Le sacrifice des combattants de l’ombre.
1942. La population de Chalon-sur-Saône vit au rythme de l’Occupation lorsque les Allemands entreprennent de mystérieux travaux dans le port.
Grâce à ses entrées à la Kommandantur, Pierre Allerey, un industriel de la région, découvre le but de ce chantier : permettre l’acheminement de vedettes de guerre vers la Méditerranée où les combats contre les Alliés font rage. Allerey en informe l’Intelligence Service qui décide de bombarder la ville au risque de causer un massacre de civils.
Consterné, il cherche une alternative et entre en contact avec la résistance intérieure. Le temps est compté. Mais la liaison qui se noue entre une jeune secrétaire allemande et le chef du maquis brouille les cartes. L’étau se resserre sur les combattants clandestins quand un nazi fanatique prend en main la répression et fait régner la terreur parmi la population...
Autour d’un épisode réel mais méconnu de la Seconde Guerre mondiale, Jérôme Deliry nous entraîne sur un rythme haletant dans une fresque romanesque où se mêlent insouciance, drame et passion face à l’insoutenable violence de la guerre.
Un hommage tout en nuances aux héros ordinaires de la Résistance.
"Bientôt tout le village eut connaissance de l'incroyable talent du nouveau venu. On n’avait jusque-là guère prêté attention à ce jeune homme à la drôle de démarche. On savait qu’il résidait au château, chez le comte, mais personne ne s’en était ému. On le croyait seulement de passage, peut-être un neveu du vieil aristocrate... »
1940 – Alors que les toiles du Louvre prennent les routes de l’exode, fuyant l’envahisseur nazi, Antoine, un jeune artiste parisien, se voit confi er une étrange mission par le conservateur du musée : dérober la dernière toile du peintre Natanaël Perlmann et la mettre à l’abri dans un château en Bourgogne.
À Terrefondrée, personne ne connaît la vraie raison de sa présence mais tout le monde le protège des inquisitions des Allemands. Jusqu’au jour où son amitié pour une petite fille espiègle lui attire la haine d’un ennemi secret.
Aventure, amour, héroïsme, l’auteur d’Une rivière trop tranquille jette un éclairage passionnant sur un aspect méconnu de la Seconde Guerre mondiale, dans ce roman riche en péripéties et en rebondissements...
Roses blanches de Corfou
Chaque nuit je pense à vous
Pourquoi faut-il que le bateau s'en aille
Quand le soleil se lève encore dans le ciel bleu
Quand nous vivons le temps des fiançailles
Pourquoi faut-il que vienne le temps des adieux
Roses blanches de Corfou
Roses blanches, roses blanches
Chaque nuit je pense à vous
Roses blanches de Corfou
Votre parfum est si doux
Quand l'aurore vient éclore
Mais je suis bien loin de vous
Roses blanches de Corfou
Je reviendrais si tu as su m'attendre
Quand le printemps nous donnera ses plus beaux jours
Aucun bateau ne pourra me reprendre
Je resterais dans le pays de notre amour
Roses blanches de Corfou
Roses blanches, roses blanches
Chaque nuit je pense à vous
Roses blanches de Corfou
Je pense à vous
Je pense à vous
Adieu mon cœur
N'aie pas de tourment
Je reviendrai
Quand mes filets
Auront rempli tout mon bateau
De poissons d'argent
Tous les pêcheurs
Sont là sur le port
Les femmes ont peur
De l'onde qui dort
Les femmes pleurent
Et prient sur le quai
Tant de pêcheurs
S'en vont à tout jamais
Tout est paré
Le ciel est au bleu
Et la marée
N'entend que l'adieu
Il faut chanter avant le départ
Il faut chanter ce chant rempli d'espoir
Adieu mon cœur
N'aie pas de tourment
Je reviendrai
Quand mes filets
Auront rempli tout mon bateau
De poissons d'argent
Je reviendrai
Quand mes filets
Auront rempli tout mon bateau
De poissons d'argent
Tous les pêcheurs
Sont là sur le port
Les femmes ont peur
De l'onde qui dort
Les femmes pleurent
Et prient sur le quai
Tant de pêcheurs
S'en vont à tout jamais
Adieu mon cœur
N'aie pas de tourment
Adieu mon cœur
Addio