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dimanche 25 février 2018

ANDERSEN Hans-Christian – Livres Audio !

    ANDERSEN Hans-Christian – Livres Audio    



ANDERSEN, Hans-Christian – Les Galoches Du Bonheur

Donneuse de voix : Cocotte | Durée : 1h | Genre : Contes

Hans Christian Andersen - Les Galoches du bonheur
« Il ne faut pas que j’oublie, dit la fée, que c’est aujourd’hui fête et, à cette occasion, je vais déposer ici une paire de galoches mystérieuses. Celui qui les mettra sera immédiatement transporté dans le temps et à l’endroit qu’il désire. Je pense que, de cette manière, le porteur de mes galoches sera l’homme le plus heureux de la terre. »
Traduction : David Soldi (1819-1884).
Les Galoches du bonheur.
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ANDERSEN, Hans-Christian – Histoire D’une Mère

Donneuse de voix : Cocotte | Durée : 12min | Genre : Contes

Hans Christian Andersen - Histoire d'une mère
Histoire d’une mère est un conte très émouvant d’Andersen.
« Une jeune mère était assise auprès de son jeune enfant ; le chagrin se peignait sur son visage, elle pensait que peut-être il allait mourir… »
Que ne ferait une mère pour sauver la vie de son enfant ?
Traduction anonyme (1853).
Histoire d’une mère.
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ANDERSEN, Hans-Christian – Contes

Donneurs de voix : Projet collectif | Durée : 7h 35min | Genre : Contes

Hans Christian Andersen - La Petite Sirène
Hans-Christian Andersen a écrit cent cinquante six contes de fées entre 1835 et 1873. Vous trouverez ici les contes disponibles sur Littérature audio.com…
L’Ange,
Les Aventures du chardon,
La Bergère et le Ramoneur,
Le Briquet,
Ce que le vieux fait est bien fait,
Le Chanvre,
Le Coffre volant,
Le Compagnon de voyage,
Un couple d’amoureux,
Le Crapaud,
Les Cygnes sauvages,
Les Fleurs de la petite Ida,
Une feuille du ciel,
Les Galoches du bonheur,
La Grosse Aiguille,
Les Habits neufs du Grand-Duc,
Histoire d’une mère,
L’Intrépide Soldat de plomb,
Le Jardin du Paradis,
L’Ombre,
La Pâquerette,
Petit Claus et grand Claus,
La Petite Fille et les allumettes,
La Petite Fille qui marchait sur le pain,
La Petite Poucette,
La Petite Sirène,
La Princesse sur un pois,
Le Rossignol,
Le Sapin
Une semaine du petit elfe Ferme-L’Œil,
Le Stercoraire,
Le Sylphe,
La Vieille Maison,
Le Vilain Petit Canard,.
Illustration : La Petite Sirène, illustrée par W. Heath Robinson (1913).

Consulter la version texte de ce livre audio : Contes d’AndersenNouveaux Contes.
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ANDERSEN, Hans-Christian – Le Sapin

Donneuse de voix : Aelia | Durée : 24min | Genre : Contes

Sapin de Noel
« En automne vinrent des bûcherons qui abattirent quelques-uns des plus grands arbres ; tous les ans ils en firent autant. Le jeune sapin ne les voyait plus qu’avec terreur ; car les grands et magnifiques arbres tombaient avec fracas sous leurs cognées. On en coupait les branches, et ils avaient alors l’air si nus et si décharnés qu’on pouvait à peine les reconnaître. Puis on les chargeait sur une voiture, et les chevaux les traînaient hors de la forêt. — Où allaient-ils ? que devenaient-ils ? [...] »
Conte extrait des Nouveaux Contes et traduit du danois par David Soldi (1819-1884).
Le Sapin.
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ANDERSEN, Hans Christian – Une Semaine Du Petit Elfe Ferme-L’Œil

