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lundi 1 août 2016

Cinéma - Humphrey BOGART 25/12/1899 - 14/01/1957 !

                       Humphrey BOGART                       



Humphrey DeForest Bogart (né le 25 décembre 1899 à New York et décédé le 14 janvier 1957 à Los Angeles) est un acteur américain.

Surnommé « Bogey » ou « Bogie » par son public, il demeure aujourd’hui l'un des mythes les plus incontestables de l’histoire du cinéma. En 1951, il fut lauréat de l’oscar du meilleur acteur pour son rôle dans L'Odyssée de l'African Queen / La Reine africaine (1951). En 1999, il a été classé Greatest Male Star of All Time (littéralement Plus grande star masculine de tous les temps) par le American Film Institute. De plus, Casablanca (1942), dans lequel il joue le rôle principal, est régulièrement cité parmi les cinq meilleurs films de l'histoire du cinéma.

Il est aussi particulièrement connu pour sa liaison avec Lauren BACALL, avec laquelle il tournera plusieurs films, dont Le Grand sommeil (1946).

Biographie

Naissance et enfance
Humphrey DeForest Bogart naît le 25 décembre 1899 à New York. Son père, le Dr. Belmont DeForest Bogart, est un chirurgien expérimenté de confession presbytérienne et de tendance républicaine. Sa mère, Maud Humphrey, est une dessinatrice pour magazines de confession épiscopalienne et de tendance tory. Humphrey Bogart a été élevé épiscopalien ; il est principalement d’origine néerlandaise et britannique, mais a également du sang espagnol. Il a notamment pour ancêtre le roi Édouard III d'Angleterre et son épouse Philippa de Hainaut, ce qui fait de lui un descendant de nombreux monarques médiévaux. Il a deux sœurs cadettes, Frances, née en 1901, et Catherine Elizabeth, née en 1903. Il est aussi cousin au septième degré de Diana Spencer.

Issus d’un milieu aisé, les Bogart vivent dans un appartement de l’Upper West Side, et possèdent un cottage au bord du lac Canandaigua, non loin du lac Ontario. Alors que Belmont Bogart se drogue à la morphine, son épouse Maud est alcoolique ; tous deux se battent continuellement. Ainsi, Humphrey Bogart est principalement élevé par une nourrice irlandaise.

Éducation et débuts
Humphrey Bogart fréquente d’abord la Trinity School de New York, puis la Phillips Academy de Andover. Très tôt, son père l’encourage à devenir médecin. Belmont et Maud Humphrey souhaitent que leur fils entre à Université Yale, mais il est exclu de la Phillips Academy à cause de problèmes disciplinaires, et préfère rejoindre la Navy. Pendant la Première Guerre mondiale, il est blessé à la lèvre, ce qui lui laissera sa fameuse cicatrice.

Il commence à jouer sur une scène de Brooklyn en 1921, sans jamais avoir pris de leçon de comédie. Entre 1925 et 1935, il apparaît dans vingt-et-une productions de Broadway. Il est alors choisi pour jouer dans La Forêt pétrifiée au théâtre, rôle qu’il reprendra au cinéma et qui le rendra célèbre.

Mariages et enfants
Humphrey Bogart se marie avec Helen Menken le 20 mai 1926 à New York, et en divorce le 18 novembre 1927. Il épouse en secondes noces Mary Philips le 3 avril 1928 à Hartford, mais tous deux divorcent le 21 juin 1937. Puis, il se marie avec Mayo Methot le 21 août 1938 à Los Angeles, et en divorce le 10 mai 1945. Enfin, il épouse Lauren Bacall le 21 mai 1945 à Cleveland. Ce fut son unique mariage heureux. Ils restèrent mariés jusqu'au décès de Bogart et eurent deux enfants : Stephen Humphrey Bogart, né le 6 janvier 1949, est devenu écrivain - auteur notamment d'un livre sur son père - , et Leslie Howard Bogart, née le 23 août 1952, est devenue infirmière.

