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vendredi 28 octobre 2016

L'histoire occultée de Christophe Colomb !

L'histoire occultée de Christophe Colomb : entre magie, kabbalisme et grand maître du Temple 


L'Histoire, avec une majuscule, dont les livres classiques, les journaux et la télévision donnent une image intentionnellement déformée, peut néanmoins être partiellement appréhendée à travers les écrivains dits hérétiques et les écrits dits apocryphes.
C'est le cas pour la venue des « anges » de la Genèse que l'on trouve exposée en neuf lignes dans la Bible... et en cent cinq chapitres dans le Livre d'Enoch !
C'est le cas de la plupart des grands événements à résonance politique : la peur de l'an mille, les croisades, la Révolution de 1789, la guerre 1940-1945... c'est le cas de l'aventure prodigieuse qui eut Christophe Colomb pour héros.

En a-t-on écrit des livres et des livres sur Colomb ! A croire que tout ce qui avait trait à sa personne physique et morale, à ses ambitions, à ses desseins et à ses réussites avait été dit et redit ! Et puis, voilà qu'à l'instar de Galilée en 1633, un véritable historien : Salvador de Madariaga, lançait un pavé dans la mare aux crapauds et faisait imprimer, en Angleterre d'abord, en France ensuite, la véritable histoire de Christophe Colomb.
Une histoire à couper le souffle aux sicaires de la Conjuration, qui ne manquèrent pas d'organiser une sorte de black-out sur le livre hérétique.


Salvador de Madariaga (1886-1978)

L'aventure de Galilée recommençait en 1968. Salvador de Madariaga méritait largement le sort qu'on lui souhaitait – le bûcher – pour la simple raison qu'il avait le toupet d'exposer une thèse contraire à celle des historiens patentés.

Le paradis terrestre

Selon Madariaga, Colomb ou Colon aurait dit à Fraï Juan Pérez qu'il était déjà allé aux Indes Occidentales dont un pilote inconnu lui avait révélé la route maritime. Au XVe siècle, les chercheurs d'aventures et les poètes rêvaient d'îles fabuleuses : Antilia ou les Sept Cités, San Brandan, Brazil, la Mano Satanaxia, etc, qu'ils situaient dan la Mer Ténébreuse, bien au-delà des colonnes d'Hercule.
On les appelait isles Fortunées et beaucoup d'Occidentaux, dont Christophe Colomb, pensaient qu'elles étaient le Paradis terrestre de la Bible et aussi... le réceptacle de prodigieuses gemmes et de pépites d'or non moins alléchantes.C'était l'époque où le Le Livre des Merveilles, de Jean de Maudeville, enfiévrait les imaginations en contant qu'il existait de par le monde des hommes sans tête, des diables perchés sur des montagnes et qui vomissaient le feu par leur gueule, des monstres ailés assez puissants pour enlever un éléphant dans leurs serres, des mers tropicales si bouillantes qu'elles cuisaient vifs les poissons.



Colomb croyait-il à ces rêves et à ces sornettes ?
Nul ne saurait dire jusqu'à quel point il était victime de la grande illusion des isles atlantiques, mais incontestablement il espérait trouver aux Indes de l'Ouest, ce qui était le plus important pour lui : l'or, les pierres précieuses et la gloire. Peut-être, aussi, croyait-il à l'existence de ce Paradis terrestre occidental que certifiaient les mythologies de l'Egypte, de l'Irlande et du pays de Sind. Il a écrit que la Terre n'était pas ronde mais en forme de poire avec, sur un côté, un mamelon en forme de sein de femme.La pointe de ce sein située dans la zone équatoriale était la partie du globe la plus proche du ciel et Colomb pensait que là devrait se trouver le Paradis décrit dans la Genèse.
« Personne ne peut atteindre ce Paradis terrestre, écrivait-il, sauf par la Volonté divine ».
Or, señor Gloriso, comme on l'appelait alors, ne se prenait pas pour le premier venu !
Ce converso plus ou moins acquis au christianisme avait les qualités et défauts de sa race. Il était intelligent, âpre au gain et se jugeait supérieur au reste de l'humanité.



S'adressant à ses souverains, il écrivait :
« Ayant expulsé les Juifs, vous m'avez envoyé dans l'Inde et vous m'avez fait grand amiral. Ayant abaissé ma race, vous m'avez élevé »En fait, Colomb était à la fois aussi mauvais juif que mauvais chrétien et, en dépit de son mérite de découvreur, on est gêné de déceler en lui un héros cupide, sans coeur et parfois malhonnête.

La carte de Toscanelli

On croit en effet que Colomb entreprit son voyage après avoir dérobé la carte du physicien florentin Paolo del Pezzo Toscanelli.


Paolo Toscanelli (1397-1482)

Le 25 juin 1474, Toscanelli envoya au chanoine portugais Fermâo Martins (ou de Roritz) une carte de géographie où il avait tracé la route « menant vers l'Inde par l'océan occidental », avec indication des lieux, des pôles, de la ligne équatoriale et des distances.
« Vous pouvez entreprendre le voyage vers l'ouest, écrivait le Florentin... et atteindre ces régions, les plus fertiles en toutes sortes d'épices, de joyaux et de pierres précieuses...
Car tous ceux qui navigueront vers l'ouest dans l'hémisphère le plus haut, trouveront les dits chemins vers l'ouest, et tous ceux qui navigueront vers l'est par voie de terre dans l'hémisphère le plus haut, trouveront toujours la même terre à l'est ».


Restitution hypothétique de la carte du monde perdu par Paolo Toscanelli (1474)


Carte et commentaires étaient à destination finale du roi Alfonse Ier et nous avons de bonnes raisons de penser que le souverain, sur la foi des thèses de Toscanelli, envoya plusieurs fois à « Brazil » des pilites qui lui rapportèrent de l'or et des pierres précieuses.
Ces marins transatlantiques devaient obligatoirement prendre leur retraite dans l'île la plus lointaine de l'empire, à Madère, où comme par hasard, Colomb en 1474 alla épouser la señorita Perestrello ou Palestrello, fille d'un de ces pilotes et héritière de ses cartes et de ses documents.

De plus, c'est grâce à la lettre de Toscanelli, qu'en novembre 1475, Fernâo Telles fut crédit du gouvernement du royaume des Sept Villes, que l'on présumait devoir exister quelque part vers San Brandan et Antilia ! Il est probable, sinon certain, que Colomb, dénicheur, fureteur comme il l'était, et possédé du démon du voyage océanique, a dû lire cette lettre fameuse et s'en inspirer.

Salvador de Madariaga s'étonne que Colomb se soit enfui du Portugal (en 1488 pensons-nous).
« Un homme qui a volé un document important doit s'enfuir ! Écrit-il. Colomb fabriqua la correspondance avec Toscanelli (qui était mort et ne pourrait par conséquent la renier)... afin de fournir des explications plausibles pour éviter qu'on en parle aux Portugais. »

Sous entendu : du vol de la carte géographique !


Carte de Toscanelli (1468)

A l'appui de cette assertion, Madariaga produit une lettre du roi Jean II qui assure « son ami particulier Christouon Colon » qu'au cours de son voyage, s'il revient au Portugal, il ne sera« point arrêté, retenu, accusé, renvoyé ou mis en demeure de répondre à aucune question, civile ou criminelle, d'aucune sorte »Quelle explication donner de cette étrange assurance ?
Colon était un voleur, écrit Madariaga. « Ne possédons-nous pas la preuve matérielle qu'il avait volé la lettre de Toscanelli ?... Il a volé le moyen d'aller dans le Nouveau Monde. »

Le mirage des isles Fortunées

L'affaire est extrêmement embrouillée. La célèbre... et douteuse carte de Piri Reïs serait une copie, à la fois des cartes dessinés par Colomb et de toutes celles qui, vers 1550, pullulaient en Europe.



Piri Reis aurait tracé sa carte en 1513. Dessinée sur une peau de gazelle, elle détaille les côtes occidentales de l'Afrique et les côtes orientales de l'Amérique du Sud.

Il nous paraît infiniment probable que Christophe Colomb ait eu connaissance des documents qui, au XVe siècle, circulaient entre les marins et les aventuriers qu'enfiévrait le mystère de la Mer Ténébreuse. C'était une véritable psychose, Jean de Mandeville avait écrit écrit : «  Un vaillant homme de notre pays, se partit jadis pour aller chercher le monde. Sy passa Ynde et oultre Ynde plus de 5 mille lieus et enuironna le monde par maintes saisons. »
En 1473, disent des chroniqueurs, un représentant de la couronne du Portugal,
Joano Corte-Real, aurait participé à une expédition vers le Nouveau Monde.