Donneurs de voix : Projet collectif | Durée : 31min | Genre : Contes

Bertall Une semaine du petit elfe Ferme l Œil
« Il n’y a personne au monde qui sache raconter autant d’histoires que Ferme-l’Œil. En voilà un qui raconte bien ! Vers le soir, lorsque les enfants sont assis tranquillement à la table ou sur leur petit banc, arrive Ferme-l’Œil. On l’entend à peine monter l’escalier, parce qu’il a des pantoufles : il ouvre tout doucement la porte, et psitt ! il lance du lait dans les yeux des enfants avec une merveilleuse délicatesse, et cependant toujours en assez grande quantité pour qu’ils ne puissent pas tenir leurs yeux ouverts et, par conséquent, l’apercevoir [...] »
Tiré des Contes d’Andersen, traduits du danois par David Soldi (1819-1884).
Une semaine du petit elfe Ferme-l’Œil.
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ANDERSEN, Hans Christian – Le Compagnon De Voyage

Donneurs de voix : Projet collectif | Durée : 37min | Genre : Contes

Bertall - Le Compagnon de voyage
« Le champ tout entier, avec l’étang, avec le foin, ayant le ciel bleu pour plafond formait une chambre à coucher vraiment délicieuse. L’herbe verte avec ses petites fleurs rouges et blanches, en était le tapis ; les buissons de tilleuls et les haies de roses sauvages l’ornaient de bouquets ; avec son eau limpide et fraîche, l’étang servait de fontaine ; les roseaux, en s’inclinant, y disaient bonjour et bonne nuit ; la lune était comme une grande lampe suspendue au plafond bleu, et cette lampe ne risquait pas d’incendier les rideaux. »
Tiré des Contes d’Andersen, traduits du danois par David Soldi (1819-1884).
Le Compagnon de voyage.
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ANDERSEN, Hans Christian – Le Jardin Du Paradis

Donneurs de voix : Projet collectif | Durée : 30min | Genre : Contes

Bertall - Le Jardin du Paradis
« Il régnait une obscurité telle qu’on n’en voit de pareille qu’au fond d’un puits au milieu de la nuit. Tantôt le prince glissait sur l’herbe mouillée, tantôt il tombait sur les pierres aiguës dont le sol était hérissé. Trempé jusqu’aux os, il fut obligé de grimper sur de gros blocs recouverts d’une mousse épaisse et ruisselante. Il allait tomber évanoui de fatigue, lorsqu’il entendit un bruit étrange, et aperçut devant lui une grande caverne éclairée par un feu qui aurait pu rôtir tout un cerf ; et, en effet, attaché à la broche par les cornes, un superbe cerf y tournait lentement entre deux sapins abattus. »
Tiré des Contes d’Andersen, traduits du danois par David Soldi (1819-1884).
Le Jardin du Paradis.
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ANDERSEN, Hans Christian – L’Ombre

Donneurs de voix : CaroleJ.-Luc & Gilles-C. | Durée : 24min | Genre : Contes

Bertall - L'Ombre
« À ces mots, le savant se leva et l’Ombre fit comme lui. Il se tourna, et l’Ombre se tourna aussi. Quelqu’un qui eût fait attention aurait pu voir que l’Ombre entrait par la porte entr’ouverte chez le voisin, au moment où le savant entrait lui-même dans sa chambre en tirant derrière lui le grand rideau. »
Tiré des Contes d’Andersen, traduits du danois par David Soldi (1819-1884).
L’Ombre.
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ALLARY Camille – Livre Audio !

