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vendredi 10 juin 2016

Napoléon Bonaparte et le pouvoir occulte !

Napoléon Bonaparte et le pouvoir occulte




On a beaucoup parlé de l’action (volontiers ignorée, mais colossale) de ces sociétés secrètes qui « mènent le monde ».

Par exemple, de la Franc-Maçonnerie, de son rôle irrécusable dans la genèse de la révolution française.

Mais au-delà de la Maçonnerie, il est nécessaire de remonter jusqu’à d’autres groupements au recrutement bien plus restreint et dont les pouvoirs temporels étaient considérables et redoutables.

Comme c’est le cas, à la fin du XVIIIe siècle, des Illuminés de Bavière. Il semble impossible de comprendre comment la vertigineuse ascension de Napoléon Bonaparte a pu avoir lieu, si l’on ne fait pas intervenir le soutien que lui a apporté le « pouvoir occulte ». 


L’empereur, en effet, ne fut pas seulement franc-maçon, mais aussi haut dignitaire d’Ordres fraternels bien plus fermés.

Ainsi, la Fraternité Hermétique de Louxor, avec laquelle Bonaparte était entré en contact lors de la campagne d’Egypte ; l’Ordre des Illuminés, dont le général Bonaparte atteignit le plus haut degré.

(Il faut lire à cet égard le tome III de l’Histoire de la Franc-Maçonnerie universelle, de Gérard Serbanesco, au début duquel est reproduit le texte fantastique où Napoléon raconte en détail la cérémonie d’initiation).

Tout laisse supposer que Napoléon a vu sa chance tourner et l’abandonner complètement dès le moment où il a cessé d’être un exécutant docile de desseins secrets pour succomber au vertige de l’ambition personnelle.

Si l’on remonte plus haut dans le temps, on rencontre les problèmes que pose l’action politique des Templiers.


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Quand l’armée US tente de détruire les vestiges du passé...!

Quand l’armée US tente de détruire les vestiges du passé...




On trouve aussi quelquefois, près de certaines d'entre elles, un disque de pierre ayant pu servir de couvercle. Leur forme est assez simple, souvent cylindrique, plus rarement angulaire, les jarres ne présentent aucune décorations ni inscriptions. Aucun autre vestige architectural ou d'habitat antique n'est présent dans la région, laissant les jarres sans contexte archéologique.

La carrière de grès d'ou proviennent les jarres est à des kilomètres. La datation est extrêmement floue quant à la mise en place des jarres : les estimations vont de -4000 av JC à 800. Et le peuple qui en est à l'origine est totalement inconnu !

La première étude archéologique des sites a été réalisée vers 1930 par Madeleine Colani de l'École française d'Extrême-Orient. Elle entreprit des fouilles sur plusieurs jarres, ainsi que dans une grotte située non loin du site 1 et dotée d'une cheminée naturelle, dans laquelle furent découverts d'importantes traces de feu et des ossements humains calcinés.

Elle émit alors l'hypothèse que cette grotte aurait été un incinérateur naturel lors des funérailles, et que les cendres auraient ensuite été conservées dans les jarres. Malheureusement, les éléments de datation des os retrouvés dans la grotte ou près des jarres sont très étalés dans le temps, et ne permettent pas de tirer de conclusions précises.


Les travaux de Madeleine Colani restent une base pour les archéologues qui cherchent à percer le mystère de la Plaine des Jarres, parmi lesquels Marcello Zego. Celui-ci émet l'hypothèse que ces mégalithes, accompagnées d'objets de bronze et de fer, pourraient être des monuments funéraires, œuvres des premiers occupants indochinois d'une civilisation située entre celle des aborigènes Kha et cambodgienne.

La communauté scientifique ne peut encore donner que des explications conjecturelles quant à la datation de ces jarres de pierre, sur une période allant de 5000 av. J.-C. à 800 ap. J.-C, et il existe plusieurs théories sur leur destination : urnes funéraires, stockage de nourriture ou d'eau, cuves à fermentation pour la production d'alcool, etc.

