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vendredi 25 janvier 2013
Le Destin d'Igor !
Le Destin d'Igor
Depuis leur rencontre avec le prince Nikolaï Pavelski, Vania le voleur de poules et Igor le serviteur ont vu leur vie basculer. Le premier, qu'on appelle désormais le comte Simonov, a gagné à la fois sa liberté, sa dignité et un ami fidèle ; le second, du haut de ses seize ans, a été nommé intendant. Quant au barine humaniste, celui-ci compte aujourd'hui un héritier. Les trois hommes verront leur ascension se poursuivre jusqu'à Moscou et Paris où ils feront affaires... Explorant plus avant le destin de son trio d'hommes nouveaux, Sylvie Simmonet affine sa peinture romanesque de la Russie tsariste. Laissant leurs vieux démons derrière eux, ils permettent à l'auteur d'approfondir sa réflexion autour de cette deuxième chance rare et précieuse. Toujours aussi riche et élégant, ce volet se montre également plus lumineux, les souvenirs douloureux d'hier s'effaçant devant les rêves de demain.
Depuis leur rencontre avec le prince Nikolaï Pavelski, Vania le voleur de poules et Igor le serviteur ont vu leur vie basculer. Le premier, qu'on appelle désormais le comte Simonov, a gagné à la fois sa liberté, sa dignité et un ami fidèle ; le second, du haut de ses seize ans, a été nommé intendant. Quant au barine humaniste, celui-ci compte aujourd'hui un héritier. Les trois hommes verront leur ascension se poursuivre jusqu'à Moscou et Paris où ils feront affaires... Explorant plus avant le destin de son trio d'hommes nouveaux, Sylvie Simmonet affine sa peinture romanesque de la Russie tsariste. Laissant leurs vieux démons derrière eux, ils permettent à l'auteur d'approfondir sa réflexion autour de cette deuxième chance rare et précieuse. Toujours aussi riche et élégant, ce volet se montre également plus lumineux, les souvenirs douloureux d'hier s'effaçant devant les rêves de demain.
Journal de captivité en Russie: 1813-1814 !
Journal de captivité en Russie: 1813-1814
Précieusement conservé par ses descendants, le " Journal de captivité en Russie " (1813-1814) écrit par Désiré Fuzellier, médecin de la Grande Armée, est, au-delà de la vision ingénue et parfois incrédule d'un jeune bonapartiste, un des rares témoignages directs sur les captivités des survivants de la Campagne de 1812, et sur l'état exacte de la " Russie profonde " au début du XIXe siècle. Désiré Fuzellier avait été incorporé comme officier-médecin de la Grande armée. Fait prisonnier en Pologne, juste après la dramatique retraite, il est transféré en Russie et y restera deux ans. Il y apprendra le russe, se mêlera à la population, tombera amoureux et rédigera presque au jour le jour son journal de captivité. Cependant, au-delà de sa valeur historique, ce récit nous apporte une dimension littéraire, et non des moindres : celle de Victor Hugo. En 1837, alors que l'auteur des Misérables séjournait à Montreuil, il y rencontra le médecin-chef de l'hôpital de cette petite ville : un certain Désiré Fuzellier. Le " bon médecin " qui assistera Fantine, la mère de Cosette, dans ses derniers instants, a réellement existé...
Précieusement conservé par ses descendants, le " Journal de captivité en Russie " (1813-1814) écrit par Désiré Fuzellier, médecin de la Grande Armée, est, au-delà de la vision ingénue et parfois incrédule d'un jeune bonapartiste, un des rares témoignages directs sur les captivités des survivants de la Campagne de 1812, et sur l'état exacte de la " Russie profonde " au début du XIXe siècle. Désiré Fuzellier avait été incorporé comme officier-médecin de la Grande armée. Fait prisonnier en Pologne, juste après la dramatique retraite, il est transféré en Russie et y restera deux ans. Il y apprendra le russe, se mêlera à la population, tombera amoureux et rédigera presque au jour le jour son journal de captivité. Cependant, au-delà de sa valeur historique, ce récit nous apporte une dimension littéraire, et non des moindres : celle de Victor Hugo. En 1837, alors que l'auteur des Misérables séjournait à Montreuil, il y rencontra le médecin-chef de l'hôpital de cette petite ville : un certain Désiré Fuzellier. Le " bon médecin " qui assistera Fantine, la mère de Cosette, dans ses derniers instants, a réellement existé...
jeudi 24 janvier 2013
Les derniers jours de Jules César !