Maladie et décès
Humphrey Bogart tombe malade au milieu des années 1950. Atteint d’un cancer de l’œsophage, il refuse de consulter un médecin avant janvier 1956, mais il est déjà trop tard. Il décède le 14 janvier 1957 à Hollywood. Ses funérailles ont lieu à la All Saints Episcopal Church. Ses cendres sont enterrées au Forest Lawn Memorial Park, à Glendale. Sur la tombe est écrite une phrase célèbre de son premier film avec Lauren Bacall : « If you want anything, just whistle ». Son ami John HUSTON prononça son éloge funèbre en ces termes : « Il avait reçu le plus beau de tous les dons, le talent. Le monde entier l'a reconnu, la vie lui a donné tout ce dont il rêvait et même plus ; nous ne devons pas être désolés pour lui mais plutôt pour nous qui l'avons perdu. Il est irremplaçable. Il n'y aura jamais personne comme lui... ». Il possède une étoile sur le Hollywood Walk of Fame, au 6322 Hollywood Boulevard. L'acteur britannique Michael Caine dit avoir choisi son pseudonyme après avoir vu la performance d'acteur de Bogart dans le film "The Caine mutiny" (en France : Ouragan sur le Caine (1954)).

Carrière
Humphrey Bogart incarne certainement l'un des mythes les plus durables qu'ait engendrés le cinéma en ce sens qu'à sa mort en 1957, tout le monde eut le sentiment réel de perdre un ami intime, des plus irremplaçables. « Bogie » comme l'appela toute une génération, était ce vétéran solide (13 ans de Broadway, 22 ans d'Hollywood) dont le physique fripé, hâve et caverneux, le sourire de carnassier, plaisait aux jeunes filles, et dont le franc-parler terrifiait toute l'industrie du film. « Après huit verres de whisky, je suis en pleine possession de mes facultés » avouait-il. « Ce que je pense des sports ? Il m'est arrivé de jouer au football chez John Huston, avec un pamplemousse. Il était deux heures du matin et nous étions fins saouls ». En outre, ses positions morales, courageuses et insolentes, faisaient de lui la conscience d'Hollywood, notamment en 1947 par son soutien controversé aux Dix d'Hollywood.

Il incarna avec Lauren Bacall le couple le plus exemplaire et le plus magnifique que le cinéma ait créé sans pouvoir le détruire par la suite.

L'image de Bogart reste mythique. Elle est liée à son allure, étroitement sanglé dans son imperméable, ses orbites sombres creusant, sous le feutre mou du détective privé, son visage plus ou moins plissé, son rictus de dérision perpétuelle et son geste machinal pour se tirer le lobe de l'oreille, cette image désormais règne au-delà de l'existence de son propre créateur. Son jeu était toujours naturel. Sa brusquerie, son insolence bou
geonnante cachaient un cœur et une vraie philosophie. Depuis sa mort, son image ne cesse de grandir.

Humphrey BOGART a joué dans :