Corte-Real

Au retour, il aurait été nommé gouverneur des Açores « en récompense de sa découverte du Pays des Morues » qui était soit Terre-Neuve, soit le Labrador, c'est-à-dire la Terre Ferme, le contient américain. Colomb était au courant de ces découvertes et de ces relations. Il avait lu les théories sur les Indes Occidentales et Duarte Pacheco Pereira, exprimées dans Esmeraldo de Situ Orbio, laCosmologie de Ptolomée, le Livre des Merveilles de Jean de Maudeville, les écrits de Philippe de Beauvais mentionnant l'existence, au delà de l'océan, d'un nouveau monde encore inconnu, Le Livre de Marco Polo, les relations de voyage de Henri le Navigateur, etc.
Nous lui faisons confiance sur ce point : il a étudié tout ce qui se rapportait à son projet, vu et copié de nombreuses cartes marines, la mappemonde de Henricus Martelus Germanus, le Globe de Laon, et peut-être aussi les esquisses du Ponant ( couchant) : Cipango, Candia, Java Mayor, Java Minor, Anguana, Ceylan, Antilia, Brazil...


Carte du monde par Henricus Martelus Germanus

Le Winland et le Mexique avant Colomb

Les portulans et cartes qui faisaient autorité au XVe siècle, outre le globe de Martin Behaim (1492), se trouvaient à la bibliothèque grand-ducale de Weimar, à celles de Parme, de Genève, de Rome, de Venise et de Lisbonne. On consultait particulièrement les cartes vénitiennes des frères Pizzigani (1367), l'atlas d'André Bianco, les cartes des Génois Beccaria (1435), et Bartholomeo de Pareto (1455), et celle d'Andrea Benincasa d'Ancon. Les érudits de l'époque savaient qu'il existait, au-delà de la Mer Ténébreuse, un continent qui n'était pas celui du Grand Khan, mais le Winland ou Pays du Vin.
« Vers l'an 1000, dit l'Encyclopédie (Pierre Larousse 1872), on conduisait une colonie dans ce pays qui était surnommé Winland et qui selon toute apparence, devait appartenir à l'Amérique septentrionale... Il est rapporté que des pêcheurs avaient été jetés par la tempête dans l'île d'Estotiland (?), où ils trouvèrent un peuple policé, ayant une écriture particulière. Là, on les chargea parce qu'ils connaissaient la boussole, d'une expédition sur la côté de Drocco, plus au Sud ; ils furent faits prisonniers par des sauvages anthropophages.
L'un d'eux parcourut en esclave tout le pays, et apprit que plus loin s'étendait un pays riche, fertile et civilisé. Les anthropophages de Drocco pourraient être les sauvages de la Nouvelle-Ecosse et du Canada, et le pays civilisé, le Mexique.



Quoi qu'il en soit, il est probable que ces renseignements connus de Christophe Colomb (écrit Pierre Larousse), ne purent que le confirmer dans sa croyance à des terres occidentales...
Il ne fut pas le premier à découvrir l'Amérique. Dans l'antiquité, Aristote avait deviné l'existence de ce que Colomb devait appeler les Indes Occidentales et, sans remonter si haut, il suffit de rappeler que les voyages des Scandinaves dans le Groenland et dans l'île de Terre-Neuve, voyages qui étaient probablement connus en Italie au XVe siècle. »

Martin-Alonzo et Vincente Pinzon

Quels que soient les mérites de Colomb – et il existent – l'historien se doit ne pas passer sous silence les taches dont « l'illustre Génois » a parsemé son blason. En premier lieu, il sied de souligner que les fères Martin-Alonzo et Vincente Pinzon armèrent, au profit de Colomb, les trois nefs de l'expédition : la Pinta, la Nina et la Santa-Maria du navigateur Juan de la Cosa.


La croix templière ornait les voiles des trois caravelles

Jamais Colomb n'eût pu embarquer vers l'Occident sans les Pinzon et sans Juan de la Cosa.


Vincente Yáñez Pinzón (1462-1514)

Jamais les nefs n'eussent franchi l'Atlantique si les Pinzon n'avaient pris le commandement des équipages. La traversée fut longue ; les matelots après avoir dépassé les 700 lieues prévus par « l'amiral » Christophe Colomb, s'aperçurent que ce dernier n'était qu'un piètre navigateur, incapable surtout de donner un ordre que l'on puisse décemment agréer. Ils grognèrent souvent et parlèrent même de jeter par-dessus bord cet amiral de comédie. Colomb, quand la mutinerie éclata, était certes prêt à mourir bravement; peut-être sur le point de faire demi-tour, mais Martin Pinzon encore une fois sauva la situation.


Martín Alonso Pinzón (1441-1493)

– Plaise à Dieu, s'écria-t-il, que flotte de si grande reine ne recule, non seulement cette nuit, mais de toute une année ! Selon Pierre Margry, auteur de : Les Navigateurs français et la révolution maritime, du XIVe au XVIe siècle, « Vicente Yañez Pinzon aurait été le second du navire de Jean Cousin, qui en 1488 – quatre ans avant le voyage de Colomb – découvrait le Brésil et doublait le cap de Bonne-Espérance ».

Les précurseurs de Colomb

Jean Cousin, originaire de Dieppe, bénéficiant des instructions du savant hydrographe Desceliers, son compatriote, découvrit l'embouchure d'un grand fleuve qu'il nomma Maragnon et qui plus tard fut appelé le fleuve des Amazones. Le premier, il baptisa « Pointe des Aiguilles » – dix ans avant Vasco de Gamma – ce qui devient ensuite le cap de Bonne-Espérance.
Voici, d'après les traditions et les relations anciennes, l'ordre chronologique des « découvreurs » connus des Amériques, depuis le Déluge jusqu'à Colomb :

– Il y a 9000 à 10 000 ans, des peuples émigrés d'Europe franchirent l'océan, conte le Popol-Vuh, livre sacré des Mayas-Quichés, et par étapes successives, se rendirent des terres du Nord (Canada) jusqu'au Mexique, en passant par les Etats-Unis. Les mêmes peuples migrateurs passèrent au Yucatan-Guatemala, puis en Colombie, puis au Pérou et en Bolivie. De là, sans doute, en Océanie et notamment à l'île de Pâques.



Détail d'une carte de l'Australie par Desceliers (XVIe siècle)

  • Au temps du roi Minos, des navigateurs crétois auraient touché au Mexique.
  • 850 av. J.-C. Badezir, roi de Phénicie, serait allé au Brésil, si l'on croit l'inscription suivante (indéchiffrable, en réalité) de la Pierre de Gavea, à Rio de Janero :

Traduction avancée : « Badezir grand-prête de Baal, roi de Tyr en Phénicie ».

999 : l'Islandais Björn Asbrandson.

1003 : le Norvégien Leif Ericson (d'après une saga).

1029 : l'Islandais Gudleif Gudlangson.

XIe siècle : expédition dite des « Aventuriers » par lle géographe arabe El Edrisi.

1121 : Erik Gnupson, évêque du Groenland, voyage jusqu'au Winland.

1362 : huit Suédois, vingt-deux Norvégiens, selon l'inscription runique de la pierre de Kensington.

1473 : Les Portugais, Danois et Norvégiens de l'expédition – très douteuse – commandée par les capitaines allemands Pining et Pothorst.

1488 : le Dieppois Jean Cousin serait allé au Brésil et aurait reconnu les bouches de l'Amazone. 


Carte réalisée par Jean Cousin 

1497 : Jean Cabot aurait pris pied sur la Terre Ferme avant Colomb.

Cabot touche terre avant Colomb

Jean Cabot, navigateur et cosmographe vénitien, naturalisé anglais, prit pied sur le continent américain (on disait alors la Terre Ferme) avant Christophe Colomb, qui lors de son premier voyage n'avait touché qu'à une île des Antilles ( San Salvador).
Voici, écrite par son fils Sébastien, la relation de l'exploit :
L'an de grâce 1497, Jean Cabot, vénitien, et son fils Sébastien, partirent de Bristol avec une flotte anglaise, et découvrirent cette terre que personne n'avait encore trouvée ; ce fut la première qu'ils aperçurent de dessus mer.Ils donnèrent à l'île située devant le continent, le nom d'île Saint-Jean, parce qu'ils y arrivèrent, selon toute apparence, le jour de la Saint-Jean-Baptiste.
Les habitants de cette île étaient couverts de peaux de bêtes, dont ils se croyaient fort parés...