               ALLARY Camille – Livre Audio             



ALLARY, Camille – La Confession D’une Hirondelle

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 25min | Genre : Contes

La Confession d'une hirondelle
Presque tous les contes et nouvelles de Au pays des cigales de Camille Allary sont lisibles ici. Aujourd’hui La Confession d’une hirondelle vous permettra d’entendre une hirondelle raconter sa vie en français et il ne vous sera pas difficile d’humaniser cette histoire…
« Avant de fermer les yeux, – si la mort m’en donne le temps, – je veux vous faire ma confession. Peut-être trouverez-vous dans l’histoire de mes jours passés quelques enseignements qui vous aideront à porter sans rébellion le pesant fardeau de la vie. Approchez donc, mes chers petits, encore encore, encore. Ma voix est si faible que, si vous restiez là-bas, vous ne m’entendriez pas. »
Ne croirait-on pas une écouter une femme parler ?
Illustration : Hirondelle et ses petits.
La Confession d’une hirondelle.
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ALLARY, Camille – Le Tambourinaïre De Cassis

Donneuse de voix : Cocotte | Durée : 18min | Genre : Nouvelles

Le Tambourinaïre de Cassis
« Je tiens seulement à vous dire toute mon émotion, le charme sous lequel vous m’avez tenu. Imaginez que je sois allé vous voir, près de Marseille, aux Aygalades ou à Montredon, dans un petit jardin rafraîchi par les brises de mer. Je suis un passant, un invité, un ami émerveillé de vous entendre ; et jusqu’au soir nous causons, et je m’en vais, en emportant votre chant de cigale adouci, pareil dans la nuit tiède à un chant de flûte.
C’est la vie elle-même, le sanglot d’une minute, le sourire d’une seconde, un brin de chèvrefeuille cueilli, respiré et jeté, ce qu’on rêve en regardant les nuages du ciel s’envoler et passer comme des migrations d’oiseaux de neige. Rien ne peut être plus délicat comme art, ni plus ému comme sentiment. » Émile Zola
« Après vêpres, les jeunes gens se disposaient à faire la farandole, lorsque tout à coup une nouvelle, qui se répandit dans Cassis avec la rapidité de l’éclair, jeta la consternation parmi les habitants.
Vidal de Cassis, Vidal le roi des tambourinaires, refusait son concours à la vote !
C’était inouï. Les Cassidiens, qui depuis trois semaines attendaient le fameux bal de la Saint-Pierre, n’en revenaient pas. »
Plusieurs autres nouvelles sont dans la bibliothèque : La Légende des trois larmesThérèseLe Mal du paysBonifaceL’Âme envoléeLa Couronne de roses.
Le Tambourinaire de Cassis.
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ALLARY, Camille – La Légende Des Trois Larmes – Thérèse – Le Mal Du Pays

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 40min | Genre : Nouvelles

Fresque Palais Papes Avignon
La tristesse nous saisit quand nous lisons la plupart des contes du Pays des cigales de Camille Allary(1852-1889), le poète marseillais mort jeune. Les cigales sont là, certes, et le soleil de Provence inonde le jeune homme mais ses souvenirs sont la plupart du temps orientés vers la fragilité de la vie. On ne sort jamais indifférent d’un de ses poèmes-souvenirs en prose.
La Légende des trois larmes
« Ah ! la fière ville qu’était Avignon à l’époque où les papes l’habitaient ! On ne vit jamais tant d’entrain, tant d’animation, tant de gaieté. C’était du matin au soir des processions qui n’en finissaient plus, des cardinaux à longues robes, des dais empanachés, des chasubles, des mitres étincelantes, d’interminables files d’enfants de chœur et de pénitents bleus chantant latin dans les rues tortueuses jonchées de fleurs effeuillées, des pages aux costumes bigarrés jouant aux osselets sur les remparts, tandis que, couchés près de là, les grands lévriers suivaient leurs mouvements du coin de l’œil… »
Thérèse est un récit extrêmement émouvant : « Elle s’appelait Thérèse, c’était ma sœur, et je ne l’ai vue que trois fois dans ma vie. »
Elle est morte à huit mois
Le Mal du pays
« Ô Paris, grand faiseur de révolutions, grand démolisseur de trônes, tu ne vaux pas, malgré ta renommée, le petit village où je vins au monde, un jour de beau soleil. Je suis bien loin de lui, pourtant je vois d’ici son clocher pointu et ses maisons blanches…
La Légende des trois larmes.
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ALLARY, Camille – Boniface, Histoire D’un Chat – L’Âme Envolée

