LÉONARD DE VINCI ET LE MYSTÈRE DU SAINT SUAIRE DE TURIN
Ce documentaire, Léonard et le mystère du suaire de Turin (0h42), tente d'élucider l'origine très controversée du suaire, entre les dires de ceux qui pensent à un réel linceul , et ceux qui pensent que c'est un faux.
Le suaire de Turin, aussi connu sous le nom de linceul de Turin, est un drap en lin ancien qui montre l'image d'un homme présentant des traces de tortures physiques correspondant à une crucifiction. Il est conservé dans la chapelle royale de la cathédrale Saint-Jean-Baptiste de Turin, en Italie.
Pour certains, il s'agit d'une contrefaçon médiévale ou de l'œuvre d'un artiste, réalisée à des fins de dévotion ou de tromperie. Pour d'autres, le drap serait une relique, le Saint-Suaire, linceul ayant recouvert Jésus de Nazareth lorsqu'il fut mis au tombeau. Parmi eux, certains attribuent d'ailleurs à l'apparition de son image sur les fibres une origine miraculeuse.
L’Église catholique romaine a beaucoup à se reprocher en ce qui concerne le fait de cacher, manipuler ou déformer la vérité. St Paul lui-même, savait manipuler les écritures pour les accommoder à sa sauce. D’après la datation au carbone 14 des échantillons prélevés en divers endroits, le suaire de Turin daterait du Moyen-Âge.
Depuis 1994, une hypothèse largement diffusée, a été soutenue par Lynn Picknett et Clive Price, selon laquelle le suaire de Turin serait l'œuvre de Léonard de Vinci. Cette hypothèse a connu une médiatisation importante.
Léonard de Vinci aurait remplacé vers 1490, pour le compte de la maison de Savoie, le linceul apparu à Lirey, lequel aurait ainsi bien été une peinture. De Vinci aurait appliqué un linge ancien sur un bas-relief réaliste, sculpté par lui et chauffé. Puis il aurait photographié plusieurs fois un corps humain sur le faux suaire enduit de nitrate d'argent, sur lequel il aurait ajouté son propre visage. Les auteurs de cette théorie soutiennent en effet, qu'il existe une ressemblance suffisante entre les autoportraits de Léonard de Vinci et la figure du linceul.
Il y a eu jadis plusieurs suaires en différents lieux depuis le Moyen-âge jusqu’à la Révolution. XV siècles avant Léonard de Vinci, les apôtres ont écrit : "Cherchez la gloire de Jésus, mais pas son linceul."
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