Ils se servaient dans leur guerre d'arcs, d'arbalètes, de piques, de dards, de massues de bois et de frondes.



Ils trouvèrent que ce terrain était stérile en plusieurs endroits et portait peu de fruits ; qu'il était rempli d'ours blancs et de cerfs beaucoup plus grands que ceux d'Europe, qu'il produisait quantité de poissons, et de ceux de la plus grande espèce, comme des veaux marins et des saumons. Ils y trouvèrent des soles de trois pieds de long, et beaucoup de ce poisson que les sauvages appellent braccalaosIls y remarquèrent aussi des perdrix, des faucons et des aigles, mais ce qu'il y a de singulier, c'est qu'ils étaient tous aussi noires que des corbeaux.
Cette première terre, découverte par Jean Cabot en 1497, était le Labrador.



Il longea la côte jusqu'à la Floride, puis retourna à Bristol, emmenant trois « sauvages » vivants et une riche cargaison. Christophe Colomb ne toucha la terre ferme des Amériques qu'en 1498, c'est-à-dire un an après Cabot... et dix ans après le Dieppois Jean Cousin, qui avait reconnu le Marañon ou embouchure de l'Amazone. 

Le vrai but : reconstruire le Temple de Jérusalem

A trop vouloir prouver, on ne prouve rien du tout ! Colomb était-il un voleur ? Ce n'est qu'une hypothèse. Il n'est pas le vrai découvreur des Amériques sans doute, mais il est certain qu'il apporta à l'Espagne un empire immense et à l'Histoire un de ses plus beaux fleurons.
L'aventure américaine est d'une telle complexité qu'il est quasiment impossible d'en démêler la trame.

Le Génois était-il un juif rusé ou un chrétien retors ? Nul ne peut le dire.

Il est certes attiré, avant toute chose, par l'appât de l'or ; pourtant, Salvador de Madariaga dans son livre étonnant, révèle ce que fut sans doute le but secret de la conquête des Amériques : amasser des richesses pour reconstruire le Temple de Salomon à Jérusalem.


A Baza, il aurait assuré le roi et la reine que tous les bénéfices qu'il retirerait de son entreprise seraient consacrés à la libération de la maison de Sion et à la reconstruction du Temple.

Fin du monde en 1656

Colomb pensait sincèrement qu'il était missionné par Dieu pour accomplir de grands exploits, et cette idée le soutint puissamment dans son entreprise. Il s'appuie sur Esdras pour estimer la largeur de la mer – six parties de la Terre sont sèches et il y en a une sous l'eau – et sur les prophéties de Hébreux pour prévoir la fin du monde, qu'il fixe à l'an 1656. C'est pour cette raison qu'il presse le roi et la reine d'Espagne «  de se lancer dans l'entreprise de la conquête des Indes ».


Ferdinand V et Isabelle 1er étaient roi et reine de Castille en tandem de 1474 à 1504

Madariaga écrit, à propos de la mission dont Colomb se croyait chargé :
«  Il était l'agent du Seigneur, choisi non seulement pour conquérir un monde nouveau, n'existant jusque-là que dans son imagination, mais aussi pour faire face à ce roi et à cette reine qui opprimaient la moitié de son peuple et se préparaient à envoyer l'autre dans un exil inhumain. »
Il invoque Abraham, Moïse, Isaac, Sarah, Isaïe ; après sa réussite, il se compare à David.
Grisé, il brûle d'imiter les prophéties bibliques : il gémit, se juge opprimé, se couvre la tête de cendres et finalement écrit un Livre de Prophéties qui, malheureusement, ne nous est pas parvenu, mais qui traitait probablement du problème de la restauration d'Israël, soit en Palestine, soit dans les Indes Occidentales.

Colomb, Grand Maître du Temple

Un des grands mystères attachés à Christophe Colomb, outre ceux de sa naissance et de la paternité de la découverte de l'Amérique, est celui de sa signature dont voici la reproduction :


Pour Maurice Privat et Joseph Hariz, Colomb était magicien, et sa signature prouve son appartenance à l'Ordre du Temple, dont il aurait été le Grand Maitre.

Cette signature contient deux triangles pointés (nous en voyons quatre !).
« La dernière ligne xto ferens qui signifie Christo-ferens, exprimait la devise de Colomb, le porteur du Christ, devenue son prénom. La troisième ligne fait allusion au fait qu'il combattait les Maures sous les murs de Grenade, en costume de de franciscain. C'est sous la bure monocale qu'il débarqua après son deuxième et son quatrième voyage.... X,M,Y, expriment Christ, Marie ou Méryen, Joseph ou Yousouf, les mots de reconnaissance des tertiaires. Il ne restait plus à trouver que la clef du triangle ainsi formé.
Eliminons l'A central (Maurice Privat a vite raison des difficultés !) et nous obtenons le triple triangle. Nous y reconnaissons la figuration des pyramides d'Egypte. Colomb atteste donc indiscutablement son initiation... » 


Une mission templière

Par la Kabbale, M. Privat spécule que S répétée trois fois = 15 x 3 = 45, soit 4 + 5 = 9, nombre divin abstrait. En arithmosophie, 45 exprime l'héritage, le legs.
« La mission du Templier lui a donc été assurée par héritage. D'autres part, 15 divisé par 3 donne 5, qui est attribué au grand hiérophante entre les colonnes d'Hermès et de Salomon, c'est-à-dire l'initié. Par conséquent, Colomb expose ses titres sans ambages avec la lettre A :
« Je suis le premier de mon ordre. » Il est donc le grand maître de cette fraternité qui, après avoir aspiré à la conquête du monde pour l'organiser, fut décapitée en 1307 par Philippe le Bel, mais dont la puissance s'est perpétuée. » 



Telle est l'opinion de Maurice Privat, assez extravagante, avec néanmoins des lueurs qui accrochent notre curiosité. Il n'est pas impossible en effet que les Templiers aient été mêlés à cette histoire, de même que les Juifs, car il est impossible de ne pas remarquer que Colomb était un converso ; il « découvrit » l'Amérique dont l'Etat le plus puissant, les USA, devait devenir peu à peu la nouvelle Terre de Sion.
Selon Louis Charpentier, les Templiers avaient été tenus au courant des rapports des missionnaires groenland et, depuis le XIIe siècle, ils savaient qu'ils existait une route maritime pour se rendre dans un monde occidental.
Maurice Privat va plus loin encore en assurant que «  les Templiers avaient organisé un immense empire au Mexique, à la fin du XIIIe siècle.Colomb devait, par conséquent, les plans et les cartes qui lui permirent d'aller au Nouveau Monde, aux Templiers dont il était l'héritier majestueux ».


Ceux que cette thèse tenterait, devront se demander pourquoi Colomb « vola » la carte de Toscanelli et fit tant de démarches pour se procurer des documents !

Colomb Kabbaliste

L'expertise de la signature de Colomb ne nous porte pas vers l'explication de Maurice Privat.
Nous en retiendrons pourtant que le « Génois » était d'origine juive et qu'il pratiquait probablement la magie.
« Lors de son 4e voyage, écrit le Dr J. Hariz, Colomb pratique des conjurations. Par grande tempête, sur les côtes du Venezuela, torturé par le scorbut, il se lève, revêt son manteau, peint son épée, allume les cierges bénits dans les fanaux, brandit l'Evangile selon saint Jean l'Evangile de l'esprit, coupe l'air aux quatre angles. Est-ce à cause de cette cérémonie qu'on trombe gigantesque passa entre les caravelles sans les aspirer ? ».



