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dimanche 4 mars 2018

COURTELINE, Georges – Livres Audio !

        COURTELINE, Georges – Livres Audio       


COURTELINE, Georges – L’Œil De Veau

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 20min | Genre : Nouvelles

L’Œil de veau
L’Œil de veau est un souvenir autobiographique à la fois drôle et émouvant de Georges Moinaux, alors âgé de treize ans, interne au collège de Meaux. Il devait passer dans ce collège de province six années qui furent les plus malheureuses de sa vie. « Ah ! le sale temps ! » s’écrie-t-il. Il supportait mal la discipline étroite qui sévissait alors dans les lycées et les collèges.
Le collégien d’aujourd’hui est invité à comparer son emploi du temps avec celui de Georges Courteline vers les années 1870…
Illustration : L’Œil de veau (1905).
L’Œil de veau.
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COURTELINE, Georges – Une Maison Tranquille – Mouvement De Valse – Le Fils

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 39min | Genre : Nouvelles

Santiago Rusiñol - Une romance (1894)
Ces trois histoires extraites du recueil Les Femmes d’amis (cf. Une canaille et Henriette a été insultée) nous présentent trois aspects de Georges Courteline.
Le Courteline bien connu, dans Une maison tranquille :
« Figurez-vous que cette petite fauvette eut le malheur, ces temps derniers, de faire une mauvaise connaissance. Tranquillement, sans songer à mal, elle revenait de prendre sa leçon de chant, quand avec un effroi, d’ailleurs bien légitime, elle s’aperçut qu’elle était suivie. Il y a des malhonnêtes gens partout, même dans le monde des fauvettes. »
Le Courteline poète, dans Mouvement de valse :
« Sur le sol, la traîne trop longue de son peignoir enveloppait ses pieds comme d’un flot de mousse et ainsi elle jouait, divinement, et avec un art infini, sans oppositions et sans effets cherchés, nuançant chaque motif, chaque phrase, chaque mesure, de finesses presque insensibles et que seule pouvait percevoir son âme suprêmement artistique de femme. Les motifs déniaient les uns après les autres, et, dans le mouvement arrondi de la valse, c’étaient de longs et maladifs alanguissements, des bercements assoupis et calmés où revivait la vaporeuse poésie des paysages de Bohême les chœurs en plaine, au soir tombant ; les matinées calmes et sereines, quand une brume de beau temps voile d’une gaze transparente de disque rose du soleil et le fond lilas clair des nues, et la nappe du Danube, coulant, éternellement bleue, entre les ruines effondrées des manoirs et des abbayes. »
Il faut voir la signature pour savoir que Courteline est l’auteur de Le Fils :
« – Ah ! mais, m’écriai-je, pardon ! voici qui devient un peu raide, et vous êtes heureux de n’être qu’un enfant. Qu’est-ce que vous venez réclamer, après tout ? Vous arrivez dans l’intention de me reprendre parla main et de me ramener, repentant et contrit, entre les bras de votre mère. En vérité, vous ne paraissez pas vous douter que si vous aviez seulement deux ans de plus, votre conduite serait tout simplement odieuse. Eh bien, parfaitement, c’est vrai, j’ai été l’amant de votre mère, je l’ai été pendant seize ans en quoi je ne vous apprends rien, puisque vous avez poussé l’indiscrétion jusqu’à fouiller dans ses papiers et si aujourd’hui je ne le suis plus, c’est parce que j’ai, pour ne plus l’être, des raisons dont je suis seul juge, et dont vous devriez, d’ailleurs, être le dernier à vous mêler. En voilà assez à la fin ! »
Écouter un extrait : Une maison tranquille.
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COURTELINE, Georges – L’Article 330

