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jeudi 27 octobre 2016

La mine des hollandais : une mine en or massif ...!

 La mine des hollandais : une mine en or massif  


En Arizona, quelque part dans les monts de la Superstition, se trouverait une mine d’or
 si riche qu’il suffirait de frapper ses parois à coups de marteau pour en détacher des 
pépites.
Mais ce filon légendaire a su garder son secret : la mort et le désastre furent bien 
souvent le lot de ceux qui tentèrent constamment de s’en emparer. Enfin, depuis un 
demi-siècle, on en a totalement perdu la trace.

Dans la région, on l’appelle « la mine des Hollandais ». On avait en effet prit pour des
 Hollandais deux des nombreux prospecteurs qui, au cour du XIXe siècle, en 
revendiquèrent la possession. C’était en réalité, des Allemands.

L’histoire de sa découverte se perd dans la légende. On pense que des Apaches en
 indiquèrent l’emplacement aux Européens, lorsque les premiers moines venus des 
colonies du Mexique s’installèrent en Arizona.


On trouve pour la première fois mention de cette mine dans des documents espagnols datés 
de 1748 : elle faisait partie d’une donation du roi Ferdinand VI à don Miguel Peralta,
 en même temps que 9700 kilomètres carrés de ce qui constitue aujourd’hui l’Arizona.
 Au cours du siècle suivant, les héritiers de Peralta, qui habitaient au Mexique, 
se seraient rendus plusieurs fois à la mine. Enfin, en 1864, si l’on en croit des 
prétendants plus tardifs, un certain Enrico Peralta aurait monté une expédition vers 
l’Arizona.

Les Apaches sur le sentier de la guerre

À cette époque, les Apaches étaient redevenus hostiles. La colonne d’Enrico tomba
 dans une embuscade. La bataille dura trois jours, après quoi tous les colons furent 
massacrés, à l’exception d’un seul qui parvint à regagner le Mexique avec une 
carte indiquant l’emplacement du filon.


Mais un autre Européen allait le découvrir à son tour. Cet homme, le docteur 
Abraham Thorne, était établi en Arizona, où vivait il vivait en bon terme avec les 
indiens. En 1870, ceux-ci lui proposèrent de lui montrer un endroit où il pourrait 
ramasser de l’or… à condition d’accepter d’avoir les yeux bandés tout au long d’un 
trajet de 32 kilomètres.

Lorsqu’on ôta le bandeau, Thorne vit qu’il se trouvait dans un canyon. À 1 ou 2 
kilomètres au sud se dressait une aiguille rocheuse. Aucun indice ne signalait 
l’existence d’une mine, mais, au pied de l’une des parois du ravin, se trouvait un 
morceau d’or, pratiquement pur.

Les « Hollandais » entrèrent en scène l’année suivante. Il s’agissait de deux 
aventuriers allemands, Jacob Waltz et Jacob Weiser. Ceux-ci prétendirent avoir 
sauvé un homme appelé don Miguel Peralta, lors d’une rixe survenue dans la ville 
d’Arizpe, au Mexique. Ce don Miguel se trouvait être le fils d’Enrico. Aux hommes 
qui l’avaient sauvé, il parla de la mine qui appartenait à sa famille.

Les deux Jacob acceptèrent de l’accompagner en Arizona : là-bas, on se partagerait 
le trésor. Si l’on en croit le témoignage que firent, chacun de leur coté, les deux 
Allemands, le trio aurait découvert la mine grâce à une carte de la famille Peralta, 
et rammassé pour 60 000 dollars de métal précieux. En échange de la moitié des 
profits, don Miguel aurait alors donné aux Allemands la carte et le titre de 
propriété. Sur ces entrefaites, le docteur Thorne retourna dans la région avec un 
groupe d’amis, mais cette fois, les Apaches les massacrèrent.


En 1879, les Allemands revinrent seuls dans le canyon, en s’orientant grâce à la 
carte que leur avait donné don Miguel. Ils surprirent alors deux Mexicains occupé 
à fouiller la mine et les tuèrent. Avant sa mort, qui survint douze mois plus tard, 
Waltz décrivit ainsi l’endroit : « C’était un pays accidenté au point que l’on 
pouvait être exactement à l’emplacement de la mine sans pour autant la voir. »
 La mine consistait en un large puits, évasé en entonnoir.

Les Allemands avaient continué d’exploiter la mine, puis le drame s’était produit : 
un soir qu’il rentrait au campement, Waltz constata la disparition de Weiser. Sur le sol 
se trouvait une chemise trempée de sang et des flèches apaches.

Des soldats sont tués

Au cours des années 1880 et 1881, la mine fut retrouvée hasardeusement par 
deux jeunes soldats qui se montrèrent un beau jour dans la ville de Pinal avec des
sacoches remplies d’or. Ils racontèrent que ce minerai provenait d’une mine en forme 
d’entonnoir situé dans un canyon non loin d’une aiguille rocheuse. Puis, 
ils retournèrent sur les lieux. On ne les vit pas revenir.



Enfin, en 1882, les Apaches prirent une grande décision : puisque l’avidité des 
hommes blancs ne faisait que semer la violence et la mort, ils allaient dissimuler la 
mine. C’est un indien surnommé Jack l’Apache qui rapporta plus tard cette décision 
de sa tribu : les squaws furent chargées de combler le puits. On déplaça les roches 
alentour en guise de camouflage. Puis les esprits vinrent prêter main-forte : un 
tremblement de terre bouleversa totalement le paysage.

Des documents falsifiés

Les prospecteurs poursuivirent obstinément leurs recherches. Hélas ! en 1895, un 
événement survint qui allait leur compliquer la tâche : un homme appelé James 
Addison Reavis fut condamné par un tribunal de Santa Fe, Arizona, pour avoir 
lui-même fabriqué des documents anciens attestant la donation de cette région à 
don Miguel Peralta. L’enquête révéla que Reavis s’était rendu au Mexique et en 
Espagne pour glisser ses faux dans les archives. Il avait couronné ses efforts en 
épousant une Mexicaine qu’on disait l’héritière de la famille Peralta.

Mais Reavis, pour monter son escroquerie, s’était certainement fondé sur des faits 
réels. Une famille du Mexique, semblerait-il, possédait bien une mine en Arizona. 
Des membres de cette famille s’y seraient rendus à plusieurs reprises pour y 
collecter du minerai. Il parait également vraisemblable que Weiser et Waltz aient 
reçu – ou volé – une carte de la région.


Enfin, deux nouveaux événements, survenus au XXe siècle, vinrent confirmer toute 
l’histoire. En 1912, des prospecteurs découvrirent des lingots d’or dans les hautes 
herbes, à l’endroit même où Enrico Peralta avait, dit-on, combattu les Indiens en 1864.
Tout près de là se trouvaient les vestiges d’un campement. Enfin, trois arbres 
avaient été abattus, sans doute pour fabriquer les poteaux de la mine. Dans cette 
contrée se dressait également une aiguille rocheuse; elle est aujourd’hui connue sous 
le nom de l’aiguille de Tisserand.

En 1931, un homme appelé Adolph Ruth raconta à ses amis qu’il avait fait 
l’acquisition d’une carte auprès d’un certain Peralta. Puis, il partir dans les montagnes.
Quelques semaines plus tard, on retrouva son corps décapité. Dans la poche de 
sa veste se trouvait un papier portant ces mots : « Environ 60 mètres à partir de la 
caverne. » Au-dessous se trouvait la formule latine : Veni, vidi, vici (« Je suis venu, 
j’ai vu, j’ai vaincu »).

Depuis lors, on a bien des fois prospectée la région, avec toute la minutie nécessaire
Jamais, pourtant, ne fut retrouvée la moindre trace de la mine, la fabuleuse mine des 
Hollandais.

Extrait de: Stranges stories, amazing facts, Reader's Digest, 1979 p. 336-337

Les Cités des Cimes !

                           Les Cités des Cîmes                      

Nichées le long de la cordillère des Andes, sur l’altiplano de Bolivie et du Pérou, se 
dressent sept cités antiques construites en pierres géantes, les mystérieuses Cités 
des Cimes sur le Camino del Inca, le vertigineux Chemin de l’Inca.

La plupart sont si haut perchées que lors du déluge, elles ne furent que léchées par 
la crête du raz-de-marée. Leurs noms ouvrent les portes dorées du rêve : Cuzco, 
Tiahuanaco, Quillabamba, Sacsayhuaman, Ollantaytambo, Urabamba, Machu Picchu.
 Mais il y en a d’autres. On suppose que le chiffre sept a été retenu pour sa valeur 
symbolique. La version officielle prétend qu’elles sont l’œuvre des Incas, mais 
les versions officielles sont myopes… Du temps des Incas, il est avéré que les Cités 
des Cimes étaient déjà très anciennes.

Leurs lointains bâtisseurs les ont voulues indestructibles. Bâties de blocs
 énormes inextricablement appariés,  elles ont tenu contre vents et raz de marées. 
Ces places fortes mégalithiques furent les refuges et les laboratoires où les élites 
pré-diluviennes ont préparé la renaissance de l’après-cataclysme… Là, bien 
à l’abri de murs cyclopéens, ces surhommes avaient soigneusement stocké 
du matériel génétique humain, mais aussi animal : c’est le sens caché du mythe 
de l’arche de Noé, qui se révèle universel.

Les mêmes précautions avaient été prises en d’autres endroits élevés de la planète, 
également dépositaires d’ADN humain et animal, ainsi que de graines : montagnes 
iraniennes, mont Olympe, mont Sinaï, Himalaya, etc. Grâce à leur technique de 
construction, les murs cyclopéens ont pu braver millénaires et  cataclysmes sans 
tomber en ruine. Leur taille gigantesque les a mis à l’abri des démolisseurs, toujours 
avides de pierres taillées. Même les séïsmes les ont épargnés.


Les bâtisseurs ont utilisé des blocs énormes soigneusement taillés, polis, ajustés sans 
mortier et  verrouillés par des queues d’aronde. Certains de ces blocs dépassent les 
cent tonnes et comportent plus de treize arêtes asymétriques, formant un véritable 
puzzle en 3D. Quels êtres gigantesques ont pu bâtir ces énigmes colossales ? 
Quelle force surhumaine, quelle puissance psychique inconnue a permis ce 
miracle ? Les archéologues et les guides touristiques ont peaufiné une phrase rituelle :


« Les énormes blocs s’emboîtent les uns dans les autres si étroitement qu’on ne peut 
glisser une lame dans l’interstice. »

Dans chaque dépliant touristique, on y a droit. Les archélogues eux-mêmes nous la 
ressortent à l’envi, sans que ni les savants, ni les guides ne puissent avancer la 
moindre solution à cet incompréhensible prodige. La solution, sans doute, n’est 
pas facile à imaginer. Avant de savoir comment ils ont fait, demandons-nous déjà 
pourquoi ils se sont donnés toute cette peine ? Là, on hasarde une explication 
plausible : les Andes sont une zone de séisme, et seuls d’énormes blocs 
verrouillés peuvent résister.

« L’assemblage en queue d’aronde de ces blocs crée en outre un verrouillage 
mutuel qui les met à l’épreuve des séismes ; de fait, les nombreux 
tremblements de terre qui ont dévasté les Andes au cours des siècles 
derniers n’ont pas entamé le parfait ajustement des blocs alors qu’ils ont 
abattu par deux fois la cathédrale espagnole de Cuzco. Plus incroyable encore,
 il ne s’agit pas de pierre locale. Des témoignages font provenir les blocs 
de carrières situées en Equateur, à 2400 km de là ! » 

La légende des sept cités de Cibola !

             La légende des sept cités de Cibola           


En 1539, le frère Marcos de Niza, un prêtre franciscain, a raconté aux fonctionnaires 
coloniaux espagnols, à Mexico, qu'il avait vu la ville légendaire de Cibola dans 
ce qui est aujourd'hui le Nouveau-Mexique. C'était l'un des explorateurs espagnols,
 à moitié convertisseur religieux et aventurier, qui hantaient le Nouveau Monde 
pour le trésor amérindien et il avait entendu des contes persistants sur la richesse 
fantastique des soi-disantes Sept Cités de Cibola.

" Elle est située sur un tronçon nivelé du sommet d'une colline arrondie ", a dit 
le moine. " Elle semble être une très belle ville, la meilleure que j'ai vu dans ces 
régions. " Le prêtre a reconnu, cependant, qu'il avait seulement vu la ville à distance 
et n'y était pas entré, parce qu'il pensait que les habitants indiens Zuni le 
tueraient si il approchait.

Mais quand une grande et coûteuse expédition espagnole, partie en 1540, avec 340 
Espagnols, 300 alliés indigènes et un millier d'esclaves indiens et africains, et est 
retournée dans la région en 1541, ils ont trouvé seulement un modeste village 
d'indiens qui n'était pas quelque chose ressemblant à ce que le prêtre avait décrit. 
L'expédition s'est avérée être une mésaventure ruineuse pour ceux qui s'y sont 
impliqués, y compris le célèbre conquistador Francisco Vazquez de Coronado, qui l'a 
dirigé.