Une évidence ressort dès l'examen primaire : Colomb croit à la puissance des lettres, des nombres, des pantacles et sa signature, incontestablement, veut avoir un caractère magique et talismanique. Il s'agit effectivement d'un pantacle, juif et kabbaliste !
Colomb en effet est d'origine juive ce qui, par ailleurs, ressort de son tempérament, de sa souplesse, de son intelligence. Comme tous les Juifs, même s'ils sont convertis (les conversos), il attache un grand crédit aux forces « mystérieuses » qui doivent l'aider à accomplir sa « mission ».
« Encore de nos jours, écrit Jean Marquès-Rivière, des Juifs utilisent le pantacle appelé le Shadaï que portent tous les enfants israélites au moment de la cérémonie dite Bar-mitzwah.
C'est une médaille ronde sur laquelle est inscrit, le nom divin Shadaï, dont l'usage est de tradition immémoriale.Ce nom divin se retrouve d'ailleurs dans de nombreux textes magiques et pantaculaires. »


Médaille Shadaï

Un Talisman de maître du monde

Cette signature se décompose en deux parties bien distinctes : la signature, dans le bas : christoferens ; un pantacle surmonte et protège le nom, avec 7 lettres magiques et 6 points qui rappellent les 6 pointes du sceau de Salomon.Voici, selon les traditions kabbalistes et les superstitions hébraïques, le sens du pantacle : 



Cette magie avait donc pour but, dans l'esprit de l'Amiral (en lisant de droite à gauche, comme en hébreu) de le placer sous la protection de Samaël-Sathan pour conjurer les tempêtes et... découvrir une Terre... vers le pays où le soleil se couche. Que Yahvé, le Seigneur, fasse Maître du monde le soussigné : Christophe Colomb. Samaël, Shamshiel, Arets et Sikiel sont fréquemment invoquées dans la magie des Juifs. Colomb est gonflé de vanité, de cupidité, d'orgueil insensé ; ne se prend-il pas pour un prophète quand il écrit ses Prophéties et annonce la fin du monde pour 1656 ?



N'a-t-il pas exigé avant de partir sur l'océan, d'être fait chevalier, don, grand amiral et vice-roi ?
Après sa victoire, vers 1498, il écrit aux souverains espagnols, une lettre délirante où il se présente comme un prince du monde, le véritable Metatron : « Dieu... qu'a-t-il fait de plus pour Moïse ou pour David ? »
Et parlant de lui, il ajoute : « Depuis ta naissance il a toujours pris grand soin de toi... Il a donné à ton nom un retentissement merveilleux sur la Terre. » En fait, le talisman, écrit et enfermé dans un sachet que Colomb devait porter à même sa peau, semble avoir joué un rôle efficace.
Bien qu'il n'ait pas découvert les Amériques, et n'ait pas même imaginé la route maritime du Ponant, Colomb est devenu une sorte de Metatron : l'homme le plus connu du monde.



Samaël, Sikiel, Arets, Shamshiel – Y – M et X (X == votre nom, surtout s'il commence par un C), voilà un puissant et merveilleux talisman qui a fait ses preuves ! Le mayorazgo, de 1498, bien qu'apocryphe, écrit Madariaga, doit s'appuyer sur le document disparu de 1502.
On y trouve une clause singulière concernant la signature :
« Don Diego, mon fils, ou celui quel qu'il soit qui héritera ce majorat, après en avoir hérité et en avoir obtenu la possession, signera de la signature que j'utilise à préent, qui consiste en un X, avec un S au-dessus, et un M avec un A romain au-dessus, et au-dessus encore, un S, et ensuite un Y avec un S au-dessus, avec leur traits et leurs virgules comme je fais à présent et comme on le verra d'après mes signatures et par celle ci-dessous. Et il ne signera rien que l'Amiral, quand bien même le roi lui donnerait, ou il mériterait d'autres titres. »

Un pacte avec Satan

Si l'on veut bien s'en tenir à ces précisions, la signature signifierait alors :
« Christophe Colomb – lumière ou soleil – Maître – de la Terre – sous la présidence de Samaël – Seigneur – de la tempête. » Les 6 points reliées entre eux donnent 2 triangles accolés. Si on les relie dans tous les sens possibles on obtient deux pyramides en géométrie dans l'espace, c'est-à-dire avec quatre face chacune. Par translation des deux triangles on obtient... le sceau de Salomon, ce qui nous ramène encore aux pentacles magiques des Hébreux.



Il semble donc ressortir des précisions apportées par l'Amiral, qu'il aurait signé avec Satan-Samaël un pacte qui engageait aussi sa descendance directe. Certes, nous ne croyons pas à la puissance d'un pacte, pas plus qu'à Satan, mais il est curieux de remarquer que l'aventure de Colomb se déroule exactement comme si le Diable s'en était mêlé : avec son cortège de démons, de talismans, d'incantations, de hasards étranges, de bonnes fortunes insolites, d'aides providentielles et pas toujours méritées. Avec aussi, un contexte d'or et d'horreur, de marchandages, de duplicité, de sang et de cruautés ressemblant à des holocaustes dont les « sauvages » de l'Inde Occidentale firent les frais.
Salvador de Madariaga fait remarquer également la forme triangulaire de la signature et pense à la Kabbale.



Il ajoute que l'arrangement des S pointés fait apparaître l'écu de David (bouclier de David) ce qui est relativement exact. Un israélite kabbaliste, M. Maurice David, a révélé à Madariaga que « fils et petit-fils de rabbins, lorsqu'il avait vu le monogramme qui se trouve dans le coin supérieur gauche de toutes les lettres adressées par Colon à son fils Diego, sauf une, il avait reconnu celui que son père et son grand-père inscrivaient toujours au même endroit sur toutes leurs lettres. C'était une vieille salutation hébraïque, une bénédiction... »Les graphologues hébraïques ne sont pas de cet avis, ajoute Madariaga. Selon J. R. Marcus, professeur d'histoire juive à l'Hebrew Union College de Cincinatti (Ohio), la transcription en caractères latins du talisman donnerait : 




Ce qui représente un talisman magique à caractère religieux et juif. Autre interprétation de l'écrivain Don Armando Alvarez Pedroso :




Pour notre part, nous nous tenons à notre première explication.


Source : Chapitre VI « Le Livre du passé mystérieux » de Robert Charroux (1973).

Les mystères des Montagnes Bucegi !

            Les mystères des Montagnes Bucegi          


À l'été de 2003, dans une région inexplorée des monts Bucegi, Roumanie, une équipe du Département Zéro (une section top secrète du Service roumain de renseignements - SRI), avait fait une découverte archéologique qui pourrait complètement changer le destin de l'humanité.
Les Etats-Unis d'Amérique ont exercé une pression diplomatique colossale sur le gouvernement roumain, qui désirait divulguer les résultats au monde entier.
Les implications sont devenues beaucoup plus complexes en raison de l'ingérence brutale de l'Ordre des Illuminati, qui a cherché à prendre le contrôle à la fois du lieu de la découverte et de l'expédition commune roumano-américaine.
L'expert en phénomènes étranges, et aussi le chef des opérations pour l'Etat roumain, Cezar Brad, est le «héros» des événements choquants survenus dans les monts Bucegi. Il a également eu deux réunions mémorables avec l'un des principaux représentant des Illuminati, et haut membre de Bilderberg.


II . Une étrange visite du membre le plus puissant des Bilderberg

En mai 2003, Cezar a été visité par un personnage très important. La demande de la réunion est venue du SRI, à la suite de l'intervention du gouvernement. La personne était un étranger, mais qui parlait très bien la langue roumaine. Il était également familier avec le pays. Cezar a informé le SRI que le visiteur était un membre de haut rang d'une loge maçonnique très importante d'Italie, il était un noble, et a eu une très forte influence financière en Roumanie.

Son influence politique était également très élevée, car il a réussi à pénétrer dans le bouclier des agents du SRI et à atteindre le DZ (Division Zero).
Cezar a ressenti une pression élevée et un poids lourd autour de cette personne. Il était entouré par un nuage puissant de rayonnements désagréables qui cachait ses véritables intentions. Pour cette réunion, Cezar s'était préparé minutieusement, s'isolant dans une chambre et tombant dans un état de méditation profonde, pour en savoir plus sur la personne.
Un hélicoptère du SRI a amené cet arrogant grand monsieur, vêtu d'un costume noir. Il avait une canne à manche d'ivoire et avec des incrustations d'or. Son visage exprimait la dureté et ses yeux verts ont eu un effet étrange, rayonnant une froideur inhabituelle. Il s'est présenté comme Monsieur Massini (probablement pas son vrai nom). Il était très sûr de sa puissance et a créé l'impression d'une personne qui a été fait pour donner des ordres.
Il était le chef d'une des loges maçonniques les plus importantes d'Europe et aussi de l'une des organisations maçonniques les plus influentes dans le monde : le Groupe de Bilderberg.