Donneurs de voix : Projet collectif | Durée : 27min | Genre : Théâtre

Georges Courteline - L'Article 330
Comédie en un acte, de Georges Courteline créée le 12 décembre 1900 au Théâtre Antoine.
Monsieur La Brige se trouve au Palais de Justice accusé d’outrage public à la pudeur par le Ministère Public (article 330 de l’ancien Code pénal), ce dernier expose sa vision des faits et organise sa défense face au Président d’audience, à l’huissier et au substitut.
« Neuf fois sur dix, la loi, cette bonne fille, sourit à celui qui la viole. » (La Brige)
Illustration : L’Article 330, par Adrien Barrère (1893).
L’Article 330.
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COURTELINE, Georges – La Vache – À L’infirmerie

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 28min | Genre : Contes

La vache
La Vache et À l’infirmerie, sont à joindre aux autres Contes : Têtes de boisLa PenduleLa Bourse, etc, déjà enregistrés.
Dans À l’infirmerie, Courteline s’amuse à nous narrer une grosse scène de farce (niveau« potaches ») entre soldats hospitalisés qui peut prêter à sourire.
En revanche La Vache, avec son style pittoresque, ses traits d’humour et sa conclusion d’opérette est une réussite :
« La vache avait dressé lentement sa tête formidable et douce – un bloc d’acajou massif, sur lequel du lait répandu eût séché au hasard des pentes – et immobile, elle attachait sur les deux hommes le strabisme hébété de ses yeux, le muet ronchonnement de sa bouche d’où pendaient des baves de gâteux, et qui mâchait. [...] Crois-tu qu’elle est belle !… Non, mais regarde-moi un petit peu ces finesses de colo­ration. Le rose des pis est-il assez délicieux ?… C’est le volubilis lui-même !… Tonnerre de bleu, oui, elle est belle ! Et sale comme un peigne avec ça. Hein, Poloche, vois-tu, sur ses flancs, ces placages de crasse épaisse ? Et ses cuisses, où des lits de bouse ont séché, si on ne dirait pas de la peau de crocodile ! »
Quelle déception finale pour l’artiste rapin !
La Vache.
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COURTELINE, Georges – Deux Chroniques De 1884

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 12min | Genre : Nouvelles

Excommunié !
Ces deux amusantes Chroniques (18 octobre et 13 décembre 1884) des Petites Nouvelles quotidiennesauxquelles collaboraient Courteline et son père Jules Moinaux traitent, l’une, de l’excommunication du chroniqueur :
« J’ai l’air de rire : au fond ça n’est tout de même pas drôle de penser que j’ai été maudit dans la confection de cette chronique.
Excommunié ! Maudit dans ma littérature ! En voilà une situation !
Dites donc, est-ce que ça se voit beaucoup ? »,
et l’autre de la conception russe de la polygamie :
« La question suivante fut posée au jury : « Ayant trois ménages à la fois, l’officier Thaddée Stchebrovsky est-il, oui ou non, coupable de polygamie ? »
Il est infiniment probable qu’en lieu et place du jury de Moscou vous eûtes répondu affirmativement. C’est cependant le contraire qui est arrivé.
D’où l’acquittement de Thaddée Stchebrovsky. »
Chronique du 18 octobre 1884.
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COURTELINE, Georges – Les Boulingrin

Donneurs de voix : Projet collectif | Durée : 30min | Genre : Théâtre

Georges Courteline - Les Boulingrin)
Les Boulingrin est une pièce de théâtre comique, écrite par Georges Courteline et créée au théâtre du Grand Guignol le 7 février 1898.
Elle met en scène, des Rillettes, un pique-assiette, qui s’introduit chez un couple, décidé à passer quelques mois agréables en vivant à leurs crochets. Mais M. et Mme Boulingrin ne peuvent plus se supporter et des Rillettes finit par recevoir les coups que se portent les deux époux.
Un téléfilm a été diffusé en 1995, avec la troupe de la Comédie Française.
Les Boulingrin.
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COURTELINE, Georges – La Bourse – Têtes De Bois