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 25min | Genre : Contes

Filippo Corelli - Le Chat sur le seuil (début XXe)
« Quand je les ai lus, ces nouvelles et ces contes dorés par le soleil de Provence, il m’a semblé que je redevenais tout petit pour me remettre à grandir. J’avais cet attendrissement des vieilles lettres d’amour retrouvées au fond d’un tiroir… Il n’est pas besoin d’avoir laissé son cœur en Provence pour rire et pour pleurer avec vous. »
écrit Émile Zola dans la préface qu’il consacre au recueil Au pays des cigales du jeune poète provençal Camille Allary (1852-1889), déjà sur notre site avec son Chant pompéien.
Boniface, histoire d’un chat :
« Boniface était un chat modèle. On n’avait pas une peccadille à lui reprocher. Il ne sortait presque jamais. Parfois il lui arrivait de flâner un moment sur le seuil de la porte ; mais il rentrait à la hâte dès qu’il voyait un passant s’approcher de lui. Nanon, la domestique, l’adorait. Elle avait brodé à son intention un joli petit coussin à fond noir, sur lequel se détachait une gerbe de coquelicots et de bluets entremêlés d’épis dorés. C’est là-dessus que le matou s’allongeait devant la braise du foyer. »
L’Âme envolée est le souvenir coloré et ému d’une « Chose vue » comme dirait Victor Hugo :
« À cette heure, toutes les fois que j’entends parler de bohémiens, je songe à ces gitanos qui vinrent, une claire matinée de septembre, faire halte tout près du cimetière, dans les chaleurs lourdes du soleil. La vie turbulente de ces chevaliers errants de la misère, leurs éclats de rire sonores, contrastaient avec la paix profonde de ce coin de terre inculte où dormaient les morts. »
Boniface, histoire d’un chat.
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ALLARY, Camille – La Couronne De Roses, Conte Pompéien

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 30min | Genre : Nouvelles

Lawrence Alma-Tadema - Les Roses d'Héliogabale
En décembre 1889, le monde littéraire déplorait la disparition de Camille Allary, jeune écrivain de Marseille, romancier, nouvelliste, journaliste, poète âgé d’à peine 37 ans et promis à un avenir des plus brillants, au dire même d’Émile Zola qui l’avait applaudi à ses premiers succès en ouvrant un de ses livres par une charmante lettre-préface. Ce livre intitulé Au pays des cigales est plein de soleil, de poésie, de jeunesse et d’espérance.
Le « conte pompéien » La Couronne de roses est une évocation des orgies chez une courtisane et une reconstitution soignée du décor d’une villa de Pompéi où se passe une tragédie amoureuse, peu de temps avant la disparition de la ville sous les laves du Vésuve il y a aujourd’hui 1937 ans…
« Le long des murs s’étalaient des panneaux de fresques représentant différents sujets. Ici, l’artiste avait peint un coin de l’Olympe ; là, c’était Ixion embrassant la nue ; plus loin, un faune aux pieds de bouc, aux oreilles pointues, ivre de luxure, bondissait dans les hautes herbes, poursuivant une naïade affolée, qui s’enfuyait tenant encore entre ses doigts aux ongles roses la mûre sauvage qu’elle venait de cueillir. Une mosaïque d’un travail merveilleux dessinait de capricieuses figurines sur le parquet. Une lampe d’onyx, remplie d’une huile odoriférante et soutenue par des chaînes d’argent massif, éclairait l’appartement. Du nard de Perse brûlait dans des kamklins d’or, et dans un angle de la salle, accroupie sur la peau d’un léopard, une belle esclave nubienne, aux yeux noirs, à la peau tannée, aux lèvres rouges, chantait les stances d’une idylle qu’accompagnaient les frémissements d’une lyre à trois cordes. »
Illustration : Lawrence Alma-Tadema, Les Roses d’Héliogabale (détail, 1888).
La Couronne de roses.
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