Voitures anciennes - La Salmson S4 61L1
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jeudi 31 janvier 2013
Voitures anciennes - Dodge Coupé 1940 !
Voitures anciennes - Dodge Coupé 1940
http://photos.automobiles.free.fr/Anciennes/Bourse_echange_Pressigny_les_Pins/Dodge_Coupe_1940_3.JPG
mercredi 30 janvier 2013
Laurel y Hardy - En cada puerto un terror Español !
Laurel y Hardy - En cada puerto un terror Español
mardi 29 janvier 2013
lundi 28 janvier 2013
Herbert James DRAPER (1863-1920) - Mer d’Été !
Herbert James DRAPER (1863-1920) - Mer d’Été
Herbert James Draper (1863 - 1920), peintre britannique de l'époque victorienne se concentre surtout sur les thèmes mythologiques de la Grèce antique. Son tableau « Pleurs pour Icare » (1898) remporte la médaille d'or de l'Exposition Universelle de Paris en 1900.
Bien qu'il ne soit ni un membre ni associé à la Royal Academy, il prend part aux expositions annuelles à partir de 1897. Il devient un portraitiste connu mais sa popularité faiblit à la fin de sa vie et il est maintenant presque oublié.
Cameron PRINSEP (1838-1904) - Cendrillon !
Cameron PRINSEP (1838-1904) - Cendrillon
Valentine Cameron Prinsep, alias Val Princep, (14 février 1838, Calcutta (Inde) –4 novembre 1904, Londres) était un artiste-peintre anglais, associé à la fraternité préraphaélite.
Cendrillon est un conte populaire et le nom du personnage central. L'Occident connaît surtout cette histoire à travers les versions fixées par Charles Perrault dans Cendrillon ou la Petite Pantoufle de verre et par les frères Grimm dans Aschenputtel.
le conte pose deux images fondamentales de la femme: l'idéal féminin, sublimé, qui attire tous les regards et l'image de la femme simple, sauvage et farouche après minuit..
John George BROWN (1831-1913) - La fleuriste !
John George BROWN (1831-1913) - La fleuriste
Brown est devenu célèbre pour ses représentations de gamins qu'il a trouvés dans les rues de New York, comme cireurs de chaussures, musiciens de rue, des vendeurs, camelots, etc ,sont de bons exemples de son talent populaire. Art brun est mieux caractérisée comme peintures de genre britanniques adaptés à des sujets américains. Essentiellement littéraire, il est exécuté avec des détails précis, mais est pauvre en couleurs, en plus populaire auprès du grand public que des connaisseurs.
John George Brown (11 Novembre 1831 - Février 8, 1913), peintre britannique et américaine, est né à Durham, en Angleterre, le 11 Novembre 1831. Il a étudié à Newcastle -on-Tyne, à l'Académie d'Edimbourg.
samedi 26 janvier 2013
George Wesley BELLOWS (1882-1925) - Anne en blanc !
George Wesley BELLOWS (1882-1925) - Anne en blanc
George Wesley Bellows, né à Colombus (Ohio) le 12 ou le 19 août 1882 et mort à New York le 8 janvier 1925, est un peintre américain.
À 22 ans, Bellows se forme chez le peintre new-yorkais Robert Henri. Il s'attache à représenter la ville américaine et la vie quotidienne de ses habitants. Ses scènes intenses de combats de boxe l'ont rendu célèbre. Il réalise aussi des paysages du Maine et de Rhode Island.
Simon VOUET - Loth et ses filles (1633) !
Simon VOUET - Loth et ses filles (1633)
Loth et ses filles (1633) est un des chefs-d’œuvre de Simon Vouet et du musée des Beaux-Arts de Strasbourg. Chef-d’œuvre trouble et limpide. Malgré son lyrisme, demeure le sujet, scabreux, auquel répond une manière brillante (" classicisante ") avec des restes de la leçon romaine (" caravagesque "). Entrée au musée en 1937 grâce au courage de Hans Haug, cette peinture a depuis servi de point de repère pour la connaissance de Vouet (qui data peu d’œuvres) et incarna même un moment l'œuvre entière de Vouet. Maintenant que cet artiste a reconquis sa place dans l’histoire de la peinture française (depuis la grande exposition du Grand Palais organisée par Jacques Thuillier en 1990), il est temps d'aborder toutes les facettes de cette " mythologie biblique ".
Eustache LE SUEUR (1616-1655) - Erato et Polymnie !
Eustache LE SUEUR (1616-1655) - Erato et Polymnie
Fils d'un sculpteur sur bois, il est l'élève de Simon Vouet et devient l'un des premiers professeurs de l'Académie royale de peinture et de sculpture. Son art reflète une volonté de dépouillement fort rare pour l'époque, afin sans doute de marquer la différence entre peinture décorative et académisante de ses contemporains. On le comparait parfois au primitifs italiens. Il est aujourd'hui considéré comme un des peintres les plus personnels du xviie siècle, un de ceux qui surent échapper, du moins en partie, à l'empire de l'académisme issu du baroque italien.
