LAGERLÖF Selma – Livres Audio
LAGERLÖF, Selma – Le Roman D’une Femme De Pêcheur
Donneur de voix : René Depasse | Durée : 25min | Genre : Nouvelles
La courte nouvelle Le Roman d’une femme de pêcheur, traduite par André Bellessort (1862-1942), de la grande romancière suédoise Selma Lagerlöf raconte l’existence misérable de la norvégienne Astrid, victime de celui qui, pour l’épouser, s’était fait passer pour un homme riche. Après la mort de son mari les malheurs ont continué de l’accabler…
Le récit se termine par une morale :
« Elle ne savait pas pourquoi elle vivait. Si du moins elle avait rendu un seul être heureux ou meilleur…
Jamais elle ne se dit que celle qui regarde sa vie comme manquée, parce qu’elle n’a fait du bien à aucune créature humaine, a peut-être, par cette humble pensée, sauvé son âme. »
Le récit se termine par une morale :
« Elle ne savait pas pourquoi elle vivait. Si du moins elle avait rendu un seul être heureux ou meilleur…
Jamais elle ne se dit que celle qui regarde sa vie comme manquée, parce qu’elle n’a fait du bien à aucune créature humaine, a peut-être, par cette humble pensée, sauvé son âme. »
LAGERLÖF, Selma – Une Légende De Jérusalem
Selma Lagerlöf née dans le Värmland, en Suède le 20 novembre 1858 et morte le 16 mars 1940, est un écrivain suédois. En 1909, elle est la première femme à recevoir le Prix Nobel de littérature. (Source: Wikipédia)
Cette nouvelle ésotérique nous amène en Orient, nous parle des liens entre Christianisme et Islam et nous fait entrer dans le monde merveilleux de Selma Lagerlöf.
Traduction : Fritiof Palmér (1879-1916) pour les Éditions Perrin, 1910.
LAGERLÖF, Selma – Sigrid La Superbe
Selma Lagerlöf, née au manoir de Mårbacka dans le Värmland, en Suède le 20 novembre 1858 et morte le 16 mars 1940, est un écrivain suédois. Son œuvre la plus connue mondialement est Le Merveilleux Voyage de Nils Holgersson à travers la Suède (1906-1907). En 1909, elle est la première femme à recevoir le Prix Nobel de littérature.
Traduction anonyme pour la revue Le Mois littéraire et pittoresque (1910).
LAGERLÖF, Selma – La Fuite En Égypte – Hors La Loi
Donneur de voix : René Depasse | Durée : 40min | Genre : Nouvelles
Le 16 mars 1940 mourait une grande romancière suédoise Selma Lagerlöf, auteure de nombreux romans (dont le célèbre Merveilleux Voyage de Nils Holgersson à travers la Suède) et nouvelles traitant de la vie en Suède au début du vingtième siècle.
Pour célébrer cet anniversaire voici deux nouvelles de la première femme qui reçut le prix Nobel de littérature en 1909 et fut la première élue à l’Académie suédoise. Ses récits, traduits dans plus de quarante langues, à l’imagination naive et fantastique sont souvent nourris de traditions folkloriques.
Pour célébrer cet anniversaire voici deux nouvelles de la première femme qui reçut le prix Nobel de littérature en 1909 et fut la première élue à l’Académie suédoise. Ses récits, traduits dans plus de quarante langues, à l’imagination naive et fantastique sont souvent nourris de traditions folkloriques.
L’arbre, par exemple, dans La Fuite en Égypte, parle volontiers tout seul : « Et le palmier, qui avait la vue longue, comme c’est l’ordinaire chez les vieillards, le palmier avait bien vu. Sur son bras, la femme portait un enfant qui dormait la tête appuyée sur l’épaule de sa mère.
Et le pauvre enfant n’a pas même de vêtements pour le couvrir, continua le palmier. Je vois que la mère a quitté son jupon pour l’en envelopper. Elle l’a, en toute hâte, enlevé de son berceau et l’a emporté en courant. Je comprends tout maintenant : ce sont des fugitifs.
Mais ce n’en sont pas moins des insensés, poursuivit le palmier. S’ils n’ont pas un ange pour les protéger, il eût mieux valu pour eux s’abandonner à la fureur de leurs ennemis que de s’enfuir au disert. »
Et le pauvre enfant n’a pas même de vêtements pour le couvrir, continua le palmier. Je vois que la mère a quitté son jupon pour l’en envelopper. Elle l’a, en toute hâte, enlevé de son berceau et l’a emporté en courant. Je comprends tout maintenant : ce sont des fugitifs.
Mais ce n’en sont pas moins des insensés, poursuivit le palmier. S’ils n’ont pas un ange pour les protéger, il eût mieux valu pour eux s’abandonner à la fureur de leurs ennemis que de s’enfuir au disert. »
Traductions anonymes pour les revues La Revue politique et littéraire (La Fuite en Égypte, 1901) et Touche à tout (Hors la loi, 1908).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire