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mercredi 23 décembre 2015

Villages de la Plaine d'Alsace - Haut Rhin !



Villages de la Plaine d'Alsace - Haut Rhin

    C'est une vaste région s'étendant de la frontière avec l'Allemagne aux bords du Rhin jusqu'aux premiers massif vosgiens. Protégées par les premières montagnes, des vignes prestigieuses se sont répandues quand la pente commence à s'élever : des maisons et bientôt des villages vignerons ont su exploiter ce terroir.
    Ainsi et depuis 1953, la Route des Vins d'Alsace est devenue au fil du temps,
grâce à ses nombreux villages vignerons qui la jalonnent, la plus belle route des vins au monde.

Site à découvrir :http://www.cc-ribeauville.fr

En savoir plus sur ce village

Riquewihr (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: charmant petit bourg alsacien produisant l'un des meilleurs vins d'Alsace, le village classé parmi les plus beaux villages de France, dont la richesse attisait la convoitise des puissants, se donna des remparts et une forteresse qui ne permirent pas toujours d'empêcher les pillages. A chaque fois, les vignerons reconstruisirent des demeures encore plus élégantes. La physionomie du village est celle que lui a laissé le XVIe siècle. Le Dolder, porte de ville du XIIIe siècle, donne accès à l'ancienne grande rue sur laquelle se greffe un réseau de ruelles.

En savoir plus sur ce village
Hunawihr (Photo Eric Wanner sur Villages d’Alsace: le village se trouve à mi pente des coteaux au confluent de deux cours d'eau. Entourée de son petit cimetière fortifié, l'église du XVe siècle émerge parmi les vignes qui s'étendent à l'infini. Le clocher pointu servait aussi de donjon, où les vignerons pouvaient se réfugier en cas d'attaque. Les vieilles maisons alsaciennes du bourg classé parmi les plus beaux villages de France datent du XVIe siècle pour la plupart. Les habitations de vigneron limitent l'ornementation aux poutres, aux encadrements de fenêtres et au portail. Les maisons de maître, généralement construites au XIXe siècle, présentent une décoration bien plus démonstrative.

Bergheim (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: magnifiquement fleurie durant la belle saison, cette commune historique dispose également d'un sentier viticole. Toutes les richesses patrimoniales et historiques en font un lieu de séjour idéal et pittoresque comme les vestiges d'anciennes enceintes médiévales du XIVe siècle, ses ruelles bordées de maisons vigneronnes...http://www.ville-bergheim.fr

Ribeauvillé (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: située sur la route des vins, entre vignoble et montagne, Ribeauvillé est une charmante cité qui a su valoriser son patrimoine historique comme ses maisons anciennes d'artisans et ses hôtels prestigieux. Cette cité est devenue ville au XIIIe siècle, divisée en quatre quartiers contigus mais autonomes et appartenant à des seigneurs différents. Les rues étroites et tortueuses sont bordées de vieilles maisons d'artisans et de vignerons. Outre un ancien hôpital, des fontaines du XVIe siècle, la cité renferme un bel hôtel de ville, des vestiges de fortifications ainsi que plusieurs tours rondes surmontées de nids de cigogne.http://www.ribeauville-riquewihr.com


Kaysersberg (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: la situation du village, sa silhouette si curieuse, ses nombreuses constructions du passé en font l'une des plus jolies villes parmi les cités du vignoble alsacien. Le haut donjon qui la domine rappelle sa position stratégique. Mais aujourd'hui, ses belles demeures à colombages, restaurées et bien entretenues, ses créations architecturales, son atmosphère médiévale font d'elle un décor rêvé pour une fête alsacienne.http://www.kaysersberg.com


Turckheim (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: nichée au coeur du vignoble alsacien, la bourgade a su conserver son patrimoine historique, comme le témoignent ses trois portes et bon nombre de bâtiments datant des siècles derniers. La cité est également une des seules villes de France à encore posséder un veilleur de nuit : tous les soirs, de mai à octobre, il fait sa ronde à partir de 22 heures.http://www.turckheim-alsace.com

Niedermorschwihr : situé au fond d'un vallon, le village conserve précieusement de belles demeures anciennes à oriels et balcons de bois ouvragés. Les maisons de vignerons du XVIIIe siècle sont typiquement alsaciennes. La cité possède entre autres l'église St Gall au curieux clocher vrillé du XIIIe siècle.

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Eguisheim (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace) : si le village classé parmi les plus beaux villages de France, laisse une telle impression de chaleur, c'est parce qu'il a conservé son plan concentrique. Il faut en faire le tour en empruntant l'étroite rue des Remparts ou son double, la rue Allmend qui ceinture également le bourg. L'ambiance est très différente dans la rue principale, où les grandes demeures des riches négociants en vin alignent leurs portails armoriés ouvrant sur une vaste cour. Du château médiéval il reste une enceinte octogonale, ses autres éléments datent du début du siècle et ont été construits dans un style néo-roman.http://www.ot-eguisheim.fr

Gueberschwihr (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: au pied des riches coteaux sous-vosgiens, au sud de Colmar, Gueberschwihr est un coquet village du vignoble alsacien riche en traditions et en coutumes, à l'image de son magnifique clocher du XIIe siècle, vestige de l'ancienne église romane. Remarquable village fortifié d'Alsace, la bourgade dispose de belles maisons vigneronnes des XVIe et XVIIe siècles : celles-ci avec leurs hautes caves, leurs vastes cours et escaliers à viorbe témoignent de la richesse du vignoble et de la cité.

