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mercredi 23 novembre 2016

Mühlenhof Musikanten - Dat noch in hundert Johren !

Mühlenhof Musikanten - Dat noch in hundert Johren





La guerre de Corée: 1950-1953 - Ivan CADEAU !

           La guerre de Corée: 1950-1953          

La guerre de Corée est surnommée la " guerre oubliée ". Ce conflit qui se déroule aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale et précède de quelques années la guerre du Vietnam reste largement méconnu, alors qu'il compte parmi les plus meurtriers du XXe siècle. Pour la première fois, Ivan Cadeau raconte sa genèse et son histoire en s'appuyant sur des archives inédites et sur une abondante bibliographie internationale.
Après avoir présenté les fractures de la société coréenne et la division du pays à hauteur du 38e parallèle, il raconte l'invasion, le 25 juin 1950, de la Corée du Sud par sa voisine communiste du Nord. L'intervention de l'ONU sous l'égide de MacArthur transforme cette guerre civile en conflit international où s'affrontent directement les États-Unis, l'Union soviétique et la Chine communiste, menaçant le monde d'un nouveau cataclysme nucléaire. 




Indochine 1946-1954 - Patrice GELINET !

                    Indochine 1946-1954                  

En 1954, se terminait la première et la plus oubliée des guerres coloniales françaises. Soixante ans plus tard, en voici l'histoire, racontée par ceux qui l'ont faite. Un récit passionnant qui se lit comme un roman et rassemble des témoignages exceptionnels recueillis dans les deux camps. Patrice Gélinet, une des grandes voix des émissions historiques de Radio France nous offre, avec ce texte au plus près des faits, une magnifique histoire à hauteur d'homme.
La colonisation par la France de l'Indochine (Vietnam, Cambodge, Laos) fut tardive. Elle marqua l'avènement de la IIIème République triomphante et fut le cauchemar de la IVème République de l'après-guerre. Cette longue guerre coloniale fut à la fois un des premiers conflits révolutionnaires moderne, un moment-clé de l'affrontement Ets-Ouest et un chapitre très lourd de l'histoire de la France.




Mourir en Indochine - Daniel Guillot !

 Mourir en IndochineLettres d'un jeune officier français 


Ce livre est un recueil de lettres écrites par un jeune officier français, Daniel Guillot, et recueillies par son neveu. Reçu à Saint-Cyr en 1941, ce jeune capitaine est mort pour la France en Indochine, en 1951, à 30 ans. 
 Les lettres décrivent les épisodes peu connus du début de cette guerre. Parce que l’Indochine était le pays de son enfance et l’extrême-Orient le berceau de sa famille, elles apportent un regard nouveau et inédit sur les événements de l’époque, tout empreint d’une sensibilité particulière. Ce ne sont pas des récits de combats mais plutôt l’itinéraire psychologique d’un jeune officier français fondamentalement patriote qui perd peu à peu ses certitudes traditionalistes et quelque peu colonialistes, pour exprimer ses désillusions et ses doutes.
 Un récit poignant, illustré de photographies et de documents d’époque qui nous font voyager dans le temps et dans l’espace et nous plongent dans un autre univers.




Adieu sergent - Georges Fleury !

                         Adieu sergent                        

Dien Bien Phu ! La mort plane, terrible, sur les tranchées débordant de boue sanglante, sur les avant-postes aux défenses écroulées, protégées par des hommes hâves, aux yeux fous, au courage indomptable. Dans la nuit qui vibre d'explosions et de hurlements de haine, les hordes viets déferlent en attaques suicides.
C'est dans cet enfer implacable, au-delà de l'humain, que René Collard, sergent du 1er B.P.C., est précipité la nuit du 3 mai 1954. Cet ancien de la Brigade Fabien, ce parachutiste intrépide et avide de combat, connaît tout de l'Indochine. La guerre est son univers et sa raison de vivre et de mourir.
Déluge d'artillerie lourde et guerriers moïs : avec des sarbacanes, atroces ravages du napalm et voyage fugace de l'opium. René Collard a vécu toutes ces outrances, tous les héroïsmes de cette guerre du monde. Il lui restera à connaître l'apocalypse Dien Bien Phu !

Adieu, sergent...




Le sous-off - Georges Fleury !

                           Le sous-off                           


Lucien Péréra, un solide adolescent lorrain, subit avec rage l'occupation allemande dès 1940. Il se bat à poings nus contre les collaborateurs en chemise brune qui sont les maîtres chez lui. Après une rixe, obligé de fuir vers le Sud, il participe à la création d'un maquis en Ardèche. Mûri par les combats, le jeune Péréra choisit, à la Libération, la carrière militaire et se bat en Indochine, où il mène un commando de partisans jusqu'à la défaite des armées françaises. Sous-officier plusieurs fois décoré, Lucien Péréra combat ensuite le F.L.N. et l'A.L.N. en Algérie, cette fois avec des soldats du contingent qu'il galvanise par son exemple. Devenu adjudant-chef, officier de la Légion d'honneur, médaillé militaire et onze fois cité au feu, l'ancien maquisard de 1943 refuse de passer officier. Il quitte l'Armée, où il demeure encore pour beaucoup l'exemple du "sous-off", le maillon essentiel des combats les plus durs.