 1982 - Les Cadavres ne portent pas de costard
 1972 - Tombe les filles et tais-toi
1956 - Plus dure sera la chute
 1955 - La Cuisine des anges
 1955 - La Main gauche du Seigneur
 1955 - La Maison des otages
 1954 - Une étoile est née
 1954 - Ouragan sur le Caine
 1954 - La Comtesse aux pieds nus
 1954 - Sabrina
 1953 - Plus fort que le Diable
1952 - Le Cirque infernal
 1952 - Bas les masques
 1952 - En route pour Bali
1951 - Sirocco
 1951 - African Queen / La Reine africaine
 1951 - La Femme à abattre
 1950 - Le Violent
1950 - Pilote du Diable
1949 - Tokyo Joe
1949 - Les Ruelles du malheur
 1948 - Key Largo
 1948 - Le Trésor de la Sierra Madre
 1947 - Les Passagers de la nuit
 1947 - La Seconde Mme Carrolls
1946 - En marge de l'enquête
 1946 - Le Grand sommeil
 1945 - La Mort n'était pas au rendez-vous
1945 - En route pour l'Alaska
 1944 - Passage pour Marseille
 1944 - Le Port de l'angoisse
 1943 - Convoi vers la Russie
1943 - Remerciez votre bonne étoile
 1942 - Casablanca
1942 - L'Amour n'est pas un jeu
1942 - Griffes jaunes
 1942 - Sahara
1942 - Le Caïd
 1941 - The Wagons roll at night
 1941 - Le Faucon maltais
 1941 - Échec à la Gestapo
 1941 - High Sierra/la Grande Evasion
 1940 - Brother Orchid
 1940 - Une femme dangereuse
1940 - Rendez-vous à minuit
1939 - Terreur à l'ouest
 1939 - La Caravane héroïque
1939 - Le Châtiment
 1939 - Les Fantastiques années 20
1939 - Hommes sans loi
1939 - Le Retour du Docteur X
1939 - Victoire sur la nuit
1939 - Invisible Stripes
1938 - Menaces sur la ville
 1938 - Les Anges aux figures sales
 1938 - Le Mystérieux Docteur Clitterhouse
1938 - L'École du crime
1938 - Swing your lady
1938 - Les Hommes sont si bêtes
1937 - Femmes marquées
1937 - Le Dernier round
 1937 - La Rue sans issue
 1937 - La Légion noire
1937 - Monsieur Dodd part pour Hollywood
1937 - La Révolte
1937 - Septième district
1936 - Guerre au crime
1936 - Courrier de Chine
1936 - Ile de furie
1936 - Two against the world
 1935 - La Forêt pétrifiée
1934 - Midnight / Call it murder
1932 - Une allumette pour trois
1932 - Big city blues
1931 - Body and soul
1930 - A devil with women
1929 - Up the river

Cinéma - Francis BLANCHE 21/07/1921 - 06/07/1974 !

                        Francis BLANCHE                        


Né à Paris XI et décédé à Paris XV d'une crise cardiaque, il repose à Eze (Alpes Maritimes) 

Fils du comédien Louis Blanche, Francis Jean Blanche aborde le spectacle par l’écriture, il est le parolier de Charles Trénet et de la troupe des Branquignols - composée entre autres de Louis de Funès, Jean Lefebvre, Jean Carmet, Jacqueline Maillan et Michel Serrault. Poussé par son ami Charles Trénet, Francis Blanche fait ses débuts au cinéma en 1942 dans Frédérica de Jean Boyer. Mais c’est surtout sur les ondes que Francis Blanche se fait un nom, dès 1945 il se lance dans les feuilletons radiophoniques (Signé Furax) avec son compère Pierre Dac. En 1948, il est de retour sur grand écran dans L'Assassin est à l'écoute qu’il coécrit avec le metteur en scène Raoul André et dans lequel il tient son propre rôle. Parallèlement, il écrit et joue de nombreux sketches avec Pierre Dac, notamment le "Parti d’en rire", le parti de tous ceux qui n’ont pas pris de parti et "Le Sâr Rabindranath Duval", une parodie des numéros de music-hall de divination. En 1951, les deux hommes se donnent la réplique sur grand écran dans Une fille à croquer, une parodie du chaperon rouge, écrite par Francis Blanche et réalisée par son ami Raoul André. 