Kientzheim (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: c'est un village pittoresque avec de multiples édifices à voir comme les restes d'une villa romaine, le château des "Schwendi" de la fin du XVIe siècle près de la porte fortifiée "Est" ainsi que de beaux restes de remparts avec une porte basse et sa canonnière. L'église Notre Dame datant de 1722 avec son clocher choeur du XVe siècle, l'ossuaire gothique à côté du clocher et ses autels baroques sont aussi à découvrir.

Rouffach (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: dominé par son château, le village entouré des collines sous vosgiennes est célèbre pour sa halle aux blés, sa tour des sorcières, son église Notre Dame, son ancien hôtel de ville renaissance et ses rues anciennes. Le village est aussi reconnu pour sa gastronomie et ses grands crus. La cité a été profondément marqué néanmoins par la période renaissance comme en témoigne l'ensemble des maisons et hôtels.http://www.ot-rouffach.com

Zellenberg (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: ce tout petit village de la route des vins est très peu fréquenté par les touristes, il en résulte une toute autre ambiance. Le village mérite une petite halte pour son cadre viticole et ses belles maisons perchées sur une colline. Un village où il fait bon flâner avec ses petites rues étroites et ses fraîches fontaines. Un circuit historique rend compte de l'aspect de la localité au temps où la cité était un important chef lieu d'un bailliage des seigneurs de Ribeaupierre avec les restes des fortifications du bourg.http://www.zellenberg.org

St Hippolyte (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: situé à la limite nord du parc naturel régional des Ballons des Vosges, le village apparaît blotti dans un cadre verdoyant. Ce petit village médiéval possède un patrimoine architectural préservé, et une réputation bien établie parmi les amateurs de vin d'Alsace. A travers les ruelles sinueuses, les maisons anciennes à colombages, coiffées de toits bruns pointus ou biseautés se succèdent, formant un ensemble charmant. Les façades affichent comme il se doit dans la région d'abondantes compositions de géraniums et de belles enseignes en fer forgé.

Neuf Brisach (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: ce village situé sur la rive gauche du Rhin vaut son origine à Louis XIV qui fit appel à Vauban pour créer et fortifier une cité représentant la porte d'entrée de l'Alsace devenue vulnérable après le traité de Ryswick. C'est ainsi que cette ville a émergé d'un terrain vierge face à Vieux Brisach devenue propriété allemande. Neuf Brisach a la forme octogonale pourvue d'une triple ligne de défense. Dernier ouvrage de Vauban, c'est un véritable bijou, témoin quasi intact de l'architecture militaire du Grand Siècle. Grâce à son système défensif, la cité a résisté au siège des Autrichiens en 1814, aux bombardements de la guerre de 1870 puis aux deux guerres mondiales. La découverte à pied de l'enceinte en dévoile la solidité tels en témoignent ses murs épais. La cité débute porte de Belfort au sud qui abrite le musée Vauban et conduit au premier fossé. Il faut ensuite flâner de rempart en tour.http://www.neuf-brisach.com

Hattstatt (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: il s'agit d'un très ancien bourg autrefois fortifié. L'église datant de la première moitié du XIe siècle possède un choeur du XVe siècle avec un autel en pierre de la même époque. A gauche dans la nef, à noter le beau calvaire Renaissance. Il faut aussi admirer dans ce village le bel hôtel de ville du XVIe siècle qui côtoie les maisons anciennes.http://www.hattstatt.fr


Béblenheim (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: charmante cité viticole située au pied du coteau du Sonnenglanz, ce village abrite de nombreuses maisons à colombages, datant pour la plupart des XVIIIe et du XIXe siècles, mais dont une vingtaine émane des XVIe et XVIIe siècles. L’ancien château, dont les seuls éléments qui subsistent sont un logis (daté de 1461), des armoiries et une tour défensive, abrite aujourd’hui la cave coopérative de la commune. Le village est orné d’une fontaine gothique de la fin du XVe siècle et conserve huit dalles funéraires, fixées sur le mur séparant l’enclos de l’église protestante du presbytère, dédiées aux notables qui ont habité la commune.

Husseren les Châteaux (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: niché à trois cent quatre vingt mètres d’altitude, au pied du massif du Stauffen et de trois châteaux, ce village est le plus élevé du vignoble alsacien. Les crus récoltés sur ses côteaux sont justement célèbres et connus depuis le XVe siècle. Cité pour la première fois dans les archives de l’évêché de Bâle en 1247, ce village fut d’abord composé de simples cabanes qui logeaient les artisans et les ouvriers qui construisirent les Trois Châteaux aux XIe et XIIe siècles, puis au XIIIe siècle l’abbaye de Marbach, d’où le nom de “Haüsern”, c’est-à-dire “maisons” qui devint Husseren. La nouvelle église quant à elle dédiée à St Pancrace fut construite en 1885.

Ottmarsheim (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: l'origine de ce village remonte à l'époque mérovingienne. Son abbatiale a été restaurée au XVIIe siècle supprimée à la révolution, puis réoccupée en 1850 par des bénédictines venues de Suisse. D'un point de vue architectural, le bourg peut s'enorgueillir de posséder un joyau de l'art roman en son abbaye dédiée aux St Pierre et Paul. Ce monument construit en 1030, de plan annalogue à l'abbaye d'Aix la Chapelle en Allemeagne, a résisté aux guerres, aux intempéries et à un grave incendie en 1991. Le village conserve aussi plusieurs maisons en pan d ebois et torchis de la fin du XVIIe siècle.
http://www.ottmarsheim.com


Villages de Nord Alsace - Bas Rhin !

Villages de Nord Alsace - Bas Rhin

 L'Alsace du Nord recèle de nombreux vestiges de l’histoire : églises anciennes, châteaux médiévaux, habitations troglodytiques taillées dans la roche de grès, petits musées surprenants de richesses. Le promeneur découvrira également dans cette région certains des plus beaux villages traditionnels de France. Avec ses vallons verdoyants, ses étangs et sa forêt ombragée riche d’une faune abondante et variée, cette région invite aussi au retour à la nature.