" Presque tout le monde, y compris le leader, est retourné à Mexico massivement 
endetté ", dit l'auteur du Nouveau-Mexique Richard Flint, qui, avec son épouse, 
Shirley Cushing Flint, a écrit cinq livres sur Coronado. " Un certain nombre de ces 
personnes ne s'en sont jamais remis financièrement."




L'expédition de Coronado et de Hernando de Alarcón
 à travers l'Ouest américain (1540-1542)

Qu'est-ce que le Frère a bien pu voir ?

Pendant cinq siècles, les érudits ont débattu de ce que de Niza avait vu quand il 
avait affirmé qu'il avait trouvé Cibola, ou si il a simplement dit aux fonctionnaires 
espagnols ce qu'ils voulaient entendre...

La grande richesse que les Espagnols ont pris quand ils ont conquis les Aztèques 
d'Amérique centrale et les Incas de l'Amérique du Sud n'a fait qu'alimenter les 
croyances que toujours plus de richesses se trouvaient quelque part à l'intérieur de
 ce qui est maintenant aux États-Unis. Alors, quand le Frère de Niza a dit qu'il avait vu 
Cibola, les fonctionnaires espagnols étaient impatients de le croire...

Nous ne savons pas ce qu'il a vu ou pourquoi il l'a fait ", a déclaré Denise Shultz, 
un ranger du parc à Coronado National Memorial à Hereford, Arizona. " Une 
interprétation généreuse de la vision de Niza est qu'il a vu le pueblo, à l'aube ou au 
crépuscule et a été dupé par la lumière du soleil, flatteuse à ce moment de la 
journée, qui baignait le village dans une lueur qui lui faisait penser que les bâtiments 
étaient en or ", dit-elle .

Flint est moins charitable à propos de la déclaration de de Niza. " Il n'a probablement
 pas vu [la ville]," dit Flint. " Au lieu de cela, dit-il, le prêtre a probablement raconté 
un long récit (faux ou vrai), qu'il a entendu des Indiens ".

Les hommes de Coronado étaient furieux quand ils ont vu le village des Zuni. 
" En voyant cela, l'armée éclata de malédictions envers le Frère Marcos de Niza, 
" dit l'un des hommes de Coronado. " Dieu veuille qu'il ne rencontre aucun d'entre 
eux...". Le Frère Marcos de Niza fut d'ailleurs renvoyé en Espagne pour le punir 
de sa fausse histoire...

Au lieu de retourner à Mexico, Coronado a incisté. Pendant des mois, son expédition
 a suivi un guide indien sur des centaines de kilomètres dans ce qui est de nos jours 
le Kansas. Ils se sont fait attaquer des dizaines de fois par les indiens des régions
 traversées avant d'abandonner la recherche de Cibola...


Une peinture de 1898 par Frederic Remington dépeint l'explorateur espagnol 
Francisco Vazquez de Coronado dans sa quête malheureuse de 1541 
pour trouver les légendaires Sept Cités de Cibola. L'expédition, qui comprenait des 
centaines de soldats et de guides amérindiens, a duré deux ans et a traversé 
quelque 4.000 miles (6.400 km) de l'Ouest américain. En fin de compte, aucune 
ville dorée n'a été trouvée, et Coronado est retourné les mains vides et endetté... 

« Il est très difficile de dire qu'une autre personne aurait fait quelque chose de 
différent », dit Flint. " Mais les gens ont perdu beaucoup d'argent, donc ils n'étaient 
pas heureux. "

Selon les normes espagnoles, ils avaient besoin d'un bouc émissaire ", dit Shultz. "
 Il était le capitaine, il était celui qui a été liquidé en prenant le poids de la faute. 
Voilà mon interprétation. Il a lamentablement échoué... "

Néanmoins, Coronado retourne au Mexique en 1542, par là où il était venu, 
mais avec seulement 100 hommes. Même si cette expédition a été un désastre, 
il a découvert tout de même le Grand Canyon et il reste gouverneur de 
Nouvelle Galice jusqu'en 1544, puis il se retire à Mexico où il meurt en 1554...