Les derniers jours de Jules César
7 mars 44 av. J.-C. : une semaine avant l'assassinat de Jules César. Le compte à rebours est lancé. Suite à des rumeurs de complot contre l'empereur, ses proches commencent à enquêter.
Quand Publius Sextus, centurion et homme de confiance de César, apprend lors d'une mission loin de la ville que "l'aigle" est en danger de mort, il se lance dans une course contre la montre pour rentrer à Rome le prévenir. Mille pièges se dressent sur sa route, tendus par ceux qui veulent faire assassiner l'empereur. De son côté, à Rome, César, alerté par les funestes prédictions d'un devin étrusque, s'inquiète de ne pas voir rentrer son centurion.
Quid de l'étrange comportent de Marc Antoine à la fête des Lupercales ? Et de Brutus, que le vieux médecin Antistius soupçonne d'être au cœur du complot ?
Chacun mène l'enquête, s'épie, se trahit, et l'étau se resserre inéluctablement autour de sa proie : Publius arrivera trop tard, Antistius aussi, et César, malgré les avertissements, sortira de son palais ce jour fatal des ides de mars pour ne plus jamais y revenir...
Histoire de la campagne de Russie pendant l'année 1812 !
Histoire de la campagne de Russie pendant l'année 1812
En canot de papier: De Québec au Golfe du Mexique 2500 milles à l'aviron !
En canot de papier: De Québec au Golfe du Mexique 2500 milles à l'aviron
Nathaniel Bishop raconte son audacieuse équipée en 1874, peu de temps après la guerre de Sécession, à travers une Amérique du Nord encore sauvage. Parti de Québec, il rejoint le golfe du Mexique, soit 2 500 milles à bord d'un canot en bois de cèdre puis en papier. Dans sa descente vers le sud, il suit les cours d'eau en " descendant le moins possible sur terre ". Parfois, il s'égare dans le dédale des ruisseaux et des marais, fait des rencontres insolites avec la faune et reçoit l'accueil hospitalier des habitants : bûcherons, planteurs de riz, hommes de couleur, insulaires du Golfe... Une tempête réussira-t-elle à bouleverser le cours paisible de ce périple ?
A la recherche de La Pérouse !
A la recherche de La Pérouse
Contraint de fuir sa chère Normandie, François Décamp, marin pêcheur inscrit maritime à Fécamp, se retrouve à Brest. dans ce port, au comble de l'agitation, la Recherche et l'Espérance sont en armement. Elles doivent naviguer de conserve dans une expédition commandée par Bruni d'Entrecasteaux. Le Normand est engagé comme aide-pilote à bord de l'un des navires. Louis XVI a confié au contre-amiral deux missions : celle de porter secours à La Pérouse - parti de Brest en 1785 et dont on est sans nouvelles - et celle de découvrir de nouvelles ressources dans les terres australes inconnues. Réparties sur les deux fausses frégates, 222 personnes, dont 12 savants, franchissent le goulet de Brest le 28 septembre 1791. Le 5 février 1795, une vingtaine de rescapés de l'expédition reviennent à Brest. A travers le regard de François Décamp - le héros principal de ce roman historique - Jean-Pierre Ledru, après de patientes et minutieuses recherches dans les documents d'époque, nous fait revivre ces quatre longues années de découvertes et de souffrances sur les mers du Sud. Années durant lesquelles les évènements politiques vont se bousculer et transformer la France.
