Le véritable auteur de ce livre est Christophe, guide et instructeur de Jacques et Janette, depuis l'Au-delà. Comme vous pourrez le découvrir, ils n'auraient jamais pu sans l'aide de cette âme de Lumière et d'Amour, aller si loin et si haut. Jamais seul... plus jamais triste, est un message offert à tous. Il informe, il émerveille, il donne la joie d'exister. Il invite à se changer soi-même pour faire mieux et autrement, tout en pensant aux autres. Qui que vous soyez, quelles que soient vos croyances, cet ouvrage, écrit avec cœur et avec joie, est un guide lumineux. "La lumière que tu mets dans ce livre va vers le monde et ne s'éteindra jamais..." Message de Christophe aux auteurs.
Adolf Hitler est né le 20 avril 1889 en Autriche. Jeunesse difficile à
Vienne ; pour subsister, il peint des aquarelles. Puis il fréquente des
sociétés occultes, dont les membres ne cesseront de le soutenir tout au
long de son parcours. Comment expliquer qu'il soit monté si vite et si
haut ? De quelle force était-il investi pour rassurer tous les pouvoirs
existants : de la Wehrmacht aux grands patrons, des ouvriers aux
intellectuels ? Comment expliquer cet incroyable destin, cette
fascination qu'il exerçait sur les foules, cette chance insolente qui
lui permit d'échapper aux obus de 14-18 et, plus tard, aux nombreux
attentats organisés par la résistance allemande ? Existe-il une
providence satanique ? Pour Jean Prieur, les forces en présence lors de
la seconde guerre mondiale se situaient autant dans le ciel métaphysique
que dans celui des bombardiers. Car l'Histoire n'est que l'autre nom de
l'éternelle bataille des Fils des Ténèbres contre les Fils de la
Lumière.
Il n'existait jusqu'à présent, aucun ouvrage d'ensemble sur le corps
ultra-physique qui a été connu de tout temps par la tradition ésotérique
universelle et méconnu par la science, la philosophie et la théologie
occidentales de ces trois derniers siècles. Selon les civilisations, ce
corps a reçu les noms les plus divers : corps subtil, astral, éthéré,
lumineux, spirituel, métaphysique ; ces termes d'ailleurs ne sont pas
synonymes. C'est le corps subtil qui est à la base de tous les
phénomènes dits paranormaux et qui en donne une explication rationnelle.
Apparitions, lévitations, manifestations post mortem, raps,
poltergeist, apports, dédoublement, idéoplastie... s'organisent autour
de ce dénominateur commun. Commun aux humains et aux animaux, aux
incarnés et aux désincarnés, ce corps métaphysique a une forme, une
substance, un poids, une couleur, une structure atomique. Il est comme
la lumière, dont il porte parfois le nom de nature vibratoire et
corpusculaire ; son rayonnement coloré est appelé aura. Il assure
stabilité et permanence aux vivants de tous les règnes et, une fois de
plus, nous constatons l'unité conceptuelle et physique du cosmos. Le
livre de Jean Prieur est une sorte de grand voyage initiatique à travers
les religions, les philosophies dissidentes, les traditions ésotériques
et occultes des divers siècles et des diverses cultures.
Georges Morrannier, disparu tragiquement, communique depuis l'au delà avec sa mère, par écriture intuitive. Dans ce deuxième tome, il nous présente
dix êtres spirituels qui, parvenus à une très grande évolution,
racontent ce qui constituait leur vie sur le monde de la matière et
expliquent ce qu'ils ont découvert dans le monde de l'Esprit. Tous
confessent
leurs erreurs terrestres et décrivent l'émerveillement dans lequel ils
vivent. Ils ont chargés de préparer les êtres terrestres aux données
nouvelles que Georges, en sa qualité de physicien, nous apportera,
concernant l'immortalité de l'âme, la nature de Dieu et la future
religion universelle.
Jeanne
Morrannier se trouvait avec ses parents à Hanoï, lors de la dernière
guerre mondiale. Après y avoir terminé ses études secondaires, elle se
maria et, de retour en France, se consacra à l'éducation de ses trois
enfants. L'aîné, Georges, docteur ès sciences, envisageait de passer un
doctorat d'Etat, lorsque, perturbé par une dépression psychique due à
des exercices incontrôlés de yoga mystique, il se suicida. Depuis 1976,
Jeanne Morrannier communique directement avec son fils, en écrivant sous
sa dictée. Elle publie, sur sa demande, les explications détaillées
qu'il lui donne sur la vie dans l'Au-delà, sur la constitution du corps spirituel et sur la nature de Dieu. C'est Georges qui a,
lui-même, choisi le titre, Au seuil de la Vérité, voulant exprimer
ainsi que les êtres humains sauront bientôt tout ce qu'ils ont à savoir
sur le monde de l'Esprit. Puisse ce document saisissant aider ceux qui ont perdu un être aimé et encourager les scientifiques qui se vouent à la recherche de l'âme humaine et de son immortalité.