Eustache Lesueur ou Le Sueur, né à Paris le 19 novembre 1616 et mort à Paris le 30 avril 1655, est un peintre et dessinateur français de style baroque, considéré comme l'un des fondateurs de la peinture française classique et parfois surnommé « le Raphaël français ».
Pierre MIGNARD - la Vierge aux raisins (1660) !
Pierre MIGNARD - la Vierge aux raisins (1660)
Pierre Mignard, né à Troyes le 7 novembre 1612 et mort à Paris le 30 mai 1695 est un artiste-peintre français.
Mignard partage sa carrière entre le portrait - il est la coqueluche des grandes dames du royaume pour cela - et les grandes compositions décoratives. Il peindra notamment au château de Versailles. En juin 1687, il est anobli par le roi qui, en 1690 – à la mort de Le Brun – le nomme son premier peintre, en fait le directeur des manufactures royales et le fait d'office entrer à l'Académie royale de peinture et sculpture et y siéger comme directeur.
Cette toile pleine de fraîcheur et de luminosité se trouve au musée du Louvre à Paris. La Sainte Vierge est assise. Elle porte une robe rouge recouverte d'un manteau bleu. Elle tient dans le bras gauche l'Enfant Jésus. De sa main droite, elle présente à l'enfant une grappe de raisin. L'Enfant Jésus caresse de sa petite main droite la grappe de raisin et de sa main gauche soulève le voile qui couvre la tête de sa maman.
Gérard de LAIRESSE - Apollon et Aurore (1671) !
Gérard de LAIRESSE - Apollon et Aurore (1671)
La facture de Lairesse est classique, bien plus proche de la vigoureuse peinture de cour française que de la tradition hollandaise. En fait, il contribua à la pénétration du goût français aux Pays-Bas. Surnommé le « nouvel Apelle » par Guillaume III15, appelé aussi le « Poussin hollandais », et parfois même comparé à Raphaël16, il réalisa principalement des tableaux de grand format, représentant des scènes mythologiques ou historiques tirées d'auteurs classiques, comme Ovide (Les Métamorphoses), Virgile (Les Bucoliques), Tacite (Les Annales) ou Tite-Live, mais emprunta également des sujets à la Bible, aussi bien de l'Ancien que du Nouveau Testament. Il réalisa également bon nombre d'allégories (entre autres, des Arts, de la Vertu, de la Liberté du Commerce, d'Amsterdam, de Guillaume III).
Son style semble dériver de bon nombre d’artistes italiens et français de la génération précédente, comme Salvatore Rosa, Giovanni Benedetto Castiglione, Carlo Maratta et Nicolas Poussin, mais il s'apparente plus encore à certains de ses contemporains comme le Français Charles Le Brun et l'Italien Sebastiano Ricci.
Parmi ses tableaux les plus remarquables, on peut citer l’Allégorie des cinq sens de 1668 (Glasgow), l’Allégorie de la liberté du Commerce (Palais de la Paix, La Haye), Vénus présentant ses armes à Énée (Museum Mayer van den Bergh, Anvers), et Séléné et Endymion, réalisé vers 1677 (Rijksmuseum, Amsterdam), qui représente la déesse de la Lune rendant visite avec Cupidon à son amant plongé dans le sommeil éternel.
vendredi 25 janvier 2013
Francois BOUCHER (1703-1770) - Hercule et Omphale !
Francois BOUCHER (1703-1770) - Hercule et Omphale
Il peint notamment des scènes pastorales ou mythologiques d'une gracieuse virtuosité. Ses œuvres tardives sont sensuelles, décrivent un monde idyllique. Son style passe de mode avec l'arrivée du néoclassicisme.
François Boucher, peintre et goguettier français du xviiie siècle est l'exemple type du style rococo.
Boucher est admis à l'Académie royale de peinture et de sculpture en tant que membre en 1734 et succède à Carle Vanloo comme Premier Peintre de Louis XV en 1765.
Jean-Baptiste GREUZE (1725-1805) - La Blanchisseuse !
Jean-Baptiste GREUZE (1725-1805) - La Blanchisseuse
Jean-Baptiste Greuze, né à Tournus le 21 août 1725 et mort à Paris le 21 mars 1805, est un peintre et dessinateur français.
Greuze peignit de nombreux portraits et subit quelques critiques pour ses toiles libertines. Il s'est également essayé aux thèmes allégoriques
Jean-Baptiste Greuze a eu entre autres pour élèves Jeanne Philiberte Ledoux (1767-1840), Marie Renée Geneviève Brossard de Beaulieu, Charles-Henri Desfossez, Anna-Geneviève Greuze, Constance Mayer, Pierre Alexandre Wille.
