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vendredi 28 octobre 2016

Les mystères des Montagnes Bucegi !

            Les mystères des Montagnes Bucegi          


À l'été de 2003, dans une région inexplorée des monts Bucegi, Roumanie, une équipe du Département Zéro (une section top secrète du Service roumain de renseignements - SRI), avait fait une découverte archéologique qui pourrait complètement changer le destin de l'humanité.
Les Etats-Unis d'Amérique ont exercé une pression diplomatique colossale sur le gouvernement roumain, qui désirait divulguer les résultats au monde entier.
Les implications sont devenues beaucoup plus complexes en raison de l'ingérence brutale de l'Ordre des Illuminati, qui a cherché à prendre le contrôle à la fois du lieu de la découverte et de l'expédition commune roumano-américaine.
L'expert en phénomènes étranges, et aussi le chef des opérations pour l'Etat roumain, Cezar Brad, est le «héros» des événements choquants survenus dans les monts Bucegi. Il a également eu deux réunions mémorables avec l'un des principaux représentant des Illuminati, et haut membre de Bilderberg.


II . Une étrange visite du membre le plus puissant des Bilderberg

En mai 2003, Cezar a été visité par un personnage très important. La demande de la réunion est venue du SRI, à la suite de l'intervention du gouvernement. La personne était un étranger, mais qui parlait très bien la langue roumaine. Il était également familier avec le pays. Cezar a informé le SRI que le visiteur était un membre de haut rang d'une loge maçonnique très importante d'Italie, il était un noble, et a eu une très forte influence financière en Roumanie.

Son influence politique était également très élevée, car il a réussi à pénétrer dans le bouclier des agents du SRI et à atteindre le DZ (Division Zero).
Cezar a ressenti une pression élevée et un poids lourd autour de cette personne. Il était entouré par un nuage puissant de rayonnements désagréables qui cachait ses véritables intentions. Pour cette réunion, Cezar s'était préparé minutieusement, s'isolant dans une chambre et tombant dans un état de méditation profonde, pour en savoir plus sur la personne.
Un hélicoptère du SRI a amené cet arrogant grand monsieur, vêtu d'un costume noir. Il avait une canne à manche d'ivoire et avec des incrustations d'or. Son visage exprimait la dureté et ses yeux verts ont eu un effet étrange, rayonnant une froideur inhabituelle. Il s'est présenté comme Monsieur Massini (probablement pas son vrai nom). Il était très sûr de sa puissance et a créé l'impression d'une personne qui a été fait pour donner des ordres.
Il était le chef d'une des loges maçonniques les plus importantes d'Europe et aussi de l'une des organisations maçonniques les plus influentes dans le monde : le Groupe de Bilderberg.


Massini a été très direct et a déclaré que les êtres humains sont de deux sortes : ceux qui peuvent être manipulés et gouvernés (ceux-ci forment la majorité), et ceux qui ont certaines vertues et des fortes personnalités. Il a dit que son groupe fait partie de l'ordre maçonnique le plus élevé et est très intéressé de l'issue de la discussion.
Monsieur Massini a expliqué que le Groupe de Bilderberg n'est pas une loge maçonnique, et qu'il pense être beaucoup plus que cela. Il a dit que les loges ne sont que des façades et le pouvoir réel est beaucoup plus élevé que le trente-troisième niveau hiérarchique. Massini a invité Cezar à se joindre au groupe, lui faisant comprendre qu'il aura de nombreux avantages.
Selon Cezar, Massini était à la fois physiquement et psychique fort, ce qui contrastait avec son âge. Malheureusement pour lui, son pouvoir était centré sur un égo énorme, l'arrogance et le sentiment de supériorité sur le reste.
Massini a informé Cezar qu'il lui a demandé personnellement, en utilisant son influence politique, parce qu'il a été impressionné par la puissance psychique de Cezar.

III. Les espions du Pentagone avec des satellites

Un satellite géodésique d'espionnage du Pentagone, basé sur la technologie bionique et les définitions de formes, a découvert en 2002 une singularité distincte dans une région spécifique des montagnes Bucegi. L'espace vide à l'intérieur de la montagne n'avait pas de correspondance avec l'extérieur, et semblait avoir été sculpté de l'intérieur, par des êtres intelligents. Ce n'était certainement pas une grotte.


Le scan par satellite de la montagne a révélé deux grands blocs énergétiques. Ces obstacles ont été fabriqués avec de l'énergie artificielle. Le premier était comme un mur énergique, bloquant l'accès au tunnel, tandis que le second était en forme de dôme (ou hémisphère), et était situé à l'extrémité opposée du tunnel, près du centre de la montagne.
Massini était sûr qu'à l'intérieur du dôme, ils allaient découvrir quelque chose de très important. Il avait une profonde connaissance de l'origine de cette découverte et a connu l'existence d'au moins un point situé à l'intérieur de la grande salle hémisphérique. Le tunnel et la coupole ont été étrangement alignés avec les formations rocheuses du haut de la montagne, connues sous le nom de « Babele » et le " Sphinx de Bucegi ".


IV . Une structure similaire en Irak

L'équipe du Pentagone a noté que la barrière d'énergie hémisphérique avait la même fréquence vibratoire et la même forme que celui d'une autre structure souterraine top secret qu'ils avaient découvert avant, près de Bagdad, en Irak. Peu de temps après cette découverte, la guerre en Irak a éclaté et après quelques mois, les Américains ont eu accès au plus grand secret dans la région - dont les Irakiens ne savaient rien.
Massini a expliqué à Cezar que le contenu de cette découverte avait à voir avec le mystérieux passé de la Terre et l'Histoire de leurs organisations secrètes. Lorsque l'enquête du Pentagone a noté les similitudes entre la structure souterraine de Bagdad et celle des monts Bucegi, Massini et sa loge maçonnique sont devenus extrêmement agités. Initialement, ils ont presque paniqué. La panique était dû au fait que cette structure - beaucoup plus vaste et plus complexe que celle d'Irak - était sur le territoire de la Roumanie.
(Apparemment, la Roumanie doit probablement jouer un rôle important dans la chute des sociétés secrètes qui contrôlent le monde et asservissent l'humanité. On a également suggéré que, quelque part au-dessus des monts Bucegi, une pyramide énergétique se trouve, qui est invisible à l'œil nu, et qui contient la véritable histoire de notre planète. On peut imaginer leur panique).
Massini amené sur le site de forage une foreuse de roche dure ultra sophistiquée (TBMs), utilisé par l'armée américaine. Le dispositif utilisait un jet de plasma et une sorte de champ magnétique tournant, fondant littéralement le rocher sans aucun effort visible.


V. Les secrets des monts Bucegi 

Ils ont réussi à faire une pénétration d'environ 60-70 mètres derrière la première barrière énergétique, et ont atteint la première galerie, qui ressemblait à un tunnel de métro. Ses murs sont parfaitement polis. A la fin du tunnel, il y avait une porte de pierre massive, qui a été protégée par une barrière énergétique invisible. Trois membres de la première équipe d'intervention spéciale ont essayé de toucher la porte, et sont immédiatement décédés d'un arrêt cardiaque.
Tout objet (rock, plastique, métal ou bois) lancé sur la barrière est immédiatement transformé en poussière fine. Deux généraux du Pentagone et le conseiller présidentiel américain sont arrivés sur place.

