HAWTHORNE Nathaniel – Livres Audio
HAWTHORNE, Nathaniel – La Catastrophe De M. Higginbotham
Donneuse de voix : Christiane-Jehanne | Durée : 30min | Genre : Nouvelles
Cette nouvelle est tirée du recueil Contes étranges. Nous nous approchons avec Dominique d’une bourgade tranquille et nous apprenons une bien triste nouvelle concernant un notable de la ville.
Dominique aime beaucoup parler… Et… puis… est-il vraiment mort… ? ou encore vivant ?… ou a-t-il été assassiné ? par qui ?
La rumeur enfle, enfle peut-être-même jusqu’à Londres !!
Quelle histoire !… qui fait réfléchir comme toutes les belles histoires !
La rumeur enfle, enfle peut-être-même jusqu’à Londres !!
Quelle histoire !… qui fait réfléchir comme toutes les belles histoires !
Traduction : Édouard-Auguste Spoll (1833-?).
HAWTHORNE, Nathaniel – La Promenade De La Petite Annie
Donneuse de voix : Christiane-Jehanne | Durée : 17min | Genre : Nouvelles
La Promenade de la petite Annie est une nouvelle tirée du recueil Contes étranges. Le narrateur emmène la fillette en ville avec ses nouveautés, ses embouteillages et ses vitrines variées… Premiers pas dans la ville… premiers pas dans la vie….
Traduction : Édouard-Auguste Spoll (1833-?).
HAWTHORNE, Nathaniel – L’Image De Neige
Donneuse de voix : Christiane-Jehanne | Durée : 30min | Genre : Nouvelles
L’Image de neige est une nouvelle du recueil Contes étranges : une aimable famille dans sa demeure bien tranquille découvre une gentille « petite sœur de neige, [...] par une belle après-midi d’une froide journée d’hiver ». « Il sembla que les boucles d’une tête d’ange se mêlaient aux blonds cheveux de Victoria et de Pivoine. [...] La maman en était venue à croire qu’une fée ou qu’un ange invisible avait aidé ces chers petits êtres. »
Mais ne jamais oublier le bon sens paternel et la chaleur d’un poêle de bonne origine ! Compagne, sœur, ange ou….?!
Traduction : Édouard-Auguste Spoll (1833-?).
HAWTHORNE, Nathaniel – La Fille Aux Poisons
Donneur de voix : René Depasse | Durée : 1h 22min | Genre : Nouvelles
L’histoire se passe à Padoue « il y a longtemps de cela ». Le vieux professeur physiologiste Rappaccini « borne ses moyens curatifs aux seuls poisons végétaux et cultive lui-même les plantes dont il les distille. On prétend qu’il a ainsi obtenu des poisons nouveaux et terribles ».
Il a initié sa jeune et jolie fille Béatrice aux secrets des poisons des fleurs ; elle s’en est imprégnée et son haleine est devenue dangereuse. (Elle souffle sur une fleur et la fleur s’étiole, sur un insecte et l’insecte meurt.)
Il a initié sa jeune et jolie fille Béatrice aux secrets des poisons des fleurs ; elle s’en est imprégnée et son haleine est devenue dangereuse. (Elle souffle sur une fleur et la fleur s’étiole, sur un insecte et l’insecte meurt.)
Le sujet de la nouvelle La Fille aux poisons est la rencontre amoureuse de cette adorable contagieuse et de Giovanni Guasconti, jeune étudiant venu achever ses études à Padoue.
Hawthorne laisse galoper son imagination.
Traduction : Édouard-Auguste Spoll (1833-?).
HAWTHORNE, Nathaniel – La Maison Aux Sept Pignons
Donneur de voix : André Rannou | Durée : 10h 23min | Genre : Romans
Ce roman, qui a fortement influencé H.P. Lovecraft et souvent été adapté au cinéma et à la télévision, est un des grands classiques de la littérature américaine. Publié en 1851, il fut sans doute inspiré par un fait réel survenu à Salem lors du fameux procès pour sorcellerie de 1692.
L’action se passe au milieu du XIXe siècle dans une petite ville de la Nouvelle Angleterre. Près de deux siècles plus tôt, Matthew Maule avait lancé une malédiction contre le colonel Pyncheon et ses descendants avant d’être pendu pour sorcellerie. Le colonel – puritain austère, dont les ancêtres avaient émigré d’Angleterre en Amérique à partir de 1620 pour y pratiquer un protestantisme plus rigoureux que celui de l’Église anglicane -, s’était alors emparé d’un terrain ayant appartenu à Maule et y avait bâti une immense maison à sept pignons, avant de mourir subitement dans des conditions suspectes. L’actuel propriétaire est l’hypocrite Juge Pyncheon, qui n’y vit pas mais permet à sa cousine Hepzibah, femme très pauvre, d’y habiter. Elle y est rejointe par une jeune parente, la sémillante Phoebe, puis par un frère bien-aimé, Clifford, qui vient de purger une peine de trente années de prison pour un crime qu’il n’a pas commis, et qui est moralement et physiquement très affaibli. Loge aussi dans la maison le daguerréotypiste Holgrave, qui se révélera être un descendant de Maule. Persuadé que Clifford sait où se trouvent les titres de propriété de l’oncle qu’il a prétendument assassiné, le méprisable Juge Pyncheon, déjà responsable de tous les malheurs de son cousin, menace de le faire interner dans un asile de fous s’il ne révèle le lieu de la cachette.