E.Vigee Lebrun (1778) - Hébé !
Elisabeth Vigee Lebrun (1778) - Hébé !
Louise-Élisabeth Vigée, épouse Lebrun, dite Madame Vigée-Lebrun, née le 16 avril 1755 à Paris, et morte dans la même ville le 30 mars 1842, est une peintre française, généralement considérée comme une grande portraitiste de son temps à l'égal de Quentin de La Tour ou Jean-Baptiste Greuze.
Ce sera la protection de Marie-Antoinette, traduite par un ordre de Louis XVI qui lui permet d’être reçue à l’Académie royale de peinture et de sculpture le 31 mai 1783 en même temps que sa concurrente Adélaïde Labille-Guiard et contre la volonté de Pierre, premier peintre du roi.
Dans la nuit du 5 au 6 octobre 1789, alors que la famille royale est ramenée de force à Paris, Élisabeth quitte la capitale avec sa fille et cent louis, laissant derrière elle son époux qui l'encourage à partir, ses peintures et sa fortune. Elle dira plus tard de la fin de l’Ancien Régime : « Les femmes régnaient alors, la Révolution les a détrônées. »
L’artiste part en exil à Rome, Vienne, Londres, et surtout à Saint-Pétersbourg, où elle fera un séjour de plusieurs années favorisée par des commandes de la haute société russe.
Antoine-Jean GROS - les pestiferés de Jaffa (1804) !
Antoine-Jean GROS - les pestiferés de Jaffa (1804)
Le tableau représente Napoléon pendant une scène qui a eu lieu à Jaffa, en 1799, pendant laquelle il motive ses troupes et où il s'approche et touche des malades d'une épidémie de peste qui sévit dans l'armée .
Au moment où Napoléon Bonaparte devient empereur, cet épisode évoque la tradition de guérison thaumaturgique des écrouelles par les rois de France, qui recevaient et touchaient des scrofuleux afin de les guérir.
La réalité semble assez loin de cette image mythique : le 23 avril 1799, pendant le siège de Saint-Jean-d'Acre, Bonaparte suggère à Desgenettes, médecin en chef de l'expédition, d'administrer de l'opium aux malades, c'est-à-dire de les euthanasier. Desgenettes refuse. Le 27 mai de la même année, Bonaparte rend une deuxième visite aux pestiférés de Jaffa.
Anne-Louis GIRODET (1767-1824) - L'enterrement d'Atala !
L'œuvre de Girodet se situe à la charnière des deux grands courants artistiques du xixe siècle. La recherche de la beauté idéale selon les canons classiques du peintre l'inscrit dans la lignée des peintres néoclassiques davidiens, alors même que, par une forte volonté d'innovation, il imprègne ses peintures d'une grâce et d'une poésie singulière, en harmonie avec l'air du temps de son époque, qui préfigure le romantisme.
Anne-Louis Girodet de Roucy, plus connu sous son nom d'artiste Girodet-Trioson, ou plus simplement Girodet, est un peintre français né à Montargis le 5 janvier 1767, mort à Paris le 9 décembre 1824.
À la peinture d'Histoire, il préfère une sorte de symbolisme éthéré, des scènes de genre, dramatisant à l'excès ses sujets, il excelle dans la pose et le travail de la lumière. Il a bousculé les codes de la sensualité et les a appliqué à des scènes religieuses.
Jean-Auguste-Dominique INGRES (1780-1867) - Napoléon sur le Trône impérial !
Jean-Auguste-Dominique INGRES (1780-1867) - Napoléon sur le Trône impérial
En 1806, Ingres découvre à Rome Raphaël et le Quattrocento, qui marquent définitivement son style. Ces années de travail sont les plus fécondes avec les nus, parmi lesquels La Baigneuse, les paysages, les dessins, les portraits et les compositions historiques.
Jean-Auguste-Dominique Ingres, né le 29 août 1780 à Montauban et mort le 14 janvier 1867 à Paris, est un peintre français néo-classique du xixe siècle.
Il est en pleine possession de son art. En France, cependant, ses toiles peintes en Italie ne plaisent pas. L’artiste décide alors de rester à Rome.
Son influence se ressent dans la peinture académique et jusque chez les impressionnistes Auguste Renoir et Edgar Degas.
En 1806, Ingres découvre à Rome Raphaël et le Quattrocento, qui marquent définitivement son style. Ces années de travail sont les plus fécondes avec les nus, parmi lesquels La Baigneuse, les paysages, les dessins, les portraits et les compositions historiques.
Jean-Auguste-Dominique Ingres, né le 29 août 1780 à Montauban et mort le 14 janvier 1867 à Paris, est un peintre français néo-classique du xixe siècle.
Il est en pleine possession de son art. En France, cependant, ses toiles peintes en Italie ne plaisent pas. L’artiste décide alors de rester à Rome.