VI . La Grande Galerie

Au-delà de la barrière d'énergie formidable, qui a causé la mort de trois personnes, il y avait aussi la porte de roche solide. Sur le mur du tunnel, juste en face de la porte, il y avait une superficie de 20 cm carrés, sur laquelle il a été précisément dessiné un triangle équilatéral pointant vers le haut. L'endroit a été situé entre l'énorme porte en pierre broyée et la barrière d'énergie invisible.
Cezar a estimé qu'il y avait une sorte de compatibilité entre la barrière énergétique et lui-même, quelque chose comme une «sympathie» mutuelle. Sa main effleura la surface de la barrière énergétique et il sentit un picotement sur la peau. Le bouclier était totalement inoffensif pour lui, alors il s'avança, en passant au travers. Les responsables américains ont été absolument stupéfaits.
Cezar a estimé que a barrière ne faisait pas plus d'un pouce d'épaisseur (2.54 cm).


Il a touché le dessin du triangle situé au centre de la place, et la porte de pierre gigantesque a silencieusement glissé vers la gauche, dans le mur. Cette commande a également annulé la barrière énergétique, en leur donnant accès à une salle immense, qui fut plus tard nommé " La Grande Galerie " .
Même s'il n'y avait aucune source de lumière visible, la Grande Galerie est parfaitement éclairée.
Après avoir éteint la première barrière énergétique, l'énorme bouclier hémisphérique à l'autre bout de la salle, s'est soudainement accordé sur une vibration plus haute et a commencé à émettre des radiations plus élevées.
Lors d'une analyse de plus près, le mur intérieur de la Grande Galerie semblait synthétique mais aussi ressenti comme si quelque chose d'organique en faisait partie. Il avait la couleur de l'huile, mais ses reflets étaient verts et bleus.
Des essais plus tard ont révélé que le matériau du mur était un peu rude au toucher, mais qu'il ne pouvait pas être rayé ou tordu. Il a résisté à toute tentative de brisure, perçage ou coupage. Plus tard, les scientifiques ont essayé de brûler le matériel, mais d'une manière mystérieuse, les flammes étaient en quelque sorte absorbées par elle, la laissant intacte.
Les scientifiques américains ont convenu que le matériau était une combinaison mystérieuse de matière organique et inorganique. Après 280 mètres, la galerie tourna brusquement vers la droite à angle aigu. Plus loin, une lumière bleue, scintillante, pouvait être vue. La lumière bleue à l'extrémité de la galerie était le reflet de l'écran de protection d'énergie.


VII . Une base similaire en Irak

Le conseiller américain sur les questions de sécurité nationale a reçu un appel et il a été informé que le bouclier énergique de Bagdad, en Irak, s'était soudainement activé, et il était aussi raisonnant à une fréquence plus élevée. En face de l'écran de Bagdad, un hologramme de notre planète est apparu, qui a séquentiellement et progressivement représenté le continent européen, puis s'est déplacé vers le sud-est, puis il a montré les monts Bucegi de Roumanie et, finalement, il leur a montré l'emplacement du couloir à l'intérieur de la structure. Il était évident que les deux boucliers d'énergie hémisphériques étaient en connexion directe.
Fondamentalement, la base irakienne avait été informée de la présence de personnes à l'intérieur de la base roumaine.
Les mauvaises nouvelles, c'est que la présidence américaine a été avertie et a contacté la diplomatie roumaine. En quelques minutes, toute l'opération avait été divulguée, et le plan de Monsieur Massini tombé à l'eau.
La présidence américaine a exigé de prendre le contrôle de la base secrète et de toute l'opération. Les politiciens roumains, qui ne savaient rien de l'opération secrète ont paniqué.
Les généraux du Pentagone présents sur les lieux avaient été informés que Washington avait exigé une réunion d'urgence.


VIII . CSAT ( Conseil suprême de la Défense) Réunion d'urgence

Une session d'urgence du Conseil suprême de la Défense ( CSAT ) a créé une énorme vague de sympathie pour le Département Zéro. La plupart avaient été secoués par les nouvelles qu'ils avaient reçues. La décision du CSAT a été de poursuivre les recherches, mais sous le contrôle complet du Département Zéro. Ils avaient également exigé un inventaire de tout ce qu'on trouve dans la grande salle.
De Bucarest (la capitale de la Roumanie), les ordres venaient par vagues, s'annulant mutuellement. Certains étaient très véhéments et stricts, tandis que d'autres étaient insaisissables - dénotant l'énorme tension.
Les membres du CSAT étaient en session permanente, restant en contact avec l'équipe du mont Bucegi. Après avoir discuté de tout pendant des heures, ils avaient décidé de rendre publique la découverte. Le gouvernement roumain était pour faire une déclaration officielle dans le monde entier. Certains membres du CSAT se sont opposés avec véhémence à la décision.

IX . Déclaration officielle de la Roumanie

Quand la diplomatie américaine a été informée que la Roumanie allait révéler les découvertes, tout est tombé dans le chaos. Le président a été appelé à une conversation téléphonique directe avec la Maison Blanche. En quelques heures, l'américain a bloqué toutes les transactions financières avec la Roumanie et l'accès à toutes les autres institutions financières. La Roumanie était sur le point de déclarer « l'état d'urgence " dans les monts Bucegi et la capitale.
Les pourparlers d'urgence entre les responsables américains et le ministère roumain se sont produits à Bucarest sans un traducteur. Les responsables américains ont été verbalement violents, sans cesse criant et proférant des menaces à la Roumanie et à ses fonctionnaires.




La divulgation officielle de la Roumanie au monde aurait fourni des preuves photographiques mais rien d'autre d'essentiel pour une clarification complète. D'éminents scientifiques et chercheurs de tous les coins de la planète devaient être invités pour des études approfondies. Mais plus important encore, cela aurait révélé la vérité sur le passé lointain de l'humanité et de l'histoire réelle - qui, selon ce témoin Cezar à l'intérieur de la Grande Galerie, est presque entièrement faux.
La réaction du gouvernement américain a été très brutale parce que la divulgation aurait brisé leur influence dans le monde et son pouvoir, en un instant.
La raison officielle invoquée par les Etats-Unis, était de ne pas créer la panique dans le monde, mais ils avaient omis de reconnaître que l'état actuel de l'angoisse mondiale était une conséquence directe des tromperies délibérées et manipulations menées par la franc-maçonnerie et autres sociétés secrètes, depuis des millénaires.
Il y avait aussi une intervention du Vatican ( si vous vous demandez comment le Vatican a découvert cette découverte, alors vous devriez savoir qu'ils sont au sommet de la pyramide de contrôle du monde, et leur piété religieuse est simplement une façade , dans laquelle le Pape a appelé à la modération avant ce grand fondamental pas pour l'humanité !.

Le Pape a promis de rendre certains documents à la disposition de l'Etat roumain d'anciennes archives secrètes papales, qui étaient d'une grande importance pour la Roumanie. Les documents étaient derrière les découvertes ( oui, telle est la puissance d'un Pape ). Après 24 heures de négociations, un accord définitif a eu lieu entre la Roumanie et les Etats-Unis. L' État roumain allait reporter la divulgation, et peu à peu tout présenter au peuple.

