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jeudi 21 mai 2015

Jean-Louis Guidez - Les Palombières de "Klaus" !

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Description

174 pages
Peu de romans ont été publiés sur le département du Lot-et-Garonne, verger de la France pour ses nombreuses productions légumières et fruitières dont le fameux pruneau d’Agen. Un pays particulièrement sensible aux calamités, inondations de Garonne, sécheresse, grêle, sans compter la tempête Klaus qui a dévasté sa forêt, prolongement de celle des Landes de Gascogne. Un département de traditions comme l’ancienne production de résine, de liège ou encore de tabac et resté attaché aux coutumes ancestrales comme la pêche des aloses en Garonne ou la chasse à la palombe.
C’est dans cet univers que s’inscrit Les palombières de Klaus. La tempête Klaus y sert de fil rouge à une intrigue quasi-policière qui permettra à l’ancien notaire Henri Castagnères de retrouver, et les secrets enfouis de sa naissance pendant l’Occupation et les tortionnaires de sa mère, 65 ans après les faits, grâce à un arbre, abattu par la tornade de janvier 2009. Lequel arbre de la palombière s’avérera diablement « généalogique »...
Un roman à suspense au cœur de la forêt de Gascogne.
Aujourd’hui journaliste honoraire, Jean-­Louis Guidez est à la fois attaché au Pas-de-Calais, son pays d’origine, celui des mineurs de fond, et ensuite à sa terre d’adoption où il a effectué une grande partie de sa carrière : le Lot­-et­-Garonne. Écrivain, il décrit les particularismes locaux et les traditions du Nord comme du Sud­-Ouest. Il livre ici sa vision du pays garonnais, dévasté en 2009 par une tempête hors-norme.


Charles Le Goffic - La Payse !

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Description

216 pages
Nommé en 1890 professeur au Havre, Charles Goffic y fait une double expérience : en Normandie il découvre les contrastes insoupçonnés qui existaient entre cette province et sa Bretagne pourtant toute proche : « Normandie et Bretagne qui se touchent sont l’une à l’autre plus étrangères que la Patagonie l’est du Kamtchakan ». Il y connaît cette « rupture révélatrice » qui fit prendre conscience à tant d’écrivains bretons de l’originalité et de la richesse de leur identité provinciale. D’autre part, ce séjour havrais le met en contact avec la colonie des Bretons émigrés — il n’hésite pas à parler d’exode — pour raison économique et qui y sont sans doute plus malheureux que s’ils étaient demeurés chez eux, car déracinés, ils perdent rapidement leur identité bretonne sans réussir à en acquérir une nouvelle.
Il trouve là la trame même de son roman La Payse : exil, déracinement et misère, voilà le fil conducteur de l’existence de la trégoroise Mône Lissillour, de son fiancé breton, émigré comme elle, Hervé Le Gall, et de son amant, chanteur de caf’conc’ sur le retour, alcoolique de surcroît, D’Arvennes. Mais si nous avons là le trio classique d’un vaudeville, c’est une histoire dramatique, qui nous est contée, avec en arrière-fond la crainte que la Bretagne, en s’ouvrant par trop aux modernités d’alors (le roman paraît en 1898), perde son identité et ce qui fait sa force et sa grandeur. Problématique d’ailleurs toujours d’actualité et que l’on peut facilement extrapoler...
Connu et reconnu pour ces recueils de contes traditionnels et de romans régionalistes, Charles Le Goffic (1863-1932) a su prouver un incomparable talent de « metteur en scène » de la Bretagne éternelle.


Edouard Guillon - Les guerres d'Espagne sous Napoléon Ier !

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Description

232 pages
Les guerres d’Espagne (et du Portugal), de 1808 à 1813 montrèrent les limites du génie militaire et politique de Napoléon Ier. C’est un livre passionnant car, finalement que sait-on de ces campagnes ? On s’intéresse peu en France à ces guerres où ne brillèrent pas particulièrement généraux et maréchaux d’Empire, plus rapaces et jaloux que bons chefs de guerre, et où Napoléon se trouva dérouté tant par les difficultés du terrain incompatible à son habileté manœuvrière que par la terrible réaction de rejet des populations.
C’était il y a à peine 200 ans et il est parfois bon de se remémorer de tels événements dont tous les “ingrédients”, hier comme aujourd’hui, peuvent faire la ruine des meilleures intentions comme des meilleures armées du monde...


Jullian Camille - Histoire de Bordeaux !

