Rechercher dans ce blog
mardi 25 octobre 2016
Chansons d'Autrefois !
Chansons d'Autrefois
Berthe Sylva - les roses blanches
Berthe Sylva - On n'a pas tous les jours 20 ans
Mireille Mathieu - Acropolis Adieu
Alain Barrière - Les Guinguettes
Rika Zaraï - Alors je chante
Luis Mariano - La belle de Cadix
Berthe Sylva - les roses blanches
Rika Zaraï - Casatchok
Caterina Valente - Calypso
Caterina Valente - Cha cha cha flamenco
Caterina Valente - Ein Schiff wird kommen
Luis Mariano - Les Chevaliers du Ciel
Les Compagnons & Edith Piaf - Les 3 cloches
Les Compagnons de la Chanson - Le coeur en bandoulière
Maurice Chevalier - Fleur de Paris
Freddy Balta - Le gamin de Paris
Dalida - Gigi l'amoroso
Les Compagnons de la Chanson - Gondolier
Les Compagnons de la Chanson - La Guitare et la Mer
Edith Piaf - L'hymne à l'Amour
Les Compagnons de la Chanson - Les_Gitans
Les Compagnons de la Chanson - Le marchand de bonheur
Dalida - Marjolaine
Mireille Mathieu - Mille colombes
Patrice & Mario - Montagnes d'Italie
Joe Dassin - O Lady Mary
Patrice & Mario - Le petit âne Brésilien
Luis Mariano - Que sera sera
Les Compagnons de la Chanson - Qu'il fait bon vivre
Nana Mouskouri - Roses blanches de Corfou
Luis Mariano - Rossignol
Mireille Mathieu - Sancta Maria de la Mer
Patrice & Mario - Vaya Con Dios
Edith Piaf - La vie en rose
Georges Guétary - A Honolulu
Dario Moreno - Si tu vas à Rio
Dario Moreno - Tout l'Amour que j'ai pour toi
Dario Moreno - Buena Sera
Joselito - El Ruisenor
Joselito - La Campanera
Joselito - Mi Madre Querida
Gloria Lasso - Bon voyage
Gloria Lasso - Valentino
Gloria Lasso - Vénus
Gloria Lasso - T'en va pas comme ça
Mireille Mathieu - Ensemble
Mireille Mathieu - Acropolis Adieu
Mireille Mathieu - Glory Glory Halleluja - German
Nana Mouskouri - La Paloma
Nana Mouskouri - Vaya Con Dios
mercredi 19 octobre 2016
mardi 18 octobre 2016
jeudi 29 septembre 2016
LA BATAILLE DE VALMY - 20 SEPTEMBRE 1792 !
LA BATAILLE DE VALMY - 20 SEPTEMBRE 1792
https://www.histoire-image.org/etudes/bataille-valmy-20-septembre-1792
La fuite du roi en juin 1791 est significative de son refus d’une monarchie constitutionnelle et met en évidence sa collusion avec les puissances étrangères. Le 27 août 1791, la déclaration de Pillnitz, signée par l’Autriche et par la Prusse, marque la volonté des monarques européens d’agir pour le maintien de l’ordre monarchique en France et d’enrayer la contagion révolutionnaire en Europe. La guerre semble dès lors inévitable. Les Girondins veulent répandre les principes de 1789 au-delà des frontières et prônent une guerre de propagande, tandis que le roi voit dans un conflit le seul moyen de rétablir l’absolutisme en France.
Malgré une rude opposition – celle de Robespierre notamment au Club des jacobins –, l’Assemblée législative déclare la guerre au « Roi de Bohême et de Hongrie » le 20 avril 1792. Cependant, l’armée française n’est pas prête à entrer en campagne. Elle compte 133 000 hommes, artilleurs non compris. En son sein coexistent l’ancienne armée royale – les « culs blancs » – et la garde nationale renforcée par l’arrivée de sans-culottes volontaires – les « bluets » –, qui ne sont pas amalgamés à l’armée régulière. Le commandement est désorganisé par l’émigration de nombreux cadres issus de la noblesse : 3 864 officiers n’ont pas pu être remplacés. Le 18 août 1792, une armée de 150 000 Prussiens et Autrichiens placés sous le commandement du duc de Brunswick entre en France, et le début des opérations militaires se révèle rapidement catastrophique : l’ennemi prend Longwy le 20 août, Verdun le 29, et s’ouvre ainsi la route de Paris. Les troupes de Dumouriez, accourues de Sedan, et celles de Kellermann, venues de Metz, opèrent leur jonction à Sainte-Menehould, en Champagne, le 19 septembre 1792 et arrêtent l’invasion étrangère sur le plateau de Valmy. Parmi les jeunes officiers qui accompagnent Kellermann se trouvent deux princes de sang royal : Louis-Philippe d’Orléans, duc de Chartres, et son frère cadet le duc de Montpensier.