X. La salle de projection




La Grande Galerie prend fin abruptement avec un auditorium géant, de 30 mètres de hauteur ( 98,5 pieds) et d'une longueur de 100 mètres ( 328 pieds). La salle de projection était de plus petite taille et elle a été protégée par un bouclier énergique. 
S'avançant vers le bouclier, une partie de celui-ci a disparu, sous la forme d'une porte permettant l'accès à l'intérieur. Le bouclier protège la chambre des influences extérieures. Une fois à l'intérieur de la chambre, le bouclier est devenu compact et ressemblait à un mur blanc - doré.
Fondamentalement, le bouclier formait cette salle en forme de dôme, avec des murs courbes et le plafond. Au fond de la salle, à une hauteur de environ 10-12 mètres ( 33-39,5 pieds), le bouclier finissait où il touchait le mur en pierre de la salle. 
Dans ce mur, il y avait trois énormes trous de tunnels : l'un situé en ligne droite, et les deux autres étaient symétriques des deux côtés. Ils étaient éclairés par une lumière diffuse d'une teinte verdâtre. Les deux parties ont décidé d'interdire l'accès à ces tunnels et un protocole a été signé entre eux.

XI . Des Tables pour des géants

Une série de tables énormes de pierre étaient disposées le long des parois à droite et gauche ( cinq de chaque côté ), suivant leur courbure. Les tables avaient environ 2 mètres de haut ( 6,6 pieds).
Les plateaux avaient une précision de découpe en reliefs, différents signes d'une écriture et des caractères qui ressemblaient à l'ancien cunéiforme.


L'écriture contenait également des symboles plus généraux, tels que des triangles et des cercles. Bien que les signes n'étaient pas peints, ils avaient une lumière fluorescente rayonnant dans différentes couleurs, différentes pour chaque table.
Sur certaines tables, il y avait différents objets qui semblaient être des outils techniques. Au nombre de ces outils, des fils translucides blancs descendant au plancher, et entrant à l'intérieur, des boîtes rectangulaires brillantes, comme argentées. Ces boîtes ont été installées directement sur le sol.
Lors d'une inspection plus minutieuse, les câbles étaient extrêmement souple et léger, et des impulsions de lumière pouvaient être vus circulant sur toute leur longueur.
Chaque fois que quelqu'un s'est approché des tables, une projection holographique s'est automatiquement activée, présentant les aspects d'un domaine scientifique particulier. Les images en trois dimensions étaient parfaites et a eu hauteur de près de deux mètres et demi ( 8,2 pi).
Les projections ont été automatisées et lancées d'elles-mêmes, mais en même temps, elles étaient interactives et modifiables en fonction des signes touchés à la surface de la table.


XII . Une belle découverte : Les Regroupements d'ADN holographiques entre les espèces extraterrestres

En raison de la grande hauteur des tables, les scientifiques ont utilisé des trépieds spéciaux pour grimper à une hauteur confortable. Lors d'une enquête plus approfondie, ils ont observé un matériau vitreux sombre couvrant les plateaux de table. Le matériau était divisé en plusieurs grands carrés, délimités par des lignes droites, qui formaient une sorte de grille.
L'un des tableaux contenaient des informations du domaine de la biologie, et il projettait des images de plantes et d'animaux, dont certains étaient complètement inconnus des scientifiques. Après avoir touché l'un des carrés, un hologramme présentant la structure du corps humain a été activé. L'hologramme a été constamment en rotation, mettant en évidence diverses parties du corps humain.
En touchant d'autres endroits activait les projections holographiques d'êtres extraterrestres, d'autres systèmes planétaires. En touchant simultanément deux places différentes, une analyse scientifique complexe a été projetée, montrant l'ADN des deux espèces, et les possibilités de compatibilité entre les elles.



Sur les côtés, dans des lignes verticales, il y avait des explications écrites dans le même alphabet extraterrestret. A la fin de la simulation, un croisement entre les deux espèces a été affiché.

XIII. De véritables géants

A en juger par la taille de tous les objets dans la salle de projection, les créateurs de l'édifice étaient probablement des êtres très grands.
Une confirmation de squelettes de géants humanoïdes trouvés en Roumanie se trouve dans un journal appelé " The Newspaper ".
« L'équipe du journal est accompagnée par le chercheur Vasile Rudan, qui a noté que les gens du village de Bozioru ont des preuves concrètes : un cimetière avec des squelettes de géants. Il a été découvert par hasard il y a 20 ans, lorsque les autorités ont décidé de planter des pommiers dans le village de Scaieni. En creusant sur une colline, les villageois ont découvert d'énormes squelettes, mesurant plus de 2,40 m (7 pi 10 po ).

Dragoi Ilie, l'un de ceux qui ont travaillé dans le verger, nous emmène à l'endroit. Monsieur Ilie nous montre les alentours du verger : « Partout se trouvent les tombes des géants. Nous faisions des trous pour des plantations de plantes quand nous avons découvert une tête humaine grosse comme une citrouille. Aucun de nous n'avait jamais rien vu de pareil. Nous étions tous surpris. en creusant plus loin, nous avons trouvé quelques os des pieds, gros comme des piquets de vigne. L'un des morts a dû être très grand. "


XIV . La Bibliothèque de l' Univers

La salle de projection contient des informations détaillées sur des domaines tels que : la physique, la cosmologie, l'astronomie, l'architecture, la technologie, la biologie, la génétique, et même la religion. Parce qu'elle contenait tellement d'informations, la salle a été comparée à une bibliothèque.
Au milieu de la salle, il y avait une zone comme un podium qui contenait un appareil intéressant. Les scientifiques ont émis l'hypothèse que cela aurait pu être un dispositif pour améliorer diverses fonctions cérébrales.

XV . Le panneau de contrôle de la Roumanie

A côté de cela il y avait un panneau de contrôle, recouvert de plusieurs symboles géométriques, dans des couleurs différentes. Il y avait aussi deux leviers coulissant et un bouton rouge, au centre de l'écran, au-dessus de toutes les autres commandes. Une simulation holographique a expliqué le but du bouton. Elle a montré une image de la chaîne des Carpates vue de 25 km ( 15,5 miles ) au dessus d'eux et ensuite, une énorme quantité d'eau a inondé les basses terres et les plaines.


Ensuite, à partir des territoires de la Roumanie,de la Hongrie et de l'Ukraine, plus de flux d'eau apparaissent, se dirigeant vers le plateau de Transylvanie, sous la forme d'énormes rivières. L' image s'est focalisée sur le territoire de la Roumanie et a montré toute sa surface couverte par les eaux d'une grande mer. Quelques-uns des plus hauts sommets des montagnes pouvaient maintenant être considérés comme de petites îles flottantes.
Ensuite, les eaux ont commencé à se retirer, dès que les vidanges se trouvant sur le panneau ont été activées, laissant engloutie seulement une petite zone près de la montagne Retezat Godeanu. Un véritable manuel.

XVI . Une Mystérieuse Amphore

Derrière le panneau de contrôle il y avait un socle carré, d'environ trois mètres (9 feet 10 inchs) de chaque côté, sur lequel une amphore mystérieuse reposait. Monsieur Massini a eu connaissance de son existence et, pour lui et son élite maçonnique, ce fut la découverte la plus importante.
L'amphore contenait une poudre blanche très fine. Les chercheurs ont été consternés de constater que la poudre était une formule monoatomique de haute pureté de l'or, avec une structure cristalline inconnue.
La poudre d'or dans sa forme pure stimule grandement certaines ondes et d'échanges d'énergies au niveau cellulaire et nerveux. Cela provoque une accélération du processus de rajeunissement. Théoriquement, un homme peut vivre dans le même corps physique pendant plusieurs milliers d'années, à condition qu'il consomme de temps en temps, une quantité bien définie de poudre d'or monoatomique. C'est ce qui explique de nombreux aspects déroutants sur la longévité incroyable de certains personnages importants et découvre une partie des intentions cachées de l'élite mondiale.



