Prix Jean-Vigo en 1956. L'horreur des camps de concentration où neuf millions de femmes, d'hommes et d'enfants y furent déportés et exterminés. Alain Resnais a mêlé des images d'archives en noir et blanc à des prises de vues réelles en couleur. Le texte est dit par un ancien déporté, Jean Cayrol.
"Pirates des Caraïbes" a défrayé la chronique. Les scénaristes se sont inspirés du tristement célèbre pirate Barbe Noire, pour créer le personnage d'Hector Barbossa. Si les pirates étaient la terreur des océans, ils respectaient néanmoins un vrai code, des règles écrites faisant loi sur le navire. Criminels, mais aussi volontaires, femmes, anciens esclaves embarquaient pour tenter de s'enrichir ...
Tout commence dans la pénombre d'un temple égyptien, dans un monde bien plus moderne et technologiquement avancé que l'on pouvait l'imaginer. Afin d'inspirer et émerveiller les fidèles de la congrégation et aider financièrement les prêtres, les machines de Héron produisaient de véritables miracles. Les portes s'ouvraient automatiquement ; des statues chantaient et parlaient ; des distributeurs fonctionnaient grâce à des pièces. Le plus gros projet de ce prolifique inventeur était un théâtre ambulant dans lequel, grâce à un jeu de cordes et de poulies, les décors changeaient, des automates s'activaient et le bruit du tonnerre résonnait. La plus fabuleuse découverte de cet ingénieur mathématicien reste quand même la machine à vapeur, qui non seulement est la première de l'histoire mais marque également une avancée considérable vers la création du moteur à réaction.
Pour créer Dracula, le célèbre vampire, le romancier Bram Stoker s'est inspiré d'un personnage historique du XVe siècle : le prince transylvanien Vlad Tepes dit Vlad l'Empaleur ou encore Vlad Dracul. Ce seigneur de guerre, qui vivait sur les terres de l'actuelle Roumanie, fit construire de nombreux palais fortifiés comme son fameux château au sommet d'une montagne qui fait aujourd'hui la joie des touristes. Célébré de son vivant pour son courage, il était aussi connu et redouté pour sa cruauté.
Pour créer Dracula, le célèbre vampire, le romancier Bram Stoker s'est inspiré d'un personnage historique du XVe siècle : le prince transylvanien Vlad Tepes dit Vlad l'Empaleur ou encore Vlad Dracul. Ce seigneur de guerre, qui vivait sur les terres de l'actuelle Roumanie, fit construire de nombreux palais fortifiés comme son fameux château au sommet d'une montagne qui fait aujourd'hui la joie des touristes. Célébré de son vivant pour son courage, il était aussi connu et redouté pour sa cruauté.
Pour créer Dracula, le célèbre vampire, le romancier Bram Stoker s'est inspiré d'un personnage historique du XVe siècle : le prince transylvanien Vlad Tepes dit Vlad l'Empaleur ou encore Vlad Dracul. Ce seigneur de guerre, qui vivait sur les terres de l'actuelle Roumanie, fit construire de nombreux palais fortifiés comme son fameux château au sommet d'une montagne qui fait aujourd'hui la joie des touristes. Célébré de son vivant pour son courage, il était aussi connu et redouté pour sa cruauté.
Une tragédie en trois actes : comment un jeune roi aimé de son peuple, sensible au bouillonnement artistique et intellectuel de son siècle (celui des Lumières), va finir son règne dans la déchéance et la haine. L'histoire d'un roi éclairé, épris de liberté, qui se coupe de ses sujets, de libertinage en répression et de corruption en impuissance. Quinze ans après sa mort, c'est la Révolution.
Confronté aux guerres de religion, il y fut d'abord impliqué en tant que prince du sang et chef protestant avant d'accéder au trône de France (baptisé catholique à sa naissance, il dut changer plusieurs fois de religion avant son accession au trône). Pour être accepté comme roi de France, il se reconvertit à sa religion d'origine, le catholicisme, et signa l'Édit de Nantes, traité de paix tolérant dans certaines limites le culte protestant.
Pourquoi une telle popularité trois siècles après sa mort ? Parce que la mémoire collective retient que c'est lui qui a donné ses frontières à la France et les a défendues : un Vauban infaillible, preneur de villes, grand bâtisseur de sentinelles de pierre. Mais Vauban n'a pas été seulement ce génial 'fortificateur' : ses 'vagabondages' à travers le pays lui ont montré le royaume réel, où les démunis étaient légion. Dans ce qu'il a appelé ses 'oisivetés', Vauban imagine des solutions aux maux dont souffre la France de Louis XIV. Il raisonne sur tous le sujets, invente la statistique, propose l'impôt révolutionnaire de la dîme royale.
Depuis le 14 juillet 1683, l'Europe retient son souffle : Vienne est assiégée par les troupes du grand vizir Kara Mustapha, fortes de près de 200 000 soldats. Ils menacent, si les Viennois ne se rendent pas, de donner l'assaut et de tuer tous les habitants. La situation est désespérée. L'eau des puits est contaminée et il ne reste que 4 000 hommes pour défendre la capitale des Habsbourg. L'Autriche et ses alliés n'ont plus qu'une solution : attaquer. Leur espoir réside dans l'armée de renfort commandée par le roi de Pologne, Jean III Sobieski. Mais, au matin du 12 septembre, personne ne sait si ses 75 000 hommes arriveront à temps pour la bataille qui s'annonce sur les hauteurs du Kahlenberg, à l'ouest de la ville. De son côté, Kara Mustapha sait que, pour lui aussi, le jour est décisif. Ses espoirs reposent sur ses artificiers. S'ils arrivent à miner l'un des principaux bastions, la chute de Vienne est acquise. Mais au dernier moment, la situation se retourne en faveur des Viennois : ils parviennent à désamorcer la bombe et la cavalerie polonaise arrive in extremis. L'armée ottomane est en déroute. Mettant en parallèle documents historiques et reconstitutions du cadre grandiose de l'événement, le documentaire montre comment cette journée du 12 septembre 1683 a infléchi le cours de l'histoire et orienté le sort de l'Europe. La défaite de Kara Mustapha marque en effet la fin de l'expansion ottomane en Europe occidentale et annonce la montée en puissance de l'Empire austro-hongrois.