Son influence se ressent dans la peinture académique et jusque chez les impressionnistes Auguste Renoir et Edgar Degas.
Jean-Louis MEISSONIER (1815-1891) - Les joueurs de cartes !
Jean-Louis MEISSONIER (1815-1891) - Les joueurs de cartes
Il appartient au courant artistique académique, dit « pompier ». Il fut considéré de son vivant comme un maître comparable aux plus grands génies. La critique vantait dans ses œuvres l’harmonie de l’ordonnance, la justesse de la composition, de même que le charme de la couleur. Connu pour ses scènes de genre militaires napoléoniennes (réalisées sous le Second Empire), Meissonier a eu en son temps gloire et honneurs. Ses peintures sont sans doute les plus chères qui se soient vendues au xixe siècle, ainsi entre 1884 et 1890 pouvait-t-il vendre certains de ces tableaux entre 100 000 et près de 200 000 francs de l'époque.
Une de ses œuvres les plus connues est le tableau intitulé Campagne de France, 18142. D'un petit format assez inhabituel pour une peinture d'histoire militaire, ce tableau témoigne de son savoir-faire habile et minutieux. Malgré les dimensions réduites, la vaste étendue de la plaine désolée et le lourd ciel gris donnent de l'ampleur à la scène, tout comme la perspective dilatée autour de la figure centrale de l'Empereur, magnifié par un point de vue en léger contrebas.
Jean-Louis-Ernest Meissonier, né à Lyon le 21 février 1815 et mort à Paris le 21 janvier 1891, est un artiste-peintre et sculpteur français, spécialisé dans le peinture historique militaire. Peintre très soucieux du détail authentique, il s'inscrit dans le mouvement de réalisme historique qui apparaît dans les arts plastiques sous le Second Empire.
Il appartient au courant artistique académique, dit « pompier ». Il fut considéré de son vivant comme un maître comparable aux plus grands génies. La critique vantait dans ses œuvres l’harmonie de l’ordonnance, la justesse de la composition, de même que le charme de la couleur. Connu pour ses scènes de genre militaires napoléoniennes (réalisées sous le Second Empire), Meissonier a eu en son temps gloire et honneurs. Ses peintures sont sans doute les plus chères qui se soient vendues au xixe siècle, ainsi entre 1884 et 1890 pouvait-t-il vendre certains de ces tableaux entre 100 000 et près de 200 000 francs de l'époque.
Une de ses œuvres les plus connues est le tableau intitulé Campagne de France, 18142. D'un petit format assez inhabituel pour une peinture d'histoire militaire, ce tableau témoigne de son savoir-faire habile et minutieux. Malgré les dimensions réduites, la vaste étendue de la plaine désolée et le lourd ciel gris donnent de l'ampleur à la scène, tout comme la perspective dilatée autour de la figure centrale de l'Empereur, magnifié par un point de vue en léger contrebas.
Jean-Louis-Ernest Meissonier, né à Lyon le 21 février 1815 et mort à Paris le 21 janvier 1891, est un artiste-peintre et sculpteur français, spécialisé dans le peinture historique militaire. Peintre très soucieux du détail authentique, il s'inscrit dans le mouvement de réalisme historique qui apparaît dans les arts plastiques sous le Second Empire.
Le Palais des ombres !
Le Palais des ombres
Depuis quelque temps, il se passe des choses étranges au palais des Papes d’Avignon. Les employés, sujets à des hallucinations, perçoivent des présences sombres et inquiétantes. Désemparée face à cette situation pour le moins troublante, la directrice des lieux, Tatiana Sharpova, décide de faire appel au détective privé Richard Chambers, un ancien flic sans histoire coulant des jours calmes et paisibles. Sa vie en sera bouleversée : aidé par un vieux chaman gitan qui l’initie à sa magie, il va devoir affronter des forces démoniaques et les anéantir avant qu’elles ne le détruisent. Meurtres mystérieux, rituels magiques, menaces diaboliques, ce roman mêle habilement fantastique et policier, action et sorcellerie, avec pour toile de fond la cité des Papes et son palais au passé tumultueux et sanglant.
Depuis quelque temps, il se passe des choses étranges au palais des Papes d’Avignon. Les employés, sujets à des hallucinations, perçoivent des présences sombres et inquiétantes. Désemparée face à cette situation pour le moins troublante, la directrice des lieux, Tatiana Sharpova, décide de faire appel au détective privé Richard Chambers, un ancien flic sans histoire coulant des jours calmes et paisibles. Sa vie en sera bouleversée : aidé par un vieux chaman gitan qui l’initie à sa magie, il va devoir affronter des forces démoniaques et les anéantir avant qu’elles ne le détruisent. Meurtres mystérieux, rituels magiques, menaces diaboliques, ce roman mêle habilement fantastique et policier, action et sorcellerie, avec pour toile de fond la cité des Papes et son palais au passé tumultueux et sanglant.
