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mardi 23 août 2011
lundi 22 août 2011
Mon interprétation de "Histoire d'un Amour" !
Mon interprétation de "Histoire d'un Amour !"
Cliquer pour écouter:
Ma complainte c'est la plainte de deux cœurs
Un roman comme tant d'autres
Qui pourrait etre le votre
Gens d'ici ou bien d'ailleurs
C'est la flamme qui enflamme sans bruler
C'est le reve que l'on reve sans dormir
Comme un arbre qui se dresse
Plein de force et de tendresse
Vers le jour qui va venir
{Refrain:}
C'est l'histoire d'un amour, éternel et banal
Qui apporte chaque jour tout le bien tout le mal
Avec l'heure où l'on s'enlace, celle où l'on se dit adieu
Avec les soirees d'angoisse et les matins merveilleux
Mon histoire c'est l'histoire qu'on connait
Ceux qui s'aiment jouent la même je le sais
Et tragique ou bien profonde
C'est la seule chanson du monde
Qui ne finira jamais.
C'est l'histoire d'un amour
Qui apporte chaque jour tout le bien tout le mal
Avec l'heure ou l'on s'enlace celle ou l'on se dit adieux
Avec des soirées d'angoisse et les matins merveilleux
Mon histoire c'est l'histoire qu'on connaît
Ceux qui s'aiment jouent la même je le sais
Mais naïve ou bien profonde
C'est la seule chanson du monde
Qui ne finira jamais
C'est l'histoire d'un amour
Mon interprétation de "les 3 cloches" !
Mon interprétation de "les 3 cloches"
Cliquer pour écouter:
comme égaré, presqu'ignoré.
Voici qu'en la nuit étoilée
un nouveau-né nous est donné.
Jean-François Nicot il se nomme.
Il est joufflu, tendre et rosé.
A l'église, beau petit homme,
demain tu seras baptisé.
Une cloche sonne, sonne.
Sa voix, d'écho en écho,
dit au monde qui s'étonne:
"C'est pour Jean-François Nicot.
C'est pour accueillir une âme,
une fleur qui s'ouvre au jour,
à peine, à peine une flamme
encore faible qui réclame
protection, tendresse, amour."
Village au fond de la vallée,
loin des chemins, loin des humains.
Voici qu'après dix-neuf années,
cœur en émoi, le Jean-François
prend pour femme la douce Elise,
blanche comme fleur de pommier.
Devant Dieu, dans la vieille église,
ce jour, ils se sont mariés.
Toutes les cloches sonnent, sonnent,
Leurs voix, d'écho en écho,
merveilleusement couronnent
la noce à François Nicot.
"Un seul cœur, une seule âme",
dit le prêtre, "et, pour toujours,
soyez une pure flamme
qui s'élève et qui proclame
la grandeur de votre amour."
Village au fond de la vallée.
Des jours, des nuits, le temps a fui.
Voici qu'en la nuit étoilée,
un cœur s'endort, François est mort,
car toute chair est comme l'herbe,
elle est comme la fleur des champs.
Epis, fruits mûrs, bouquets et gerbes,
hélas! vont en se desséchant...
Une cloche sonne, sonne,
elle chante dans le vent.
Obsédante et monotone,
elle redit aux vivants:
"Ne tremblez pas, cœurs fidèles,
Dieu vous fera signe un jour.
Vous trouverez sous son aile
avec la vie éternelle
l'éternité de l'amour."
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