Yvette Horner - Yvette Horner Princesse Accordéon (French Accordion)
Wallace Edgar – Le Château de la terreur : Le vieux John Flack, chef de bande et génie du crime, s’échappe du pénitencier de Broadmoor où il purgeait sa peine. Il a juré de se venger du détective J.G. Reeder responsable de son arrestation et de Georges Ravini, son ancien complice qui l’a livré à la police. Reeder pense qu’il va marquer son retour à Londres par un coup d’éclat. Pour la mettre à l’abri, il incite sa secrétaire, Margaret Belman à démissionner en faveur d’une autre place. Effectivement, il déjoue de justesse plusieurs tentatives d’assassinat. Mais quelle bizarre pension de famille est ce « Le Château des larmes » où Margaret a trouvé un engagement ? Est-elle vraiment en sécurité ? Actions haletantes, rebondissements, disparitions et enlèvements jusqu’à une conclusion en grand style…
Wallace Edgar – La porte aux sept serrures : Dick Martin quitte Scotland Yard car il a fait un héritage. Lors de sa dernière mission, il rencontre la jeune bibliothécaire Sybille Lansdown qui a le don de le mettre à son désavantage. Hélas, il a accepté de partir à la poursuite du jeune et insaisissable lord Selford. Dès lors il va entrer de plain pied dans les mystères de la Porte aux sept serrures.
Wallace Edgar – La châtelaine d’Ascot : Julian Lester, jeune mondain célibataire, demande à son ami et détective privé, John Morlay, d’enquêter sur l’état de fortune de la jeune comtesse Marie Fioli qu’il souhaite épouser. Il soupçonne Mrs. Carawood, la tutrice et ancienne nurse de Marie, d’avoir détourné des fonds pour créer la chaîne de magasins de mode à succès qu’elle gère aujourd’hui. Malgré son intérêt pour Marie, John refuse …mais Mrs Carawood semble avoir bien des choses à cacher ! Pourquoi le cambrioleur de bijoux que pourchasse vainement l’inspecteur John Pickles (« Pois Vert » pour ses collègues) s’en prend-il à Marie ? Et quel est le secret de Mrs. Carawood ? Vous ne le saurez pas avant la dernière page…
Wallace Edgar – Jack le justicier : Gregory « le coco » est retrouvé dans un ruisseau, assassiné. Ne faisait-il pas partie, comme Crew « l’aristo », Pinto Silva, Lollie Marsh ou Selby, de la bande du Colonel Dan Boundary ? Aurait-il trahit les « associés » de cette bande qui achète à vil prix les biens de personnes dont ils ont découvert une vulnérabilité ? Car ils sont prudents et cela fait trois ans que Stafford King met toute son énergie, en vain, à trouver un moyen de traduire l’un des « associés » devant la justice. Et voilà qu’un mystérieux « Jack le justicier » s’attaque à la bande signant ses actions d’une carte à jouer : le Jack, le valet de trèfle. Avec sa voix grêle et son allure maniérée son déguisement peut aussi bien cacher un homme qu’une femme. S’agit-il de Solomon White, un associé en train de prendre ses distances avec le colonel ? Ou sa fille Maisie ? Ou un autre ? Dans leurs efforts pour mettre fin aux agissements de la bande Boundary, qui l’emportera : la loi, représentée par Scotland Yard , King et son chef Sir Stanley Belcom ? Ou Jack le justicier ?
Wallace Edgar – Big-Foot : Pauvre Gordon Cardew ! Veuf, ancien notaire, il devrait profiter d’une retraite méritée ! Sa nouvelle passion, la criminologie, l’amène à fréquenter de brillants policiers comme Minter, dit Super, ou Lattimer, son adjoint. Sa secrétaire, Elfa Leigh, le seconde avec efficacité. Une jeune femme charmante pense Jim Ferraby, le jeune procureur.
Wallace Edgar – Angel Esquire : Le vieux Réale, patron de plusieurs casinos égyptiens, s’est retiré à Londres, sa fortune faite. Il a fait construire dans sa maison un gigantesque coffre-fort. William Spedding, son avoué, a recueilli son testament sur lequel figurent ses anciens complices, Jimmy, Connor et Massey ainsi que Kathleen Kent la fille d’une de ses victimes. Sa fortune appartiendra à celui ou celle qui résoudra le rébus qu’il y a laissé et trouvera le mot qui peut ouvrir le coffre. Christopher Angel de Scotland Yard aura besoin de toute sa perspicacité pour résoudre les meurtres qui en découleront et trouver le sésame de l’affaire.
Verne Jules – L’Île à Hélice (première partie) (édition illustrée) : Que de « contretemps » pour ce quatuor de virtuoses parisiens perdus entre San Francisco et San Juan ! Un accident de train, puis leur voiture de louage renversée : les voici à pied… Un inconnu, fort aimable, les recueille et les amène dans une ville du voisinage. Mais ne faut-il pas craindre les « donneurs de cadeaux » ? Comment échoueront-ils, contre leur gré, sur l’Île à Hélice, cette Standard-Islandconstruite par des milliardaires américains, qui les entraînera à la découverte des îles du Pacifique ?
Verne Jules – L’Île à Hélice (2ème partie) : Que de péripéties pour Standard-Island, l’île artificielle des milliardaires américains qui poursuit son périple dans l’océan pacifique ! Abordages, hostilité des Anglais, animaux sauvages, pirates, et… deux clans qui se disputent le pouvoir : l’île à hélice subira les conséquences de leur entêtement…
Varlet Théo – Le dernier Satyre et autres nouvelles : Un mort dans les dunes : quel désastre pour le tourisme d’une station balnéaire ! Méfiez-vous des croisières à la voile trop exotiques … surtout pour votre lune de miel ! Un satyre, ça vieillit comment ? Que faire face au lion dans l’arène quand on est un couple qui s’aime ? Robinson dans le maquis levantin, avant l’établissement dans l’île de sa base militaire, ça vous tente ? Un bouquet de nouvelles modernes ou antiques, coquines ou sombres, qui ne vous laisseront pas indifférents !