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 23min | Genre : Contes

Courteline Contes
Le fameux distique de Rabelais,
« Mieux est de ris que de larmes escripre,
Pour ce que rire est le propre de l’homme. »
conviendrait bien à ces deux Contes de Courteline.
La Bourse commence ainsi : « L’immortel auteur d’À se tordre, de Pas de Bile, de Vive la Vie ! et du Parapluie de l’Escouade, j’ai nommé Alphonse Allais a conté une charmante histoire. C’est celle d’une espèce d’enflé qui ne pouvait prendre coup sur coup deux ou trois tasses de café sans éprouver le besoin de dire : « Moi, je suis un type dans le genre de Balzac » ; raturer un mot sur une lettre sans déclarer : « Moi, je suis un type dans le genre de Gustave Flaubert » ; exposer qu’il est marié à une femme appelée Joséphine sans ajouter à l’instant même : « Moi, je suis un type dans le genre de Napoléon Ier. » »
Têtes de Bois prouve qu’on peut rire, même du macabre… « Quand Bois mourut, m’expliqua Venderague, c’est moi que je fus désigné de corvée pour aller, avec le chef, le recon­naître à l’hôpital, à cause que nous étions pays, nés le même mois, au même patelin, ousque nous restions censément porte à porte, loin comme qui dirait d’ici au maga­sin d’habillement. C’est bon, nous partons, le chef et moi, nous rappliquons à l’hôpital. »
La Bourse.
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COURTELINE, Georges Et VEBER, Pierre – L’Affaire Champignon

Donneurs de voix : Projet collectif | Durée : 25min | Genre : Théâtre

Honoré Daumier - Un avocat et sa cliente
« Champignon, se frottant les mains :
- À nous la paille humide, les fayots et la boule de son ! Ça t’apprendra à me faire cocu.
Désirée :
- Je ne savais pas que ça te contrarierait.
Champignon :
- Menteuse ! Je te l’avais défendu plus de cent fois. Seulement, voilà, tu ne veux en faire qu’à ta tête ; faut toujours que tu commandes ! Eh bien, tu verras, ce coup-ci : tu verras ce que ça te coûtera ! »
L’écoute de cette pièce mériterait elle aussi d’être remboursée par la Sécurité sociale…
Cette fantaisie judiciaire en un acte de Georges Courteline et Pierre Veber (1869-1942), est tirée des tribunaux comiques de Jules Moinaux, le père de Courteline.
Elle fut représentée la première fois sur la scène de La Scala, salle Parisienne de Music-hall dans le 10ème, en 1899.
L’Affaire Champignon.
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Tous nos livres audio gratuits pour Georges Courteline :


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samedi 3 mars 2018

LE MYTHE DU DÉLUGE - Vidéo !

                    LE MYTHE DU DÉLUGE                 


Ce documentaire, Le mythe du déluge (0h53), explique que de nombreuses civilisations antiques font référence à un cataclysme planétaire qui aurait balayé une civilisation avancée ayant véçue bien avant celles que nos livres d'Histoire nous l'apprennent...



OVNIS : UNE RÉALITÉ - Conférence INREES !

OVNIS : UNE RÉALITÉ - Conférence INREES 


OVNIs : Une réalité, est une conférence (1h33) du 18 mars 2014 proposée par Stéphane Allix, fondateur de l'INREES, concernant ce phénomène aérien non identifié qui demeure encore une énigme, afin de séparer les faits de la fiction, et dont de nombreux scientifiques, ufologues et autorités témoins, associent de plus en plus à des engins d'origine extraterrestre.



L'INTELLIGENCE DANS LA NATURE - Enquêtes Extraordinaires !

 L'INTELLIGENCE DANS LA NATURE - Enquêtes Extraordinaires 


L'intelligence dans la nature, est un documentaire (1h34) de la série Enquêtes Extraordinaires de Stéphane Allix, fondateur de l'INRESS, sur le sixième sens des animaux et leur interaction avec les humains, dont le célèbre chat Oscar qui sent la mort imminente d'une personne. 