En savoir plus sur ce village
Hunspach (Photo Eric Wanner sur Villages d’Alsace: typique de la région, c'est un village aux maisons de torchis et de bois, entourées de plantes fleuries, où les charpentiers et les jardiniers restent les maîtres des lieux. Dans le village labellisé parmi les plus beaux villages de France, des artisans fabriquent toujours des corbeilles, des tapis de paille et des bonnets d'homme en laine noire traditionnelle, qui montent avec lenteur le chemin menant au temple.


Hoffen (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: c'est un village rue pittoresque d'Alsace : de vastes maisons d'une blancheur immaculée que partagent même les volets, tournent leur perron d'entrée du côté de la cour intérieure où s'organisent les dépendances. Elles s'alignent sagement en suivant le tracé des rues. A admirer également l'ancienne mairie du XIXe siècle à colombage avec une élégante galerie de bois.

Seebach (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: les demeures à colombages soulignent leurs différents étages par la présence d'auvents. La partie inférieure du toit, le réveillon, est moins inclinée afin d'assurer une meilleure protection contre les intempéries et de ménager un passage abrité autour de la maison.
Wissembourg (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: la ville, dont le nom signifie "château blanc" et qui porte ce symbole dans ses armoiries, s'étale langoureusement sur plusieurs petits bras de la Lauter, qui vient s'y ramifier en sortant des Basses Vosges. Elle est bâtie au pied des collines boisées plantées de vignes. Des vergers, des houblons l'entourent, et aussi des restes de fortifications. Elle vit de son arrière pays agricole où abondent les demeures à colombages blanchies à la chaux.http://www.ot-wissembourg.fr
Obersteinbach (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: la commune est adossée à la frontière allemande et lorraine, dans un paysage de vastes forêts de hêtres et de pins. Elle est dominée par des rochers sculptés par l'érosion et parfois rehaussés de châteaux forts en ruine. Point de départ idéal pour de vastes randonnées, elle est aussi un haut lieu de la gastronomie.http://www.obersteinbach.fr

Bouxwiller (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: au coeur du pays de Hanau dans les collines sous vosgiennes, cette cité pittoresque considérée conserve des quartiers anciens aux ruelles tortueuses et aux nombreuses maisons inscrites des XVIe et XVIIIe siècles, à colombages, pignons et oriels sculptés. Le village possède aussi un bel hôtel de ville de style renaissance au vestibule inscrit.http://www.commune-bouxwiller.fr

Zutzendorf (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: comme dans la majorité des villages alsaciens, l'église est située au coeur du village. Elle est actuellement rattachée aux Protestants de la Confession d'Augsbourg. La paroisse protestante a été créée en 1582 alors que la Réforme avait été introduite depuis 1543. Quant au vieux village, il étage des fermes avec de larges cours autour desquelles sont ordonnés les bâtiments d'habitation, les dépendances, la grange et l'étable.http://zutzendorf.free.fr

Soultz s\Forets (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: c'est un bourg pittoresque aux nombreuses et belles maisons à colombage. Il faut visiter l'ancienne maison du bailli royal de 1750 (presbythère catholique), la mairie de style néo classique de 1830 et l'église luthérienne perchée.http://www.soultzsousforets.fr

La Petite Pierre : l'histoire de La Petite Pierre remonte au haut moyen âge. Vu l'importance stratégique du lieu, les évêques firent construire au XIIe siècle, un château pour garantir la libre circulation entre la plaine d'Alsace et la Lorraine. Le pittoresque village est à visiter et s'inscrit dans un site charmant.http://www.la-petite-pierre.com

Pfaffenhoffen (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: situé dans le pays de Hanau aux collines douces et aux rivières chantantes, le village est ceint d'anciens remparts à l'intérieur desquels subsistent encore de jolies maisons des XVIe - XIXe siècles ornées de colombages. Le village fait découvrir aux visiteurs son fantastique Musée de l'Image Populaire qui conserve une des plus vieilles traditions picturales d'Alsace. Il faut observer l'hôtel de ville sur lequel est représenté en médaillon, sur une de ses façades, un buste du Docteur Schweitzer.http://www.pfaffenhoffen.org
Lembach (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: posté au confluent de la Sauer et du Heimbach, cerné par les collines des Vosges du Nord, le village forestier borde la ligne Maginot et forme le point de départ de la route des châteaux forts. Mentionné pour la première fois en 754, son histoire fut longtemps celle d'une ville frontière divisée en populations celtes et germaniques au haut moyen âge puis entre l'évêché de Strasbourg et la famille des Fleckenstein au XVe siècle. En bâtissant des moulins, des verreries, une scierie et une trèflerie, ces derniers participèrent largement à l'essor économique du village. Leur château qui dresse ses remparts domine à plus de dix kilomètres.http://www.ot-lembach.com

Munchhausen (Photo Eric Wanner sur Villages d'Alsace: le village est constitué de deux parties : le haut-village, qui surplombe le bas-village d'une quinzaine de mètres, et le le bas-village, construit sur l'ancien lit du Rhin. Celui-ci est protégé des crues du fleuve par des digues. La commune fut autrefois un village de pêcheurs. Le centre d'initiation à la nature et à l'environnement, est construit dans l'ancien presbytère. Le toit de la verrière est composé, en plus du verre, d'une partie en bois prenant la forme d'une barque traditionnelle renversée. La petite mare à l'extérieur confirme les origines du village, à savoir la pêche. L’église située à côté de la mairie date de 1840 et est de style renaissance italienne du fait qu’elle possède des copies de nombreuses oeuvres italiennes.http://www.munchhausen.eu




 

Existence de civilisations préhistoriques évoluées !

