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dimanche 21 avril 2019
mardi 19 mars 2019
Georges Fleury - Mourir à Lang Son !
Georges Fleury - Mourir à Lang Son
Depuis septembre 1940, l'Indochine, coupée de la France, vit sous le joug japonais. Après plus de quatre années d'occupation, soudain, le 9 mars 1945 à 21 heures, toutes les garnisons françaises sont attaquées. C'est à Lang Son, au Tonkin, que les combats sont les plus acharnés. Le colonel nippon Shizumé fait arrêter par traîtrise le président Auphelle et le colonel Robert, commandant la subdivision. L'officier français refuse de signer l'ordre de reddition de ses troupes, essaimées jusqu'à Dong Dang, la Porte de Chine. Privés de leur chef, les marsouins se battent à un contre cinquante, mais les forts tombent un à un. Le 12 mars, les Nippons massacrent la plus grande partie des survivants et le général Emile Lemonnier est décapité. Les autres subissent l'horreur des camps de la mort lente d'Hoa Binh. Leclerc débarque... Une autre guerre commence. Georges Fleury apporte aujourd'hui des précisions capitales sur le dernier haut fait méconnu de la Seconde Guerre mondiale.
Georges Fleury - Djebels en feu !
Georges Fleury - Djebels en feu
Novembre 1954. Une guerre qui ne porte pas encore son nom éclate en Algérie. Les commandos de la Marine, héritiers des bérets-verts du jour J, rentrent d'Indochine. Ils engagent jusqu'en 1962 un combat professionnel et sans haine contre la rébellion. Les plus jeunes d'entre eux meurent à moins de dix-huit ans.
Fer de lance des bataillons de fusiliers marins formés par Ponchardier jusqu'en 1959, les commandos combattent d'égal à égal les katibas de l'A.L.N. fraîchement infiltrées du Maroc. L'El Gaada d'Aflou, l'oued Mellal, le Goursifane, Ghassoul, Aïn Sefra, djebel Bou Amoud, Mekter, Bou Lherfad et M'Zi sont les mots clés de la longue litanie de leurs batailles.
Georges Fleury - Le combat des harkis !
Georges Fleury - Le combat des harkis
Les Français musulmans qui se sont battus dans les rangs des forces de l’ordre pendant la guerre d’Algérie vivent maintenant dans l’oubli le plus total. Ce livre vient très justement les rappeler au souvenir de ceux qui les avaient employés au combat après leur avoir fait des promesses intenables. Moghaznis, goumiers, spahis, tirailleurs et harkis, Georges Fleury, qui a combattu avec eux, décrit comme ils ne l’avaient jamais été les enthousiasmes de leurs premiers mois de baroud, leurs deuils, leurs défaites, leurs victoires sur un ennemi frère, et leur lâche abandon à la fin de la guerre. « Le combat des Harkis » offre aussi un étonnant panorama des chances gâchées par la France lors des ralliements de masse de hors-la-loi hostiles au F.L.N., comme celui de l’armée de Bellounis, le général du désert.
Georges Fleury - Le 1er Régiment de chasseurs parachutistes (3) : Bérets rouges en Algérie !
Georges Fleury - Le 1er Régiment de chasseurs parachutistes (3) : Bérets rouges en Algérie
Héritier des fameux Groupements d’Infanterie de l’Air, créé en 1943 en Afrique du Nord, le 1er Régiment de chasseurs parachutistes est l’unité de tradition des troupes aéroportées françaises. Georges Fleury a tenu à reconstituer son histoire en trois volumes. Après les combats de la Libération et la guerre d’Indochine, traités dans les deux premiers volumes de cette fresque passionnante, voici la guerre d’Algérie. Le 1er R.C.P., dont le magnifique 2/1 R.C.P. du commandant Bréchignac a été décimé à Dien Bien Phu, survit en Algérie sous la forme de deux bataillons autonomes lorsqu’éclatent, en octobre 1954, les premiers lancés par les nationalistes algériens. Les 1/1 R.C.P. du chef de bataillon Dangoumau et 3/1 R.C.P. du commandant Ducrue sont engagés, dès le 15 octobre 1954 dans les opérations de maintien de l’ordre dans la région de Souk-Arhas. Le 1er R.C.P. redevient un régiment en novembre 1955, sous les ordres du lieutenant-colonel Mayer, qui le mènera dans les combats de plus en plus violents au fils des mois. Les chasseurs parachutistes, encadrés par des officiers et des sous-officiers qui ont combattu en Indochine, opèrent sans répit dans le Constantinois, l’Algérois, la Kabylie et le Sud-Oranais...
Romain Parmentier - La guerre de Sécession: L’abolition de l’esclavage comme seul remède !
Romain Parmentier - La guerre de Sécession: L’abolition de l’esclavage comme seul remède
85 ans après sa déclaration d’Indépendance, la nation américaine se déchire suite à l’élection d’Abraham Lincoln, un républicain abolitionniste. Toutes les tensions se cristallisent autour d’une seule question : faut-il abolir ou non l’esclavage ? Alors que les États du Nord souhaitent mettre un terme à cette pratique, les États du Sud y sont farouchement opposés parce qu’elle est à la base de leur modèle socio-économique. Dans les heures qui suivent l’élection, plusieurs États décident de faire sécession et s’érigent en Confédération des États d’Amérique. Mais la contestation ne s’arrête pas là et, le 12 avril 1861, le camp sudiste bombarde Fort Sumter. Le conflit le plus sanglant de l’histoire des États-Unis vient tout juste de commencer ...
