DICKENS Charles – Livres Audio
DICKENS, Charles – Les Papiers Posthumes Du Pickwick Club (Livre 02)
« Dans Les Papiers posthumes du Pickwick Club, la récurrence des fantômes, des incidents terrifiants ou simplement grotesques, surtout dans les récits intercalés, témoigne du désir de l’auteur « d’envoyer des frissons dans le dos à ses lecteurs et de les faire en même temps se tordre de rire ».
La palme comique revient sans doute à la création de deux personnages extraordinaires dans Les Papiers posthumes du Pickwick Club, Mr Jingle et Sam Weller. Jingle est le champion du degré zéro de l’éloquence, sa syntaxe réduite à un empilement spartiate de mots cocasses mais redoutablement dramatiques, « langage télégraphique tintinnabulant comme son nom » : « éprouvé, à bout, petite boîte, bientôt, tas d’os, rapport police, fausses conclusions, tirer le rideau ». Quant à Sam Weller, outre son sens comique de la répartie, il pratique l’art du proverbe détourné, perverti ou forgé, d’où cet intarissable florilège d’aphorismes commentant chaque événement de façon incongrue mais essentielle.
Grâce à Mr Pickwick et à son club on se délecte des conventions sociales d’un certaine Angleterre. Ce roman satirique, où l’absurde se fait poésie, est un chef d’oeuvre d’humour ! » (Wikipédia)
Traduction : Pierre Grollier (18?-18?).
DICKENS, Charles – Les Papiers Posthumes Du Pickwick Club (Livre 01)
Les Papiers posthumes du Pickwick Club est le premier roman de Charles Dickens (1812-1870). D’abord publié en feuilleton de mars 1836 à novembre 1837, The Pickwick Papers connaît un succès quasi immédiat. Le premier numéro paraît à environ 400 exemplaires ; à la fin, le tirage s’élève à 40.000. Ainsi, comme il est dit dans l’un des premiers comptes rendus, Charles Dickens s’est trouvé « catapulté vers la gloire comme une fusée » et l’ouvrage est resté à la première place dans le cœur des lecteurs de Dickens pendant de nombreuses décennies.
En France, il a paru pour la première fois en 1871 sous forme de feuillets illustrés, sous le titre : Les Aventures de Monsieur Pickwick.
Traduction : Pierre Grollier (18?-18?).
DICKENS, Charles – Bleak House
Donneur de voix : André Rannou | Durée : 32h 22min | Genre : Romans
Ce roman, l’un des plus ambitieux de Charles Dickens, relate l’histoire de quelques membres de la famille Jarndyce, qui se livrent une bataille juridique interminable à propos d’une fortune ayant fait l’objet de plusieurs testaments contradictoires. Les lois anglaises de l’époque sont si compliquées et le procès dure si longtemps que lorsqu’un jugement est enfin attendu, aucun d’entre eux n’hérite du moindre penny, toute la succession ayant été absorbée par les frais de justice.
Ce roman est à la fois une satire féroce, où le comique côtoie sans cesse le tragique, d’une société foncièrement corrompue, et un thriller, un peu à la manière de Wilkie Collins, futur auteur de La Femme en blanc, et grand ami de Dickens. Le récit est écrit tour à tour par deux narrateurs : l’héroïne, Esther Summerson, – dont le mystère de la naissance nous est dévoilé de manière très progressive – s’exprimant à la première personne, et un narrateur omniscient parlant à la troisième personne.
« Bleak House » désigne la maison qui est au centre de l’action et veut dire littéralement « Maison austère, morne, désolée». « Dame Durden », terme d’affection utilisé par les proches d’Esther Summerson, est un sobriquet emprunté à une vieille ballade où elle désigne une bonne ménagère. Wat Tyler fut le meneur de la Révolte des Paysans de 1381, qui sous le règne de Richard II mit à sac une partie de Londres, et ce nom évoque des idées de chaos social et d’anarchie.
Traduction : Henriette Loreau (1857).
DICKENS, Charles – Les Grandes Espérances (Livre Premier)
Philip Pirrip, dit « Pip », orphelin élevé par sa sœur et le mari de celle-ci, un homme très bon, le forgeron Joe Gargery, se rend un jour au cimetière visiter ses parents. C’est là que se produit un événement qui changera son existence : il aide un forçat évadé à se débarrasser de ses chaînes…
Traduction : Charles Bernard-Derosne (1825-1904)
HOMMAGE À Milunisu
C’est avec une vive émotion que nous venons d’apprendre la disparition de notre ami Milunisu. Nous partageons la douleur de sa famille et vous proposons de lui rendre hommage en retrouvant les magnifiques livres audio qu’il a eu la générosité d’enregistrer pour nous.