XVII. La vraie histoire de notre planète

Derrière l'amphore, au milieu de la place, il y avait une immense coupole qui projette des hologrammes. Elle présentait les principaux aspects du passé le plus lointain de l'humanité, depuis ses débuts. Cezar a expliqué que selon les images projetées par l'hologramme, environ 90% de l'histoire officielle de l'humanité est fausse et contrefaite. La théorie évolutionniste de Darwin est également incorrecte. La véritable origine de l'homme est représentée sous une forme condensée holographique. Incroyable, mais ce qui est maintenant considéré comme s'étant réellement passé dans notre histoire, n'a jamais existé, alors que les soi-disant «mythes» et «légendes» sont presque entièrement vraies.
En outre, la plupart des théories archéologiques sont fausses. Par exemple, les dinosaures ne se sont pas éteints il y a 65 millions d'années, et les vieux continents de la Lémurie et de l'Atlantide ont existé. Cette étrange inversion a causé beaucoup de problèmes et de conflits entre les gens de notre passé. Pour une datation exacte des événements présentés, une carte du ciel correspondant à cette période a été projetée sur le fond.




Bien que la période de temps couverte par les projections était très grande (plusieurs centaines de milliers d'années), le cycle de la procession de la Terre est de 25920 années, en observant le nombre des "années platoniciennes " (le cycle de 25,920 ans), la datation exacte de l'événement était possible. Les monts Bucegi ont 50-55000 ans.

XVIII. Surprenantes révélations

Cezar a vu ce qu'il s'est passé pendant la dite grande inondation et d'où la civilisation humaine est originaire, mais il a décidé de ne pas révéler cela, que les révélations sont trop choquantes pour la mentalité, les idées et les connaissances de l'homme contemporain.
Personnellement, je pense que les gens comme lui sont également responsables de l'état actuel de la méconnaissance et de la latence de l'espèce humaine . Nous avons menti et manipulé pendant des millénaires, et dès que nous sommes proches de la vérité, quelqu'un décide que nous ne sommes pas encore prêts à l'entendre. Il s'agit d'une approche arrogante et égoïste ! Les gens sont aussi prêts aujourd'hui qu'ils ne le seront jamais, et plus tôt les vérités seront libérées, mieux c'est. Avoir plus de pièces du puzzle à faire accepter rendra la vérité plus facile et, plus important encore, pourront les convaincre de prendre des mesures contre les manipulateurs et les esclavagistes.


Dans un affichage troublant d'images, l'existence de Jésus et sa crucifixion a également été présenté. Les projections ont révélé que beaucoup de ceux qui ont été témoins de la crucifixion sont venus d'autres périodes historiques.
Ils portaient le même genre de vêtements que le reste de la population, mais leurs caractéristiques faciales étaient différentes, aussi ils couvraient constamment leurs visages.
L'hologramme a également présenté des fragments de la vie spirituelle des autres personnages exceptionnels du passé lointain de l'humanité, y compris des personnes que nous ne connaissons pas. En ces temps, la répartition sociale de la population était complètement différente de ce qui est connu aujourd'hui, de sorte que les archéologues et les anthropologues devraient revoir leurs théories à partir de zéro.

XIX. Les trois tunnels mystérieux

Les tunnels découverts ont des milliers de miles de longueur et conduisent à trois domaines différents de la planète. Celui de gauche relie la base roumaine à une base souterraine encore à découvrir quelque part en Egypte (qui a certainement été découverte et explorée maintenant).
Le tunnel de droite conduit à une structure similaire mais plus petite, dans le " plateau tibétain " . Ce tunnel avait trois ramifications secondaires. Un conduit à une zone souterraine près de la ville roumaine de Buzaru (près de la " Carpates Bend »). Un autre a conduit à la base irakienne déjà mentionnée, alors que la ramification fini a une base souterraine dans le « désert de Gobi », en Mongolie.

                                                                    Buzaru

XX. Le troisième tunnel - un monde secret

Le tunnel du milieu était le plus important à la fois pour Monsieur Massini et le gouvernement américain, qui a fortement demandé qu'il soit tenu secret du public. Ce tunnel descendant à des profondeurs extrêmes vers un monde souterrain véritable, situé près du centre de notre planète.
Ceux d'entre vous qui ne connaissent pas la théorie de la terre creuse, veuillez noter qu'il y a des personnages importants qui soutiennent la théorie que toutes les planètes sont probablement creuses à l'intérieur, et apportent des arguments scientifiques intéressants pour appuyer leurs revendications. Aussi, il y a des histoires très belles et intéressantes sur des gens qui se seraient rendus en ce monde. Le royaume est communément appelé Agartha, et le troisième tunnel conduit probablement directement à lui. Il est logique que l'élite de l'ombre n'était pas intéressée de faire connaître la découverte au peuple.

D'intenses préparatifs ont commencé pour les expéditions à l'intérieur des 3 tunnels, comme suit : le premier en Egypte, le second au Tibet, et le troisième vers le centre de la Terre.




(Résumé des événements tirés du livre : " Viitor cu cap de mort" , par " Radu Cinamar " - le nom de plume d'un écrivain caché, qui, à mon avis, n'est autre que l'ex-général Emil Strainu. Je fonde ma déclaration sur le style d'écriture très similaire et le fait que l'auteur a eu un accès direct à cette base secrète ancienne ci-dessus - quelque chose qui ne pouvait pas se passer si la personne était pas un initié.)

jeudi 27 octobre 2016

Le Mystère des Pirates : Trésors, Barbe Noire, La Buse !

 Le Mystère des Pirates : Trésors, Barbe Noire, La  Buse 


La piraterie existait déjà dans l'Antiquité. Toutes les civilisations anciennes ayant possédé une marine l'ont connue, la mer étant considérée comme un espace libre où règne la « loi du plus fort ».
Nous allons voir ensemble trois histoires de grands pirates et découvrir leur vie ainsi que leur façon de procéder.
Pour notre première histoire, nous allons suivre la vie de pirate de Barbe Noire (Edward Teach), le plus terrifiant des pirates, le " diable des mers". Il serait né en 1680 à Bristol en Angleterre. Sa carrière maritime commence sur un navire corsaire patrouillant, les eaux proches de la Jamaïque pendant la guerre de Succession d'Espagne.

Barbe Noire se forge une solide réputation de pirate téméraire et cruel en attaquant régulièrement les installations navales et côtières des Antilles et de la côte atlantique de l'Amérique du Nord. Si l'équipage n'offre pas de résistance, il laisse le navire repartir et continuer sa route. Dans le cas contraire, tous les résistants sont tués.





Barbe Noire avait l'habitude de porter, au combat ou non, plusieurs épées, couteaux ainsi que six pistolets et d'allumer des mèches de poudre à canon dans son abondante barbe noire, ce qui lui valut son surnom. Le 28 novembre 1717, il capture La Concorde, un navire Français en provenance de Nantes et transportant des esclaves.

La Concorde est une frégate de 300 tonnes armée de 40 canons, qui avait sillonné les côtes africaines et capturé de nombreux navires.
Barbe Noire lui donne le nom de Queen Anne's Revenge (La Vengeance de la Reine Anne) après l'avoir conquis aux Français. 
Barbe Noire est arrêté par le HMS Pearl dirigé par Robert Maynard, au large des côtes d'Ocracoke. Il reçoit plus de 25 blessures dont cinq par balles au cours d'une lutte avant de mourir et d'être décapité par Maynard.