Aucune n'explique le nombre de ces mégalithes pesant entre 600 kg et 6 tonnes, ni la manière dont ils ont été amenés sur les cinq sites de la plaine alors que le grès dans lequel ils sont taillées provient de la chaîne de montagnes située entre Luang Prabang et Xieng Khouang, et encore moins comment ces ‘’jarres’’ géantes ont été creusées et taillées si parfaitement ! Les légendes locales sont innombrables.

Et l’on peut légitimement se poser la question suivante : pourquoi la plaine des jarres, qui n'était pas sur le trajet de la Piste Hô Chi Minh, est ainsi l’une des régions les plus bombardées par l'aviation américaine durant la guerre du Viêt Nam : plus 500 attaques aériennes par mois, soit une attaque toutes les huit minutes pendant neuf ans ??

Je n’ai bien sur pas la réponse …hélas, mais c’est comme si à l’évidence l’on souhaitait faire disparaitre de la surface de la Terre quelque chose de gênant, qui n’avait rien à voir avec le conflit et l’ennemi !

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Teotihuacan la cité où l’on devient des dieux !

Teotihuacan la cité où l’on devient des dieux




En nahuatl, Teotihuacan signifie la cité des dieux, ou plutôt la cité où l’on devient des dieux. Difficile d’être plus explicite. Ce vaste ensemble monumental à l’origine incertaine fut un des premiers pièges à foudre, un complexe architectural sacré où les novices recevaient l’éveil par le feu du ciel.

Teotihuacán fut longtemps la plus grande ville du Mexique et la capitale du plus grand empire précolombien. Deux grandes avenues orientée nord-sud et est-ouest divisaient la ville en quartiers. L’ancienne ville, construite selon un quadrillage bien précis, s’étendait sur plus de 20 km2. 

De quand date ce bel ensemble architectural ? La question ne fait pas l’unanimité. D’après les archéologues, la pyramide du soleil fut édifiée en -150. Le reste de la ville fut, en majeure partie, construit entre 250 et 600. Pour d’autres auteurs, elle est beaucoup plus ancienne. La science ne peut trancher le débat. 

La datation au carbone 14, remise en question par les physiciens, ne peut s’appliquer aux pierres.  La palinographie non plus. Aucun pollen déposé sur une pierre ni aucun tesson de poterie ne donneront jamais une date de construction, car il s’agit presque toujours de réutilisations du site. Croyant analyser une matière organique laissée par les constructeurs, on risque de dater le casse-croûte d’un touriste.  

Dans leur datation trop récente, nos archéologues obéissent à un dogme qui veut que nulle civilisation américaine ne soit antérieure à nos cités du Moyen-Orient. 
Mais ce dogme n’a rien de scientifique, bien au contraire, il apparente l’archéologie à une sorte de secte aux idées insoutenables et racistes. 

De récentes découvertes archéologiques sous la pyramide du soleil accréditent plus que jamais la thèse d’une très grande antiquité pour ce site.

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Les OVNIS exposés dans les écritures bibliques !

Les OVNIS exposés dans les écritures bibliques





La lecture attentive de la Bible nous apprend que les « anges » et les « dieux » utilisaient pour se mouvoir dans l’univers spatio-temporel des vaisseaux spatiaux dont la description ressemble étrangement aux récits d’observation d’ovni rapportés de nos jours par les témoins.
Notre science, toujours infatuée d’elle-même, quoi qu’elle n’ait que deux cents ans d’âge environ, rétorquera que cela est impossible technologiquement. Mais que peut savoir la Science humaine moderne de celles de civilisations de l’espace qui vinrent du cosmos sur la Terre voilà des millénaires ?
Il est vrai qu’elle nie qu’il en fut ainsi… Question d’orgueil qui pousse l’homme scientifique à prétendre que les terriens sont uniques dans l’univers qui compte pourtant des milliards de galaxies et des centaines de milliards de planètes dont beaucoup sont bien plus anciennes que la Terre…