- BUCHAN, John – Les Trente-Neuf Marches
- ITARD, Jean – Rapports sur L’enfant sauvage de l’Aveyron
- MAUPASSANT, Guy (de) – Deux Contes cruels
- MAUPASSANT, Guy (de) – Les Dimanches d’un bourgeois de Paris
- MAUPASSANT, Guy (de) – Le Gâteau
- MAUPASSANT, Guy (de) – La Farce
- MAUPASSANT, Guy (de) – La Femme de Paul
- MAUPASSANT, Guy (de) – L’Inutile Beauté
- MAUPASSANT, Guy (de) – Mademoiselle Perle
- MAUPASSANT, Guy (de) – La Nuit
- MAUPASSANT, Guy (de) – Les Tombales
- MAUPASSANT, Guy (de) – Sur l’eau
- MAUPASSANT, Guy (de) – Sur l’eau (Journal de bord)
- MIRBEAU, Octave – Agronomie- MIRBEAU, Octave – Les Bouches inutiles
- MIRBEAU, Octave – Un homme sensible
- MIRBEAU, Octave – La Mort du père Dugué
- ITARD, Jean – Rapports sur L’enfant sauvage de l’Aveyron
- MAUPASSANT, Guy (de) – Deux Contes cruels
- MAUPASSANT, Guy (de) – Les Dimanches d’un bourgeois de Paris
- MAUPASSANT, Guy (de) – Le Gâteau
- MAUPASSANT, Guy (de) – La Farce
- MAUPASSANT, Guy (de) – La Femme de Paul
- MAUPASSANT, Guy (de) – L’Inutile Beauté
- MAUPASSANT, Guy (de) – Mademoiselle Perle
- MAUPASSANT, Guy (de) – La Nuit
- MAUPASSANT, Guy (de) – Les Tombales
- MAUPASSANT, Guy (de) – Sur l’eau
- MAUPASSANT, Guy (de) – Sur l’eau (Journal de bord)
- MIRBEAU, Octave – Agronomie- MIRBEAU, Octave – Les Bouches inutiles
- MIRBEAU, Octave – Un homme sensible
- MIRBEAU, Octave – La Mort du père Dugué
Participations :
- BALZAC, Honoré (de) – Mémoires de deux jeunes mariées
- DICKENS, Charles – Contes
- MOLIÈRE – L’Avare
- SÉGUR, Comtesse (de) – François le Bossu
- SÉGUR, Comtesse (de) – Le Mauvais Génie- SÉGUR, Comtesse (de) – Quel amour d’enfant !
- DICKENS, Charles – Contes
- MOLIÈRE – L’Avare
- SÉGUR, Comtesse (de) – François le Bossu
- SÉGUR, Comtesse (de) – Le Mauvais Génie- SÉGUR, Comtesse (de) – Quel amour d’enfant !
DICKENS, Charles – Le Magasin D’antiquités (Tome Deuxième)
Donneuse de voix : Christine Sétrin | Durée : 16h 20min | Genre : Romans
Où leur errance va-t-elle mener Nelly et son grand-père ? Qui est donc ce mystérieux gentleman qui semble s’intéresser aux fugitifs ? Comment le brave Kit sera-t-il accueilli chez ses nouveaux maîtres ? L’affreux Daniel Quilp arrivera-t-il à ses fins ? Que deviendront Frédéric Trent, Dick Swiveller, Sampson et Sally Brass ?
Autant de questions restées sans réponse à la fin du premier tome du Magasin d’antiquités…
Traduction : Alfred Des Essarts (1811-1893).
Illustration : Fred Barnard (1846-1896), Little Nell and Her Grandfather.
DICKENS, Charles – Le Magasin D’antiquités (Tome Premier)
Donneuse de voix : Christine Sétrin | Durée : 16h 6min | Genre : Romans
La petite Nelly vit seule avec son grand-père à Londres dans une mystérieuse vieille maison de Londres, dont le rez-de chaussée est occupé par un magasin d’antiquités. Pourquoi cette étrange situation ? Qui sont-ils ? Pourquoi le vieillard s’absente-t-il toutes les nuits, laissant Nelly toute seule parmi ces objets sinistres et bizarres ? Le mystère plane… Bientôt une partie du secret va se dévoiler, lançant l’enfant et son grand-père sur les routes d’Angleterre, dans une longue et douloureuse errance peuplée de personnages plus pittoresques les uns que les autres : des « méchants », bien sûr, qui s’imaginent que les fuyards sont recherchés par une riche famille et espèrent bien profiter de la situation, mais il y a aussi des amis qui aideront Nelly et le vieillard tout au long de leur périple…
Adapté de nombreuses fois pour le cinéma et la télévision, Le Magasin d’antiquités fut publié par Charles Dickens pour la première fois dans son éphémère revue L’Horloge de Maître Humphrey entre 1840 et 1841, et traduit en français en 1876. Le dénouement de ce feuilleton, qui sera publié ici dans quelques semaines, suscita de vives réactions parmi les lecteurs qui, par milliers, écrivirent à Dickens des lettres enflammées.
Nous n’en dirons pas plus pour ne pas dévoiler l’intrigue…
Nous n’en dirons pas plus pour ne pas dévoiler l’intrigue…
Traduction : Alfred Des Essarts (1811-1893).
Illustration : Fred Barnard (1846-1896), Little Nell and Her Grandfather.
DICKENS, Charles – Contes
Donneurs de voix : Projet collectif | Durée : 8h 10min | Genre : Contes
La plupart des romans de Charles Dickens, dont Littérature audio.com fête aujourd’hui le bicentenaire de la naissance, furent initialement publiés sous forme de feuilletons dans différentes revues, certaines entièrement écrites de sa main. C’est le cas par exemple de Master Humphrey’s Clock, revue hebdomadaire publiée entre 1840 et 1841, dans laquelle Maître Humphrey se raconte et évoque le cercle de ses amis, parmi lesquels Mr. Pickwick. Les histoires de Maître Humphrey, présentées aujourd’hui dans le conte intitulé L’Horloge de Maître Humphrey, consistent en une sorte de canevas qui servit de cadre pour la première publication de deux grands romans : Le Magasin d’Antiquités et Barnaby Rudge.
Les autres contes de ce recueil furent pour la plupart publiés dans d’autres revues et sont autant d’incursions dans le monde de Dickens : celui des petites gens, des bas-fonds de Londres, des escrocs et des policiers, bien sûr, mais encore du rêve, du fantastique et de la poésie…
Traduction : Robert de Cerisy (1888).
Illustration : Frontispice du Tome 2 de Master Humphrey’s Clock, édité par Chapman and Hall, 1841.