17 découvertes suggérant l’existence de civilisations préhistoriques évoluées




L’univers est plein de mystères qui défient notre connaissance actuelle. Dans « Au-delà de la science », Epoch Times collecte des histoires sur ces étranges phénomènes afin de stimuler l’imagination et envisager des possibilités auxquelles on n’osait rêver. Sont-elles vraies ? À vous de décider.

Selon la vision conventionnelle de l’histoire, les humains ont commencé à parcourir notre Terre dans leur forme actuelle il y a environ 200.000 ans. Des civilisations avancées sont apparues il y a plusieurs milliers d’années. 


C’est en grande partie à l’aube des temps modernes au moment de la révolution industrielle que l’ingéniosité mécanique a commencé à se développer, il y a quelques centaines d’années.

OoPart (Out of place artifact – artefact intemporel) est un terme appliqué à des dizaines d’objets préhistoriques trouvés dans divers endroits à travers le monde, semblant montrer un niveau d’avancée technologique inadaptée à l’époque à laquelle ils ont été créés.

Beaucoup de scientifiques tentent de les expliquer en les justifiant par des phénomènes naturels. D’autres disent que ces explications occultent les preuves de l’existence de civilisations préhistoriques ayant des connaissances technologiques de pointe qui ont été perdues à travers les âges que pour être redécouvertes dans les temps modernes.

Nous allons nous intéresser à un échantillon de ces « ooparts » en retournant à leurs origines à des millions d’années jusqu’à quelques centaines d’années avant notre ère ; mais tout semble indiquer qu’ils étaient bien en avance sur leur temps.

Nous ne prétendons pas que tous ces ooparts sont la preuve définitive de l’existence de civilisations préhistoriques avancées, mais nous allons tenter plutôt de donner un bref aperçu de ce que sont ou sont supposés être ces artefacts. Cela ne constitue pas une liste exhaustive de tous les ooparts, mais c’est un échantillonnage important.


17. Des batteries vieilles de 2000 ans ?


Sur la droite une illustration d’un artefact de batterie découvert à Bagdad. (Ironie / Wikimedia Commons) Le cadre : Carte de la zone entourant l’actuelle Bagdad, en Irak. (Cmcderm1 / iStock / Thinkstock)

Des jarres d’argile avec des bouchons d’asphalte et des barres de fer datant d’il y a environ 2000 ans avaient la capacité de générer de l’électricité. Ces anciennes « batteries » ont été trouvées par l’archéologue allemand Wilhelm Konig en 1938 juste à l’extérieur de Bagdad, en Irak.

« Les batteries ont toujours suscité de l’intérêt », a déclaré le Dr Paul Craddock, un expert en métallurgie au British Museum, à la BBC en 2003. 


« Ils sont une édition unique. Pour autant que nous en savons, personne d’autre n’a rien trouvé de ce genre. Ce sont des choses bizarres ; ils sont l’une des énigmes de l’histoire de la vie ».

16. Une ancienne ampoule électrique en Égypte ?


Un objet ressemblant à une ampoule semble gravé dans une crypte sous le temple d’Hathor en Égypte. (Lasse Jensen / Wikimedia Commons)

Un relief sous le Temple d’Hathor à Dendérah en Égypte, dépeint des personnages debout autour d’un objet de grande lumière, comme une ampoule. 


Erich von Däniken qui a écrit « Le char des Dieux » a créé un modèle de l’ampoule dans son laboratoire qui a fonctionné et donc l’émission donnait une lumière violacée inquiétante.

15. La Grande Muraille du Texas


Une photo de la « muraille » trouvée à Rockwall au Texas. (Domaine publique)

En 1852, dans ce qui est maintenant connu comme le Rockwall au Texas, des agriculteurs qui creusaient un puits ont découvert ce qui semblait être un mur de roche ancienne. 


Estimé à quelque 200 000 à 400 000 ans d’âge, certains disent qu’il s’agit d’une formation naturelle tandis que d’autres disent qu’il s’agit clairement de l’oeuvre humaine.

Le Dr John Geissman à l’Université du Texas à Dallas a testé les roches dans le cadre d’un documentaire pour History Channel. Il a constaté qu’elles étaient toutes magnétisés de la même manière, ce qui suggère qu’elles ont été formées en même temps et n’ont pas été déplacées d’un autre site. 

Cependant certains n’ont pas été convaincus par ce test unique pour une émission de télévision et ont demandé d’autres études.

Le géologue James Shelton et l’architecte formé à Harvard John Lindsey ont noté des éléments qui semblent appartenir à la conception architecturale, comme des arcades, des portails avec linteau, et des ouvertures carrées qui ressemblent à des fenêtres.


14. Un réacteur nucléaire vieux de 1,8 milliards d’années ?


Le site du réacteur nucléaire d’Oklo, en République du Gabon. (NASA)

En 1972, une société française importait du minerai d’uranium de Oklo, en République du Gabon en Afrique. Il ont découvert que l’uranium avait déjà été utilisé. 


Ils ont trouvé que le site d’origine avait été un gigantesque réacteur nucléaire qui aurait apparemment fonctionné il y a 1,8 milliards d’années et aurait été en service pendant environ 500 000 ans.

Le Dr Glenn T. Seaborg, ancien directeur de la Commission de l’énergie atomique des États-Unis et lauréat du prix Nobel de Physique pour son travail dans la synthèse des éléments lourds, a expliqué pourquoi il estimait qu’il ne s’agissait pas d’un phénomène naturel et qu’il s’agissait bien d’une réacteur construit par l’homme.

Pour que l’uranium se mettent à « brûler », il faut une réaction nucléaire contrôlée et des conditions très précises sont nécessaires.