Les OVNIS dans l’ancien testament

De nombreux textes bibliques attestent de l’existence des ovnis qui furent diversement nommés dans les temps anciens selon les civilisations. Ils furent appelés dans la Bible « Nuée » (le jour) ; « Nuée Lumineuse » (la nuit -à cause de la luminescence ionisée de la structure-) ; « Colonne de Nuée » ; « Colonne de Feu », (à cause de l’ionisation rougeoyante de sa structure) ; « Tourbillon », (à cause de la rotation rapide des structures extérieures circulaires observées à de très nombreuses reprises depuis 1947) ; « Cherubin » (Racine Perse : K-h-Rb qui donna Kéroub, Caroube en Bretagne, Carib, Cariba à Cuba, et Caraïbe en Amérique du sud ; « Roue » (engin circulaire important en forme de roue comportant des « rayons ») ; « Palais » ; « Trés-Haut » ; « Tente » ; « Splendeur » ; « Vimânâ » ; « Perles du Ciel » ; « Aigles », « Frelon », (à cause du bruit de certains), etc.


mardi 8 mars 2016

Les secrets du IIIe Reich Par François KERSAUDY - Livre !

     Les secrets du IIIe Reich     


Le but de cet ouvrage n'est pas de faire table rase de tout ce qui s'est écrit jusqu'à présent, ou d'apporter au lecteur des révélations aussi sensationnelles qu'invérifiables. Il est plutôt de revisiter certains épisodes mystérieux de l'évolution du IIIe Reich, en faisant à l'occasion de chaque récit la part de ce qui est avéré, de ce qui est douteux et de ce qui est purement fictif. Pourquoi Hitler a-t-il multiplié les efforts – et les cadavres – pour dissimuler ses origines ? Quel est le secret de l'envoûtement exercé sur les foules par cet artiste peintre au physique ingrat et au discours haineux ? Comment le régime national-socialiste a-t-il pu survivre pendant douze ans, alors que tous ses dirigeants ne cessaient de se combattre ? Que s'est-il vraiment produit durant la Nuit des longs couteaux ? Quelle est la vérité sur l'affaire Rudolf Hess, qui a donné lieu à tant de publications fantaisistes ? Quelle était la nature exacte des relations d'Hitler avec les femmes ? L'amiral Canaris était-il un traître ou un héros ? Qu'y a-t-il de vrai dans les informations contradictoires publiées sur la santé d'Hitler, au vu des notes prises par ses médecins ? Le pari fait par l'auteur est que, sur tous ces sujets, les lecteurs trouveront la réalité plus passionnante que n'importe quelle fiction.





Hermann Goering Par François KERSAUDY - Livre !

        Hermann Goering        


Héros de la Grande Guerre, putschiste improvisé, chômeur morphinomane, homme d'affaires talentueux, dandy corpulent, orateur tonitruant, ministre de l'Intérieur sans scrupules, parvenu millionnaire, collectionneur d'art compulsif, maréchal de l'Air amateur, tel est Hermann Goering, le deuxième homme du IIIe Reich. Voici, grâce à une abondante documentation allemande, anglaise, américaine et suédoise, ainsi qu'à l'interview de témoins tels que l'aide de camp d'Adolf Hitler, le régime national-socialiste revisité au travers d'un personnage démesuré – à tous les sens du mot...




Staline Par François KERSAUDY - Livre !

          Staline          


L'ancien séminariste géorgien Joseph Djougachvili, devenu tour à tour conspirateur, révolutionnaire, apparatchik et despote sanguinaire, n'avait rien a priori d'un homme de guerre. Depuis les actions séditieuses au Caucase jusqu'aux grandes manoeuvres de la guerre civile, ses incursions dans le domaine militaire ont été généralement calamiteuses, et ses purges des années trente se sont avérées plus dévastatrices pour le commandement des forces armées que n'importe quel conflit dans l'histoire du monde. D'où vient dès lors que ce " communiste habillé en maréchal " ait pu sortir en grand vainqueur de la Seconde Guerre mondiale ? Par un récit accompagné de nombreuses photographies, cartes et illustrations, on mesurera combien la ruse, la propagande et la terreur peuvent suppléer à l'aveuglement diplomatique et à l'amateurisme stratégique.