LA RÉINCARNATION DE L'ÂME !

            LA RÉINCARNATION DE L'ÂME          


La réincarnation, est un documentaire (1h00) qui s'intéresse à la survivance de l'âme après la mort en donnant des exemples vérifiés de personnes réincarnées dans un nouveau corps ayant vécues une vie antérieure. C'est une enquête sérieuse de Stéphane Allix, auteur des reportages "Enquêtes Extraordinaires", qui traite des phénomènes jusque-là qualifiés de surnaturels.



AUX FRONTIÈRES DE LA VIE - NDE : Ils sont revenus de la mort !

 AUX FRONTIÈRES DE LA VIE - NDE : Ils sont revenus de la mort 






Enquêtes Extraordinaires de Stéphane Allix, Aux frontières de la vie, est un documentaire (1h30) qui cherche à savoir si le corps et l’esprit sont dissociables, notamment à travers les Expériences de Mort Imminente nommées EMI, ou NDE en anglais.

COOPER, James Fenimore – Livres Audio !

      COOPER, James Fenimore – Livres Audio    


COOPER, James Fenimore – Le Dernier Des Mohicans

Donneuse de voix : Christine Treille | Durée : 15h 1min | Genre : Romans

Le Dernier Des Mohicans
En Juillet 1757, Montcalm, maréchal de camp français, remonte le lac Champlain et se dirige avec ses soldats vers le fort William-Henry, tenu par le colonel Munro qui dispose de faibles moyens de défense. C’est le moment que choisissent Cora et Alice, les filles de Munro pour s’en aller rejoindre leur père. Elles sont accompagnées de David la Gamme, maître en psalmodie, du major Duncan Heyward et d’un guide indien Magua, qui a tôt fait de les égarer. Fort heureusement les voyageurs rencontrent le chasseur blanc Œil de Faucon et ses deux amis mohicans, Chingachgook et son fils, Uncas…
Le Dernier des Mohicans médite avec nostalgie sur la disparition des Amérindiens, tout en annonçant la naissance des États-Unis. Il eut un énorme retentissement en Europe, dès sa publication, comme en avaient les romans contemporains de Walter Scott.
Le style de Cooper est parfois relâché : Mark Twain s’applique à en dénoncer la simplicité et la naïveté. Mais une action soutenue, le dépaysement profond, le charme de la vie sauvage, la fascination qu’exercent les Indiens emportent tout. Cet ouvrage romantique brille par les multiples rebondissements de l’intrigue, ainsi que par les descriptions de la nature dans la région frontalière des États-Unis et du Canada (l’actuel État de New York).
Une écriture un peu vieillotte, un racisme prononcé à l’égard de certains « sauvages » toutefois compensé par une admiration sans bornes à l’égard des deux Mohicans, des dialogues parfois improbables entre les protagonistes qui utilisent un imparfait du subjonctif impeccable pourraient être des critiques à avancer. Le livre de Cooper est malgré cela un superbe roman d’aventures à ne surtout pas comparer au film de M. Mann où les héros changent de rôle et où la musique et les paysages l’emportent sur la psychologie des personnages.
Traduction : Auguste-Jean-Baptiste Defauconpret (1767-1843).
Écouter un extrait : Chapitre 01.

CONSTANT, Benjamin – Livres Audio !

         CONSTANT, Benjamin – Livres Audio        



CONSTANT, Benjamin – Le Cahier Rouge

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 2h 23min | Genre : Biographies

