Les Témoins de l'invisible - (Livre numérique Google)
Georges Morrannier, disparu tragiquement, communique depuis l'au delà avec sa mère, par écriture intuitive. Dans ce deuxième tome, il nous présente dix êtres spirituels qui, parvenus à une très grande évolution, racontent ce qui constituait leur vie sur le monde de la matière et expliquent ce qu'ils ont découvert dans le monde de l'Esprit. Tous confessent leurs erreurs terrestres et décrivent l'émerveillement dans lequel ils vivent. Ils ont chargés de préparer les êtres terrestres aux données nouvelles que Georges, en sa qualité de physicien, nous apportera, concernant l'immortalité de l'âme, la nature de Dieu et la future religion universelle.
L'aura et le corps immortel - (Livre numérique Google)
Il n'existait jusqu'à présent, aucun ouvrage d'ensemble sur le corps ultra-physique qui a été connu de tout temps par la tradition ésotérique universelle et méconnu par la science, la philosophie et la théologie occidentales de ces trois derniers siècles. Selon les civilisations, ce corps a reçu les noms les plus divers : corps subtil, astral, éthéré, lumineux, spirituel, métaphysique ; ces termes d'ailleurs ne sont pas synonymes. C'est le corps subtil qui est à la base de tous les phénomènes dits paranormaux et qui en donne une explication rationnelle. Apparitions, lévitations, manifestations post mortem, raps, poltergeist, apports, dédoublement, idéoplastie... s'organisent autour de ce dénominateur commun. Commun aux humains et aux animaux, aux incarnés et aux désincarnés, ce corps métaphysique a une forme, une substance, un poids, une couleur, une structure atomique. Il est comme la lumière, dont il porte parfois le nom de nature vibratoire et corpusculaire ; son rayonnement coloré est appelé aura. Il assure stabilité et permanence aux vivants de tous les règnes et, une fois de plus, nous constatons l'unité conceptuelle et physique du cosmos. Le livre de Jean Prieur est une sorte de grand voyage initiatique à travers les religions, les philosophies dissidentes, les traditions ésotériques et occultes des divers siècles et des diverses cultures.
Au seuil de la Vérité, Volume 1 - (Livre numérique Google)
Jeanne Morrannier se trouvait avec ses parents à Hanoï, lors de la dernière guerre mondiale. Après y avoir terminé ses études secondaires, elle se maria et, de retour en France, se consacra à l'éducation de ses trois enfants. L'aîné, Georges, docteur ès sciences, envisageait de passer un doctorat d'Etat, lorsque, perturbé par une dépression psychique due à des exercices incontrôlés de yoga mystique, il se suicida. Depuis 1976, Jeanne Morrannier communique directement avec son fils, en écrivant sous sa dictée. Elle publie, sur sa demande, les explications détaillées qu'il lui donne sur la vie dans l'Au-delà, sur la constitution du corps spirituel et sur la nature de Dieu. C'est Georges qui a, lui-même, choisi le titre, Au seuil de la Vérité, voulant exprimer ainsi que les êtres humains sauront bientôt tout ce qu'ils ont à savoir sur le monde de l'Esprit. Puisse ce document saisissant aider ceux qui ont perdu un être aimé et encourager les scientifiques qui se vouent à la recherche de l'âme humaine et de son immortalité.
Sous les yeux de ses parents, Stéphan a été arraché à cette vie qu'il aimait intensément. Il venait d'avoir quatorze ans. Perdre uni enfant c'est perdre tous ses repères. Trois longues années plus tard, l'auteur parviendra à écrire ce livre, grâce à la vision traditionnelle africaine et à l'expérimentation de la TCI, qui lui ont ouvert les yeux. La disparition brutale de son enfant a fait remonter à la surface cette sagesse enfouie " Je n'étais qu'un aveugle de l'intérieur... Je pensais que la mort était une fin, maintenant je sais qu'il n'en est rien. Mon enfant m'a tout simplement devancé, je le retrouverai bientôt, très bientôt. "
" L’enfant arriva enfin, les mains sales de terre, comme à son habitude. – Il y a une lettre pour toi, je vais l’ouvrir, Denis. Une feuille pliée en quatre protégeant la photographie d’Emma. Au dos de celle-ci : Pour Denis, mon amour ! et pas un mot de plus. – Tiens, c’est ta maman, mais va te laver les mains d’abord. » Dans un hameau d’Auvergne dans les années vingt, Emma aide aux travaux de la ferme auprès de ses parents. Elle tombe amoureuse d’un vacancier qui l’emmène à Paris pour la présenter à sa famille, dit-il. Emma ne réapparaît que deux années plus tard pour confier son enfant, Denis, à ses parents. Puis elle repart et ne donne bientôt plus aucune nouvelle. Denis grandit chez ses grands-parents qui l’élèvent comme leur fils. Au début, pour le réconforter, on lui répète que sa maman viendra le récupérer mais le temps passe et Denis ne sait plus, ou ne veut plus savoir, qui est l’inconnue sur la photographie. Peut-être, même, refuse-t-il désormais qu’elle revienne...