Il y a plusieurs façons de se dresser contre la guerre : la maudire, dépeindre les horreurs qu'elle commet, étaler son absurdité. Dans ce roman à sketches, Jean Anglade
se jette dans une entreprise difficile : faire rire d'elle. Car le
ridicule peut démolir autant et plus que l'invective. En fait, c'est l'histoire de sept hommes dont les noms figurent sur un modeste monument aux morts de 1914-1918. Chacun était de son vivant affligé d'un problème insoluble : la guerre a résolu ces sept problèmes. Le roman a inspiré à Patricia Valleix un très beau film qui a obtenu à Aurillac le premier prix du cinéma rural
Mais qui est vraiment la belle Mathilde ? Si tous les hommes succombent à ses charmes, c'est Alexandre Baroune, un jeune médecin rétais, qui la séduit sur le paquebot qui les mène au Tonkin. Mais en cette fin de XIXe siècle, dans ces lointaines colonies exotiques, ce qui commence comme une passion trépidante peut vite se transformer en cauchemar. A Saigon, la police locale arrête le jeune homme. Pourquoi C'est ce qu'Alexandre va s'efforcer de découvrir... Une fois de plus, Robert Béné propose une aventure entre amour et Histoire qui tient le lecteur en haleine jusqu'à la dernière page.
Dans une Pologne exsangue et dévastée par la guerre, une Allemagne en proie aux bombardements alliés, où la délation est monnaie courante, Sara la petite danseuse gitane et Franz le déserteur sont pourchassés par la Gestapo. Inspirée par des faits réels, La Route des Gitans est l'histoire de la rencontre improbable de deux mondes. C'est aussi l'histoire bouleversante d'une fuite éperdue et d'un amour tragique. Issu de la culture des Gens du voyage, Miguel Haler nous entraîne dans une époque déjà lointaine où les Gitans du nord de l'Europe parcouraient les routes dans des roulottes de bois tirées par des chevaux et nous livre, avec émotion, leur "presque" testament. Il existe peu de témoignage du Samudaripen "le Génocide oublié", celui des Tziganes et des Gitans qui fut perpétré par le régime nazi entre 1938 et 1945. Ce livre, hommage rendu aux Gens du voyage et acte de mémoire, nous en parle avec justesse et passion.
A la gare c'était la cohue et l'agitation. Une queue se forma devant la
caisse. Le hall résonnait de cris et de pleurs de nourrissons... "
Regardez-moi cette foule. Comment peut-on acheter son billet ? Des tas
de mômes, carrément. Là-bas, il y a une vieille peau, avec un bébé elle
aussi. Pouah ! Il y en a un qui s'est laissé tenter, faut être dingue !
-Aujourd'hui on n'y regarde pas. -Prends un bébé, mon bonhomme, tu
pourras passer devant, fit une bonne femme, propriétaire de deux
nourrissons. -Ah, bordel... Je suis bien obligé. Combien que ça coûte ?
-C'est partout le même prix, quatre mille... " Panteleïmon Romanov est
un des rares écrivains russes à avoir créé une gamme aussi étendue de
perceptions et de sentiments. Il manie avec une étonnante perfection
différents styles d'écriture : parfois on croit reconnaître Anton
Tchekhov dans ses descriptions de la nature, des amours impossibles, parfois l'humour grinçant de Mikhaïl Zochtchenko dans les petites scènes de la vie quotidienne, à la gare, dans une file d'attente, devant une boutique vide... Les nouvelles de Panteleïmon Romanov, " Chroniques de la
Russie des années vingt ", drôles ou tragiques, mais à l'ironie toujours
mordante et à l'humour dévastateur, sont unies par le même thème :
l'ambiance des années vingt en Russie. Elles reflètent l 'époque du "
communisme de guerre " et celle de la NEP (Nouvelle Economie Politique).
Ces nouvelles forment la suite naturelle du premier recueil " Des gens sans importance " qui nous avait fait découvrir une œuvre fondée sur l'observation tendre et subtile des " petites gens ". " Des gens désenchantés " nous font retrouver Romanov le sceptique et des personnages pas plus radieux, plus sombres même. Plus féroces aussi, mais de cette férocité des pauvres à vouloir vivre. Pas des héros, pas encore des victimes mais des
gens simples qui vont se trouver confrontés à une réalité où, l'absurde
se transforme peu à peu en oppression rampante, puis en terreur. Mais la
tendresse et l'humour auxquels Romanov nous a habitués, tamisent tes
éclairages trop violents. Avec la force étonnante d'un observateur
perspicace, ironique et lucide Romanov pratique ici l'art du portrait :
l'âme humaine est mise à nu, examinée scrupuleusement au prisme du
changement que connaît la Russie après ta révolution.