Massini a été très direct et a déclaré que les êtres humains sont de deux sortes : ceux qui peuvent être manipulés et gouvernés (ceux-ci forment la majorité), et ceux qui ont certaines vertues et des fortes personnalités. Il a dit que son groupe fait partie de l'ordre maçonnique le plus élevé et est très intéressé de l'issue de la discussion.
Monsieur Massini a expliqué que le Groupe de Bilderberg n'est pas une loge maçonnique, et qu'il pense être beaucoup plus que cela. Il a dit que les loges ne sont que des façades et le pouvoir réel est beaucoup plus élevé que le trente-troisième niveau hiérarchique. Massini a invité Cezar à se joindre au groupe, lui faisant comprendre qu'il aura de nombreux avantages.
Selon Cezar, Massini était à la fois physiquement et psychique fort, ce qui contrastait avec son âge. Malheureusement pour lui, son pouvoir était centré sur un égo énorme, l'arrogance et le sentiment de supériorité sur le reste.
Massini a informé Cezar qu'il lui a demandé personnellement, en utilisant son influence politique, parce qu'il a été impressionné par la puissance psychique de Cezar.

III. Les espions du Pentagone avec des satellites

Un satellite géodésique d'espionnage du Pentagone, basé sur la technologie bionique et les définitions de formes, a découvert en 2002 une singularité distincte dans une région spécifique des montagnes Bucegi. L'espace vide à l'intérieur de la montagne n'avait pas de correspondance avec l'extérieur, et semblait avoir été sculpté de l'intérieur, par des êtres intelligents. Ce n'était certainement pas une grotte.


Le scan par satellite de la montagne a révélé deux grands blocs énergétiques. Ces obstacles ont été fabriqués avec de l'énergie artificielle. Le premier était comme un mur énergique, bloquant l'accès au tunnel, tandis que le second était en forme de dôme (ou hémisphère), et était situé à l'extrémité opposée du tunnel, près du centre de la montagne.
Massini était sûr qu'à l'intérieur du dôme, ils allaient découvrir quelque chose de très important. Il avait une profonde connaissance de l'origine de cette découverte et a connu l'existence d'au moins un point situé à l'intérieur de la grande salle hémisphérique. Le tunnel et la coupole ont été étrangement alignés avec les formations rocheuses du haut de la montagne, connues sous le nom de « Babele » et le " Sphinx de Bucegi ".


IV . Une structure similaire en Irak

L'équipe du Pentagone a noté que la barrière d'énergie hémisphérique avait la même fréquence vibratoire et la même forme que celui d'une autre structure souterraine top secret qu'ils avaient découvert avant, près de Bagdad, en Irak. Peu de temps après cette découverte, la guerre en Irak a éclaté et après quelques mois, les Américains ont eu accès au plus grand secret dans la région - dont les Irakiens ne savaient rien.
Massini a expliqué à Cezar que le contenu de cette découverte avait à voir avec le mystérieux passé de la Terre et l'Histoire de leurs organisations secrètes. Lorsque l'enquête du Pentagone a noté les similitudes entre la structure souterraine de Bagdad et celle des monts Bucegi, Massini et sa loge maçonnique sont devenus extrêmement agités. Initialement, ils ont presque paniqué. La panique était dû au fait que cette structure - beaucoup plus vaste et plus complexe que celle d'Irak - était sur le territoire de la Roumanie.
(Apparemment, la Roumanie doit probablement jouer un rôle important dans la chute des sociétés secrètes qui contrôlent le monde et asservissent l'humanité. On a également suggéré que, quelque part au-dessus des monts Bucegi, une pyramide énergétique se trouve, qui est invisible à l'œil nu, et qui contient la véritable histoire de notre planète. On peut imaginer leur panique).
Massini amené sur le site de forage une foreuse de roche dure ultra sophistiquée (TBMs), utilisé par l'armée américaine. Le dispositif utilisait un jet de plasma et une sorte de champ magnétique tournant, fondant littéralement le rocher sans aucun effort visible.


V. Les secrets des monts Bucegi 

Ils ont réussi à faire une pénétration d'environ 60-70 mètres derrière la première barrière énergétique, et ont atteint la première galerie, qui ressemblait à un tunnel de métro. Ses murs sont parfaitement polis. A la fin du tunnel, il y avait une porte de pierre massive, qui a été protégée par une barrière énergétique invisible. Trois membres de la première équipe d'intervention spéciale ont essayé de toucher la porte, et sont immédiatement décédés d'un arrêt cardiaque.
Tout objet (rock, plastique, métal ou bois) lancé sur la barrière est immédiatement transformé en poussière fine. Deux généraux du Pentagone et le conseiller présidentiel américain sont arrivés sur place.

VI . La Grande Galerie

Au-delà de la barrière d'énergie formidable, qui a causé la mort de trois personnes, il y avait aussi la porte de roche solide. Sur le mur du tunnel, juste en face de la porte, il y avait une superficie de 20 cm carrés, sur laquelle il a été précisément dessiné un triangle équilatéral pointant vers le haut. L'endroit a été situé entre l'énorme porte en pierre broyée et la barrière d'énergie invisible.
Cezar a estimé qu'il y avait une sorte de compatibilité entre la barrière énergétique et lui-même, quelque chose comme une «sympathie» mutuelle. Sa main effleura la surface de la barrière énergétique et il sentit un picotement sur la peau. Le bouclier était totalement inoffensif pour lui, alors il s'avança, en passant au travers. Les responsables américains ont été absolument stupéfaits.
Cezar a estimé que a barrière ne faisait pas plus d'un pouce d'épaisseur (2.54 cm).


Il a touché le dessin du triangle situé au centre de la place, et la porte de pierre gigantesque a silencieusement glissé vers la gauche, dans le mur. Cette commande a également annulé la barrière énergétique, en leur donnant accès à une salle immense, qui fut plus tard nommé " La Grande Galerie " .
Même s'il n'y avait aucune source de lumière visible, la Grande Galerie est parfaitement éclairée.
Après avoir éteint la première barrière énergétique, l'énorme bouclier hémisphérique à l'autre bout de la salle, s'est soudainement accordé sur une vibration plus haute et a commencé à émettre des radiations plus élevées.
Lors d'une analyse de plus près, le mur intérieur de la Grande Galerie semblait synthétique mais aussi ressenti comme si quelque chose d'organique en faisait partie. Il avait la couleur de l'huile, mais ses reflets étaient verts et bleus.
Des essais plus tard ont révélé que le matériau du mur était un peu rude au toucher, mais qu'il ne pouvait pas être rayé ou tordu. Il a résisté à toute tentative de brisure, perçage ou coupage. Plus tard, les scientifiques ont essayé de brûler le matériel, mais d'une manière mystérieuse, les flammes étaient en quelque sorte absorbées par elle, la laissant intacte.
Les scientifiques américains ont convenu que le matériau était une combinaison mystérieuse de matière organique et inorganique. Après 280 mètres, la galerie tourna brusquement vers la droite à angle aigu. Plus loin, une lumière bleue, scintillante, pouvait être vue. La lumière bleue à l'extrémité de la galerie était le reflet de l'écran de protection d'énergie.


VII . Une base similaire en Irak

Le conseiller américain sur les questions de sécurité nationale a reçu un appel et il a été informé que le bouclier énergique de Bagdad, en Irak, s'était soudainement activé, et il était aussi raisonnant à une fréquence plus élevée. En face de l'écran de Bagdad, un hologramme de notre planète est apparu, qui a séquentiellement et progressivement représenté le continent européen, puis s'est déplacé vers le sud-est, puis il a montré les monts Bucegi de Roumanie et, finalement, il leur a montré l'emplacement du couloir à l'intérieur de la structure. Il était évident que les deux boucliers d'énergie hémisphériques étaient en connexion directe.
Fondamentalement, la base irakienne avait été informée de la présence de personnes à l'intérieur de la base roumaine.
Les mauvaises nouvelles, c'est que la présidence américaine a été avertie et a contacté la diplomatie roumaine. En quelques minutes, toute l'opération avait été divulguée, et le plan de Monsieur Massini tombé à l'eau.
La présidence américaine a exigé de prendre le contrôle de la base secrète et de toute l'opération. Les politiciens roumains, qui ne savaient rien de l'opération secrète ont paniqué.
Les généraux du Pentagone présents sur les lieux avaient été informés que Washington avait exigé une réunion d'urgence.