Les Trois amies et le maître apprenti !
Les Trois amies et le maître apprenti
« Le deuxième prit une dague et sa rapière puis attaqua. Flavien para et attaqua à son tour. Il agrippa sa dague et se battit, lui aussi, à deux armes. Son adversaire lui fi t un double couronné que Flavien para, avant de pousser l’homme contre un arbre en lui faisant lâcher la rapière. Il continua en lui transperçant le coeur et lui enfonçant la lame de sa dague sous le cou ». Dans un grand fracas d’épées s’entrechoquant, Masque de Fer signe un roman de cape et d’épée détonnant. D’intrigues en cabales dans les coulisses du pouvoir, de combats épiques en péripéties haletantes, aucun répit n’est accordé à Flavien de Versailles, jeune héros sans peurs, assoiffé de justice et à l’honneur irréprochable. Au détour d’un chemin, au coin d’une rue, sur la mer ou à cheval, l’aventure n’est jamais loin.
« Le deuxième prit une dague et sa rapière puis attaqua. Flavien para et attaqua à son tour. Il agrippa sa dague et se battit, lui aussi, à deux armes. Son adversaire lui fi t un double couronné que Flavien para, avant de pousser l’homme contre un arbre en lui faisant lâcher la rapière. Il continua en lui transperçant le coeur et lui enfonçant la lame de sa dague sous le cou ». Dans un grand fracas d’épées s’entrechoquant, Masque de Fer signe un roman de cape et d’épée détonnant. D’intrigues en cabales dans les coulisses du pouvoir, de combats épiques en péripéties haletantes, aucun répit n’est accordé à Flavien de Versailles, jeune héros sans peurs, assoiffé de justice et à l’honneur irréprochable. Au détour d’un chemin, au coin d’une rue, sur la mer ou à cheval, l’aventure n’est jamais loin.
Itinéraire d'un soldat !
Itinéraire d'un soldat
« Un jour où Michel était chargé avec deux parachutistes de récupérer les poubelles des différentes positions françaises avec un véhicule benne flambant neuf arrivé de France quelques jours auparavant, je l’ai vu allongé sur le dos, sur son lit de camp, l’air bizarre, les yeux grands ouverts après cette mission. Il venait de lui arriver un pépin et il le revivait. Voir Michel sur son lit à revivre et revivre la scène les yeux grands ouverts était très solennel. Il venait d’en prendre un coup mais il savait pouvoir compter sur nous pour refaire surface. Cet incident nous prouvait qu’à tout moment, nous pouvions être pris à partie et nous obligeait à redoubler de vigilance à chacune de nos sorties ». Marc Vitry ouvre son coeur dans une autobiographie tout en sincérité. Entre voyages, rencontres, difficultés, joies et déceptions, il revient sur son parcours professionnel et sentimental, offrant une vision à la fois authentique et pertinente du monde militaire. Ouvrage complet, Itinéraire d’un soldat constitue autant un témoignage qu’un biais pour l’auteur de clore un chapitre important de sa vie et de regarder l’avenir avec sérénité.
« Un jour où Michel était chargé avec deux parachutistes de récupérer les poubelles des différentes positions françaises avec un véhicule benne flambant neuf arrivé de France quelques jours auparavant, je l’ai vu allongé sur le dos, sur son lit de camp, l’air bizarre, les yeux grands ouverts après cette mission. Il venait de lui arriver un pépin et il le revivait. Voir Michel sur son lit à revivre et revivre la scène les yeux grands ouverts était très solennel. Il venait d’en prendre un coup mais il savait pouvoir compter sur nous pour refaire surface. Cet incident nous prouvait qu’à tout moment, nous pouvions être pris à partie et nous obligeait à redoubler de vigilance à chacune de nos sorties ». Marc Vitry ouvre son coeur dans une autobiographie tout en sincérité. Entre voyages, rencontres, difficultés, joies et déceptions, il revient sur son parcours professionnel et sentimental, offrant une vision à la fois authentique et pertinente du monde militaire. Ouvrage complet, Itinéraire d’un soldat constitue autant un témoignage qu’un biais pour l’auteur de clore un chapitre important de sa vie et de regarder l’avenir avec sérénité.
Bichette et la guerre !
Bichette et la guerre
Claudie, surnommée Bichette, a 9 ans quand la Seconde Guerre mondiale éclate. Dans la campagne, près de Cherbourg, la fillette subit ce spectacle d’apocalypse, perds sa mère et doit se séparer de son père. Entre innocence et détermination, l’écolière va participer à sa façon à la Résistance qui s’organise dans son entourage. Son adolescence va ainsi être marquée par cette guerre et l’affolement qui gagne la population. Heureusement, avec la Libération, viendront les signes du bonheur. Bichette et la Guerre est le récit d’une histoire vécue, celle d’une petite fille qui grandit pendant la guerre, dans une atmosphère de panique générale. Néanmoins, ce sont l’audace et le courage de Claudie qui sont mis en avant, à travers son périple dans une France affaiblie et dévastée.
