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vendredi 25 janvier 2013

Itinéraire d'un soldat !

Itinéraire d'un soldat  


« Un jour où Michel était chargé avec deux parachutistes de récupérer les poubelles des différentes positions françaises avec un véhicule benne flambant neuf arrivé de France quelques jours auparavant, je l’ai vu allongé sur le dos, sur son lit de camp, l’air bizarre, les yeux grands ouverts après cette mission. Il venait de lui arriver un pépin et il le revivait. Voir Michel sur son lit à revivre et revivre la scène les yeux grands ouverts était très solennel. Il venait d’en prendre un coup mais il savait pouvoir compter sur nous pour refaire surface. Cet incident nous prouvait qu’à tout moment, nous pouvions être pris à partie et nous obligeait à redoubler de vigilance à chacune de nos sorties ». Marc Vitry ouvre son coeur dans une autobiographie tout en sincérité. Entre voyages, rencontres, difficultés, joies et déceptions, il revient sur son parcours professionnel et sentimental, offrant une vision à la fois authentique et pertinente du monde militaire. Ouvrage complet, Itinéraire d’un soldat constitue autant un témoignage qu’un biais pour l’auteur de clore un chapitre important de sa vie et de regarder l’avenir avec sérénité.













Bichette et la guerre !

Bichette et la guerre  


Claudie, surnommée Bichette, a 9 ans quand la Seconde Guerre mondiale éclate. Dans la campagne, près de Cherbourg, la fillette subit ce spectacle d’apocalypse, perds sa mère et doit se séparer de son père. Entre innocence et détermination, l’écolière va participer à sa façon à la Résistance qui s’organise dans son entourage. Son adolescence va ainsi être marquée par cette guerre et l’affolement qui gagne la population. Heureusement, avec la Libération, viendront les signes du bonheur. Bichette et la Guerre est le récit d’une histoire vécue, celle d’une petite fille qui grandit pendant la guerre, dans une atmosphère de panique générale. Néanmoins, ce sont l’audace et le courage de Claudie qui sont mis en avant, à travers son périple dans une France affaiblie et dévastée.





La Femme au rasoir !

La Femme au rasoir  


Septembre 2004. Alan Davignon a accepté de partir en Afghanistan en tant que reporter pour couvrir les premières élections libres. Sa femme, Claire, ne supporte pas cette décision prise à la légère. Débute alors l’aventure d’un homme dans un pays où les massacres continuent de faire rage. Propulsé sur la scène médiatique pour une photo de femme prise au hasard dans le feu de l’action, Alan ouvre soudain les yeux sur la société où l’image dicte sa loi : sa photographie alimente la presse du monde entier, mais que reste-t-il de la détresse de cette Afghane en deuil, qu’un journaliste surnommera « la femme au rasoir ». L’histoire d’un photographe, d’un père loin de sa famille, en plein désert afghan. L’histoire d’une femme, en proie à la douleur, prête à tout pour mettre fin à ses souffrances. L’histoire d’une rencontre et d’une photo qui, entre succès et coups bas, auront des conséquences inattendues. Jean-Claude Vian signe une analyse brillante des médias et de la réalité du monde. Mêlant fiction et actualité, récit et carnet de voyage, La Femme au rasoir est un roman alarmant, mais surtout profondément altruiste.





Avant-postes de cavalerie légère: Souvenirs !

Avant-postes de cavalerie légère: Souvenirs  


De très belles images de l'épopée Napoléonienne !





Au Nom de Compostelle !

Au Nom de Compostelle 


 Au début de l'été 1240, une caravane part de Montpellier pour Saint-Jacques-de-Compostelle : pénitents sincères, pèlerins professionnels payés pour faire le voyage, opportunistes, mercenaires, espions... Sur fond d'Inquisition et de soulèvement cathare, des rivalités, des jalousies, des amourettes, des vols et des meurtres.





Mary l'Irlandaise !

Mary l'Irlandaise  


Au printemps 1833, à peine âgée de 14 ans, Mary quitte l'Irlande pour les Etats-Unis. A Québec, où le bateau fait escale, son oncle et sa tante, qui s'étaient engagés à veiller sur elle, l'abandonnent. En cette période troublée qui mène à la rébellion de 1837, Mary devra se battre pour survivre. Elle côtoiera la maladie et la mort, rencontrera l'amitié et trouvera l'amour. Avec cette écriture vivante et directe qu'on lui connaît, Maryse Rouy trace le portrait d'une femme volontaire et généreuse qui prend place parmi les héroïnes les plus fortes et les plus attachantes du roman contemporain.






Services secrets contre cuirassés: Brest, 1940-1942 !