VIII . CSAT ( Conseil suprême de la Défense) Réunion d'urgence

Une session d'urgence du Conseil suprême de la Défense ( CSAT ) a créé une énorme vague de sympathie pour le Département Zéro. La plupart avaient été secoués par les nouvelles qu'ils avaient reçues. La décision du CSAT a été de poursuivre les recherches, mais sous le contrôle complet du Département Zéro. Ils avaient également exigé un inventaire de tout ce qu'on trouve dans la grande salle.
De Bucarest (la capitale de la Roumanie), les ordres venaient par vagues, s'annulant mutuellement. Certains étaient très véhéments et stricts, tandis que d'autres étaient insaisissables - dénotant l'énorme tension.
Les membres du CSAT étaient en session permanente, restant en contact avec l'équipe du mont Bucegi. Après avoir discuté de tout pendant des heures, ils avaient décidé de rendre publique la découverte. Le gouvernement roumain était pour faire une déclaration officielle dans le monde entier. Certains membres du CSAT se sont opposés avec véhémence à la décision.

IX . Déclaration officielle de la Roumanie

Quand la diplomatie américaine a été informée que la Roumanie allait révéler les découvertes, tout est tombé dans le chaos. Le président a été appelé à une conversation téléphonique directe avec la Maison Blanche. En quelques heures, l'américain a bloqué toutes les transactions financières avec la Roumanie et l'accès à toutes les autres institutions financières. La Roumanie était sur le point de déclarer « l'état d'urgence " dans les monts Bucegi et la capitale.
Les pourparlers d'urgence entre les responsables américains et le ministère roumain se sont produits à Bucarest sans un traducteur. Les responsables américains ont été verbalement violents, sans cesse criant et proférant des menaces à la Roumanie et à ses fonctionnaires.




La divulgation officielle de la Roumanie au monde aurait fourni des preuves photographiques mais rien d'autre d'essentiel pour une clarification complète. D'éminents scientifiques et chercheurs de tous les coins de la planète devaient être invités pour des études approfondies. Mais plus important encore, cela aurait révélé la vérité sur le passé lointain de l'humanité et de l'histoire réelle - qui, selon ce témoin Cezar à l'intérieur de la Grande Galerie, est presque entièrement faux.
La réaction du gouvernement américain a été très brutale parce que la divulgation aurait brisé leur influence dans le monde et son pouvoir, en un instant.
La raison officielle invoquée par les Etats-Unis, était de ne pas créer la panique dans le monde, mais ils avaient omis de reconnaître que l'état actuel de l'angoisse mondiale était une conséquence directe des tromperies délibérées et manipulations menées par la franc-maçonnerie et autres sociétés secrètes, depuis des millénaires.
Il y avait aussi une intervention du Vatican ( si vous vous demandez comment le Vatican a découvert cette découverte, alors vous devriez savoir qu'ils sont au sommet de la pyramide de contrôle du monde, et leur piété religieuse est simplement une façade , dans laquelle le Pape a appelé à la modération avant ce grand fondamental pas pour l'humanité !.

Le Pape a promis de rendre certains documents à la disposition de l'Etat roumain d'anciennes archives secrètes papales, qui étaient d'une grande importance pour la Roumanie. Les documents étaient derrière les découvertes ( oui, telle est la puissance d'un Pape ). Après 24 heures de négociations, un accord définitif a eu lieu entre la Roumanie et les Etats-Unis. L' État roumain allait reporter la divulgation, et peu à peu tout présenter au peuple.

X. La salle de projection




La Grande Galerie prend fin abruptement avec un auditorium géant, de 30 mètres de hauteur ( 98,5 pieds) et d'une longueur de 100 mètres ( 328 pieds). La salle de projection était de plus petite taille et elle a été protégée par un bouclier énergique. 
S'avançant vers le bouclier, une partie de celui-ci a disparu, sous la forme d'une porte permettant l'accès à l'intérieur. Le bouclier protège la chambre des influences extérieures. Une fois à l'intérieur de la chambre, le bouclier est devenu compact et ressemblait à un mur blanc - doré.
Fondamentalement, le bouclier formait cette salle en forme de dôme, avec des murs courbes et le plafond. Au fond de la salle, à une hauteur de environ 10-12 mètres ( 33-39,5 pieds), le bouclier finissait où il touchait le mur en pierre de la salle. 
Dans ce mur, il y avait trois énormes trous de tunnels : l'un situé en ligne droite, et les deux autres étaient symétriques des deux côtés. Ils étaient éclairés par une lumière diffuse d'une teinte verdâtre. Les deux parties ont décidé d'interdire l'accès à ces tunnels et un protocole a été signé entre eux.

XI . Des Tables pour des géants

Une série de tables énormes de pierre étaient disposées le long des parois à droite et gauche ( cinq de chaque côté ), suivant leur courbure. Les tables avaient environ 2 mètres de haut ( 6,6 pieds).
Les plateaux avaient une précision de découpe en reliefs, différents signes d'une écriture et des caractères qui ressemblaient à l'ancien cunéiforme.


L'écriture contenait également des symboles plus généraux, tels que des triangles et des cercles. Bien que les signes n'étaient pas peints, ils avaient une lumière fluorescente rayonnant dans différentes couleurs, différentes pour chaque table.
Sur certaines tables, il y avait différents objets qui semblaient être des outils techniques. Au nombre de ces outils, des fils translucides blancs descendant au plancher, et entrant à l'intérieur, des boîtes rectangulaires brillantes, comme argentées. Ces boîtes ont été installées directement sur le sol.
Lors d'une inspection plus minutieuse, les câbles étaient extrêmement souple et léger, et des impulsions de lumière pouvaient être vus circulant sur toute leur longueur.
Chaque fois que quelqu'un s'est approché des tables, une projection holographique s'est automatiquement activée, présentant les aspects d'un domaine scientifique particulier. Les images en trois dimensions étaient parfaites et a eu hauteur de près de deux mètres et demi ( 8,2 pi).
Les projections ont été automatisées et lancées d'elles-mêmes, mais en même temps, elles étaient interactives et modifiables en fonction des signes touchés à la surface de la table.


XII . Une belle découverte : Les Regroupements d'ADN holographiques entre les espèces extraterrestres

En raison de la grande hauteur des tables, les scientifiques ont utilisé des trépieds spéciaux pour grimper à une hauteur confortable. Lors d'une enquête plus approfondie, ils ont observé un matériau vitreux sombre couvrant les plateaux de table. Le matériau était divisé en plusieurs grands carrés, délimités par des lignes droites, qui formaient une sorte de grille.
L'un des tableaux contenaient des informations du domaine de la biologie, et il projettait des images de plantes et d'animaux, dont certains étaient complètement inconnus des scientifiques. Après avoir touché l'un des carrés, un hologramme présentant la structure du corps humain a été activé. L'hologramme a été constamment en rotation, mettant en évidence diverses parties du corps humain.
En touchant d'autres endroits activait les projections holographiques d'êtres extraterrestres, d'autres systèmes planétaires. En touchant simultanément deux places différentes, une analyse scientifique complexe a été projetée, montrant l'ADN des deux espèces, et les possibilités de compatibilité entre les elles.



Sur les côtés, dans des lignes verticales, il y avait des explications écrites dans le même alphabet extraterrestret. A la fin de la simulation, un croisement entre les deux espèces a été affiché.

XIII. De véritables géants

A en juger par la taille de tous les objets dans la salle de projection, les créateurs de l'édifice étaient probablement des êtres très grands.
Une confirmation de squelettes de géants humanoïdes trouvés en Roumanie se trouve dans un journal appelé " The Newspaper ".
« L'équipe du journal est accompagnée par le chercheur Vasile Rudan, qui a noté que les gens du village de Bozioru ont des preuves concrètes : un cimetière avec des squelettes de géants. Il a été découvert par hasard il y a 20 ans, lorsque les autorités ont décidé de planter des pommiers dans le village de Scaieni. En creusant sur une colline, les villageois ont découvert d'énormes squelettes, mesurant plus de 2,40 m (7 pi 10 po ).