Ses premiers pas à l'écran 

Frédérica Frédérica 
1942 
L'Assassin est à l'écoute L'Assassin est à l'écoute 
1948 
Tire au flanc Tire au flanc 
1950 
Ils ont vingt ans Ils ont vingt ans 
1950 


Le comédien apparait en 1953 dans le film policier Minuit... Quai de Bercy aux côtés de Erich Von Stroheim et Madeleine Robinson avant de retourner à la comédie avec Faites-moi confiance de Gilles Grangier, avec lequel il coécrit le scénario. L’année suivante il reprend son rôle du ténor Garibaldo Trouchet dans l’adaptation au cinéma de la pièce des Branquignols, Ah ! les belles bacchantes. Le film, emmené par Louis de Funès, Robert Dhéry ou encore Colette Brosset, est un succès. En 1958 il fait la rencontre de Darry Cowl sur le tournage du film de Carlo Rim, Le Petit prof. Poursuivant les sketches avec Pierre Dac et les feuilletons et canulars radiophoniques, Francis Blanche connaît, au début des années 60, des déboires avec le fisc qui l’obligent à accepter toutes sortes de rôles. Il forme alors un duo avec Darry Cowl, qui pour sa part est accro au jeu. De 1958 à 1970, les deux hommes tourneront ensemble à 24 reprises dans des films aux titres divertissants : A pied, à cheval et en spoutnik, L' Abominable homme des douanes, Poussez pas Grand-Père dans les Cactus, Les Malabars sont au parfum,… Par provocation, les réalisateurs lui offrent des rôles d’inspecteurs des impôts : dans Erotissimo de Gérard Pirès en 1968 et dans L' Etalon de Jean-Pierre Mocky. Il prête ses traits, en 1967, à Monsieur Adolphe, le client de Catherine Deneuve dans Belle de Jour de Luis Buñuel. 

Mais le trublion sait aussi se faire plus sérieux, il incarne un provincial mesquin dans La Jument verte de Claude Autant-Lara (1959), crève l’écran en officier de la Gestapo dans Babette s'en va-t-en guerre de Christian-Jaque (1959), tient le rôle d’un procureur dans Le Septieme Juré de Georges Lautner (1962) ou joue un collabo dans Le Repas des fauves de Christian-Jaque (1964). Fidèle, il tourne à 3 reprises sous la direction de Christian-Jaque (Babette s'en va-t’en guerre, La Tulipe noire, Le repas des fauves), se retrouve sept fois derrière la caméra de Georges Lautner, qui lui offre ses rôles les plus forts et les plus marquants. De l’oncle Absalon dans Des pissenlits par la racine à Gédéon dans La Grande Sauterelle en passant par les cultissimes Tontons flingueurs et Les Barbouzes. Il collabore à 9 reprises avec son ami Raoul André avec lequel il coécrit les scénarios de ses longs métrages. Le jeune Jean-Pierre Mocky est séduit par ce comédien et lui écrit entre 1960 et 1974 des rôles sur mesure dans 9 de ses films, parmi lesquels : Un Drôle de paroissien (1962), Les Vierges (1963), La Grande lessive (1968) ou encore Un Linceul n'a pas de poches (1974). Marco Ferreri lui demande en 1971, d’écrire les dialogues du sulfureux La Grande bouffe, mais décide de les modifier complétement lors du tournage, en incitant les comédiens à improviser leurs dialogues. Le 6 juillet 1974, alors qu’il vient tout juste de terminer le tournage du film de Jean-Pierre Mocky, Un Linceul n'a pas de poches, Francis Blanche décède à Paris, d’une crise cardiaque. 