Djebels en feu - Georges Fleury !

                         Djebels en feu                        

Novembre 1954. Une guerre qui ne porte pas encore son nom éclate en Algérie. Les commandos de la Marine, héritiers des bérets-verts du jour J, rentrent d'Indochine. Ils engagent jusqu'en 1962 un combat professionnel et sans haine contre la rébellion. Les plus jeunes d'entre eux meurent à moins de dix-huit ans.
Fer de lance des bataillons de fusiliers marins formés par Ponchardier jusqu'en 1959, les commandos combattent d'égal à égal les katibas de l'A.L.N. fraîchement infiltrées du Maroc. L'El Gaada d'Aflou, l'oued Mellal, le Goursifane, Ghassoul, Aïn Sefra, djebel Bou Amoud, Mekter, Bou Lherfad et M'Zi sont les mots clés de la longue litanie de leurs batailles.
Djebels en feu... La guerre de toute une génération, comme elle n'avait jamais été décrite.




Une longue marche - Albino Garrido !

Une longue marcheDe la répression franquiste aux camps français 


De la violence barbare de la guerre d'Espagne aux camps d’internement français, ce livre nous donne à parcourir une vie, une longue marche. À 81 ans, Albino Garrido retrace, dans des cahiers d’écolier, son parcours du camp de concentration de Castuera, d'où il s'évade en 1940, à ceux de Gurs et Argelès-sur-Mer. Au-delà du témoignage, rare et inédit, d'un évadé des camps franquistes, c'est toute une vie, de l'enfance aux guerres vécues et subies, puis à la paix, que nous offre à lire Albino Garrido. Il raconte les batailles, les exécutions, les camps, l’errance, la prison et l’exil... mais aussi l’engagement, l’espoir, l'entraide et finalement la liberté et la paix. Un livre poignant qui rappelle que la mémoire reste le matériau fondamental de l’histoire.



Fusillé vivant - Odette Hardy-Hémery !

 Fusillé vivantL'histoire fabuleuse de François Waterlot, ouvrier des mines, exécuté pour l'exemple en 1914, survivant, mort au combat 


Le 7 septembre 1914, sept réservistes appartenant au 327e régiment d'infanterie sont fusillés « pour l'exemple » sur ordre du général Boutegourd. L'un d'eux, François Waterlot, 27 ans, n'est pas touché mais feint de s'écrouler. Placé à une extrémité de la rangée, il est de nouveau épargné par le coup de grâce, commencé de l'autre côté. Laissé pour mort, le « fusillé » se relève et rejoint son régiment où, après avoir été gracié, il reprend le combat. Il périt au front le 10 juin 1915. Les historiens qui travaillent sur les fusillés de la Première Guerre mondiale ne mentionnent aucun autre cas de survivant d'une exécution. Unique à ce titre, l'histoire de Waterlot l'est aussi par les récits qu'il fait de son « aventure ». Infatigable épistolier, il écrit 250 lettres entre le 8 août 1914 et sa mort, l'année suivante. D'un trait à la fois concis et précis, il relate dans quatre d'entre elles l'exécution dont il a été à la fois acteur... et témoin. Odette Hardy-Hémery ne se contente pas de retracer heure par heure cette singulière histoire ni de resituer la biographie de chacune des victimes, qui seront toutes réhabilités en 1926. En en déroulant le fil, c'est la Grande Guerre elle-même qu'elle fait resurgir sous nos yeux, avec ses problématiques classiques ou nouvelles, à commencer par celles des « fusillés pour l'exemple » – qu'elle pose en termes inédits –, de la solidarité silencieuse mais sans faille des combattants et de l'impunité du commandement.



Votre fumée montera vers le ciel - Joseph Bialot !

         Votre fumée montera vers le ciel         


Joseph Bialot est l'un des rares Français à avoir vécu la libération d'Auschwitz. Entre le 18 janvier 1945, début de l'évacuation du camp et des marches de la mort, et le 27 janvier, date de l'arrivée des Soviétiques, la vie - ou la mort - de milliers de déportés s'est jouée en Haute-Silésie.
Entre le départ des SS et l'arrivée des libérateurs, les prisonniers de l'enceinte concentrationnaire ont vécu un purgatoire indéfinissable, jamais oublié et qui permet à l'auteur de raconter « sa » déportation, copie conforme de celle de millions d'autres hommes et femmes, depuis le jour de 1944 où, à vingt ans, courant sous la menace d'une rafale de mitrailleuse, il a « cessé de faire partie du monde normal » pour revêtir une nouvelle peau : celle du déporté...
Après « soixante-cinq ans de fausse résurrection », Joseph Bialot évoque les six mois qu'il a passé à Auschwitz, mais aussi le réapprentissage de la vie, d'abord à Cracovie puis à Paris et, dans un long avant-propos, la « prolifération d'autres feux » depuis le jour de 1945 où les crématoires se sont éteints...