A quoi rêve un enfant lorsqu’il vit dans un pays de sable et de sel, sinon à ce qui peut bien se trouver de l’autre côté de la mer ? Et il s’embarque un beau jour à La Rochelle, se mêle aux matelots qui hissent les voiles d’un vaisseau mettant le cap sur les îles des Caraïbes. Et il rencontre là-bas la misère et la violence qu’il croyait fuir. Comment il tentera toute sa vie de rejoindre la « terre des délices du coeur , en compagnie des boucaniers et flibustiers de l’île de la Tortue ; comment il croira l’avoir trouvée dans la tribu des derniers Indiens Arawaks; comment ses aventures, d’abordages en expéditions sur les côtes américaines, l’amèneront de la gueuserie à la richesse et aux plus hautes fonctions de la marine corsaire avec l’aval de M. Colbert ; comment il connaîtra l’amour et les amours singulières ; comment il disparaîtra dans la forêt vierge - telle est la trame de ce grand roman de mer et d’aventures qui ravira tous ceux qui ont un jour vibré à la lecture de L’lle au Trésor et de Robinson Crusoë.
Qui est Fred Barthélemy, dont Michel Ragon nous fait une biographie si passionnante ? Qui est Flora, la petite fille de ses amours enfantines, devenue marchand de tableaux célèbre et richissime ? La Mémoire des vaincus mêle personnages réels et personnages inventés en une vaste fresque où l’histoire, le mythe, le romanesque et l’autobiographie se conjuguent. Dans le cours du roman, communisme, anarchisme, fascisme apparaissent dans leur complexité, dans leurs luttes féroces, par le biais de personnages historiques dont Michel Ragon nous fait d’étonnants portraits ; mais aussi d’hommes et de femmes moins connus, les obscurs, les éternels vaincus par un pouvoir omnipotent, sans cesse attaqué et sans cesse renaissant. Il n’empêche que ces vaincus, qu’ils se nomment Makhno, Durruti ou Lecoin, ne s’avouent jamais battus et qu’à l’heure où le totalitarisme marxiste fait naufrage, leur increvable esprit de liberté ressuscite.
« Pendant trente ans, ma mère m'a écrit chaque semaine, me racontant son ennui, ses maladies, ses malaises, c'est-à-dire son inquiétude, dont j'étais toujours l'objet. Je n'avais jamais remarqué que ma mère parlait avec cet accent paysan de l'Ouest. Parce que je l'avais perdu. Cette voix de ma mère, au téléphone, a été soudain le rappel d'un accent oublié, d'une autre langue, d'une autre culture. Remontant à mes sources, j'ai recherché mon identité ancestrale et culturelle et j'ai tenté de faire revivre cette mémoire du peuple, cette expression populaire, qui se trouvaient derrière l'accent de ma mère. »
Gibus et crinolines, lionnes voraces exténuant les princes, cris retentissants du peuple qui s’émancipe... Le Paris du Second Empire que nous narre Michel Ragon est celui des métamorphoses et des révolutions. C’est le Paris éventré des grands boulevards, des entreprises pharaoniques d’Haussmann, du règne de la banque et du commerce, qui sent pourtant gronder la classe ouvrière et s’affirmer le socialisme utopique. De ce chaos émerge la figure d’Hector, fils d’ouvrier devenu architecte. Il a pour ami Courbet et pour idole Proudhon, élabore des projets fous, de métal et de verre, pour une ville idéale à l’image de la société nouvelle que tout le monde espère. Dans la veine des Mouchoirs rouges de Cholet et de La Mémoire des vaincus, Michel Ragon poursuit son oeuvre romanesque, mêlant, comme lui seul sait le faire, la précision historique à l’enthousiasme romantique. Roman de l’utopie et de son échec face à l’argent-roi, roman d’amour entre un génie incompris et l’inoubliable Julie, sortie des ruisseaux de la plaine Monceau et qui devient, pour les venger tous les deux, une terrible courtisane destructrice. Fresque passionnante de vingt-cinq ans d’Histoire, Un si bel espoir est aussi le portrait d’une époque et d’un homme épris de liberté.
L’Accent de ma mère, Ma soeur aux yeux d’Asie, Enfances vendéennes racontent une terre, avec son langage, son accent, ses coutumes qui disparaissent. Trois livres de la mémoire populaire, de la recherche d’une identité, d’une enfance provinciale, réunis dans une oeuvre autobiographique passionnante et exemplaire, signée par un grand écrivain d’aujourd’hui.