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Description

338 pages
Plus de 100 ans après la première édition de 1895, l’ouvrage de Camille Jullian reste bien la référence indispensable en matière d’histoire de la capitale de l’Aquitaine. Que ce soit pour le soin mis par l’historien à rendre au plus juste la vérité historique, en particulier dans la période communément dite “anglaise”, et que Camille Jullian appelle à juste titre “gasconne”, ou que ce soit pour l’iconographie particulièrement riche, « L’ » Histoire de Bordeaux est et restera encore longtemps la Bible de tout Bordelais, Aquitain ou Gascon voulant avoir une bonne, solide et incontestable connaissance de la vie et de l’histoire prestigieuse de sa ville ou de sa capitale régionale.
La présente édition entièrement recomposée et présentée en deux tomes permettra à tous de pouvoir accéder enfin à un ouvrage qui, jusqu’alors, n’avait connu d’autre édition que de luxe.


Paul Berret - Au pays des brûleurs de loups !

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Description

170 pages
S’il fut un spécialiste de l’œuvre de Victor Hugo, Paul Berret (1861- 1943) n’en oublia pas pour autant son pays natal dauphinois. Il publia ce Au pays des brûleurs de loups en 1904, lequel connut, tout au long de la première moitié du XXe siècle, un succès constant.
Alors laissez vous entraîner dans ces contes et légendes qui, d’une façon ou d’une autre, vous amènerons dans le passé du Dauphiné, proche ou lointain :
De l’affaire tragi-gastronomique du fameux repas de Saint-Marcellin lors des guerres de Religion à l’évocation légendaire de la première Dauphine, ou de la fameuse graille, cet oiseau maléfique qui fit, même mort, tant d’ombrage à la notoriété de M. de Saint-André, intendant du Dauphiné, aux amours impossibles de Djem, frère du Sultan, et de Philippine de Sassenage : entrez dans la ronde des contes et des légendes !...


Alexandre Dumas - Le Page du Duc de Savoie !

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Description

293 pages
L’histoire de ce roman historique peu connu d’Alexandre Dumas connaît une histoire mouvementée... et italo-française : La Maison de Savoie est une fresque historique retraçant l’épopée des ducs de Savoie (devenus successivement rois de Piémont-Sardaigne et rois d’Italie) du milieu du XVIe au milieu du XIXe siècle. Cette œuvre est commandée à Dumas par un éditeur de Turin et éditée sur place, en français et en italien, entre 1852 et 1856, sous ce titre et en 4 volumes soit plus de 2.000 pages !
Le page du duc de Savoie, qui retrace l’histoire mouvementée du duc Emmanuel-Philibert Ier et en occupe les deux premiers volumes, fait l’objet d’une publication séparée en France : d’abord en feuilleton journalistique puis en livre, en 1855. N’oublions pas que la Savoie est encore « terre étrangère » jusqu’à son « rattachement » à la France en 1860.
Dumas, dans ce roman historique, nous « promène » dans les coulisses de l’Europe des rois et des empereurs, — de François Ier et Henri II en passant par Charles Quint ou Philippe II — et de leurs étranges et sanglantes guerres dynastiques.
Il n’est nul besoin de présenter Alexandre Dumas (1802-1870) car depuis près de deux cents ans, ses œuvres romanesques n’ont cessé de connaître un succès que les médias audiovisuels : cinéma et télévision ont contribué à accroître et mondialiser à travers les diverses adaptations qui en ont été faites. Des Trois Mousquetaires en passant par Vingt Ans après, Le Comte de Monte-Cristo, La Tulipe Noire, les Compagnons de Jéhu, etc. les œuvres majeures, pourtant, occultent nombre de romans moins médiatiques mais tout aussi passionnants tels : les Louves de Machecoul, la San Felice, le Bâtard de Mauléon, les Deux Reines et tant d’autres...


Henri Queffélec - Un Homme d'Ouessant !

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Description

123 pages
Achevé d’écrire en 1952 et publié, pour la première fois en 1953, "Un Homme d’Ouessant", est le second des quelque neuf romans que le célèbre écrivain Henri Queffélec, né à Brest (1910-1992), consacre aux îles bretonnes.
Qui veut comprendre les îles bretonnes aujourd’hui ne peut faire l’impasse sur leur histoire et leur géographie si particulières. A ce titre, les meilleurs témoignages littéraires sur la vie dans ces petits mondes insulaires sous l’Ancien Régime et la Révolution nous sont offerts par ce grand connaisseur des « travailleurs de la mer » que fut Henri Queffélec.
Le personnage central du roman est un homme, Laurent Brenterch, connu sous le surnom de « Miserere », c’est un « Américain », qualificatif sous lequel on désigne les matelots vétérans de la guerre d’indépendance américaine (nous sommes en 1783). Riche de l’expérience de ses voyages, il va notamment chercher à améliorer les rendements des maigres cultures ouessantines [...] Miserere incarne dans sa personne toute la complexité des relations entre les îles de l’Armor et le continent, puisque les communautés insulaires acceptent les ressources fournies par la grande terre tout en rejetant un quelconque lien de sujétion. [...] Avec la minutie dont il est coutumier, Queffélec dépeint de façon réaliste cette société ouessantine des dernières années de l’Ancienne Monarchie — (extrait de l’avant-propos d’Eric Auphan, président de l’Association des Amis d’Henri Queffélec).
Un "homme d’Ouessant" s’inscrit parmi les grands romans insulaires français du XXe siècle. Il n’était plus disponible en édition de qualité depuis de nombreuses décennies, le voici à nouveau disponible, soixante ans tout juste après sa parution.