Claudie, surnommée Bichette, a 9 ans quand la Seconde Guerre mondiale éclate. Dans la campagne, près de Cherbourg, la fillette subit ce spectacle d’apocalypse, perds sa mère et doit se séparer de son père. Entre innocence et détermination, l’écolière va participer à sa façon à la Résistance qui s’organise dans son entourage. Son adolescence va ainsi être marquée par cette guerre et l’affolement qui gagne la population. Heureusement, avec la Libération, viendront les signes du bonheur. Bichette et la Guerre est le récit d’une histoire vécue, celle d’une petite fille qui grandit pendant la guerre, dans une atmosphère de panique générale. Néanmoins, ce sont l’audace et le courage de Claudie qui sont mis en avant, à travers son périple dans une France affaiblie et dévastée.
La Femme au rasoir !
La Femme au rasoir
Septembre 2004. Alan Davignon a accepté de partir en Afghanistan en tant que reporter pour couvrir les premières élections libres. Sa femme, Claire, ne supporte pas cette décision prise à la légère. Débute alors l’aventure d’un homme dans un pays où les massacres continuent de faire rage. Propulsé sur la scène médiatique pour une photo de femme prise au hasard dans le feu de l’action, Alan ouvre soudain les yeux sur la société où l’image dicte sa loi : sa photographie alimente la presse du monde entier, mais que reste-t-il de la détresse de cette Afghane en deuil, qu’un journaliste surnommera « la femme au rasoir ». L’histoire d’un photographe, d’un père loin de sa famille, en plein désert afghan. L’histoire d’une femme, en proie à la douleur, prête à tout pour mettre fin à ses souffrances. L’histoire d’une rencontre et d’une photo qui, entre succès et coups bas, auront des conséquences inattendues. Jean-Claude Vian signe une analyse brillante des médias et de la réalité du monde. Mêlant fiction et actualité, récit et carnet de voyage, La Femme au rasoir est un roman alarmant, mais surtout profondément altruiste.
Septembre 2004. Alan Davignon a accepté de partir en Afghanistan en tant que reporter pour couvrir les premières élections libres. Sa femme, Claire, ne supporte pas cette décision prise à la légère. Débute alors l’aventure d’un homme dans un pays où les massacres continuent de faire rage. Propulsé sur la scène médiatique pour une photo de femme prise au hasard dans le feu de l’action, Alan ouvre soudain les yeux sur la société où l’image dicte sa loi : sa photographie alimente la presse du monde entier, mais que reste-t-il de la détresse de cette Afghane en deuil, qu’un journaliste surnommera « la femme au rasoir ». L’histoire d’un photographe, d’un père loin de sa famille, en plein désert afghan. L’histoire d’une femme, en proie à la douleur, prête à tout pour mettre fin à ses souffrances. L’histoire d’une rencontre et d’une photo qui, entre succès et coups bas, auront des conséquences inattendues. Jean-Claude Vian signe une analyse brillante des médias et de la réalité du monde. Mêlant fiction et actualité, récit et carnet de voyage, La Femme au rasoir est un roman alarmant, mais surtout profondément altruiste.
Avant-postes de cavalerie légère: Souvenirs !
Avant-postes de cavalerie légère: Souvenirs
De très belles images de l'épopée Napoléonienne !
De très belles images de l'épopée Napoléonienne !
Au Nom de Compostelle !
Au Nom de Compostelle
Au début de l'été 1240, une caravane part de Montpellier pour Saint-Jacques-de-Compostelle : pénitents sincères, pèlerins professionnels payés pour faire le voyage, opportunistes, mercenaires, espions... Sur fond d'Inquisition et de soulèvement cathare, des rivalités, des jalousies, des amourettes, des vols et des meurtres.
Au début de l'été 1240, une caravane part de Montpellier pour Saint-Jacques-de-Compostelle : pénitents sincères, pèlerins professionnels payés pour faire le voyage, opportunistes, mercenaires, espions... Sur fond d'Inquisition et de soulèvement cathare, des rivalités, des jalousies, des amourettes, des vols et des meurtres.
Mary l'Irlandaise !
Mary l'Irlandaise
Au printemps 1833, à peine âgée de 14 ans, Mary quitte l'Irlande pour les Etats-Unis. A Québec, où le bateau fait escale, son oncle et sa tante, qui s'étaient engagés à veiller sur elle, l'abandonnent. En cette période troublée qui mène à la rébellion de 1837, Mary devra se battre pour survivre. Elle côtoiera la maladie et la mort, rencontrera l'amitié et trouvera l'amour. Avec cette écriture vivante et directe qu'on lui connaît, Maryse Rouy trace le portrait d'une femme volontaire et généreuse qui prend place parmi les héroïnes les plus fortes et les plus attachantes du roman contemporain.