Contraint de fuir sa chère Normandie, François Décamp, marin pêcheur inscrit maritime à Fécamp, se retrouve à Brest. dans ce port, au comble de l'agitation, la Recherche et l'Espérance sont en armement. Elles doivent naviguer de conserve dans une expédition commandée par Bruni d'Entrecasteaux. Le Normand est engagé comme aide-pilote à bord de l'un des navires. Louis XVI a confié au contre-amiral deux missions : celle de porter secours à La Pérouse - parti de Brest en 1785 et dont on est sans nouvelles - et celle de découvrir de nouvelles ressources dans les terres australes inconnues. Réparties sur les deux fausses frégates, 222 personnes, dont 12 savants, franchissent le goulet de Brest le 28 septembre 1791. Le 5 février 1795, une vingtaine de rescapés de l'expédition reviennent à Brest. A travers le regard de François Décamp - le héros principal de ce roman historique - Jean-Pierre Ledru, après de patientes et minutieuses recherches dans les documents d'époque, nous fait revivre ces quatre longues années de découvertes et de souffrances sur les mers du Sud. Années durant lesquelles les évènements politiques vont se bousculer et transformer la France.
Un exode ordinaire !
Un exode ordinaire
Un soir d’été, l’ordre d’évacuation arrive. Il faut tout abandonner. Bientôt un long convoi s’ébranle... Un exode ordinaire. Le premier. D’autres suivront.
Angela pleure sur son chariot : elle attend un enfant de Benoît. Son frère, Manuel, suit en chantant. Pour lui, l’exode est une fête. La nuit, sous les étoiles, la vieille Kette geint : elle ne sait seulement pas la langue du pays où l’on va. Que deviendra-t-elle ? On aurait pu être si heureux ensemble.
La route est longue jusqu’au bord de mer où la vie se réorganise. Une villégiature forcée. Les vagues ensevelissent Victor et la petite Marie, Manuel rencontre la lumière sur la plage, mais aussi la putain, l’enfant d’Angela vient au monde. Connaîtra-t-il un jour son père ? Et puis, soudain, c’est l’attaque ennemie : je n’oublierai jamais les lilas ni les roses. La débâcle. Témoins ahuris, les réfugiés voient déferler les réfugiés. L’Allemand est là.
De retour chez eux, ils sont comme en terre inconnue dans leur propre village et vivent un insolite compagnonnage avec l’occupant. Manuel n’y est pas étranger, lui qui a connu, tout au long de l’exode, une véritable métamorphose.
Avec beaucoup de force et d’humour, ce roman témoigne de la vie profonde et de l’émouvant destin d’une poignée d’exilés. Au milieu d’eux se dresse, inoubliable, la figure à la fois puissante et fragile de Manuel, le fou d’amour.
Un soir d’été, l’ordre d’évacuation arrive. Il faut tout abandonner. Bientôt un long convoi s’ébranle... Un exode ordinaire. Le premier. D’autres suivront.
Angela pleure sur son chariot : elle attend un enfant de Benoît. Son frère, Manuel, suit en chantant. Pour lui, l’exode est une fête. La nuit, sous les étoiles, la vieille Kette geint : elle ne sait seulement pas la langue du pays où l’on va. Que deviendra-t-elle ? On aurait pu être si heureux ensemble.
La route est longue jusqu’au bord de mer où la vie se réorganise. Une villégiature forcée. Les vagues ensevelissent Victor et la petite Marie, Manuel rencontre la lumière sur la plage, mais aussi la putain, l’enfant d’Angela vient au monde. Connaîtra-t-il un jour son père ? Et puis, soudain, c’est l’attaque ennemie : je n’oublierai jamais les lilas ni les roses. La débâcle. Témoins ahuris, les réfugiés voient déferler les réfugiés. L’Allemand est là.
De retour chez eux, ils sont comme en terre inconnue dans leur propre village et vivent un insolite compagnonnage avec l’occupant. Manuel n’y est pas étranger, lui qui a connu, tout au long de l’exode, une véritable métamorphose.
Avec beaucoup de force et d’humour, ce roman témoigne de la vie profonde et de l’émouvant destin d’une poignée d’exilés. Au milieu d’eux se dresse, inoubliable, la figure à la fois puissante et fragile de Manuel, le fou d’amour.