L’eau doit être extrêmement pure par exemple. Beaucoup plus pure que celle qui existe naturellement dans le monde entier. L’élément U-235 est nécessaire pour que la fission nucléaire se produise. 

Il est l’un des isotopes qui se trouve naturellement dans l’uranium. Plusieurs spécialistes en ingénierie nucléaire ont dit qu’ils pensaient que l’uranium présent à Oklo ne pouvait pas être assez riche en U-235 pour qu’une réaction puisse avoir eu lieue naturellement.

13. Des cartes marines réalisées avant que l’Antarctique ne soit recouvert de glace ?


Une partie de la carte de Piri Reis de 1513. (Domaine publique)

Une carte créée par l’amiral et cartographe turc Piri Reis en 1513 en reprenant des éléments de différentes cartes antérieures. Elle est censée représenter l’Antarctique à une époque où il n’était pas encore recouvert de glace.

Une masse est représentée au bout de la côte méridionale de l’Amérique du Sud. Le capitaine Lorenzo W. Burroughs, capitaine de l’US Air Force dans la section cartographie, a écrit une lettre au Dr Charles Hapgood en 1961 disant que cette masse semble montrer précisément la côte de l’Antarctique qui est sous la glace.

Le Dr Hapgood (1904-1982) fut l’un des premiers à suggérer publiquement que la carte de Piri Reis dépeignait l’Antarctique au cours d’une époque préhistorique. 


C’était un historien diplômé de Harvard dont les théories sur les changements géologiques lui ont valu l’admiration d’Albert Einstein. 

Il a émis l’hypothèse que des parties de continents s’étaient déplacées, expliquant pourquoi l’Antarctique est représenté comme étant connecté à l’Amérique du Sud.

Des études modernes réfutent la théorie de Hapgood avançant qu’un tel changement a pu avoir lieu il y a des milliers d’années, mais ils montrent que cela aurait pu arriver il y a des millions d’années.

12. Un détecteur de tremblement de terre vieux de 2 000 ans


Une réplique d’un ancien sismoscope chinois de la dynastie des Han de l’Est (25-220 après JC), et son inventeur, Zhang Heng. (Wikimedia Commons)

En 132 après JC, Zhang Heng a créé le premier sismographe du monde. Comment il fonctionne exactement cela reste un mystère, mais il a été construit avec une précision comparable à celle des instruments modernes.

En 138 après JC, l’érudit a réussi à relever correctement qu’un tremblement de terre avait eu lieu à environ 500 km à l’ouest de Luoyang, la capitale de l’époque. 


Personne n’avait senti le tremblement de terre à Luoyang et son avertissement a été rejeté jusqu’à un messager arrive quelques jours plus tard, demandant l’aide.

11. Des tuyaux de plomberie vieux de 150 000 ans ?


La photo d’un tuyau, et d’une vue sur le lac Qinghai en Chine, près duquel des mystérieux tuyaux en fer ont été trouvés. (NASA, l’image de tuyaux via Shutterstock)

Des caves près du Mont Baigong en Chine contiennent des tuyaux menant à un lac voisin. Ils ont été datés par l’Institut de géologie de Beijing à il y a environ 150 000 ans, selon Brian Dunning de Skeptoid.com.

L’agence de média géré par l’État, Xinhua a rapporté que les tuyaux avaient été analysés dans une fonderie locale et que 8 % de la matière n’était pas identifiable. 


Zheng Jiandong, chercheur en géologie de l’Administration sismique de Chine a déclaré au journal d’État le Quotidien du Peuple, en 2007, que certains des tuyaux avaient été mesurés avec de haute teneur en radioactivité.

Zheng Jiandong a tenté d’expliquer qu’un magma riche en fer a pu remonter des profondeurs de la Terre, poussant le fer dans les fissures pour se solidifier ensuite en des tubes. 

Mais il a admis, qu’« il y a en effet quelque chose de mystérieux au sujet de ces tuyaux. » Il a cité la radioactivité comme un exemple des qualités étranges de ces tuyaux.

10. Le mécanisme d’Anticythère


Le mécanisme d’Anticythère est un dispositif mécanique vieux de 2000 ans utilisé pour calculer les positions du soleil, de la lune, des planètes et même des dates des Jeux Olympiques antiques. (Wikimedia Commons)

Le mécanisme d’Anticythère, souvent désigné comme un ancien « ordinateur », a été construit par les Grecs vers 150 avant JC. Il était en mesure de calculer les changements astronomiques avec une grande précision.

« S’il n’avait pas été découvert … personne n’aurait pu croire qu’un tel mécanisme existait car il est très sophistiqué », a déclaré le mathématicien Tony Freeth dans un documentaire de NOVA sur le mécanisme. 


Mathias Buttet, directeur de la recherche et du développement pour l’horloger Hublot, a déclaré dans une vidéo diffusée par le Ministère de la Culture et du tourisme de la République hellénique, que « ce mécanisme d’Anticythère inclut des fonctionnalités ingénieuses qui n’ont pas été découvertes par l’horlogerie moderne. »

9. Une mèche de forage trouvée dans le charbon


Une plaque de charbon (Kkymek / iStock) et l’image d’une mèche de perceuse (Konstik / iStock ; édité par Epoch Times)

John Buchanan a présenté un objet mystérieux lors d’une réunion de la Société des Antiquaires de l’Écosse, le 13 décembre 1852. 


Une mèche de forage avait été trouvée encapsulée dans une plaque de charbon d’environ 56 cm d’épaisseur, enterrée dans un lit d’argile mélangé avec des rochers, d’environ 2m d’épaisseur.

Le charbon terrestre a été formé il y a des centaines de millions d’années. La Société des Antiquaires a conclu que l’instrument était à un niveau avancé de technologique moderne. 