Au printemps 1833, à peine âgée de 14 ans, Mary quitte l'Irlande pour les Etats-Unis. A Québec, où le bateau fait escale, son oncle et sa tante, qui s'étaient engagés à veiller sur elle, l'abandonnent. En cette période troublée qui mène à la rébellion de 1837, Mary devra se battre pour survivre. Elle côtoiera la maladie et la mort, rencontrera l'amitié et trouvera l'amour. Avec cette écriture vivante et directe qu'on lui connaît, Maryse Rouy trace le portrait d'une femme volontaire et généreuse qui prend place parmi les héroïnes les plus fortes et les plus attachantes du roman contemporain.
Services secrets contre cuirassés: Brest, 1940-1942 !
Services secrets contre cuirassés: Brest, 1940-1942
Battant 22 pavillons de victoire à leurs drisses, soit quelque 145 000 tonnes de navires coulés, les cuirassés allemands SCHARNHORST et GNEISENAU entraient le 22 mars 1941 en rade de Brest. Une nouvelle et terrible menace s'était abattue sur les convois de l'Atlantique. Pour la cause alliée, des renseignements sur les cuirassés et les sous-marins basés à Brest étaient dorénavant d'une nécessité vitale. Peu après cet événement, celui qui allait devenir le colonel REMY, frappait à la porte du lieutenant de vaisseau PHILIPPON, ancien officier en second du sous-marin " Ouessant " et pour l'heure jardinier en uniforme de la base navale occupée. " Je suis chargé de mission et j'arrive de Londres ", déclara REMY d'emblée. Quand les deux hommes se séparent, l'officier de Marine avait accepté une tâche redoutable et le pseudonyme d'Hilarion. Malgré les arrestations, la terreur des raids aériens au cours desquels 3 300 avions déversèrent 4 000 tonnes de bombes sur le port et sur la ville, et surtout le drame de conscience provoqué par les souffrances de la population brestoise, jour après jour, Hilarion persévéra. Son activité clandestine contribua si efficacement à bloquer le SCHARNHORST, le GNEISENAU et le croiseur PRINZ EUGEN à Brest, et à envoyer par le fond le cuirassé BISMARCK, que la Marine britannique tint à le dire dans un message sans autre exemple durant la guerre. Cet officier de Marine exemplaire était un homme de cœur exigeant pour lui-même comme pour les autres. Il avait une grande passion pour la mer et pour la Marine et souhaitait que la France y trouve l'une des sources de sa puissance et de son rayonnement.
Battant 22 pavillons de victoire à leurs drisses, soit quelque 145 000 tonnes de navires coulés, les cuirassés allemands SCHARNHORST et GNEISENAU entraient le 22 mars 1941 en rade de Brest. Une nouvelle et terrible menace s'était abattue sur les convois de l'Atlantique. Pour la cause alliée, des renseignements sur les cuirassés et les sous-marins basés à Brest étaient dorénavant d'une nécessité vitale. Peu après cet événement, celui qui allait devenir le colonel REMY, frappait à la porte du lieutenant de vaisseau PHILIPPON, ancien officier en second du sous-marin " Ouessant " et pour l'heure jardinier en uniforme de la base navale occupée. " Je suis chargé de mission et j'arrive de Londres ", déclara REMY d'emblée. Quand les deux hommes se séparent, l'officier de Marine avait accepté une tâche redoutable et le pseudonyme d'Hilarion. Malgré les arrestations, la terreur des raids aériens au cours desquels 3 300 avions déversèrent 4 000 tonnes de bombes sur le port et sur la ville, et surtout le drame de conscience provoqué par les souffrances de la population brestoise, jour après jour, Hilarion persévéra. Son activité clandestine contribua si efficacement à bloquer le SCHARNHORST, le GNEISENAU et le croiseur PRINZ EUGEN à Brest, et à envoyer par le fond le cuirassé BISMARCK, que la Marine britannique tint à le dire dans un message sans autre exemple durant la guerre. Cet officier de Marine exemplaire était un homme de cœur exigeant pour lui-même comme pour les autres. Il avait une grande passion pour la mer et pour la Marine et souhaitait que la France y trouve l'une des sources de sa puissance et de son rayonnement.
Les Héroïnes de la Grande Guerre !
Les Héroïnes de la Grande Guerre
Dans l’esprit de tous, le héros de la Grande Guerre demeure sans conteste le brave « poilu » des tranchées prêt à endurer mille tourments pour défendre sa patrie. Se souvient-on qu’il a eu de nombreuses « sœurs d’armes » ?