Une légende raconte que son corps, après avoir été jeté à la mer, aurait fait deux fois le tour du bateau à la nage avant de couler. Barbe Noire est devenu une légende.


C'est précisément de ce bateau (La Vengeance de la Reine Anne), anciennement « la Concorde » que des explorateurs ont retrouvés la trace et ils ont mis des mois pour le localiser.

David Moor, éminent archéologue, s'est intéressé à la vie de Barbe Noire à ses puissants navires. Il à découvert dans les archives d'une université de Caroline du Nord, les comptes rendus d'un procès d'un pirate qui avait navigué avec et sous les ordres de Barbe Noire pendant un an. Il y trouva des données géographiques qui correspondaient à un lieu tout près. Mais cette carte est-elle encore fiable ? Grâce à des outils de détection moderne, une masse sombre est localisée dans les fonds marins du Cap Hatteras. 

Cet endroit est appelé « le cimetière de l'atlantique » tant de navires s'y sont échoués. 

Les plongeurs trouvent une épave datant du 18ème siècle. Pendant des mois, ils remonteront des prises et chercherons des preuves. Les vestiges découverts sont d'une importance capitale pour retrouver l'origine de ce navire.


Peut-être s'agit-il de la concorde ?

Il est possible que Barbe Noire ait volontairement échoué son navire afin de se séparer d'une partie de son équipage. Mais quelques-uns semblent penser le contraire, il s'agirait d'un accident et pas non pas d'un abandon.  Barbe Noire n'aurait jamais abandonné cette formidable machine de guerre, comme ça, sur le sable. D'autres encore pensent qu'il aurait simulé un accident pour mieux profiter de son énorme butin.



Après 12 ans de recherches, juste la partie sud de l'épave a été fouillée, il y a encore énormément de travail. Encore tellement de choses à découvrir.

Passons maintenant à notre deuxième histoire de pirates

L'action se déroule au milieu de l'Océan Indien, quelques années avant le « règne » de Barbe Noire. Nous sommes sur l'île rouge, l'île de Madagascar et c'est dans la baie de Diégo-Suarez que s'est déroulée l'un des épisodes les plus mystérieux de la piraterie. Libertalia est le nom d'une colonie fondée par des pirates sur l'île de Madagascar, qui aurait existé pendant environ vingt-cinq ans à la fin du XVIIe siècle. 

Libertalia fut fondée par deux hommes un Français, capitaine de La Victoire, redoutable navire de guerre de 30 canons, ex-officier de la marine française, mais pirate de son état, Olivier Misson et un prêtre italien, Carracioli.  À eux deux, après avoir jeté l'ancre, ils convainquirent l'équipage de fonder la société idéale, ils auraient voulu faire de cette colonie une société ans esclavage, où tous les hommes sont égaux et où l'opinion de chacun est respectée. 


Leur emblème était le drapeau blanc et voici leur serment « Pour Dieu et la Liberté, tous frères et tous égaux ». Avec l'aide de 300 hommes fourni par la Reine d'Anjouan, Misson et Caraccioli construisent, au fond de la baie des Français une ville qui va accueillir non seulement les pirates, mais tous ceux qui voudront se joindre à eux : équipages des bateaux arraisonnés, esclaves libérés, voyageurs capturés qui adhéreront aux principes de la nouvelle République. 

La ville est baptisée Libertalia, ses habitants se donnant le nom de 'liberi'. Libertalia fut attaquée une nuit par deux bandes armées : Caraccioli fut massacré avec la plupart des habitants, Misson put s'échapper, mais trouva la mort dans un naufrage et la colonie fut détruite. Il y a quelques années, sur l'ile de Sainte Marie, un navire de pirate anglais a été retrouvé, il s'agit du « Adventure galet ». 

À quelques pas du lieu de fouille on découvre aussi un cimetière aux tombes en corail. Tout cela peut nous certifier de la venue des pirates sur l'ile et de la création de la colonie Libertalia. La vie des pirates est une source de fantasmes intarissables. On compte par dizaine les histoires de trésors enfouie. Dans cette quête, certain sont prêts à prendre des risques, quitte à devenir fou.


Et maintenant notre troisième histoire


En 1730, Olivier Levasseur (« La Buse »), pirate Français qui écumait l'Océan Indien, aurait laissé avant de mourir un manuscrit parsemé de signes ésotérique, un genre de carte au trésor.




Le 8 avril 1720 La Buse arrive en rade de Saint-Denis où il découvre un navire en réparation, « Notre Dame du Cap », navire de 800 tonneaux et de 72 canons, qui venait d'essuyer une tempête.  Le vaisseau transportait Luís Carlos Inácio Xavier de Meneses, vice-roi des Indes orientales portugaises et l'archevêque de Goa. Il le prend à l'abordage et après un dur combat s'en rend maîtres. À l'intérieur se trouvait un trésor inestimable : des rivières de diamants, des bijoux, des perles, des barres d'or et d'argent, des meubles, du tissu, des vases sacrés et des cassettes de pierres précieuses.



Sur sa route il s'empare du « Ville d'Ostende ». Il met ensuite le cap vers l'Île Sainte-Marie à proximité de Madagascar. Il prend aussi « La Duchesse de Noailles ». La Buse décide ensuite de s'installer à Madagascar. Vers 1729, il monte à bord de « La Méduse ». Le capitaine Dhermitte, négrier notoire, commandant de bord, le reconnait et le fait prisonnier. Il est conduit à l'île Bourbon pour y être jugé et il est condamné à être pendu, il est exécuté le 7 juillet 1730. 

La légende raconte que lorsqu'il était sur l'échafaud la corde au cou, il aurait jeté un cryptogramme dans la foule en s'écriant : « Mon trésor à qui saura comprendre ! » et « Avec ce que j'ai caché ici, je pourrais acheter toute l'île ».


Le manuscrit de La Buse ne sera jamais entièrement déchiffré, car beaucoup trop complexe, mais des chercheurs partent à la recherche du trésor. Plusieurs hypothèses quant au lieu où se trouve le trésor de La Buse sont émises : on le croit à la Réunion, aux Seychelles, à Rodrigues, à Madagascar, à Mayotte, à l'île Sainte-Marie. Un groupe d'amis a récemment trouvé un nouveau sens au cryptogramme. Ils n'ont pas regardé le cryptogramme visuellement, mais ils l'ont lu comme une carte, ce qui les a emmenés à un endroit précis ou des fouilles vont être organisées très prochainement.


                                              
Tombe de La Buse à Saint-Paul de La Réunion

Le Mystère Lee Harvey Oswald !

               Le Mystère Lee Harvey Oswald              


Dans l’article, les témoins et les preuves sont entre [crochets]. Beaucoup d’éléments largement publiés de la vie d’Oswald ne sont pas traités dans cet article, seuls sont exposés les éléments les moins connus.
De plus, comme je ne prétends pas détenir une quelconque vérité, je vous invite à utiliser la bibliographie afin de vous faire votre propre jugement, qui sera peut-être très différent du mien !
“Nous n’avons pas dit la vérité sur Oswald”
Sénateur Richard Russel, membre de la commission Warren, 1970.
“Et le pire, c’est qu’ils vont tout rejeter sur le dos de ce gamin de vingt-quatre ans”
Ralph Dungan, assistant spécial du président Kennedy, 22 novembre 1963.
“Je ne suis qu’un pigeon !”
Lee Harvey Oswald, 23 novembre 1963.

