Olivier Juste – Le pré aux noisettes (tome 1) :
Fabrice, le « régent » (l’instituteur) et sa femme Marthe forment un couple très unis. Ils ont l’habitude de s’isoler dans leur retraite du « Pré aux Noisettes ». Voilà qui ne plaît guère dans un petit village vaudois à l’époque de la révolution de 1845. Les langues vont bon train. Que peuvent-ils y faire ? Il faut absolument y mettre fin !
Ce dernier roman de Juste Olivier, une œuvre de maturité, est aussi d’une lecture agréable qui vous tient accroché au développement de l’intrigue qui va se dérouler entre ce couple avec son monde à part, leurs amis et les mœurs rigides de la campagne vaudoise du milieu du 19e siècle.
**********************************************************************
Olivier Juste – Le pré aux noisettes (Tome 2)
Olivier Juste – Le pré aux noisettes (Tome 2) Dans le pays de Lunay (c’est le pays de Vaud, bien sûr !), Michel et Marthe Fabrice voient leur retraite du Pré aux Noisettes au bord de la Vignonne (la Venoge ?) mise en cause par la Municipalité. Leurs amis auront fort à faire pour les aider d’autant qu’ils ont eux-mêmes leurs propres soucis : Valentin doit trouver qui sont ses parents, Céline voit son père s’opposer à ses rencontres avec Mauverney et Marguerite est toujours liée par le « contrat » de son père. Heureusement que le docteur a gardé quelques cartes dans sa manche ! Mais quels seront les effets de la révolution qui se développe ?
Ce dernier roman de Juste Olivier, une œuvre de maturité, est aussi d’une lecture agréable qui vous tient accroché au développement de l’intrigue qui se déroule entre ce couple avec son monde à part, leurs amis et les mœurs rigides de la campagne vaudoise du milieu du 19e siècle.