Dragoi Ilie, l'un de ceux qui ont travaillé dans le verger, nous emmène à l'endroit. Monsieur Ilie nous montre les alentours du verger : « Partout se trouvent les tombes des géants. Nous faisions des trous pour des plantations de plantes quand nous avons découvert une tête humaine grosse comme une citrouille. Aucun de nous n'avait jamais rien vu de pareil. Nous étions tous surpris. en creusant plus loin, nous avons trouvé quelques os des pieds, gros comme des piquets de vigne. L'un des morts a dû être très grand. "


XIV . La Bibliothèque de l' Univers

La salle de projection contient des informations détaillées sur des domaines tels que : la physique, la cosmologie, l'astronomie, l'architecture, la technologie, la biologie, la génétique, et même la religion. Parce qu'elle contenait tellement d'informations, la salle a été comparée à une bibliothèque.
Au milieu de la salle, il y avait une zone comme un podium qui contenait un appareil intéressant. Les scientifiques ont émis l'hypothèse que cela aurait pu être un dispositif pour améliorer diverses fonctions cérébrales.

XV . Le panneau de contrôle de la Roumanie

A côté de cela il y avait un panneau de contrôle, recouvert de plusieurs symboles géométriques, dans des couleurs différentes. Il y avait aussi deux leviers coulissant et un bouton rouge, au centre de l'écran, au-dessus de toutes les autres commandes. Une simulation holographique a expliqué le but du bouton. Elle a montré une image de la chaîne des Carpates vue de 25 km ( 15,5 miles ) au dessus d'eux et ensuite, une énorme quantité d'eau a inondé les basses terres et les plaines.


Ensuite, à partir des territoires de la Roumanie,de la Hongrie et de l'Ukraine, plus de flux d'eau apparaissent, se dirigeant vers le plateau de Transylvanie, sous la forme d'énormes rivières. L' image s'est focalisée sur le territoire de la Roumanie et a montré toute sa surface couverte par les eaux d'une grande mer. Quelques-uns des plus hauts sommets des montagnes pouvaient maintenant être considérés comme de petites îles flottantes.
Ensuite, les eaux ont commencé à se retirer, dès que les vidanges se trouvant sur le panneau ont été activées, laissant engloutie seulement une petite zone près de la montagne Retezat Godeanu. Un véritable manuel.

XVI . Une Mystérieuse Amphore

Derrière le panneau de contrôle il y avait un socle carré, d'environ trois mètres (9 feet 10 inchs) de chaque côté, sur lequel une amphore mystérieuse reposait. Monsieur Massini a eu connaissance de son existence et, pour lui et son élite maçonnique, ce fut la découverte la plus importante.
L'amphore contenait une poudre blanche très fine. Les chercheurs ont été consternés de constater que la poudre était une formule monoatomique de haute pureté de l'or, avec une structure cristalline inconnue.
La poudre d'or dans sa forme pure stimule grandement certaines ondes et d'échanges d'énergies au niveau cellulaire et nerveux. Cela provoque une accélération du processus de rajeunissement. Théoriquement, un homme peut vivre dans le même corps physique pendant plusieurs milliers d'années, à condition qu'il consomme de temps en temps, une quantité bien définie de poudre d'or monoatomique. C'est ce qui explique de nombreux aspects déroutants sur la longévité incroyable de certains personnages importants et découvre une partie des intentions cachées de l'élite mondiale.



XVII. La vraie histoire de notre planète

Derrière l'amphore, au milieu de la place, il y avait une immense coupole qui projette des hologrammes. Elle présentait les principaux aspects du passé le plus lointain de l'humanité, depuis ses débuts. Cezar a expliqué que selon les images projetées par l'hologramme, environ 90% de l'histoire officielle de l'humanité est fausse et contrefaite. La théorie évolutionniste de Darwin est également incorrecte. La véritable origine de l'homme est représentée sous une forme condensée holographique. Incroyable, mais ce qui est maintenant considéré comme s'étant réellement passé dans notre histoire, n'a jamais existé, alors que les soi-disant «mythes» et «légendes» sont presque entièrement vraies.
En outre, la plupart des théories archéologiques sont fausses. Par exemple, les dinosaures ne se sont pas éteints il y a 65 millions d'années, et les vieux continents de la Lémurie et de l'Atlantide ont existé. Cette étrange inversion a causé beaucoup de problèmes et de conflits entre les gens de notre passé. Pour une datation exacte des événements présentés, une carte du ciel correspondant à cette période a été projetée sur le fond.




Bien que la période de temps couverte par les projections était très grande (plusieurs centaines de milliers d'années), le cycle de la procession de la Terre est de 25920 années, en observant le nombre des "années platoniciennes " (le cycle de 25,920 ans), la datation exacte de l'événement était possible. Les monts Bucegi ont 50-55000 ans.

XVIII. Surprenantes révélations

Cezar a vu ce qu'il s'est passé pendant la dite grande inondation et d'où la civilisation humaine est originaire, mais il a décidé de ne pas révéler cela, que les révélations sont trop choquantes pour la mentalité, les idées et les connaissances de l'homme contemporain.
Personnellement, je pense que les gens comme lui sont également responsables de l'état actuel de la méconnaissance et de la latence de l'espèce humaine . Nous avons menti et manipulé pendant des millénaires, et dès que nous sommes proches de la vérité, quelqu'un décide que nous ne sommes pas encore prêts à l'entendre. Il s'agit d'une approche arrogante et égoïste ! Les gens sont aussi prêts aujourd'hui qu'ils ne le seront jamais, et plus tôt les vérités seront libérées, mieux c'est. Avoir plus de pièces du puzzle à faire accepter rendra la vérité plus facile et, plus important encore, pourront les convaincre de prendre des mesures contre les manipulateurs et les esclavagistes.


Dans un affichage troublant d'images, l'existence de Jésus et sa crucifixion a également été présenté. Les projections ont révélé que beaucoup de ceux qui ont été témoins de la crucifixion sont venus d'autres périodes historiques.
Ils portaient le même genre de vêtements que le reste de la population, mais leurs caractéristiques faciales étaient différentes, aussi ils couvraient constamment leurs visages.
L'hologramme a également présenté des fragments de la vie spirituelle des autres personnages exceptionnels du passé lointain de l'humanité, y compris des personnes que nous ne connaissons pas. En ces temps, la répartition sociale de la population était complètement différente de ce qui est connu aujourd'hui, de sorte que les archéologues et les anthropologues devraient revoir leurs théories à partir de zéro.

XIX. Les trois tunnels mystérieux

Les tunnels découverts ont des milliers de miles de longueur et conduisent à trois domaines différents de la planète. Celui de gauche relie la base roumaine à une base souterraine encore à découvrir quelque part en Egypte (qui a certainement été découverte et explorée maintenant).
Le tunnel de droite conduit à une structure similaire mais plus petite, dans le " plateau tibétain " . Ce tunnel avait trois ramifications secondaires. Un conduit à une zone souterraine près de la ville roumaine de Buzaru (près de la " Carpates Bend »). Un autre a conduit à la base irakienne déjà mentionnée, alors que la ramification fini a une base souterraine dans le « désert de Gobi », en Mongolie.

                                                                    Buzaru

XX. Le troisième tunnel - un monde secret

Le tunnel du milieu était le plus important à la fois pour Monsieur Massini et le gouvernement américain, qui a fortement demandé qu'il soit tenu secret du public. Ce tunnel descendant à des profondeurs extrêmes vers un monde souterrain véritable, situé près du centre de notre planète.
Ceux d'entre vous qui ne connaissent pas la théorie de la terre creuse, veuillez noter qu'il y a des personnages importants qui soutiennent la théorie que toutes les planètes sont probablement creuses à l'intérieur, et apportent des arguments scientifiques intéressants pour appuyer leurs revendications. Aussi, il y a des histoires très belles et intéressantes sur des gens qui se seraient rendus en ce monde. Le royaume est communément appelé Agartha, et le troisième tunnel conduit probablement directement à lui. Il est logique que l'élite de l'ombre n'était pas intéressée de faire connaître la découverte au peuple.

D'intenses préparatifs ont commencé pour les expéditions à l'intérieur des 3 tunnels, comme suit : le premier en Egypte, le second au Tibet, et le troisième vers le centre de la Terre.




(Résumé des événements tirés du livre : " Viitor cu cap de mort" , par " Radu Cinamar " - le nom de plume d'un écrivain caché, qui, à mon avis, n'est autre que l'ex-général Emil Strainu. Je fonde ma déclaration sur le style d'écriture très similaire et le fait que l'auteur a eu un accès direct à cette base secrète ancienne ci-dessus - quelque chose qui ne pouvait pas se passer si la personne était pas un initié.)

jeudi 27 octobre 2016

Le Mystère des Pirates : Trésors, Barbe Noire, La Buse !

