LEROUX Gaston – Livres Audio
LEROUX, Gaston – Le Mystère De La Chambre Jaune
Donneur de voix : René Depasse | Durée : 11h 10min | Genre : Romans
« Je n’ai point la prétention d’être un auteur. Qui dit : auteur, dit toujours un peu : romancier, et, Dieu merci ! Le mystère de la « Chambre Jaune » est assez plein de tragique horreur réelle pour se passer de littérature. Je ne suis et ne veux être qu’un fidèle « rapporteur ». Je dois rapporter l’événement ; je situe cet événement dans son cadre, voilà tout. »
« Le monde entier fut penché pendant des mois sur ce problème obscur, Le Mystère de la chambre jaunele plus obscur à ma connaissance qui ait jamais été proposé à la perspicacité de notre police, qui ait jamais été posé à la conscience de nos juges. La solution de ce problème affolant, chacun la chercha. »
Dans les chapitres VI et XIV, sont proposés deux croquis qui permettent de se faire une meilleure idée des lieux :
- plan du rez-de-chaussée (ch. VI),
- plan du premier étage du château (aile droite) (ch. XIV).
LEROUX, Gaston – Not’Olympe
Donneur de voix : René Depasse | Durée : 1h 15min | Genre : Nouvelles
Extrait de Quelques Nouvelles terrifiantes, ce récit palpitant nous surprend jusqu’au dénouement.
« Jamais encore, à la terrasse de la Vieille-Darse où nos loups de mer prenaient tous les soirs l’apéritif, jamais encore ils n’avaient vu arriver Zinzin dans un état pareil… Les yeux lui sortaient de la tête et il était pâle comme un mort. C’est tout juste s’il eut le temps de se laisser tomber sur une chaise et tous s’empressèrent autour de lui : « Qu’est-ce qu’il y a, Zinzin ?… Qu’est-ce qu’il y a, mon pauvre vieux ? » demanda le commandant Michel.
Zinzin fit signe qu’il ne pouvait encore parler… Enfin, il se passa la main sur le front et dit :
– Je sors de chez le commissaire de police ; il vient de m’arriver une histoire épouvantable. [...] »
Zinzin fit signe qu’il ne pouvait encore parler… Enfin, il se passa la main sur le front et dit :
– Je sors de chez le commissaire de police ; il vient de m’arriver une histoire épouvantable. [...] »
LEROUX, Gaston – La Hache D’or
Donneur de voix : René Depasse | Durée : 40min | Genre : Nouvelles
« Comme j’avais le cadeau sur moi, je lui remis la petite boîte dans laquelle se trouvait la hache d’or. Elle ouvrit la boîte avec un doux et lointain sourire, mais aussitôt qu’elle eut aperçu l’objet qui était dedans, elle se prit à trembler affreusement, se recula loin de moi comme si elle avait à redouter quelque chose de ma présence et, d’un geste insensé, jeta la hache dans le lac ! [...] »
LEROUX, Gaston – La Femme Au Collier De Velours
Donneur de voix : René Depasse | Durée : 50min | Genre : Nouvelles
La Femme au collier de velours, roman d’Alexandre Dumas (1850) n’a rien à voir avec la nouvelle parue, avec le même titre, dans Quelques Nouvelles terrifiantes de Gaston Leroux.
«– Vous dites que toutes les histoires de vendettas corses se ressemblent ! fit l’ex-capitaine au long cours Gobert au vieux commandant Michel, eh bien ! j’en connais une, moi, qui laisse loin derrière elle tous les pauvres petits drames du maquis et qui m’a fait frissonner jusqu’aux moelles, je vous le jure.
– La vendetta, me dit-il, continue à être aussi en honneur chez nous que le duel chez vous. Et quand on s’est vengé, on devient brigand. Qu’est-ce que vous voulez qu’on fasse ? [...] »
LEROUX, Gaston – L’Auberge Épouvantable
Donneur de voix : René Depasse | Durée : 1h | Genre : Nouvelles
Gaston Leroux, entre 1911 et 1924, a publié Quelques nouvelles terrifiantes (6) dont Le Dîner des bustes et L’Auberge épouvantable.
« Deux ans avant notre passage, l’administration vicinale avait découvert, au fond d’un puits et dans une grotte voisine, une douzaine de squelettes et quelques objets ayant appartenu à des voyageurs qui avaient trouvé là une hospitalité fatale et sans lendemain. [...] »
LEROUX, Gaston – La Machine À Assassiner (Suite De : La Poupée Sanglante)
Donneur de voix : René Depasse | Durée : 8h 40min | Genre : Romans
La Poupée sanglante se termine par ces mots: : « Et, maintenant que Bénédict Masson est guillotiné, on pourra se demander pourquoi celui qui a rapporté ici cette affreuse aventure l’a qualifiée de « sublime » ?
Elle est horrible, elle est « abominable », mais sublime ?… Eh bien, oui, l’aventure de Bénédict Masson est sublime ! Elle est sublime en ce qu’elle ne fait que commencer…
FIN DE LA PREMIÈRE PARTIE
Vous lirez la suite de La Poupée sanglante dans La Machine à assassiner. »
Donc ce roman ne doit être écouté que si l’on connaît la première partie…
LEROUX, Gaston – La Poupée Sanglante
Donneur de voix : René Depasse | Durée : 9h | Genre : Romans
Mystères, hallucinations, fantômes et vampirisme alimentent cette longue histoire à rebondissements… La fin nous laisse sur notre faim, mais l’auteur y a pensé… ( à suivre… )
« Sans évoquer les ombres lointaines de Voltaire et de Mme Du Châtelet, les peintres, les poètes, les écrivains y ont, de tout temps, élu domicile : George Sand, Baudelaire, Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Daubigny, Corot, Barye, Daumier y installèrent leurs pénates. À l’angle de la rue Le Regrattier, qui, autrefois, était la rue de la Femme-sans-Tête, se dresse, au fond d’une niche, une Vierge mutilée, qui a vu défiler toute la pléiade romantique. Notre Bénédict Masson, qui n’était pas seulement relieur d’art, mais poète, – un étrange poète, comme on en a vu quelques-uns en ces temps-ci qui sont troubles, – prétendait habiter la chambre même où avait vécu quelque temps – et souffert – l’auteur des Fleurs du mal. [...] »
La suite dans La Machine à assassiner…
LEROUX, Gaston – L’Homme Qui Revient De Loin
Donneur de voix : René Depasse | Durée : 8h | Genre : Romans
« Quelle aubaine qu’une histoire pareille pour les reporters : une vraie disparition, un crime possible, un château hanté, une dame qui a des visions, une opération abracadabrante, un enfant qui voit le fantôme de son père, un monsieur qui revient de chez les morts, une institutrice qui fait tourner des tables, le tout se passant dans un monde très chic et enfin, pour conclusion momentanée, ce scandale à la conférence du professeur Jaloux ! [...] »
Esprit, es-tu là ?