Charles Le Goffic - Les Bonnets Rouges !

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191 pages
En 1675, une partie importante de la Basse-Bretagne se révolte contre les nouveaux impôts décrétés par le ministre Colbert et le roi Louis XIV pour faire face aux ruineuses guerres que mène le Roi de France. L’administration royale ne s’embarasse pas de faire enregistrer ces nouvelles taxes — en particulier sur le papier timbré, le tabac, la vaisselle d’étain — par le Parlement de Bretagne ce qui amène à une nouvelle Fronde paysanne. Et quelque 100 ans avant la Révolution, les insurgés adoptent le bonnet phrigien rouge d’où leur vient leur surnom de Bonnets Rouges. Charles Le Goffic s’empare du sujet, en 1905, pour en faire un roman historique dans lequel se retrouvent les thèmes Bretagne, Etat français, religion, autonomisme, séparatisme, centralisation... Lesquels font écho à l’actualité de ce début de XXe siècle avec la séparation de l’Eglise et de l’Etat, l’interdiction de l’enseignement du catéchisme en breton ou la récente création de l’Union Régionaliste Bretonne... Voilà en tous les cas, un des épisodes importants de la prise de conscience de l’altérité bretonne mis en scène dans un passionnant roman historique au style toujours incomparable de l’auteur de l’Âme bretonne.
Connu et reconnu pour ces recueils de contes traditionnels et de romans régionalistes, Charles Le Goffic (1863-1932) a su prouver un incomparable talent de « metteur en scène » de la Bretagne éternelle.


Marcel Desvaux - La Petite guerre !

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Description

32 pages
En Bretagne, de 1940 à 1945, les enfants d'un petit village mènent leur petite guerre entre eux, loin et pourtant si près du fracas de l'autre... L'Occupation sous un regard à la fois drole et émouvant.
Extrait :
"– Ah, elle est belle l’armée française soupire Eric. Ça ne m’étonne pas qu’on se soit fait dégommer. Allez ouste, prends ce fusil et va monter la garde !
René-morve-au-nez, au bord des larmes, proteste de toutes ses forces :
– Ah non, je commence a en avoir marre, c’est toujours moi qui monte la garde.
Furieux, Eric se lève puis, se tournant :
– Adjudant Jacques, foutez-moi ce râleur en prison.
– Mais, c’est où la prison ?
– Démerdez-vous pour en trouver une.
Sur ces entrefaits Albert, le fils du boucher, qu’on attendait depuis une heure, entra brusquement dans la cabane.
– Qu’est-ce qui t’arrive, demande Eric ?
– Eh bien, je suis en retard c’est tout.
Il ouvrit son blouson anormalement gonflé et en sortit avec fierté un énorme saucisson qu’on brandit triomphalement.
– Ça, c’est mon retard !
– Où t’as fauché ça, fit Eric ?
– Chez moi pardi. Pas chez le fleuriste tu t’en doutes ! J’ai ouvert la glacière et j’ai pris ce qui me tombait sous la main.
– Heureusement que ce n’est pas le cochon qui t’es tombé sous la main !
Les enfants partirent d’un grand éclat de rire..."


Charles Le Goffic - L' Abbesse de Guérande !

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Description

130 pages
Charles Le Goffic, partant d’une courte nouvelle Jennie Le Huédé qu’il a fait paraître au tome III de « l’Âme bretonne », construit un remarquable roman régionaliste qui, en premier lieu, lui permet une brillante évocation historique du Pays Blanc, — le pays de Guérande et des marais salants. Mais c’est aussi l’occasion de mettre en scène une sombre histoire d’amour, qui s’imbrique entre religion et traditions aristocratiques, dans le droit fil du roman de Balzac : Béatrix. Mais le personnage central du roman, Mme de Sonil, se trouve y camper, en quelque sorte, une précurseuse bretonne de la fameuse Folcoche de Bazin... Avant-propos de Jean André Le Gall, auteur de la biographie de Charles Le Goffic.
Connu et reconnu pour ces recueils de contes traditionnels et de romans régionalistes, Charles Le Goffic (1863-1932) a su prouver un incomparable talent de « metteur en scène » de la Bretagne éternelle. Il est élu à l’Académie française en 1930.