 Le Mystère des Pirates : Trésors, Barbe Noire, La  Buse 


La piraterie existait déjà dans l'Antiquité. Toutes les civilisations anciennes ayant possédé une marine l'ont connue, la mer étant considérée comme un espace libre où règne la « loi du plus fort ».
Nous allons voir ensemble trois histoires de grands pirates et découvrir leur vie ainsi que leur façon de procéder.
Pour notre première histoire, nous allons suivre la vie de pirate de Barbe Noire (Edward Teach), le plus terrifiant des pirates, le " diable des mers". Il serait né en 1680 à Bristol en Angleterre. Sa carrière maritime commence sur un navire corsaire patrouillant, les eaux proches de la Jamaïque pendant la guerre de Succession d'Espagne.

Barbe Noire se forge une solide réputation de pirate téméraire et cruel en attaquant régulièrement les installations navales et côtières des Antilles et de la côte atlantique de l'Amérique du Nord. Si l'équipage n'offre pas de résistance, il laisse le navire repartir et continuer sa route. Dans le cas contraire, tous les résistants sont tués.





Barbe Noire avait l'habitude de porter, au combat ou non, plusieurs épées, couteaux ainsi que six pistolets et d'allumer des mèches de poudre à canon dans son abondante barbe noire, ce qui lui valut son surnom. Le 28 novembre 1717, il capture La Concorde, un navire Français en provenance de Nantes et transportant des esclaves.

La Concorde est une frégate de 300 tonnes armée de 40 canons, qui avait sillonné les côtes africaines et capturé de nombreux navires.
Barbe Noire lui donne le nom de Queen Anne's Revenge (La Vengeance de la Reine Anne) après l'avoir conquis aux Français. 
Barbe Noire est arrêté par le HMS Pearl dirigé par Robert Maynard, au large des côtes d'Ocracoke. Il reçoit plus de 25 blessures dont cinq par balles au cours d'une lutte avant de mourir et d'être décapité par Maynard.

Une légende raconte que son corps, après avoir été jeté à la mer, aurait fait deux fois le tour du bateau à la nage avant de couler. Barbe Noire est devenu une légende.


C'est précisément de ce bateau (La Vengeance de la Reine Anne), anciennement « la Concorde » que des explorateurs ont retrouvés la trace et ils ont mis des mois pour le localiser.

David Moor, éminent archéologue, s'est intéressé à la vie de Barbe Noire à ses puissants navires. Il à découvert dans les archives d'une université de Caroline du Nord, les comptes rendus d'un procès d'un pirate qui avait navigué avec et sous les ordres de Barbe Noire pendant un an. Il y trouva des données géographiques qui correspondaient à un lieu tout près. Mais cette carte est-elle encore fiable ? Grâce à des outils de détection moderne, une masse sombre est localisée dans les fonds marins du Cap Hatteras. 

Cet endroit est appelé « le cimetière de l'atlantique » tant de navires s'y sont échoués. 

Les plongeurs trouvent une épave datant du 18ème siècle. Pendant des mois, ils remonteront des prises et chercherons des preuves. Les vestiges découverts sont d'une importance capitale pour retrouver l'origine de ce navire.


Peut-être s'agit-il de la concorde ?

Il est possible que Barbe Noire ait volontairement échoué son navire afin de se séparer d'une partie de son équipage. Mais quelques-uns semblent penser le contraire, il s'agirait d'un accident et pas non pas d'un abandon.  Barbe Noire n'aurait jamais abandonné cette formidable machine de guerre, comme ça, sur le sable. D'autres encore pensent qu'il aurait simulé un accident pour mieux profiter de son énorme butin.



Après 12 ans de recherches, juste la partie sud de l'épave a été fouillée, il y a encore énormément de travail. Encore tellement de choses à découvrir.

Passons maintenant à notre deuxième histoire de pirates

L'action se déroule au milieu de l'Océan Indien, quelques années avant le « règne » de Barbe Noire. Nous sommes sur l'île rouge, l'île de Madagascar et c'est dans la baie de Diégo-Suarez que s'est déroulée l'un des épisodes les plus mystérieux de la piraterie. Libertalia est le nom d'une colonie fondée par des pirates sur l'île de Madagascar, qui aurait existé pendant environ vingt-cinq ans à la fin du XVIIe siècle. 

Libertalia fut fondée par deux hommes un Français, capitaine de La Victoire, redoutable navire de guerre de 30 canons, ex-officier de la marine française, mais pirate de son état, Olivier Misson et un prêtre italien, Carracioli.  À eux deux, après avoir jeté l'ancre, ils convainquirent l'équipage de fonder la société idéale, ils auraient voulu faire de cette colonie une société ans esclavage, où tous les hommes sont égaux et où l'opinion de chacun est respectée. 


Leur emblème était le drapeau blanc et voici leur serment « Pour Dieu et la Liberté, tous frères et tous égaux ». Avec l'aide de 300 hommes fourni par la Reine d'Anjouan, Misson et Caraccioli construisent, au fond de la baie des Français une ville qui va accueillir non seulement les pirates, mais tous ceux qui voudront se joindre à eux : équipages des bateaux arraisonnés, esclaves libérés, voyageurs capturés qui adhéreront aux principes de la nouvelle République. 

La ville est baptisée Libertalia, ses habitants se donnant le nom de 'liberi'. Libertalia fut attaquée une nuit par deux bandes armées : Caraccioli fut massacré avec la plupart des habitants, Misson put s'échapper, mais trouva la mort dans un naufrage et la colonie fut détruite. Il y a quelques années, sur l'ile de Sainte Marie, un navire de pirate anglais a été retrouvé, il s'agit du « Adventure galet ». 

À quelques pas du lieu de fouille on découvre aussi un cimetière aux tombes en corail. Tout cela peut nous certifier de la venue des pirates sur l'ile et de la création de la colonie Libertalia. La vie des pirates est une source de fantasmes intarissables. On compte par dizaine les histoires de trésors enfouie. Dans cette quête, certain sont prêts à prendre des risques, quitte à devenir fou.


Et maintenant notre troisième histoire


En 1730, Olivier Levasseur (« La Buse »), pirate Français qui écumait l'Océan Indien, aurait laissé avant de mourir un manuscrit parsemé de signes ésotérique, un genre de carte au trésor.




Le 8 avril 1720 La Buse arrive en rade de Saint-Denis où il découvre un navire en réparation, « Notre Dame du Cap », navire de 800 tonneaux et de 72 canons, qui venait d'essuyer une tempête.  Le vaisseau transportait Luís Carlos Inácio Xavier de Meneses, vice-roi des Indes orientales portugaises et l'archevêque de Goa. Il le prend à l'abordage et après un dur combat s'en rend maîtres. À l'intérieur se trouvait un trésor inestimable : des rivières de diamants, des bijoux, des perles, des barres d'or et d'argent, des meubles, du tissu, des vases sacrés et des cassettes de pierres précieuses.



Sur sa route il s'empare du « Ville d'Ostende ». Il met ensuite le cap vers l'Île Sainte-Marie à proximité de Madagascar. Il prend aussi « La Duchesse de Noailles ». La Buse décide ensuite de s'installer à Madagascar. Vers 1729, il monte à bord de « La Méduse ». Le capitaine Dhermitte, négrier notoire, commandant de bord, le reconnait et le fait prisonnier. Il est conduit à l'île Bourbon pour y être jugé et il est condamné à être pendu, il est exécuté le 7 juillet 1730. 

La légende raconte que lorsqu'il était sur l'échafaud la corde au cou, il aurait jeté un cryptogramme dans la foule en s'écriant : « Mon trésor à qui saura comprendre ! » et « Avec ce que j'ai caché ici, je pourrais acheter toute l'île ».


Le manuscrit de La Buse ne sera jamais entièrement déchiffré, car beaucoup trop complexe, mais des chercheurs partent à la recherche du trésor. Plusieurs hypothèses quant au lieu où se trouve le trésor de La Buse sont émises : on le croit à la Réunion, aux Seychelles, à Rodrigues, à Madagascar, à Mayotte, à l'île Sainte-Marie. Un groupe d'amis a récemment trouvé un nouveau sens au cryptogramme. Ils n'ont pas regardé le cryptogramme visuellement, mais ils l'ont lu comme une carte, ce qui les a emmenés à un endroit précis ou des fouilles vont être organisées très prochainement.


                                              
Tombe de La Buse à Saint-Paul de La Réunion