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vendredi 26 février 2016

Alix Karol 18 Garanti sur fracture Par Patrice Dard - Livre !

      Alix Karol 18 Garanti sur fracture      


Tous les shtroumbitz, tous les chmugles, les prozibs, les glotmuches itou, les brokstaffs, les mashpros idem, les blikmilcs, de même que les shmolls, sont très rigoureusement authentiques ! Pas une chose, un bidule, un truc ou un machin qui ne soit d'une véracité sans faille. En somme, et pour être encore plus précis, ce récit est garanti sur fracture !





Alix Karol 3 L'espion qui souffrait du foie Par Patrice Dard - Livre !

 Alix Karol 3 L'espion qui souffrait du foie 


Des mecs qui se plaignent que tout leur réussisse, vous n'en connaissez pas? Moi si ! Des James Bond de 1,43 m et 38 kilos, qu'un verre de Coca-Cola rétame pour le compte, vous n'en avez jamais vus ? Moi si... Et à un homme qui brûle sans produire la moindre cendre, vous n'y croyez pas ? Moi si, j'étais dans l'assistance.. Même que sa fumée, c'était pas du Belge, mais du Hollandais... Après ça, faudra pas vous étonner si on se tape un bon polder et si l'on chante tous en choeur : « La digue, la digue ! »





Alix Karol 9 Y'a un Turc ! Par Patrice Dard - Livre !

      Alix Karol 9 Y'a un Turc !      


L'émir Ibm-Ab-Oulh meurt subitement à la suite dans un self-service d'autoroute. Ça pourrait sembler naturel. Seulement : Y'A UN TURC ! Marty Rociano, le parrain de maffia s'écroule, victime d'un excès de nicotine. II fumait trop? Non : Y'A UN TURC ! Et Mercarios, le trafiquant d'armes ? La petite coupure qu'il s'est faite en se rasant n'a-t-elle pas des conséquences disproportionnées ? Si car : Y'A UN TURC ! Et en rentrant chez vous après deux jours d'absence, regardez sous le plumard ; parole d'Alix Karol : Y'A UN TURC !





Alix Karol 13 Nous avons les moyens de vous faire parler Par Patrice Dard - Livre !

Alix Karol 13 Nous avons les moyens de 


vous faire parler


« C'est vrai que vous ne connaissez pas Juliette ! Une gentille petite brune venue tout droit du Béarn et qui roule aussi bien les « r » que les hanches ! Sur le plan de l'intellect pur, elle ne remet pas Schopenhauer en cause. Sa grammaire est plutôt prostatique et elle nous tait parfois des crises de subjonctivite aiguë. Pour parler net, si son sens poétique laisse à désirer, il faut voir comme elle tortille son prose ! A l'heure où nous mettons sous presse, Juliette se trouve à quatre pattes sur mon plumard, moi je suis juste derrière et nous participons à une course de lévriers des plus relevées. Mais la gamine est véloce ! Chaque fois que je crois l'avoir rattrapée, elle se redétache de vingt bons centimètres et ainsi de suite... Nous sommes à mi-parcours lorsque Bis fait irruption dans ma piaule, nullement gêné par l'intimité de la scène. -- Regarde, Karolus, gueule-t-il en me collant un article de journal sous les yeux... Et alors mes aïeux, je me marre, mais je me marre... ," Attention, je ne dirai pas sur cette couverture la raison de mon hilarité Le passage que je viens de vous livrer est extrait de la dernière page de ce chef-d'oeuvre... Je ne veux pas en avoir écrit deux cents et quelques autres pages pour des prunes... Non mais des fois !





Commandos de choc en Indochine: Les héros oubliés Par Erwan Bergot - Livre !

Commandos de choc en Indochine: Les 


héros oubliés


Ils étaient une poignée de commandos de choc, radios, saboteurs et partisans. Leurs seules armes dans l'Indochine embrasée par le plus impitoyable des conflits : le courage et une connaissance unique de tous les pièges de la guerre secrète. Pendant neuf ans, les forêts inaccessibles et les montagnes envahies de jungle de la frontière de Chine et du Haut-Laos furent leur terrain de chasse. Parachutés en 1945 derrière les lignes japonaises, ils affrontèrent à un contre mille les toutes-puissantes armées du Mikado. Après la capitulation nippone, ils libérèrent des territoires entiers, bousculant, avec la furia francese, nationalistes viets, Chinois et Américains. Lorsque la guerre d'Indochine s'installa, ils soulevèrent les tribus des montagnes et des hauts plateaux, mirent en place d'invincibles maquis sur les arrières ennemis, se taillèrent d'inexpugnables royaumes en pays viêt-minh...