Mais elle a conclu également que « l’instrument de fer pouvait être la partie d’un foret cassé pendant d’anciennes recherches sur le charbon ».

Le rapport détaillé de Buchanan n’indiquait aucun signe que le charbon qui entourait l’instrument avait été percé par un forage.

8. Des sphères vieilles de 2,8 milliards d’années ?


En haut à gauche, en bas à droite, les sphères de Klerksdorp qui ont été trouvées dans des dépôts de pyrophyllite près d’Ottosdal en Afrique du Sud (Crédit : Robert Huggett).En haut à droite, en bas à gauche : des sphères similaires connues comme les billes Moqui de Navajo Sandstone dans le sud de l’Utah. (Crédit : Paul Heinrich)

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Les sphères, avec de fines rainures en faisant le tour, trouvées dans des mines sud-africaines ont été décrites par certains comme ayant été formées naturellement de manière minérale. D’autres avancent qu’elles ont été façonnées par la main humaine dans la préhistoire.

« Les globes, qui ont une structure fibreuse à l’intérieur et d’une coquille autour, sont très durs et ne peuvent être rayés, même par l’acier », a déclaré Roelf Marx, conservateur du musée de Klerksdorp en Afrique du Sud, selon le livre de Michael Cremo « Archéologie interdite : l’histoire cachée de la race humaine ». 


Selon Roelf Marx les sphères sont vieilles d’environ 2,8 milliards d’années.

Si elles sont d’origine minérale, on ne sait pas exactement comment elles se sont formées.


7. Le pilier de fer de Delhi


Une inscription datant d’environ 400 après JC faite par le roi Candragupta II sur le pilier de fer de Delhi. (Vénus Upadhayaya / Epoch Times)

Ce pilier de fer est âgé d’au moins 1 500 ans, mais pourrait être plus âgé. Après des siècles passés il n’a pas rouillé et possède une pureté étonnante. 


Il est en effet constitué de 99,72 % de fer, selon le professeur A.P. Gupta, chef du Département des Sciences Appliquées et Sciences Humaines de l’Institut de Technologie et Management en Inde.

Aujourd’hui, le fer forgé est réalisé avec une pureté de 99,8 %, mais il contient du manganèse et du soufre, deux ingrédients absents dans le pilier.

Il a été forgé il y a au moins « 400 ans avant que la plus grande fonderie connue du monde ait pu le produire », a écrit John Rowlett dans « Une étude des artisans des civilisations anciennes et médiévales montrant l’influence de leur savoir-faire sur nos méthodes actuelles de commerce ».

6. L’épée Viking Ulfberht


Une épée Ulfberht exposée au Germanisches Nationalmuseum à Nuremberg en Allemagne. (Martin Kraft / Wikimedia Commons)

Lorsque les archéologues ont trouvé l’épée Viking Ulfberht, datant de 800 à 1000 après JC, ils ont été stupéfaits. 

Ils ne comprenaient pas comment la technologie pour faire une telle épée aurait été possible avant la Révolution industrielle 800 ans plus tard.

Sa teneur en carbone est trois fois plus élevée que les autres épées de son temps et les impuretés ont été retirées à un tel degré que le minerai de fer doit avoir été chauffé à au moins 1700 degrés Celsius.

Avec un grand effort et beaucoup de précision, Richard Furrer, un forgeron du Wisconsin a essayé de forger une épée de la qualité de Ulfberht en utilisant les technologies disponibles au Moyen Âge. 

Il a dit que c’était la chose la plus compliquée qu’il avait eu à faire, et il a du utiliser finalement des méthodes qui n’étaient pas connues par les gens de l’époque.


5. Un marteau vieux de 100 millions d’années ?


Réplique du marteau trouvé à London au Texas tel que présenté dans une diapositive par le Dr. Doug Newton de l’Association Trinity Creation Studies. (Capture d’écran/You Tube)

Un marteau a été trouvé à London, au Texas en 1934, enfermé dans une pierre qui s’était formée autour de lui. La roche enserrant le marteau a été mesurée comme étant âgée de plus de 100 millions d’années.

Glen J. Kuban, sceptique quant aux conclusions d’un marteau ayant existé il y a des millions d’années, a déclaré que la pierre pouvait contenir des matières qui sont vieilles de plus de 100 millions d’années, mais que cela ne signifiait pas que la roche formée autour du marteau datait d’il y a si longtemps.

Certains calcaire se sont formés autour des objets connus pour être du 20e siècle, car des concrétions peuvent se former assez rapidement, a t-il remarqué.

Les concrétions sont des masses de matières minérales durcies. 

Carl Baugh, qui est en possession de l’artefact, a souligné que le manche en bois était devenu du charbon (la preuve de son grand âge) et que le métal dont il était fait avait une composition étrange.

Les critiques ont appelé à davantage de tests indépendants pour vérifier ces affirmations, mais jusqu’à présent, rien de tel n’a été effectué.

4. Un chantier de taille de pierre préhistorique ?


Une photo d’une formation de roche calcaire. (Shutterstock)

Des ouvriers dans une carrière de pierre près d’Aix-en-Provence, en France, ont découvert au 18e siècle des outils coincés dans une couche de calcaire à 15m sous terre.

La découverte a été enregistré dans l’American Journal of Science et des Arts de 1820 par T.D. Porter, qui a traduit l’étude « Minéralogie » du Comte de Bournon.

Les instruments en bois s’étaient transformés en agate, une pierre dure. T.D.Porter a écrit : « tout tend à prouver que ce travail a été exécuté à l’endroit où les traces sont apparues. La présence de l’homme a alors précédé la formation de cette pierre. Très vraisemblablement l’homme d’alors était déjà arrivé à un tel degré de civilisation que les arts étaient connus de lui, et qu’il forgeait la pierre et en créait des colonnes ».

