidienne et aux histoires profanes, approche d’un mystère qui a pris corps de femme.
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