Sources : un texte de Willie Drye (traduction Yves Herbo)  

Turquie : Les cités antiques demi-englouties d'Apollonia et d'Aperlea !

Turquie : Les cités antiques demi-englouties 

d'Apollonia et d'Aperlea



C'est un endroit protégé et interdit de toute plongée sous-marine depuis 1990 
et pourtant absolument pas fouillé et laissé aux caprices de la nature. L'île de Kekova, 
également appelée Caravola,est une île turque qui a donné son nom à toute cette
 région de Lycie sur 260 km² et où l'on trouve les antiques cités de Simena (Kalekoy),
 Dochiste (Apollonia), Theimussa (Ucagiz) et Aperlai.

L'île en elle-même ne fait que 4,5 km², située au sud de la ville de Simena et n'est 
plus habitée depuis longtemps. Sur le versant septentrional de l'île se trouvent 
les ruines partiellement englouties par la mer de l'antique cité d'Apollonia, détruite 
par un fort séisme au 2ème siècle. Reconstruite en partie par les byzantins, elle fut 
rapidement complètement abandonnée à cause des incursions arabes.


L’île est interdite à la visite car elle abrite un grand nombre de sites archéologiques 
qui n’ont pas encore été fouillés, seul l’accès par la mer à la baie de Tersane est 
autorisée. La plongée bouteille et en apnée sont également interdites sur le site.

Les intérêts principaux de la visite sont la beauté du site naturel et la curiosité que
 représente la cité engloutie d'Apollonia (ne pas confondre avec la ville antique du 
même nom en Libye), intéressant que si vous le faite en kayak car vous 
pouvez passer directement au-dessus des ruines et les voir grâce à l'eau transparente. 

Une partie de la cité fut submergée dans l’antiquité, lorsque suite à un tremblement 
de terre, le sol c’est abaissé de 4 ou 5 mètres. Les ruines immergées se trouvent 
actuellement à 1 ou 2 mètres de profondeur. Au-dessus, sur l’île, vous pourrez 
apercevoir également les vestiges de bâtiments antiques. 


Le site d’Aperlai se situe dans une crique bien protégée en bord de mer que 
vous pouvez atteindre à partir d’Ucaguiz par la Lycian Way mais le chemin est plus 
long (environ 10 km). Au V siècle av. JC, c’était la cité lycienne la plus importante de 
la côte. Les autres sites lyciens que vous visiterez dans le secteur dépendaient de 
cette cité. 

La partie basse de la ville a été submergée suite à des mouvements tectoniques 
comme l’atteste encore de nos jours un sarcophage à demi-immergé. Outre une vue 
magnifique sur la crique, vous pourrez y découvrir les vestiges du mur d’enceinte et 
ses tours de la cité antique réhabilités à l’époque byzantine, un théâtre, de 
nombreux sarcophages type carène de bateau renversée avec sculptures, 
des églises byzantines édifiées sur la base de bâtiments antiques, des antiques 
citernes.  

C’est une vrai côte sauvage, sans une route, sans une ville, et... sans un port... Loin du monde,
loin de tout,
et oubliée et pourtant elle fut prospère...

Source :Yves Herbo

  

mardi 25 octobre 2016

Blasmusik !

                                 Blasmusik                               

Musikkapelle Wallgau - Egerländer Fuhrmannsmarsch

Blasmusik in Piding, Platzkonzert 1

Blaskapelle Ainring spielt den Ruetz-Marsch

Festzug Gaufest Au, Siegsdorf, Ramsau, Berchtesgaden

Gaufest Grainau 2007, Festzug 1

Vereine und Musikkapellen in Großweil 2007

125 Jahre Jenbachtaler Feilnbach Festzug 1/5

Oktoberfest Munich Blaskapellen Trachtenumzug 1.Teil Schützenumzug 2013

- Grand Prix polka und Löffelkaspar _ D Neuneralm Musi- Echte Volksmusik aus Bayern

Alpenbrass Tirol - Dem Land Tirol die Treue

Musikkapellen aus Südtirol / bande musicali del sudtirolo / marching bands of South Tyrol

Oberländer Bezirksmusikfest in Anras 2016

Schützenfest Lehrte: Festumzug

Das Beste von Oesch's die Dritten

Kirmesmusikanten Mix 2

Die Twinnies - Bayernmädels - 2 Girls playing steirische harmonika on rollerskates !

Florian & Seppli - Familienjodler