Les victoires de Valmy et de Jemmapes, dont Louis-Philippe s’enorgueillit d’avoir été l’un des artisans, tiendront une place privilégiée dans l’idéologie orléaniste. Devenu roi-citoyen en 1830, Louis-Philippe Ier commandera à des artistes tels Horace Vernet, Éloi Firmin Feron ou Henry Scheffer des œuvres où il pose parmi les grandes figures militaires de l’an Ier. Il entend ainsi inscrire son règne dans la continuité de la Révolution et de l’Empire.
Malgré une rude opposition – celle de Robespierre notamment au Club des jacobins –, l’Assemblée législative déclare la guerre au « Roi de Bohême et de Hongrie » le 20 avril 1792. Cependant, l’armée française n’est pas prête à entrer en campagne. Elle compte 133 000 hommes, artilleurs non compris. En son sein coexistent l’ancienne armée royale – les « culs blancs » – et la garde nationale renforcée par l’arrivée de sans-culottes volontaires – les « bluets » –, qui ne sont pas amalgamés à l’armée régulière. Le commandement est désorganisé par l’émigration de nombreux cadres issus de la noblesse : 3 864 officiers n’ont pas pu être remplacés. Le 18 août 1792, une armée de 150 000 Prussiens et Autrichiens placés sous le commandement du duc de Brunswick entre en France, et le début des opérations militaires se révèle rapidement catastrophique : l’ennemi prend Longwy le 20 août, Verdun le 29, et s’ouvre ainsi la route de Paris. Les troupes de Dumouriez, accourues de Sedan, et celles de Kellermann, venues de Metz, opèrent leur jonction à Sainte-Menehould, en Champagne, le 19 septembre 1792 et arrêtent l’invasion étrangère sur le plateau de Valmy. Parmi les jeunes officiers qui accompagnent Kellermann se trouvent deux princes de sang royal : Louis-Philippe d’Orléans, duc de Chartres, et son frère cadet le duc de Montpensier.
Les victoires de Valmy et de Jemmapes, dont Louis-Philippe s’enorgueillit d’avoir été l’un des artisans, tiendront une place privilégiée dans l’idéologie orléaniste. Devenu roi-citoyen en 1830, Louis-Philippe Ier commandera à des artistes tels Horace Vernet, Éloi Firmin Feron ou Henry Scheffer des œuvres où il pose parmi les grandes figures militaires de l’an Ier. Il entend ainsi inscrire son règne dans la continuité de la Révolution et de l’Empire.
LA MORT DE BARA !
LA MORT DE BARA
Né en 1779, Joseph Bara est le fils du garde-chasse du seigneur de Palaiseau. Alors que ses deux frères aînés, engagés dans les armées républicaines, sont envoyés aux frontières, Joseph, lui, part en Vendée et sert (tambour ? hussard ? ordonnance ?) sous les ordres du général Desmarres. Le 7 décembre 1793, il trouve la mort dans une embuscade près de Jallais dans les Mauges. Selon la légende, encerclé par des Vendéens qui le sommaient de crier Vive le roi, il aurait répondu Vive la République ! Informée par le général Desmarres, la Convention demande que son corps soit transféré au Panthéon et que David, chargé d’organiser la cérémonie, lui rende également hommage par un tableau.
JACQUES CATHELINEAU, GÉNÉRAL VENDÉEN !
JACQUES CATHELINEAU, GÉNÉRAL VENDÉEN
https://www.histoire-image.org/etudes/jacques-cathelineau-general-vendeen
L’insurrection vendéenne, déclenchée par Jacques Cathelineau en mars 1793, fut provoquée par le décret de la Convention du 24 février 1793 sur la levée de 300 000 hommes, qui intervenait dans un climat déjà alourdi par des difficultés économiques et l’hostilité des Vendéens à la Constitution civile du clergé. Fils d’un simple maçon et colporteur de son état, Jacques Cathelineau était dénommé « le saint de l’Anjou », réputation qui explique peut-être le succès immédiat de son entreprise, dont il est cependant difficile de dire s’il la préparait depuis de longs mois ou si elle fut spontanée.
Le 12 juin 1793 à Saumur, Cathelineau, personnage charismatique, est désigné par les seigneurs vendéens comme le premier généralissime de la « grande armée catholique et royale ». Après quelques victoires contre les républicains facilitées par sa connaissance du monde rural, il organise l’attaque de Nantes, afin de pouvoir disposer d’un port. Son armée sera repoussée et il mourra le 14 juillet à Saint-Florent des blessures reçues pendant ces combats. Sa disparition et les rivalités entre chefs vendéens et angevins seront à l’origine de la défaite de Cholet (17 octobre).
Le 12 juin 1793 à Saumur, Cathelineau, personnage charismatique, est désigné par les seigneurs vendéens comme le premier généralissime de la « grande armée catholique et royale ». Après quelques victoires contre les républicains facilitées par sa connaissance du monde rural, il organise l’attaque de Nantes, afin de pouvoir disposer d’un port. Son armée sera repoussée et il mourra le 14 juillet à Saint-Florent des blessures reçues pendant ces combats. Sa disparition et les rivalités entre chefs vendéens et angevins seront à l’origine de la défaite de Cholet (17 octobre).
Inscription à :
Articles (Atom)