Pour l’histoire officielle, Lee Harvey Oswald reste l’unique assassin du président John Fitzgerald Kennedy le 22 novembre 1963 à Dallas. Le rapport final de la commission d’enquête Warren sur l’assassinat de Kennedy nous dépeint un Oswald solitaire et désaxé.

Ses conclusions, qui ne font que reprendre le rapport d’enquête du directeur du FBI Edgar Hoover, présentent un Oswald pro- communiste qui aurait assassiné Kennedy à cause de sa politique envers Cuba.
Or, lorsqu’on enquête sur la courte vie d’Oswald, on découvre un homme menant une double vie.
D’un côté un personnage médiocre et instable, vivant de petits boulots. De l’autre, un agent secret accomplissant des missions d’espionnage majeures pour la CIA (Central Intelligence Agency), l’ONI (Office of Naval Intelligence) et le FBI (Federal Bureau of Investigation).
La jeunesse d’Oswald
Le 18 octobre 1939, Marguerite Claverie Oswald met au monde Lee Harvey Oswald à la Nouvelle-Orléans, deux mois après la mort de son mari. Oswald a deux frères plus âgés que lui. Son demi-frère, John Pic, est né d’un précédent mariage.
L’autre, Robert Oswald, est de cinq ans son aîné. Oswald vit à Fort Worth, au Texas, de 1947 à 1952. En août 1952, la famille Oswald rejoint John Pic, en garnison dans les gardes-côtes à New York.
Oswald, alors âgé de treize ans, fréquente durant dix-huit mois une école située à quelques mètres de son domicile de Manhattan, où il suivra une scolarité catastrophique avec de nombreuses absences [son demi-frère et son livret scolaire].
Or, la commission Warren ne mentionne pour cette même période qu’un Lee Oswald, physiquement ressemblant à Lee Harvey Oswald, et inscrit à la Trinity Evangelical School dans le Bronx, c’est-à-dire à des kilomètres du domicile de la famille Oswald.
À son arrivée à New York en 1952, Oswald subit un examen médical chez le docteur Kurian. Son rapport médical décrit un enfant mal nourri, d’une taille de 1 m 37, trop petite pour son âge.
Lors d’une nouvelle visite médicale, effectuée cinq mois plus tard chez un autre médecin, Oswald a une taille de 1 m 62 !

De plus des photos scolaires d’Oswald, prises à Fort Worth quelques mois plus tôt, ainsi que le témoignage de son ami d’enfance texan Richard Garret, confirment qu’Oswald était à l’époque un enfant plutôt grand pour son âge et le mieux développé physiquement de sa classe.
Le chercheur texan Jack White a fait une recherche photographique extrêmement sérieuse visant à établir l’existence de deux Oswald. Il a démontré que les mensurations du corps et du visage d’Oswald variaient de façon importante selon les photos et ne pouvaient appartenir à la même personne.
Un autre chercheur américain, John Armstrong, a publié sous le titre de « Harvey and Lee » une enquête historique minutieuse qui fait l’unanimité des chercheurs et des historiens les plus exigeants pour le sérieux et l’exactitude des preuves qu’il avance.
Armstrong établi qu’il existait au début des années 50 un programme de la CIA visant à créer, dès leur enfance ou leur adolescence, de futurs agents secrets portant la même identité ou deux identités proches.
Les deux futurs agents devaient se ressembler physiquement, ne pas se connaître et grandir dans des lieux différents avec des formations et des vies différentes. Armstrong a aussi découvert que cette opération impliquait deux adolescents.
Le premier, Harvey Oswald, est originaire de la Nouvelle-Orléans. Le second, Lee Oswald, est originaire de New-York et parle le russe couramment dès son enfance.
La finalité de ce programme étant d’intervertir leurs identités à l’âge adulte et d’envoyer Harvey Oswald en mission d’espionnage en Russie sept ans plus tard, en 1959.
En 1953, alors que Lee Oswald fréquente toujours son école à Manhattan, Harvey Oswald fréquente une école de Stanley dans le Dakota du Nord, ce dont se souviennent parfaitement les instituteurs et les élèves de sa classe.
Amstrong publie une multitude de preuves établissant que plus tard Lee Oswald fréquente une école, alors qu’au même moment Harvey Oswald est inscrit dans d’autres établissements.
La famille Oswald rejoint la Nouvelle-Orléans en janvier 1954. A quinze ans, Oswald s’engage dans une milice de préparation paramilitaire de la Nouvelle Orléans, la Civil Air Patrol (CAP).

Son instructeur est David Ferrie, agent de la CIA et futur membre de l’équipe camouflage, chargé d’évacuer par avion les tireurs après l’assassinat de Kennedy.
Oswald rejoint le corps des Marines le 24 octobre 1956 et fait ses classes à San Diego en Californie. ll est officiellement recruté par la CIA et l’ONI en 1957 [James Wilcott , A.J. Weberman]. Le 3 mai 1957, il obtient une autorisation (clearance) d’accès aux secrets de niveau « confidentiel ».
Son dossier CIA est référencé « Lee Henry Oswald 201 », la classification 201 signifiant qu’il est un agent contractuel et officiel [Victor Marchetti]. Il est ensuite envoyé comme radariste sur la base d’Atsugi au Japon.
Atsugi est une des deux bases d’où décollent les avions espions U2 survolant l’URSS. Elle abrite aussi le centre de la CIA en charge de toute l’Asie, le Joint Tactical Advisory Group.

A la connaissance de l’auteur, la première mission d’espionnage de Lee a lieu début septembre 1958 au bar le plus cher de Tokyo , le Queen Bee, réservé aux officiers et pilotes d’avions espions d’Atsugi.
Oswald y aura des relations sexuelles répétées avec une entraîneuse du bar, espionne du KGB, pour lui livrer de faux renseignements sur les activités ultra secrètes de la base. Cela lui vaudra une infection de l’urètre par gonorrhée [son dossier médical militaire].
A Atsugi, Lee côtoie deux autres agents de la CIA, sous les ordres du même officier traitant que lui [David Bucknell, Marck Lane]. Le premier, Gerry Patrick Hemming, crée le groupe paramilitaire d’extrême droite Interpen et commandera par radio les équipes camouflage protégeant les tireurs durant l’assassinat de Kennedy à Dallas.

Le second, Roscoe White, est un tueur de la CIA et un tireur d’élite de très haut niveau. Roscoe White est un des deux tireurs qui feront exploser la tête de Kennedy à Dallas.
Fait troublant, Roscoe White est physiquement un sosie presque parfait d’Oswald. L’auteur ne pense pas pour autant que White soit le Harvey « jumeau » de Lee découvert par Amstrong.
Oswald poursuit son service militaire sur la base d’El Toro en Californie, jusqu’en septembre 1959. Durant tout l’été 1959, la CIA et l’ONI envoient Oswald étudier le russe à la Monterey School of the Army (MSA) , rebaptisée depuis Defense Language.

