Le véritable auteur de ce livre est Christophe, guide et instructeur de
Jacques et Janette, depuis l'Au-delà. Comme vous pourrez le découvrir,
ils n'auraient jamais pu sans l'aide de cette âme de Lumière et d'Amour,
aller si loin et si haut. Jamais seul... plus jamais triste, est un
message offert à tous. Il informe, il émerveille, il donne la joie
d'exister. Il invite à se changer soi-même pour faire mieux et
autrement, tout en pensant aux autres. Qui que vous soyez, quelles que
soient vos croyances, cet ouvrage, écrit avec cœur et avec joie, est un
guide lumineux. "La lumière que tu mets dans ce livre va vers le monde
et ne s'éteindra jamais..." Message de Christophe aux auteurs.
Ce livre est un manuel de préparation à la vie dans l'au-delà qui
enseigne aussi comment aborder positivement chacune des étapes de la
vie. Après sa mort, Arthur Ford a poursuivi dans l'au-delà ses études du
phénomène de la mort et de la dynamique du changement. Il nous explique
ici tous les secrets permettant d'aborder les transitions de la vie et
de la mort du corps physique avec intelligence et sérénité.
La Mongolie ? Un pays fascinant, grand comme trois fois la France, mais
encore trop peu connu des Occidentaux. Il faut relire l'histoire
prodigieuse de l'empereur Gengis-khan et de sa dynastie qui firent
trembler l'Europe au XIIIe siècle, découvrir la civilisation des
éleveurs nomades de la Haute Asie, contempler les paysages verdoyants de
la steppe et les étendues semi-désertiques du Gobi, se laisser inviter
sous la yourte, s'imprégner de la ferveur des moines bouddhistes : oui,
il faut un peu de tout cela pour tomber sous le charme de la Mongolie et
se laisser séduire et entraîner au rêve et au voyage. Émancipée
successivement de ses puissants voisins - la Chine en 1911 et la Russie
en 1990 -, la République mongole connaît actuellement de profondes
mutations sociales, politiques et économiques. A ce titre aussi, elle
suscite l'intérêt et ouvre des perspectives nouvelles. L'auteur, qui se
passionne pour la Mongolie depuis plus de vingt ans et dont les deux
premiers ouvrages sur ce sujet (1986, 1999) sont épuisés, porte ici un
regard neuf et toujours pertinent sur son pays et son peuple de
prédilection. Dans un style sobre, agréable à lire, elle nous communique
à la fois ses connaissances et son enthousiasme.
Pour la première fois, un ouvrage collectif destiné à un public
francophone examine la question méconnue des " Etats fragiles " qui,
tout en s'imposant dans les relations internationales, reste souvent
confondue avec les concepts plus datés " d'Etat effondré " ou " d'Etat
failli ". La fin de la guerre froide s'est accompagnée d'un nouveau
désordre international. Le concept " d'État fragile ", malgré son flou
et ses limites, permet d'explorer des pistes nouvelles sur le rôle-clé
de l'Etat dans ses fonctions régulatrices et stabilisatrices,
réhabilitées après deux décennies de dérégulation politique et
économique. Derrière les appareils étatiques se cachent aussi des
sociétés fragiles, incapables de faire face aux défis de la
globalisation et qui souffrent de la diffusion des " maux publics
mondiaux " (trafics d'armes, de drogue, de matières premières...). La
solidarité internationale prend alors un sens nouveau, dépassant ses
missions classiques de développement économique ou de lutte conte la
pauvreté. Ce livre pluridisciplinaire rassemble des contributeurs venus
d'horizons très divers, soulignant la complexité de ce nouveau champ de
la réflexion et de l'action internationales, au croisement de l'après 11
septembre et d'évolutions théoriques fondamentales sur les liens entre "
sécurité " et développement. Elle illustre aussi l'intensité du débat
international qui ne peut être laissé au monopole de la pensée des
seules universités et " think tanks " anglo-saxons, aussi riche soit
leur contribution. Cet ouvrage n'est donc pas une nouvelle tentative
pour définir des méthodes qui permettraient de réorganiser les Etats
selon des modèles standards, imposés de l'extérieur. L'échec de l'Irak,
comme les difficultés rencontrées en Afghanistan ou en République
démocratique du Congo, sont là pour montrer les limites de cette
approche. Il insiste au contraire sur la diversité des solutions et la
nécessité de s'appuyer sur les ressources des acteurs locaux pour les
aider à construire leurs propres modèles de gouvernance. Son objet
principal est bien de favoriser le passage de la recherche à l'action,
dans l'intérêt commun des populations et des administrations des pays
partenaires comme des praticiens du développement.
Pourquoi " les " guerres d'Indochine ? L'Indochine Française, colonisée
au XXe siècle, sous la IIIe République, connaît, à partir de la Seconde
Guerre mondiale, de violents conflits aux répercussions internationales.
Elle est successivement le théâtre d'une guerre de " décolonisation "
avec Ho Chi Minh, qui se termine en 1954 par le départ des français et
la vietnamisation du pays; puis celui d'affrontements idéologiques entre
Américains et Soviétiques, marqués par l'enlisement américain et
l'abandon du Vietnam du Sud en 1975; enfin, avec l'occupation du
Cambodge par le Vietnam, l'Indochine devient un enjeu idéologique et
stratégique entre Soviétiques et Chinois. Cette étude permet de retracer
près de 50 ans de conflits et d'instabilité dans une région de l'Asie
qui semble enfin arriver au seuil d'une ère de paix et de
reconstruction.
Au soir du 1er décembre 1934 -jour de l'assassinat du chef du Parti de
Léningrad, Sergueï Kirov -, Staline ordonne d'élargir et d'accélérer la
répression de tous les suspects de " préparation d'actes terroristes ".
Le signal de la plus gigantesque répression policière du XXe siècle est
donné. Pendant quatre ans, des milliers de responsables du régime
soviétique vont être arrêtés, emprisonnés et souvent exécutés. La
liquidation de tous les anciens opposants à Staline va s'étendre, par
cercles concentriques, à la majeure partie des cadres dirigeants. Les
accusés, soumis à des procès publics, avoueront unanimement les crimes
les plus abominables et les plus invraisemblables. Une fraction notable
de l'opinion internationale-quant à elle se cantonnera dans une
expectative prudente, voire s'aveuglera sur ces mascarades judiciaires.
Nicolas Werth retrace ici, parallèlement au récit mouvementé des "
grands procès ", la genèse et la dynamique de ce moment paroxystique de
la logique totalitaire. Il le fait en tenant compte des données
nouvelles et des discussions historiques récentes. Au-delà des banalités
sur le culte de Staline ou des généralités sur le totalitarisme,
l'auteur apporte des clefs d'interprétation qui permettent de mieux
cerner cette période tragique.
Un village connu pour ses miracles, Canindé, État du Cearà dans le
Nordeste au Brésil. Un étranger portant une valise légère descend de
l'autobus. Il ne restera pas longtemps. Il sait qu'ici les morts ne sont
pas enterrés dans un cercueil, mais dans le hamac dans lequel ils ont
dormi toutes les nuits de leur vie. Le cortège funèbre auquel il
assistera va le surprendre. Dans une caissette blanche au bord du
trottoir gît une petite fille entourée de ses parents qui posent pour
la dernière photographie. À partir de cette rencontre insolite, démarre
le voyage réel et imaginaire de l'étranger qui aide la petite Fatima à
sortir du linceul pour l'accompagner le long du parcours de sa vie non
vécue.