Sinh ou la montagne de feu Par Erwan Bergot - Livre !

      Sinh ou la montagne de feu      


De la fin de la guerre française (1954) aux débuts de l'engagement américain (1965)... Recueilli à bout de forces au coeur de la jungle par un maquis Sedang, Bernard Carrouge, rescapé d'une embuscade meurtrière, va unir son sort à celui de ces montagnards, ultimes survivants d'une tribu menacée dans son existence. Il rencontre Sinh, princesse thaï d'une extraordinaire beauté, que les Viêts vont emmener en otage dans leur repli vers le Nord. Désormais, le destin est tracé. Avec l'aide de Joseph Day, un pittoresque et inquiétant diacre-soldat, Carrouge n'aura de répit qu'après avoir libéré la captive. Pour y parvenir, il devra triompher de l'acharnement du Viêtminh, des manoeuvres de la CIA, de la trahison de l'un de ses compagnons d'armes.





Commando de choc en Algérie: Le dossier rouge Par Erwan Bergot - Livre !

Commando de choc en Algérie: Le 


dossier rouge


Aux premiers jours de la guerre d'Algérie, les commandos de choc du SDECE reçoivent l'ordre de frapper la rébellion à la tête. Pendant huit ans, les hommes du légendaire service " Action " et de la 11e demi-brigade parachutiste de choc vont mystifier l'ennemi. Au coeur des djebels, ils organisent le ralliement des chefs fellagha, montent des maquis anti-FLN, parachutent leurs agents au-delà des frontières, de la Libye au Maroc.
En Europe même, ils poursuivent leur guerre implacable. Des bateaux chargés de munitions sautent dans les ports de Tanger ou de Hambourg. En Suisse, en Allemagne, en Espagne, des trafiquants d'armes, des responsables rebelles sont abattus par des tireurs d'élite ou sautent au volant de leurs voitures, piégées.





mercredi 24 février 2016

Adieu sergent Par Georges Fleury - Livre !

          Adieu sergent          


Dien Bien Phu ! La mort plane, terrible, sur les tranchées débordant de boue sanglante, sur les avant-postes aux défenses écroulées, protégées par des hommes hâves, aux yeux fous, au courage indomptable. Dans la nuit qui vibre d'explosions et de hurlements de haine, les hordes viets déferlent en attaques suicides. C'est dans cet enfer implacable, au-delà de l'humain, que René Collard, sergent du 1er B.P.C., est précipité la nuit du 3 mai 1954. Cet ancien de la Brigade Fabien, ce parachutiste intrépide et avide de combat, connaît tout de l'Indochine. La guerre est son univers et sa raison de vivre et de mourir. Déluge d'artillerie lourde et guerriers moïs : avec des sarbacanes, atroces ravages du napalm et voyage fugace de l'opium. René Collard a vécu toutes ces outrances, tous les héroïsmes de cette guerre du monde. Il lui restera à connaître l'apocalypse Dien Bien Phu !





Djebels en feu Par Georges Fleury - Livre !

          Djebels en feu         


Novembre 1954. Une guerre qui ne porte pas encore son nom éclate en Algérie. Les commandos de la Marine, héritiers des bérets-verts du jour J, rentrent d'Indochine. Ils engagent jusqu'en 1962 un combat professionnel et sans haine contre la rébellion. Les plus jeunes d'entre eux meurent à moins de dix-huit ans. Fer de lance des bataillons de fusiliers marins formés par Ponchardier jusqu'en 1959, les commandos combattent d'égal à égal les katibas de l'A.L.N. fraîchement infiltrées du Maroc. L'El Gaada d'Aflou, l'oued Mellal, le Goursifane, Ghassoul, Aïn Sefra, djebel Bou Amoud, Mekter, Bou Lherfad et M'Zi sont les mots clés de la longue litanie de leurs batailles.





Donnez-moi la tourmente Par Georges Fleury - Livre !

      Donnez-moi la tourmente      


Indochine. Roland Barra saute le 7 octobre 1947 avec le bataillon de choc sur Bac Kan, le sanctuaire d'Hô Chi Minh. En 1951, il connaît l'enfer de Vinh Yên, la plus grande victoire indochinoise de De Lattre, et devient, à vingt-huit ans, l'héritier du légendaire Vandenberghe à la tête d'un commando d'anciens bo doîs du Viêt-Minh. Algérie. Point d'orgue de la bataille d'Alger, le 24 septembre 1957, Roland Barra capture le chef FLN, Yassef Saadi, dans la Casbah. Jeune chef d'exception, chevalier de la Légion d'honneur, médaillé militaire, douze fois cité au feu, Roland Barra ne connaît qu'une prière, celle du para : "Donnez-moi la tourmente."