Comme indiqué dans le cas décrit précédemment, le calcaire est connu pour se former relativement rapidement autour des outils modernes.


3. Un pont vieux d’un million d’année ?


Pont d’Adam, également connu sous le nom de Pont de Rama, ou Ram Setu, est situé entre l’Inde et le Sri Lanka. (NASA)

Selon une ancienne légende indienne, le Roi Rama a construit un pont entre l’Inde et le Sri Lanka, il y a plus d’un million d’années. 


Un tel pont aurait été découvert à partir d’images satellites, mais beaucoup disent qu’il s’agit d’une formation naturelle.

Le Dr Badrinarayanan, ancien directeur de la Commission géologique en l’Inde, a étudié des échantillons de prélèvement du pont. 


Il a été intrigué par l’apparition de blocs apparaissant au dessus de la couche de sable marin, et a supposé que les blocs avaient du être placés artificiellement là.

Aucune explication naturelle particulière n’a été trouvée par les géologues. La datation a été sujette à controverse, car certaines parties du pont (recouvertes de corail) ne pouvaient pas donner une image fidèle de l’âge de la structure du pont.


2. Une bougie d’allumage vieille de 500 000 ans ?


Radiographies de la bougie d’allumage dans une formation minérale

En 1961, trois personnes étaient sur la recherche de pierre de géodes pour leur boutique de cadeaux à Olancha en Californie. 


Ils ont alors trouvé ce qui semblait être une bougie d’allumage enfermée dans une géode. Virginia Maxey, l’une des trois découvreurs, a déclaré à l’époque qu’un géologue avait examiné les fossiles autour de l’appareil et avait daté l’ensemble à plus de 500 000 ans.

Le géologue n’a jamais été nommé, et les coordonnées actuelles de l’artefact sont inconnues. Les détracteurs de cette découverte, Pierre Stromberg et Paul V. 


Heinrich, sont seulement en possession des radiographies et du croquis d’un artiste de l’artefact. Ils pensent que cela était bien une bougie d’allumage moderne enfermée rapidement dans une concrétion rocheuse plutôt que la formation d’une géode.

Mais, Stromberg et Heinrich ont dit qu’« il y a peu de preuves indiquant que les découvreurs originaux aient voulu faire une farce ».

1. Un mur préhistorique près des Bahamas ?


Des pierres immergées au large des côtes des Bahamas seraient selon certains un mur fait par l’homme datant d’il y a plus de 10 000 ans (Shutterstock)

Un mur avec des larges blocs de roche a été trouvé au large des côtes des Bahamas en 1968.

L’archéologue William Donato a effectué plusieurs plongées afin d’enquêter sur le mur et a émis l’hypothèse qu’il s’agit d’une structure artificielle datant d’il y a quelque 12 000 à 19 000 ans construits pour protéger une population préhistorique, des vagues.

Il a trouvé qu’il s’agissait d’une structure à plusieurs niveaux, y compris des pierres de soutien qui semblent avait été placées par mains d’homme. Il a aussi trouvé ce qu’il croit être des pierres d’ancrage avec des trous pour des cordes.

Le Dr Eugene Shinn, un géologue à la retraite qui a travaillé pour l’US Geological Survey, a dit que les échantillons de roches prélevés montraient une formation en eau profonde.

Si tous les échantillons de roche montrent une formation en eau profonde, cela prouverait que la roche s’est formée là où elle est et n’a pas été transportée par l’homme à son emplacement actuel.

Ses résultats d’analyse d’échantillons ont prouvés par la suite qu’il s’agissait d’une formation naturelle. Mais dans une étude antérieure, il a déclaré que seulement 25 % de ses échantillons venaient d’une formation naturelle en profondeur.

Le Dr Greg Little, un psychologue qui a été intéressé par cette structure, a confronté le Dr Eugene Shinn à propos de cette divergence de résultats et Shinn a admis qu’il n’avait pas vraiment pris son étude au sérieux : « je me suis un peu emporté pour faire une bonne histoire ».













L’incroyable cité d'Ur !