Cette école militaire offre un apprentissage rapide des langues étrangères aux militaires et aux agents secrets. Oswald quitte brutalement l’armée le 11 septembre 1959, prétextant la santé déficiente de sa mère.
Mission spéciale en URSS
La CIA envoie Oswald en URSS dans le cadre d’un programme ultra-secret d’infiltration, impliquant une trentaine de jeunes américains pauvres et défavorisés [Victor Marchetti, Otto Otepka].
Onze d’entre-eux, membres de différentes agences (CIA, ONI, NSA), demandent l’immigration dans différents pays de l’est au prétexte qu’ils seraient devenus communistes par dégoût de l’Amérique. Ils ont pour mission de se faire recruter comme agent double ou agent du KGB.
Tous sont rentrés aux USA au bout de quelques années. Ce programme est créé et géré depuis la base CIA ultra secrète de Nag’s Head en Caroline du Nord. Oswald embarque à la Nouvelle-Orléans, sur le Marion Lykes, en direction du Havre où il débarque le 8 octobre 1959.

Il rejoint ensuite la Russie via Helsinki, le 16 octobre. Les Russes lui refusant un permis de séjour, Oswald se tranche les veines des deux poignets dans sa chambre d’hôtel de Moscou le 21 octobre 1959.
Il disparaît ensuite pendant un mois le 1er novembre 1959, quatre jours après sa sortie d’hôpital. A sa réapparition, Oswald n’a aucune cicatrice aux poignets, pourquoi ? Est-ce bien le même homme ?
En janvier 1960, le « transfuge » Oswald obtient un permis de séjour, un appartement cossu et un travail dans une usine d’électronique à Minsk.

En réalité Oswald fréquente l’Institut des langues étrangères de Minsk qui n’est qu’une couverture pour une des principales école d’espionnage du KGB. Le 17 mars 1961, Oswald rencontre Marina Nikolaevna Prusakova dans un bal ouvrier.
Ils se fiancent le 15 et se marient le 30 avril, ils auront une fille en février 1962. Marina est la nièce du colonel du KGB Ilya Vasilyevich Prusakov, lui-même un des directeurs de l’Institut des langues étrangères de Minsk…
Oswald rentre avec Marina aux USA le 13 juin 1962. Malgré sa soit-disante « trahison », Oswald ne sera jamais inquiété par les autorités et sa femme Marina obtient immédiatement un permis de séjour.

Le couple est pris en charge par Spas Raikin, officiellement un responsable de l’association Traveler’s Aid Society. En réalité Raikin travaille pour le FBI et la CIA.
Il est aussi secrétaire général du groupe fasciste, contrôlé par la CIA, American Friends of the Anti-Bolshevik Bloc of Nations proche des groupes anticastristes de la Nouvelle-Orléans.
En accord avec l’ONI et la CIA, Oswald est embauché comme informateur par le FBI avec un salaire mensuel de deux cent dollars [J. Lee Rankin, Will Hayden Griffin, William Walter, Waggonner Carr], en septembre 1962.
Ses contacts au FBI sont les agents fédéraux James Hosty et Warren de Brueys, son dossier FBI étant référencé S-179.
La famille Oswald s’installe à Dallas au Texas, début octobre 1962, où Oswald se lie d’amitié avec deux membres importants de la communauté russe blanche de Dallas.
Le premier, Paul Raigorodsky, est le président de la communauté russe de Dallas et fera partie du groupe réflexion qui « pensera » l’assassinat de Kennedy. Le second, Georges de Mohrenschildt, est un expert géomètre, ancien espion nazi et informateur occasionnel de la CIA.


Oswald obtient un poste de technicien photo au laboratoire Jaggars-Chiles- Stowall, Inc., spécialisé dans le traitement des photos de reconnaissance aérienne de l’armée ainsi que dans la réalisation de microfilms ou micro-points pour les services de renseignements [Dennis Oftein].
Le 12 mars, Oswald commande un fusil Carcano à la société Klein’s Sporting Goods de Chicago. Cette société est impliquée dans un trafic mafieux d’armes entre le Canada et les États-Unis.

C’est donc en mission pour le FBI qu’Oswald effectue cette commande, afin de comparer le numéro de série de son arme à ceux d’un stock saisi par le FBI. Il quitte son emploi le 6 avril 1963 et s’installe à la Nouvelle- Orléans le 24 avril, à la demande de David Ferrie.
Sa femme Marina et sa fille s’installent au domicile d’une amie, Ruth Payne, à Irving dans la banlieue de Dallas. Le sergent Robert Hiddel, officiellement militaire, en réalité agent traitant de la CIA, fait entrer Oswald à la William B. Reilly Coffee Company.
Tout en touchant son salaire, Oswald n’y mettra jamais les pieds. Il est à noter que le nom de Hiddel sera utilisé à plusieurs reprises par Richard Case Nagell, membre du groupe réflexion préparant l’assassinat de Kennedy, agent de la CIA et probablement agent double du KGB.
Richard Case Nagell avait fait la connaissance d’Oswald à la base d’Atsugi. De plus, Oswald possède de faux papiers au nom d’Alec Hidell. La William B. Reilly Coffee Company n’est qu’une société couverture de la CIA.
Reily, le patron de cette entreprise, finance le groupe d’extrême droite Crusade of Free Cuba Committee dépendant du Cuban Revolutionnary Council créé par la CIA.

Le Crusade of Free Cuba Committee est dirigé par Guy Bannister, ancien agent du FBI travaillant pour l’ONI et la CIA, fondateur de l’association anticastriste Friends of Democratic Cuba (FDC).
Oswald ouvre un bureau du Fair Play for Cuba Committee, association procastriste proche du parti communiste américain, dans un local situé en bas de l’immeuble abritant les bureaux de Guy Bannister et prêté par celui-ci.
Oswald en est le seul membre avec comme président un certain Alek Hiddel ! Sa mission consiste à infiltrer et identifier les éléments procastristes de la Nouvelle-Orléans.
Le 10 août 1963, Oswald est arrêté après une distribution de tracts pro communistes qui a dégénéré en bagarre. L’agent du FBI John Quigley vient immédiatement le faire libérer de prison.
Oswald rencontrera même ses agresseurs anti castristes, un peu plus tard, dans un débat télévisé. Il s’entraîne à cette époque dans le camp paramilitaire anti castriste de Lake Ponchartrain, financé par la CIA et dirigé par l’officier de la CIA John Sturgis qui commandera par radio les assassins de Kennedy à Dallas.

C’est dans ce camp que seront recrutés tous les hommes qui participeront à l’attentat de Dallas. C’est aussi durant cet été qu’il rencontre à plusieurs reprises, l’officier de la CIA et président de la chambre de commerce de la Nouvelle-Orléans, Clay Shaw.
Clay Shaw est l’homme qui dirige et organise l’ensemble de l’opération d’assassinat de Kennedy.
Oswald quitte la Nouvelle-Orléans pour Dallas à la fin du mois d’août 1963. À partir de ce moment là, Oswald reçoit ses ordres directement de l’officier supérieur de la CIA David Atlee Phillips, qu’il rencontre à plusieurs reprises.
David Atlee Phillips, pseudonyme Maurice Bishop, est l’ancien responsable des opérations cubaines de la CIA et le directeur de l’antenne de la CIA à Mexico.