Aventures de Beauchêne: Capitaine de flibustiers !
Aventures de Beauchêne: Capitaine de flibustiers
Beauchêne fuit sa famille, à l'âge de sept ans, pour rejoindre les Iroquois qui ravagent sa terre natale du Québec. Les Indiens l'adoptent. Capturé et ramené à ses parents, c'est avec de grands regrets qu'il retrouve la vie calme et familiale. Il s'ennuie ferme, tandis que la guerre fait rage. L'Angleterre et la France s'affrontent en Europe et s'opposent, aussi, sur le sol américain. Il rencontre des flibustiers d'origine française et veut " essayer la guerre sur mer ". Sa vie devient aventureuse du Québec à la France, de Saint-Domingue à la Jamaïque, de l'Irlande à Rio de Janeiro, de la côte d'Afrique aux Antilles, Rouen, Tours, La Rochelle, Paris... Il rencontrera des personnages hauts en couleurs, des intrigues se noueront... Alain-René Lesage raconte, dans ce livre, la vie tumultueuse et curieuse d'un aventurier sympathique que les hasards de la guerre et des rencontres ont poussé à devenir flibustier. Ce texte a été publié en 1732.
Beauchêne fuit sa famille, à l'âge de sept ans, pour rejoindre les Iroquois qui ravagent sa terre natale du Québec. Les Indiens l'adoptent. Capturé et ramené à ses parents, c'est avec de grands regrets qu'il retrouve la vie calme et familiale. Il s'ennuie ferme, tandis que la guerre fait rage. L'Angleterre et la France s'affrontent en Europe et s'opposent, aussi, sur le sol américain. Il rencontre des flibustiers d'origine française et veut " essayer la guerre sur mer ". Sa vie devient aventureuse du Québec à la France, de Saint-Domingue à la Jamaïque, de l'Irlande à Rio de Janeiro, de la côte d'Afrique aux Antilles, Rouen, Tours, La Rochelle, Paris... Il rencontrera des personnages hauts en couleurs, des intrigues se noueront... Alain-René Lesage raconte, dans ce livre, la vie tumultueuse et curieuse d'un aventurier sympathique que les hasards de la guerre et des rencontres ont poussé à devenir flibustier. Ce texte a été publié en 1732.
Contes de bord !
Contes de bord
Onze récits de mer réunis par Edouard Corbière et publiés en 1834, peu après les Pilotes de l'Iroise et le Négrier déjà remarqués par la critique en 1832. " On trouvera peut-être ce conte d'assez mauvais goût, et je conviendrai sans peine moi-même qu'il est bien loin de donner aux lecteurs une idée favorable de la littérature de bord ; mais l'intention qui m'a guidé en publiant ces esquisses, est celle d'offrir aux gens du monde la peinture, aussi exacte que possible, des moeurs des marins, et, sous ce dernier rapport, on ne peut nier que les contes dont s'amusent les hommes de mer ne portent l'empreinte la plus fidèle de leur caractère et des idées qu'ils se sont formées sur la plupart des choses qui occupent à terre une société à laquelle ils sont pour ainsi dire étrangers... "
Onze récits de mer réunis par Edouard Corbière et publiés en 1834, peu après les Pilotes de l'Iroise et le Négrier déjà remarqués par la critique en 1832. " On trouvera peut-être ce conte d'assez mauvais goût, et je conviendrai sans peine moi-même qu'il est bien loin de donner aux lecteurs une idée favorable de la littérature de bord ; mais l'intention qui m'a guidé en publiant ces esquisses, est celle d'offrir aux gens du monde la peinture, aussi exacte que possible, des moeurs des marins, et, sous ce dernier rapport, on ne peut nier que les contes dont s'amusent les hommes de mer ne portent l'empreinte la plus fidèle de leur caractère et des idées qu'ils se sont formées sur la plupart des choses qui occupent à terre une société à laquelle ils sont pour ainsi dire étrangers... "
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