Julien Arbois - La vie insolite de nos ancêtres !
Julien Arbois - La vie insolite de nos ancêtres
Savez-vous que les gens n'avaient pas de noms de famille au Moyen-Âge ? Que l'on trouvait des prostituées dans les cimetières ? Que la pomme de terre était considérée comme la plante du diable ? Que l’arracheur de dents avait toujours une troupe de musiciens pour étouffer les cris de douleur ? Que jusqu’à la Révolution, on utilisait aussi le sel... en suppositoire ? Et pourquoi comprimait-on dans des bandages le visage des enfants à la naissance ? Autant de faits authentiques qui nous semblent souvent étranges, presque incroyables. Depuis le Moyen Âge jusqu'au début du vingtième siècle, ce livre raconte l'étonnante vie quotidienne de nos aïeux. Un voyage insolite et amusant à travers l’histoire et les coutumes propres à chaque époque, souvent loin, très loin, des clichés et des idées reçues... Anecdotes et histoires insolites sur la vie quotidienne de nos ancêtres.
Savez-vous que les gens n'avaient pas de noms de famille au Moyen-Âge ? Que l'on trouvait des prostituées dans les cimetières ? Que la pomme de terre était considérée comme la plante du diable ? Que l’arracheur de dents avait toujours une troupe de musiciens pour étouffer les cris de douleur ? Que jusqu’à la Révolution, on utilisait aussi le sel... en suppositoire ? Et pourquoi comprimait-on dans des bandages le visage des enfants à la naissance ? Autant de faits authentiques qui nous semblent souvent étranges, presque incroyables. Depuis le Moyen Âge jusqu'au début du vingtième siècle, ce livre raconte l'étonnante vie quotidienne de nos aïeux. Un voyage insolite et amusant à travers l’histoire et les coutumes propres à chaque époque, souvent loin, très loin, des clichés et des idées reçues... Anecdotes et histoires insolites sur la vie quotidienne de nos ancêtres.
Julien Arbois - La vie quotidienne des Poilus !
Julien Arbois - La vie quotidienne des Poilus
La boue, le froid, la peur. Les tranchées, l’ennemi, la hiérarchie. La faim, les maladies, la camaraderie... Bien loin des dates et d’impersonnels noms de bataille, loin des manuels d’histoire, ce livre nous fait véritablement partager la vie quotidienne des Poilus. A leurs côtés, on se bat, on espère, on lutte pour survivre, on souffre et on vit la joie des permissions. La parole est donnée aux soldats qui ont vécu la Grande Guerre à travers leur correspondance, leurs notes de guerre et autres journaux des tranchées. Une véritable plongée dans l’intimité des combattants grâce à une sélection commentée de témoignages poignants sur le sacrifice suprême d’une génération de Français Lettres, témoignages et récits de la vie des Poilus : un regard humain sur la Grande Guerre.
Henriette Bernier - Le Baron des champs !
Henriette Bernier - Le Baron des champs
Dans le petit village lorrain de Valonne en ce mois d’octobre 1973, la mort de Noël Robain dit le Baron passe presque inaperçue. L’idiot, le « farce », vivait en sauvage et ne sortait de la ferme délabrée héritée de ses parents que pour de grandes promenades solitaires à travers les champs.
Une telle vie méritait-elle d’être vécue ? Louise éprouve de la pitié pour la fin misérable de son lointain cousin avant de découvrir qu’il a laissé sur des morceaux de papier des traces écrites, parfois anciennes, des événements qui l’ont marqué.
Elles réveillent le souvenir d’une époque où l’on n’enfermait pas les retardés mentaux dans des institutions. Le Baron était allé à la communale, au catéchisme, il s’était présenté au conseil de révision. Il avait été pour le village un objet de honte mais aussi de distraction. Il avait connu des joies et des chagrins.
Au gré d’épisodes mêlant la farce et le drame, le rire et l’émotion, se révèle peu à peu le visage d’un homme semblable à tous les hommes et qui les valait tous...
Henriette BERNIER - L'enfant de la dernière chance !
Henriette BERNIER - L'enfant de la dernière chance
Au XIXe siècle, le désespoir d'une jeune femme qui ne peut enfanter. A bout, elle " vole " l'enfant d'une autre... L'histoire vraie d'une incroyable supercherie.
Emélie, fille de tanneurs, et Jean-Nicolas Morel, conducteur de diligence, se marient en mai 1843 à Verdun. Un bonheur de courte durée car Emélie ne peut mener à terme ses grossesses. Le mari à l'orgueil malmené devient violent et méprisant. En ce milieu du xixe siècle, être femme sans être mère n'est pas un choix mais un statut illégitime aux yeux de la société bien-pensante.
Emélie souffre le martyre, en silence. Une matrone compréhensive et rouée s'engage à faire passer pour l'enfant des Morel celui qu'attend Marie, une orpheline de seize ans en détresse. Les deux femmes doivent faire croire à l'impossible : simuler la grossesse, feindre les douleurs, jouer la comédie de l'accouchement... Mais avec un mari souvent absent, les mœurs et les croyances de l'époque, le manque d'intimité des époux, tout pourrait concourir à la réussite de ce projet risqué...
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