Francis BLANCHE a joué dans :
 1975 - Une baleine qui avait mal aux dents
1974 - OK patron
1974 - Un linceul n'a pas de poches
1973 - L'Histoire très bonne et très joyeuse de Colinot Trousse-Chemise
1973 - La Dernière Bourrée à Paris
1973 - Le Solitaire
1973 - Par le sang des autres
1973 - Dites-le avec des fleurs
1973 - France Société Anonyme
1972 - Quand c'est parti, c'est parti !
1972 - L'Odeur des fauves
1972 - Obsedé malgré lui
1971 - Les Jambes en l'air
1971 - La grosse combine
 1971 - La Grande java
 1971 - La Grande maffia
1970 - Êtes-vous fiancée à un marin grec ou à un pilote de ligne?
 1970 - Ces messieurs de la gâchette
 1969 - Ces messieurs de la famille
1969 - Faites donc plaisir aux amis
1969 - L'Étalon
1969 - Poussez pas grand-père dans les cactus
1969 - Qu'est-ce qui fait courir les crocodiles ?
1969 - Le Bourgeois gentil mec
1969 - Aux frais de la princesse
1969 - Un merveilleux parfum d'oseille
 1968 - La Grande lessive (!)
 1968 - Érotissimo
 1968 - Les Gros malins
 1967 - Les Compagnons de la Marguerite
 1967 - La Grande sauterelle
1967 - Le Grand bidule
1967 - La Grosse pagaille
 1966 - Belle de jour
 1966 - Du mou dans la gâchette
1966 - Le Plus vieux métier du monde
 1966 - Le Canard en fer-blanc
 1965 - La Sentinelle endormie
1965 - Galia
1965 - La Tête du client
1965 - Les Malabars sont au parfum
 1965 - Les Enquiquineurs / Bon week-end
1965 - Pas de caviar pour tante Olga
 1964 - Le Repas des fauves
 1964 - La Tulipe noire
 1964 - Les Barbouzes
1964 - La Bonne occase
 1964 - La Chasse à l'homme
1964 - Jaloux comme un tigre
1964 - La Chance et l'Amour
1964 - Les Gorilles
 1964 - La Cité de l'indicible peur
1964 - Les Plus belles escroqueries du monde
1964 - Les Baratineurs
1964 - Les Gros bras
1964 - Requiem pour un caïd
1964 - Les Pieds nickelés
 1963 - Les Tontons flingueurs
 1963 - Des pissenlits par la racine
1963 - Dragées au poivre
 1963 - Un drôle de paroissien
 1963 - Les Vierges
 1962 - Les Veinards
1962 - Les Bricoleurs
1962 - L'Abominable homme des douanes
1962 - Snobs
1962 - Clémentine Chérie
1962 - La Vendetta
 1962 - Tartarin de Tarascon
1961 - Les Livreurs
1961 - Les Petits matins
1961 - La Planque
1961 - Vive Henri IV, Vive l'Amour
 1961 - Le Septième juré
1961 - Accroche-toi, y a du vent
1961 - En plein cirage
 1961 - L'Enlèvement des Sabines
1960 - La Française et l'amour
1960 - Les Pique-assiette
1960 - Vive le Duc!
1960 - L'Ours
1960 - Le Chat miaulera trois fois
 1959 - La Jument verte
 1959 - Babette s'en va-t-en guerre
1959 - Certains l'aiment... froide !
1959 - Match contre la Mort
1959 - Un couple
 1958 - L'Increvable
 1958 - Le Petit prof
1958 - Pourquoi viens-tu si tard ?
1958 - À pied, à cheval et en Spoutnik
1958 - Les Motards
1958 - Parisien malgré lui
1957 - Tous peuvent me tuer
1956 - Honoré de Marseille
1956 - La Vie est belle
 1954 - Ah ! Les belles bacchantes
1953 - Faites-moi confiance
1953 - Minuit quai de Bercy
1950 - Une Fille à croquer / Le Petit Chaperon rouge
1950 - Ils ont Vingt Ans
1949 - Tire au Flanc
1948 - L'Assassin est à l'écoute
1942 - Frédérica

Francis BLANCHE a contribué au scénario :
 1962 - Tartarin de Tarascon
1953 - Faites-moi confiance
1950 - Une Fille à croquer / Le Petit Chaperon rouge
1948 - L'Assassin est à l'écoute

Francis BLANCHE a contribué au scénario de certains épisodes :

Francis BLANCHE a réalisé :
 1962 - Tartarin de Tarascon

Francis BLANCHE a composé une musique ou bande son pour :
 1954 - Ah ! Les belles bacchantes
1953 - Faites-moi confiance