Services secrets contre cuirassés: Brest, 1940-1942

Battant 22 pavillons de victoire à leurs drisses, soit quelque 145 000 tonnes de navires coulés, les cuirassés allemands SCHARNHORST et GNEISENAU entraient le 22 mars 1941 en rade de Brest. Une nouvelle et terrible menace s'était abattue sur les convois de l'Atlantique. Pour la cause alliée, des renseignements sur les cuirassés et les sous-marins basés à Brest étaient dorénavant d'une nécessité vitale. Peu après cet événement, celui qui allait devenir le colonel REMY, frappait à la porte du lieutenant de vaisseau PHILIPPON, ancien officier en second du sous-marin " Ouessant " et pour l'heure jardinier en uniforme de la base navale occupée. " Je suis chargé de mission et j'arrive de Londres ", déclara REMY d'emblée. Quand les deux hommes se séparent, l'officier de Marine avait accepté une tâche redoutable et le pseudonyme d'Hilarion. Malgré les arrestations, la terreur des raids aériens au cours desquels 3 300 avions déversèrent 4 000 tonnes de bombes sur le port et sur la ville, et surtout le drame de conscience provoqué par les souffrances de la population brestoise, jour après jour, Hilarion persévéra. Son activité clandestine contribua si efficacement à bloquer le SCHARNHORST, le GNEISENAU et le croiseur PRINZ EUGEN à Brest, et à envoyer par le fond le cuirassé BISMARCK, que la Marine britannique tint à le dire dans un message sans autre exemple durant la guerre. Cet officier de Marine exemplaire était un homme de cœur exigeant pour lui-même comme pour les autres. Il avait une grande passion pour la mer et pour la Marine et souhaitait que la France y trouve l'une des sources de sa puissance et de son rayonnement.


















Les Héroïnes de la Grande Guerre !

Les Héroïnes de la Grande Guerre  


Dans l’esprit de tous, le héros de la Grande Guerre demeure sans conteste le brave « poilu » des tranchées prêt à endurer mille tourments pour défendre sa patrie. Se souvient-on qu’il a eu de nombreuses « sœurs d’armes » ?
à partir de 1914, dans bien des domaines, les femmes remplacent les hommes mobilisés : les voilà embauchées dans les usines, les bureaux et les ateliers. L’armée répugne encore à faire appel à elles, mais l’invasion du territoire et le caractère durable de la guerre bouleversent les règles du jeu. Plusieurs femmes vont alors se distinguer. Elles soignent sous les obus, cachent des soldats égarés, espionnent, parfois font le coup de feu.
Magnifiées par la propagande soucieuse d’exalter le patriotisme, de nombreuses héroïnes ont fait la une des journaux : sœur Julie, encensée par Maurice Barrès pour avoir empêché les Allemands d’incendier son hôpital ; Octavie Delacour, qui fait capoter un sabotage en Normandie ; émilienne Moreau, dernière défenseuse d’un poste de secours ; la diva Nelly Martyl, « fée de l’armée de Verdun » ; Edith Cavell, figure légendaire fusillée par les Allemands ; Gabrielle Petit, la Jeanne d’Arc belge. Pourtant, après l’armistice, les exploits féminins sombrent plus ou moins rapidement dans l’oubli.
à travers une quinzaine de portraits, Héroïnes de la Grande Guerre invite le lecteur à partir sur les traces de ces femmes au courage exceptionnel, et à découvrir une nouvelle facette de la première guerre mondiale.

















La Route des Gitans !

La Route des Gitans  


Dans une Pologne exsangue et dévastée par la guerre, une Allemagne en proie aux bombardements alliés, où la délation est monnaie courante, Sara la petite danseuse gitane et Franz le déserteur sont pourchassés par la Gestapo. Inspirée par des faits réels, La Route des Gitans est l'histoire de la rencontre improbable de deux mondes. C'est aussi l'histoire bouleversante d'une fuite éperdue et d'un amour tragique. Issu de la culture des Gens du voyage, Miguel Haler nous entraîne dans une époque déjà lointaine où les Gitans du nord de l'Europe parcouraient les routes dans des roulottes de bois tirées par des chevaux et nous livre, avec émotion, leur "presque" testament. Il existe peu de témoignage du Samudaripen "le Génocide oublié", celui des Tziganes et des Gitans qui fut perpétré par le régime nazi entre 1938 et 1945. Ce livre, hommage rendu aux Gens du voyage et acte de mémoire, nous en parle avec justesse et passion.





Le Moine était daltonien !

Le Moine était daltonien  


On était au beau milieu du Moyen Age et personne ne le savait, pas plus que frère Déicole ne connaissait le mot « daltonien ». Pourtant il l’était, et cette perception particulière des couleurs agissait sur un caractère déjà peu facile. Après avoir semé la perturbation dans son monastère d’Irlande, il part porter la bonne parole et son irascibilité sur le continent. De monastère en prieuré, armé de son pénitentiel et fort de ses extravagantes pratiques ascétiques, il va parcourir l’Europe médiévale en direction de l’orient jusqu’aux confins de la Germanie, traumatisant au passage le clergé et les populations des régions traversées. Atteignant les diocèses des marches de la chrétienté, il se lie d'amitié avec frère Agapet, grand amateur de drogues d’antique mémoire, et découvre le trafic d’esclaves qui alimentait l’Europe entière et les contrées du Moyen Orient. Les deux compères se lancent alors dans la lutte contre le commerce d’êtres humains en s’aidant curieusement des effets du haschich sur le comportement de ceux qui en usent. Satirique, burlesque, grinçant, l’humour de Robert Azaïs joue sur tous les registres et n’épargne personne. Avec les aventures et tribulations de ce moine daltonien, l’auteur, daltonien lui-même, nous offre un roman réjouissant dans la veine de ses oeuvres précédentes.