La sombre Maison éponyme, « espèce de cœur aux proportions gigantesques, ayant sa vie propre » est un des protagonistes d’une action qui touche parfois au surnaturel et au fantastique. Les thèmes principaux en sont la culpabilité qui se transmet inexorablement de génération en génération et l’impossible expiation d’une sorte de « péché originel ».
Traduction : Paul-Émile Daurand-Forgues (1813-1883)
HAWTHORNE, Nathaniel – M. Wakefield – Les Caprices Du Sort
Donneur de voix : René Depasse | Durée : 45min | Genre : Contes
M. Wakefield est l’illustration de cette affirmation de Nathaniel Hawthorne dans ses Contes étranges.
« Chaque événement, le plus futile en apparence, a sa raison d’être, et les réflexions qu’il suggère ne sauraient être inutiles. [...] La moralité ? C’est qu’il n’est pas bon d’être sans but dans la vie ; si l’on reste trop longtemps seul avec d’inutiles rêveries, elles dégénèrent en divagations. »
Les Caprices du sort, en racontant « une heure de la vie de David Swan », veulent montrer que :
« Il ne nous est donné de connaître qu’une faible partie des événements qui doivent avoir une influence quelconque sur notre destinée. Mais il en est d’autres qui passent à côté de nous sans que nous ayons conscience de leur proximité ; qui nous touchent de près, sans qu’ils aient cependant aucune action sur notre vie, et sans même révéler leur approche par le reflet d’aucune lueur ni la projection d’aucune ombre sur le miroir de notre entendement. »
Traduction : Édouard-Auguste Spoll (1833-?).
HAWTHORNE, Nathaniel – Le Trésor
Donneur de voix : René Depasse | Durée : 52min | Genre : Nouvelles
Imaginez que, pauvre, vous habitiez une vieille maison délabrée qui, vous en êtes sûr, recèle un trésor caché par un de vos ancêtres. Accepteriez-vous de la vendre à bas prix ou préféreriez-vous la démolir pour trouver ce trésor et mieux finir vos jours ?
Tel est le problème qui se pose, dans Le Trésor, au vieux Pierre qui choisit de tout casser… Hawthorne nous fait assister aux phases de cette démolition :
Tel est le problème qui se pose, dans Le Trésor, au vieux Pierre qui choisit de tout casser… Hawthorne nous fait assister aux phases de cette démolition :
« Nous ne le suivrons pas dans sa persévérante destruction, qu’il suffise de savoir qu’il acheva en moins d’un hiver une œuvre que le temps avait à peine ébauchée en un siècle ; tout était démoli à l’intérieur, à l’exception de la cuisine. On eût dit un monstrueux fromage évidé par un rongeur quelconque, de manière à ce qu’il n’en restât plus que la croûte. Pierre avait été le rongeur. »
Nous ne vous dévoilerons pas l’issue malheureuse, mais heureuse parce que l’amitié l’emportera sur les tracas financiers.
Traduction : Édouard-Auguste Spoll (1833-?).
HAWTHORNE, Nathaniel – Les Portraits Prophétiques
Donneur de voix : René Depasse | Durée : 36min | Genre : Contes
De Nathaniel Hawthorne, un des seize Contes étranges qui mérite bien son nom Les Portraits prophétiques.
« Le véritable artiste, dit le peintre, dans l’évolution des deux portraits de Walter et d’Élinor doit lire sur les traits de son modèle les sentiments qui l’agitent. C’est le plus beau de ses attributs, mais souvent aussi le plus triste, de lire ainsi dans les cœurs, et, mu par une puissance plus forte que sa volonté, d’illuminer le regard ou de l’assombrir, en donnant aux yeux une expression en quelque sorte prophétique. »
Les déclarations du peintre trouveront leur confirmation dans « l’évolution des portraits » de Walter et d’Élinor et dans la fin tragique de leur couple :
« Walter restait silencieux devant sa propre image, se livrant dans une sorte de folie à la fatale influence que l’artiste avait répandue sur ses traits ; graduellement ses yeux s’enflammèrent pendant qu’Élinor regardait avec une terreur croissante l’expression de sauvage fureur qui se peignait sur son visage. »
« Walter restait silencieux devant sa propre image, se livrant dans une sorte de folie à la fatale influence que l’artiste avait répandue sur ses traits ; graduellement ses yeux s’enflammèrent pendant qu’Élinor regardait avec une terreur croissante l’expression de sauvage fureur qui se peignait sur son visage. »
Traduction : Édouard-Auguste Spoll (1833-?).