à partir de 1914, dans bien des domaines, les femmes remplacent les hommes mobilisés : les voilà embauchées dans les usines, les bureaux et les ateliers. L’armée répugne encore à faire appel à elles, mais l’invasion du territoire et le caractère durable de la guerre bouleversent les règles du jeu. Plusieurs femmes vont alors se distinguer. Elles soignent sous les obus, cachent des soldats égarés, espionnent, parfois font le coup de feu.
Magnifiées par la propagande soucieuse d’exalter le patriotisme, de nombreuses héroïnes ont fait la une des journaux : sœur Julie, encensée par Maurice Barrès pour avoir empêché les Allemands d’incendier son hôpital ; Octavie Delacour, qui fait capoter un sabotage en Normandie ; émilienne Moreau, dernière défenseuse d’un poste de secours ; la diva Nelly Martyl, « fée de l’armée de Verdun » ; Edith Cavell, figure légendaire fusillée par les Allemands ; Gabrielle Petit, la Jeanne d’Arc belge. Pourtant, après l’armistice, les exploits féminins sombrent plus ou moins rapidement dans l’oubli.
à travers une quinzaine de portraits, Héroïnes de la Grande Guerre invite le lecteur à partir sur les traces de ces femmes au courage exceptionnel, et à découvrir une nouvelle facette de la première guerre mondiale.
Dans l’esprit de tous, le héros de la Grande Guerre demeure sans conteste le brave « poilu » des tranchées prêt à endurer mille tourments pour défendre sa patrie. Se souvient-on qu’il a eu de nombreuses « sœurs d’armes » ?
à partir de 1914, dans bien des domaines, les femmes remplacent les hommes mobilisés : les voilà embauchées dans les usines, les bureaux et les ateliers. L’armée répugne encore à faire appel à elles, mais l’invasion du territoire et le caractère durable de la guerre bouleversent les règles du jeu. Plusieurs femmes vont alors se distinguer. Elles soignent sous les obus, cachent des soldats égarés, espionnent, parfois font le coup de feu.
Magnifiées par la propagande soucieuse d’exalter le patriotisme, de nombreuses héroïnes ont fait la une des journaux : sœur Julie, encensée par Maurice Barrès pour avoir empêché les Allemands d’incendier son hôpital ; Octavie Delacour, qui fait capoter un sabotage en Normandie ; émilienne Moreau, dernière défenseuse d’un poste de secours ; la diva Nelly Martyl, « fée de l’armée de Verdun » ; Edith Cavell, figure légendaire fusillée par les Allemands ; Gabrielle Petit, la Jeanne d’Arc belge. Pourtant, après l’armistice, les exploits féminins sombrent plus ou moins rapidement dans l’oubli.
à travers une quinzaine de portraits, Héroïnes de la Grande Guerre invite le lecteur à partir sur les traces de ces femmes au courage exceptionnel, et à découvrir une nouvelle facette de la première guerre mondiale.
La Route des Gitans !
La Route des Gitans
Dans une Pologne exsangue et dévastée par la guerre, une Allemagne en proie aux bombardements alliés, où la délation est monnaie courante, Sara la petite danseuse gitane et Franz le déserteur sont pourchassés par la Gestapo. Inspirée par des faits réels, La Route des Gitans est l'histoire de la rencontre improbable de deux mondes. C'est aussi l'histoire bouleversante d'une fuite éperdue et d'un amour tragique. Issu de la culture des Gens du voyage, Miguel Haler nous entraîne dans une époque déjà lointaine où les Gitans du nord de l'Europe parcouraient les routes dans des roulottes de bois tirées par des chevaux et nous livre, avec émotion, leur "presque" testament. Il existe peu de témoignage du Samudaripen "le Génocide oublié", celui des Tziganes et des Gitans qui fut perpétré par le régime nazi entre 1938 et 1945. Ce livre, hommage rendu aux Gens du voyage et acte de mémoire, nous en parle avec justesse et passion.
Dans une Pologne exsangue et dévastée par la guerre, une Allemagne en proie aux bombardements alliés, où la délation est monnaie courante, Sara la petite danseuse gitane et Franz le déserteur sont pourchassés par la Gestapo. Inspirée par des faits réels, La Route des Gitans est l'histoire de la rencontre improbable de deux mondes. C'est aussi l'histoire bouleversante d'une fuite éperdue et d'un amour tragique. Issu de la culture des Gens du voyage, Miguel Haler nous entraîne dans une époque déjà lointaine où les Gitans du nord de l'Europe parcouraient les routes dans des roulottes de bois tirées par des chevaux et nous livre, avec émotion, leur "presque" testament. Il existe peu de témoignage du Samudaripen "le Génocide oublié", celui des Tziganes et des Gitans qui fut perpétré par le régime nazi entre 1938 et 1945. Ce livre, hommage rendu aux Gens du voyage et acte de mémoire, nous en parle avec justesse et passion.
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