La route de la soie était un réseau de routes commerciales entre l'Asie et l'Europe allant de Chang'an (actuelle Xi'an) en Chine jusqu’à Antioche, en Syrie médiévale. Elle doit son nom à la plus précieuse marchandise qui y transitait : la soie, dont seuls les Chinois connaissaient le secret de fabrication.
La Femme, cette Divine Figure par Jean-Baptiste VALADIE
Jean-Baptiste
VALADIE est né le 29/12/33 et est diplômé des Arts Appliqués. Sa
passion des voyages l'emmène depuis 1970 aux quatre coins du monde,
et il expose régulièrement en Australie, Nouvelle Zélande, Afrique du
Sud, Japon en plus de la France et de l'Europe.
Il y a des canards qui parlent anglais Je leur donne du pain, ils remuent leur derrière En me disant « Thank you very much, Monsieur Trenet » On y voit aussi des statues Qui se tiennent tranquilles tout le jour, dit-on Mais moi, je sais que, dès la nuit venue, Elles s'en vont danser sur le gazon Papa, c'est un jardin extraordinaire: Il y a des oiseaux qui tiennent un buffet Ils vendent du grain, des petits morceaux de gruyère Comme clients ils ont Monsieur le maire et le Sous-Préfet
Il fallait bien trouver, dans cette grande ville maussade Où les touristes s'ennuient au fond de leurs autocars, Il fallait bien trouver un lieu pour la promenade J'avoue que ce samedi-là je suis entré par hasard... Dans, dans, dans...
Un jardin extraordinaire, Loin des noirs buildings et des passages cloutés Y avait un bal que donnaient des primevères Dans un coin de verdure, les petites grenouilles chantaient Une chanson pour saluer la lune Dès que celle-ci parut, toute rose d'émotion, Elles entonnèrent, je crois, la valse brune Une vieille chouette me dit: « Quelle distraction ! » Maman, dans ce jardin extraordinaire, Je vis soudain passer la plus belle des filles Elle vint près de moi, et là me dit sans manières: « Vous me plaisez beaucoup, j'aime les hommes dont les yeux brillent ! »
Il fallait bien trouver, dans cette grande ville perverse, Une gentille amourette, un petit flirt de vingt ans Qui me fasse oublier que l'amour est un commerce Dans les bars de la cité, Oui, mais oui mais pas dans... Dans, dans, dans...
Mon jardin extraordinaire Un ange du Bizarre, un agent nous dit: « Etendez-vous sur la verte bruyère, Je vous jouerai du luth pendant que vous serez réunis » Cet agent était un grand poète Mais nous préférions, Artémise et moi, La douceur d'une couchette secrète Qu'elle me fit découvrir au fond du bois Poir ceux qui veulent savoir où le jardin se trouve, Il est, vous le voyez, au coeur de ma chanson J'y vole parfois quand un chagrin m'éprouve Il suffit pour ça d'un peu d'imagination ! Il suffit pour ça d'un peu d'imagination ! Il suffit pour ça d'un peu d'imagination
Pondichéry:
Il reste encore de nombreuses traces de la présence française dans les
vieux quartier de Pondichéry... Lors de la reprise par les autorités
indiennes, plus de 10 000 indiens ayant la double nationalité sont venus
s'installer en France.
Jean-Léon Gérôme s'est souvent représenté dans ses propres tableaux en train de sculpter (Le travail du marbre, 1895, Autoportrait peignant la joueuse de boule, 1901-1902). Il existe également un certain nombre de photographies où il se met en scène devant ses propres œuvres.
Les cloches de Lisbonne Au matin, quand c'est dimanche Se souviennent encore En voyant les voiles blanches Qu'elles sonnaient autrefois Quand un marin du Roi Quittait la rade immense Et que, les larmes aux yeux, Il entendait l'adieu Des cloches de Lisbonne
Les barques dans le port Font des rêves de caravelles Un jeune matelot Les yeux clos Sourit aux anges Il voit le drapeau d'or Des vieux conquistadors Le frôler de son aile La grande voile frissonne Et c'est pour lui que sonnent Les cloches de Lisbonne
Les pigeons bleus des églises Nichés au creux des clochers Soudain se sont réveillés Et vont tournoyer Dans les pierres grises Sous le ciel clair et tranquille D'un beau printemps portugais La chanson des campaniles Montant sur la ville Fait comme un bouquet
Les cloches de Lisbonne Au matin, quand c'est dimanche Se souviennent encore En voyant les voiles blanches Qu'elles sonnaient autrefois Quand un marin du Roi Rapportait dans ses cales Des horizons nouveaux Salués par l'écho Des cloches de Lisbonne Le jeune matelot, Les yeux clos, Sourit encore Il voit le Roi, la Cour, Les velours Multicolores Une infante aux yeux noirs Lui paye d'un regard Les mondes qu'il apporte Sa tête tourbillonne Et c'est pour lui que sonnent Les cloches de Lisbonne !
Dans
le village des chasseurs de miel Irulas, nous rencontrons Then Mari, 62
ans. Depuis 40 ans, il escalade les falaises pour y cueillir le
miel.Reportage de11 minutes d'images sublimes.