Constant
Benjamin Constant (1767-1830) fut un homme politique, et un intellectuel français d’origine vaudoise. Après avoir quitté la France pour la Suisse puis l’Allemagne, il se rallie à Napoléon pendant les Cent jours, et revient en politique sous la Restauration. Il est surtout célèbre pour son roman Adolphe (1816), mais il est aussi l’auteur de Cahier rouge (1807) intitulé plus exactement : Ma vie, 1767-1787, publié, posthume, en 1907, où se retrouvent des éléments autobiographiques de son amour pour Madame de Staël (qui n’a rien à voir avec Madame de Charrière, autre liaison de Constant).
L’intérêt anecdotique et historique de cette autobiographie de ses vingt premières années est la peinture spirituelle et humoristique des premiers pas d’un jeune homme inquiet et timide (quoiqu’il soit parfois insolent) dans le nouveau milieu européen. Sa seule limite est dans le respect de l’autorité paternelle. Il fait penser aux déplacements de J.J. Rousseau, car seuls les voyages l’apaisent.
Une bonne occasion de (re)lire Adolphe.
Écouter un extrait : Chapitre 01.
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CONSTANT, Benjamin – De La Liberté Des Anciens Comparée À Celle Des Modernes

Donneur de voix : Philippe Seigneur | Durée : 52min | Genre : Philosophie

Benjamin Constant
« La liberté, liberté chérie, quelle est-elle, celle des représentants payant le cens, publique et publiée, ou bien celle de chacun singulier, liberté privée constitutive et inviolable, et limitant ou devant limiter les pouvoirs qui entendent du dehors la définir, et au delà de la liberté limitée par d’autres libertés, exercice et seuil de la loi, pourquoi encore s’en mêler là où le politique ne devrait entrer ? Pourquoi ne pas faire confiance aux gens, tout du moins un bien plus et un peu mieux ? » Philippe Seigneur
Quoique né en Suisse, Benjamin Constant est souvent considéré comme l’un des plus grands philosophes libéraux français.
De la liberté des anciens comparée à celle des modernes.
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CONSTANT, Benjamin – Adolphe

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 3h 25min | Genre : Romans

Isabelle Adjani (Ellénore) dans le film 'Adolphe' de Benoît Jacquot, sorti en 2002
Nous sommes au début du XIXe siècle. Adolphe, âgé de 22 ans, est promis par son père à une carrière dans les plus hautes sphères de l’État. Pourtant intelligent et apte, le jeune homme, lassé des mondanités et désireux de satisfaire son amour-propre, se met en tête de conquérir Ellénore et finit par s’en éprendre. Mais à peine commence-t-elle à se donner à lui, qu’il doute de son amour…
Écouter un extrait : Chapitre 1.

Fiction N°57 - Livres !

                       Fiction N°57 - Livres                       


NOUVELLES
Le prix du danger par Robert Sheckley
Grandeur nature par Ron Goulart
Les captifs par André Coypel
Icare Montgolfier Wright par Ray Bradbury
Pas de frontières par Richard Wilson
La mort de chaque jour par Idris Seabright
Drame de famille par Gérard Klein
Le haut lieu par Richard Matheson
Excès de vitesse par Michel Jansen
Les orphelins par Zenna Henderson
Le carnaval d’Orvieto par Marcel Brion
ARTICLES ET CHRONIQUES
Le roman de SF qui eut le prix Goncourt par Jacques Van Herp
Ici on désintègre ! par J. Bergier, A. Doremieux, G. Klein et I. B. Maslowski
L’écran à quatre dimensions par F. Hoda



Fiction N°56 - Livres !

                      Fiction N°56 - Livres                        


NOUVELLES
Les non-humains par Charles Henneberg
Le chariot rouge par Jane Roberts
Départ en beauté par par Chad Oliver
Un dieu en boite par Jay Williams
La carte par Bernard Manier
Conférence préliminaire par Winston Marks
Un rien d’étrange par Theodore Sturgeon
L’homme qui parlait aux Martiens par Francis Carsac
Rage de dents par Douglas Angus
Programme secret par Bob Ottum
Souvenir lointain par Poul Anderson
L’ère du gladiateur par Mack Reynolds
ARTICLES ET CHRONIQUES
La lyre électronique d’Arthur C. Clarke par Gérard Klein
Deux réactions russes à la SF américaine par J. Bergier
Ici on désintègre ! par J. Bergier, A. Dorémieux et G. Klein