L’incroyable cité d'Ur pourrait être l'égal de Gizeh et de ses pyramides…


L'excavation de l'antique cité d'Ur pourrait en faire l'égal des pyramides !
La cité sumérienne d'Ur, où le patriarche Abraham naquit selon la Bible, pourrait devenir aussi célèbre que le site de pyramides de Gizeh en Egypte si une volonté politique existait, assurent les responsables irakiens et étrangers travaillant sur le site. A peine 20% de la cité, située près de Nassiriya, dans le sud l'Irak, ont été découverts lors de fouilles réalisées aux 19e et 20e siècles par des archéologues britanniques et américains.
"Quand les fouilles reprendront, des tonnes d'antiquités seront mis au jour et rempliront les salles de musée. Ce site deviendra peut-être plus important que le site de Gizeh" où se trouvent les pyramides de Khéops, Képhren et Mykérinos ainsi que LE SPHINX, s'enthousiasme Dhaif Mouhssin, responsable de la protection du site.
"Certains archéologues estiment qu'il faudra plus de trente ans pour faire sortir de terre la cité", ajoute l'homme en arpentant son territoire.
Le royaume d'Ur, fondé il y a plus de 4.500 ans, repose enseveli sous un grand tertre balayé par les vents au sommet duquel trône le majestueux Zigourat, une construction de briques à degrés dédiée à la déesse sumérienne de la lune, Nana.
Ur fut l'un des premiers centre de civilisation, établi sur les rives fertiles de l'Euphrate, où pour la première fois dans l'histoire de l'Humanité une écriture sous la forme de symboles cunéiformes a été utilisée.
C'est sous le règne du roi Ur-Nammu (environ 2112-2095 avant notre ère), un guerrier accompli et fondateur de la troisième dynastie de Sumer, que la cité a atteint son apogée pour s'étendre jusqu'à l'Iran. L'économie, la culture, l'art et la poésie ont fleuri. Le royaume était régi par une réelle administration et un code de lois.
"Il est certain que beaucoup plus de matériel reste à découvrir",ASSURE Steve Tinney, professeur d'assyriologie à l'Université de Pennsylvanie (Etats-Unis), à l'origine des premières fouilles scientifiques menées avec le British Museum entre 1922 et 1934.
Il espère que des textes seront découverts pour mieux comprendre la culture et la religion polythéiste sumériennes. "Nous ne possédons pas de littérature sur Ur-Nammu et ses successeurs, sur les rituels et les prières", dit-il, joint par téléphone.
Le site d'Ur pourrait s'avérer unique s'il est confirmé qu'il recèle ce qui pourrait être, selon Dhaif Mouhssin, la demeure du patriarche Abraham, le père des trois religions monothéistes.
"On pense que c'est là qu'il résida car lors des fouilles de 1922, on a retrouvé son nom inscrit sur une pierre", explique-t-il devant un édifice de 27 pièces reconstruit sur ordre de Saddam Hussein en prévision d'une visite en 1999 de Jean Paul II, qui n'a jamais eu lieu.
Protégée par une fragile barrière et quelques gardes, Ur risque toutefois de rester une cité perdue dans un pays encore secoué par la violence et plus préoccupé par sa reconstruction que par l'archéologie.
"Il reste beaucoup à faire et un effort doit être consenti de concert avec le gouvernement central si le pays entend tirer profit de son énorme potentiel et devenir une Mecque du tourisme", estime Anna Prouse, une diplomate italienne responsable de l'Equipe de reconstruction régionale (PRT) dans la province de Zi Qar.
Outre Ur, la province possède 47 sites "d'une grande valeur archéologique", poursuit-elle.
Les autorités provinciales n'ont pas le budget pour entamer des fouilles titanesques et "se concentrent sur l'électricité, les systèmes d'égouts, les écoles, les routes, l'eau potable plutôt que l'archéologie", dit-elle.
Quant au gouvernement irakien, il n'a pas fait preuve jusqu'ici de volonté pour planifier des fouilles, même si des équipes d'archéologues ont recommencé depuis 2005 à travailler, insiste Mme Prouse.
le cimetière royal d'Ur…

Le cimetière royal d’Ur, daté du XXVIe siècle av. J.-C., contient plus de 1 800 tombes, dont 16 tombes royales, construites en pierre ou en brique et voûtées en encorbellement, recelant de grandes quantités d’objets : vases et coupes d’or et d’argent, poignards d’or à pommeau d’argent ou lapis-lazuli, lyres décorées de têtes de taureau, statuette du « bélier pris dans le buisson » en bois plaqué d’or et de lapis-lazuli, l’étendard d'Ur en nacre sur fond de lapis-lazuli, diadème de feuilles d’or, boucles d’oreilles en or massif, collier d’or, de lapis, et de cornaline de la reine Pû-abi, perruque du roi Meskalamdug, façonnée dans une seule feuille d’or ciselée.
L’incroyable cité d'Ur pourrait être l'égal de Gizeh et de ses pyramides…

À Ur, le personnel du roi l’accompagne dans l’au-delà : 59 hommes, 19 femmes et deux chariots à 6 bœufs dans la tombe appelée « chambre du roi », 2 personnes dans le caveau de la reine Pû-abi et 10 femmes, 5 soldats et un char attelé de 2 bœufs dans le corridor d’accès, 68 femmes et 6 hommes dans le « grand puits de la mort ».
Il ne s’agit pas d’exécutions, mais plutôt de suicides collectifs, les individus tenant généralement une petite coupe qui a sans doute contenu le poison qu’ils s’étaient administré eux-mêmes.
C’est sur le corps des êtres humains que les animaux ont été ensuite sacrifiés. Ce rite d’accompagnement est pour le moment unique en Mésopotamie. Les rois Meskalamdug et Akalamdug, un de ses successeurs, sont inconnus des listes royales.
L’étendard d'Ur est une œuvre sumérienne retrouvée dans le cimetière royal. Cet artéfact archéologique dont la fonction est inconnue date probablement du XXVIIe siècle av. J.-C. Découvert par l'archéologue britannique Leonard Woolley dans les années 1920, l'étendard d'Ur est actuellement exposé au British Museum de Londres.

L'étendard d'Ur est un coffre de bois de 27 cm de haut et 48 de long, ajusté d'une mosaïque de nacre et de calcaire rouge, sur fond de lapis-lazuli. Il est actuellement dans un état restauré, les effets du temps au cours de plusieurs millénaires ayant dégradé le bois et le bitume servant de colle à la mosaïque.
Sa fonction originale n'est pas clairement connue. Leonard Woolley suggère qu'il était transporté sur une hampe, porté comme étendard. On a également supposé que c'était la caisse de résonance d'un instrument musical.
L'étendard comporte quatre côtés : deux plus importants de forme rectangulaire, désignés sous le nom de « face de la Guerre » et « face de la Paix » selon l'analyse donnée par les scènes qui y sont représentées ; les extrémités de forme trapézoïdale, et moins bien conservées, mettent en scène des animaux et des humains.
Chacun de ces quatre côtés comporte trois registres horizontaux, qui se lisent de bas en haut et de gauche à droite, sauf pour les deux registres supérieurs où les personnages convergent vers le roi (au centre sur la face de la Guerre et à gauche sur la face de la Paix).

Le casque de Meskalamdug…


La mystérieuse Ziggourat…