C’est lui qui organise toutes les fausses apparitions d’un sosie d’Oswald, en l’occurrence Roscoe White, qui fera passer Oswald pour l’assassin de Kennedy. 
Dans l’une de ses provocations, Roscoe White, se faisant passer pour Oswald, dit en tirant sur une cible dans un stand de tir qu’il est en train de tirer sur Kennedy.
De même, Phillips ordonne le 27 septembre à Oswald de faire une demande de visa pour Cuba à l’ambassade américaine de Mexico, afin de mieux le compromettre plus tard.
Phillips fabrique aussi de fausses lettres envoyées de Cuba et adressées à Oswald. C’est aussi durant ce séjour au Mexique qu’Oswald va s’entraîner avec les futurs tueurs de Kennedy dans le ranch mexicain du milliardaire Hunt, l’un des principaux commanditaires de l’assassinat de Kennedy.
Le 7 octobre, Oswald loue une chambre meublée à Mary Bledsoe au 621 North Marsalis à Dallas. Le 10 octobre, à 23 h 30, Oswald a une violente altercation avec Jack Ruby dans son meublé dont il brise le mobilier [policiers White et Hargis].
Jack Ruby est un petit chef mafieux propriétaire d’un club de striptease de Dallas. Il assure le support logistique des tueurs de Kennedy et participe au groupe camouflage chargé d’effacer les preuves après l’attentat.



Expulsé de son meublé le 11 octobre, Oswald loue une chambre le 14 octobre à Earlene Roberts, dans le même quartier sur North Beckley, sous le pseudonyme d’0. H. Lee.
Le 15 octobre, Oswald est engagé comme magasinier au School Book Dépository (dépôt de livres scolaires) qui appartient au milliardaire D. H. Byrd, lui même un des décideurs du complot contre Kennedy.
Le 20 octobre, Marina donne naissance à une fille. En fin d’après-midi, le 21 novembre 1963, Oswald installe l’équipe action numéro deux au septième étage du School Book Dépository.
Elle passera la nuit là en attendant l’attentat du lendemain. Cette équipe comprend le tireur Eladio Del Vallee, l’observateur Hermino Diaz Garcia et le coordinateur de tir Malcolm E. Wallace.

Il s’agit d’une des quatre équipes qui tireront sur Kennedy. Oswald se rend ensuite à Irving voir une dernière fois sa femme et ses enfants, car il sait qu’il devra quitter le pays après l’attentat.
Il dépose dans la chambre de Marina son portefeuille, contenant 187 dollars, et son alliance. Dans le garage, il laisse sa carabine Carcano 6,5mm et son appareil photo espion Minox (numéro de série spéciale CIA, 27259) [Kurt Lohn].
22 novembre 1963: le coup d’état
A 7h20, Oswald monte dans la voiture de son collègue de travail Wesley Frazier, qui le véhicule tous les jours au Dépository. A 12h, ses collègues ayant déserté le sixième étage pour aller déjeuner, Oswald fait descendre l’équipe action du septième étage au sixième pour se préparer au tir.
Il rejoint ensuite le premier étage et bloque les ascenseurs, laissant l’escalier Est comme seul accès aux étages. Il s’installe ensuite dans la salle de repos du premier, ce qui lui permet de filtrer l’accès aux étages.
A 12h32, deux minutes après l’assassinat de Kennedy, le policier Marrion Baker et le directeur du Depository, Roy Truly, rencontrent Oswald sirotant un coca dans la salle de repos.
A 12h40, Jack Ruby remet un revolver à Oswald à la sortie du Depository [Evelyn Harris, lucy Lopez]. Oswald monte à 12h43 dans un Ford Nash Rambler blanc conduit par un cubain [Roger Craig, Phil Willis].
Oswald rejoint son meublé à 13h et le quitte à 13h04, après s’être changé. L’agent J. D. Tipitt, accompagné de Roscoe White, klaxonne deux fois avec sa voiture de patrouille, devant la chambre d’Oswald, à 13h02.
Tipitt se rend à 1500 mètres de là, sur tenth Street, où on lui a dit d’attendre Oswald [Ricky White]. Il est abattu par White, et Ruby qui l’a rejoint avec une Ford Falcon rouge (immatriculée « Texas PP 4537 »).
La carte d’identité d’Oswald est abandonnée à côté du corps, afin que la police tue Oswald plus tard pour venger leur collègue.
Oswald se rend au cinéma Texas theater, où il doit attendre Tipitt, censé l’amener à l’aéroport de Redbird où David Ferrie doit l’évacuer en avion [Geneva Tipitt].

A 13h35, dix-huit policiers envahissent le cinéma. Le policier Mac Donald maîtrise Oswald, sans le
tuer, bien que ce dernier ait sorti son arme.
Jusqu’au 24 novembre, Oswald sera interrogé et présenté à des témoins au siège de la police de
Dallas. Pendant douze heures, on ne lui notifiera pas qu’il est accusé de l’assassinat de Kennedy.
Oswald niera les meurtres de Tipitt et de Kennedy. Le 23 novembre, après qu’on lui ait refusé d’appeler son agent de sécurité à la CIA (numéro de tel. 919 833 1253), il crie à la presse : « je ne suis qu’un pigeon » !

Son agent de sécurité à la CIA est John David Hurt et habite Raleigh, à côté de la base CIA ultra secrète de Nag’s Head en Caroline du Nord.
La mort d’Oswald
Dimanche 24 novembre, Oswald doit être transféré en voiture à la prison de Dallas. Il est encadré par les agents Harrison et Miller, payés par Ruby pour s’écarter et immobiliser Oswald au bon moment.
A 11h21, alors qu’Oswald entre dans le parking souterrain du siège de la police de Dallas, Ruby sort de la foule des journalistes présents et tire sur Oswald, l’atteignant d’une balle dans le foie.

Le docteur Charles Crenshaw, qui tenta de réanimer Oswald au Parkland Memorial Hospital, révèle que c’est le massage cardiaque fait par les policiers qui a provoqué l’hémorragie fatale et non pas la seule blessure 
par balle. Oswald meurt à 13h07.


Il est inhumé dans le cimetière de Rose Hill à Fort Worth, le lundi 25 novembre à 15h. Fait étrange, les services secrets ont fait embaumer le corps d’Oswald et l’ont fait placer dans un cercueil étanche, afin qu’il puisse se conserver plusieurs siècles !
En 1979, l’avocat enquêteur britannique Michael Eddowes, soutenu par Marina Oswald, demande une nouvelle autopsie d’Oswald.
Sa demande est motivée par le fait que les services secrets britanniques pensent qu’Oswald fut capturé par les Russes en 1959 et remplacé par un agent du KGB lui ressemblant.
Déjà en novembre 1963, des agents du secret service disaient d’Oswald : « nous ne savons pas qui nous avons dans cette tombe » [Jim Marrs].
L’ordre d’exhumation est délivré le 20 août 1981.
Conclusion
4 octobre 1981, le corps d’Oswald est exhumé et autopsié au Baylor Médical Center de Dallas par le docteur Norton. Quoique, à la surprise des légistes, le corps embaumé d’Oswald ne soit plus qu’un squelette, la comparaison avec son dossier militaire leur permet de conclure qu’il s’agit bien de Lee Oswald.

Malheureusement, le crâne exhumé est intact alors qu’un os du crâne avait été retiré durant l’autopsie de 1963 [Paul Groody, Alan Baumgartner].
De plus le crâne possède toutes ses dents naturelles, alors qu’Oswald avait perdu une incisive supérieure dans une bagarre à l’âge de 15 ans.
Enfin le dossier médical militaire d’Oswald remis au docteur Norton est un faux , fait à la base d ‘El Toro alors qu’Oswald était encore au Japon !
Dans sa vie comme dans sa mort Oswald fut le jouet d’un pouvoir secret et impitoyable. Il mourut comme il avait vécu : sans comprendre ce qui lui arrivait…
Qui « étaient » vraiment Lee Harvey Oswald ?

Source : Jean-marc Roeder/Top Secret N°10