MacArthur Par François KERSAUDY - Livre !

          MacArthur          


Les grands stratèges américains de la Seconde Guerre mondiale se comptent sur les doigts d'une main. Les deux premiers sont incontestablement l'amiral Nimitz et le général MacArthur, le second étant de loin le plus excentrique et le plus flamboyant. En 1918, il est déjà général sur le front de France et accompagne les nettoyeurs de tranchées, ceint d'une écharpe mauve de deux mètres tricotée par sa mère et armé seulement d'une badine... Trois décennies plus tard, parvenu au sommet de la hiérarchie militaire, il commande en Corée les armées de quinze pays sous l'égide des Nations unies, et menace les Chinois du feu nucléaire. Dans l'intervalle, ce meneur d'hommes au courage suicidaire a vaincu les Japonais dans le Pacifique Sud, puis organisé brillamment le relèvement du Japon moderne – à tel point que l'empereur Hiro-Hito pourra dire : " L'amiral Perry a ouvert à l'Amérique les portes du Japon, et le général MacArthur a ouvert au Japon le cœur de l'Amérique. "  Foudre de guerre, stratège de génie au caractère épouvantable, politicien exécrable, autocrate bienveillant et fin diplomate, Douglas MacArthur a traversé comme un météore la première partie du xxe siècle, en marquant les trois grandes guerres d'une empreinte indélébile.




Le roi en son moulin Par Gilbert BORDES - Livre !

       Le roi en son moulin       


Dans les mois qui suivirent la fin de la guerre 14-18, on vit réapparaître dans les villages les survivants du massacre. Beaucoup atteints dans leur corps ou leur esprit. Il se trouva qu'à Plumozelle, en Corrèze, Jean Charias, dit le Rouge, solide paysan des collines, revint intact. Et ce fut pourquoi Baptiste Simoneau, maître du moulin de la Farge, à qui la guerre avait pris ses deux fils, lui donna sa fille, la très belle Pauline. Il fallait assurer la lignée et la marche du moulin: Baptiste finirait bien par faire de ce laboureur un meunier.  Mariée, Pauline refuse de partager le lit de ce géant roux. Le Rouge, dans sa fierté et la simplicité de son cœur, se tait et souffre. Et plus encore quand Pauline attend un enfant. Tout se sait dans les villages, mais il faut faire comme si... 
Le drame déroule les méandres au rythme de l'eau qui court, de la roue qui tourne, des meules qui broient. Les jours courent, les années tournent, les événements broient ou ressuscitent les êtres. Un jour, le Rouge sera roi en son moulin. 




La Pierre marquée Par Antonin Malroux - Livre !

        La Pierre marquée        


Une pierre mystérieuse bouleverse la destinée d’une famille de paysans En Auvergne, à la Libération, Roger vit avec Marie, sa deuxième femme, dans une petite ferme. Mécontent de ce remariage, son fils Sylvain est parti reprendre une exploitation dans un hameau voisin et ils ne l’ont plus revu depuis dix-huit ans. A la mort de Roger, Sylvain qui est marié et père de deux enfants est impatient de récupérer l’héritage. Mais Marie s’accroche au petit domaine et reçoit le renfort de son vieux frère trop heureux de pouvoir travailler la terre après une vie de dissipation. La découverte d’une étrange pierre gravée, scellée dans le mur de la grange, sème le trouble dans le quotidien de ces humbles paysans. Le curé et le pharmacien du village, passionnés d’histoire, s’en emparent, y reconnaissent la marque des Templiers et entrevoient un fabuleux trésor... qui les conduira jusque dans la crypte de la cathédrale Notre-Dame de l’Assomption de Clermont-Ferrand. Mais d’autres aimeraient que la pierre marquée apporte la seule richesse qui vaille: le bonheur d’une famille réconciliée...