Le visage d’Amarakarei : un ancien visage super massif caché au plus profond de l’Amazonie péruvienne

Le visage d’Amarakarei : un ancien visage super massif caché au plus profond de l’Amazonie péruvienne

L’un de ces mystères est caché au plus profond de la forêt amazonienne péruvienne : un visage massif sculpté dans les falaises de pierre.

Surnommée le Visage d’Amarakarei, la mystérieuse sculpture ancienne existe depuis des temps immémoriaux.

Cependant, malgré le fait que le visage est bien documenté à travers les légendes des mythes anciens, et de nombreuses expéditions qui ont réussi à le trouver, son emplacement d’origine est difficile à localiser et encore plus difficile d’accès.

Malgré cela, un groupe d’explorateurs a pu localiser l’énorme sculpture ancienne et filmer leur voyage jusqu’à leur destination.

L’expédition qui s’est mise en route pour explorer le visage massif sculpté dans la pierre comprenait des membres de l’ancien peuple Harakbut.

Ils l’appellent le “Rostro Harakbut” – ou le “Harakbut Face”.

La sculpture est située dans une partie super éloignée de l’Amazonie péruvienne du sud-ouest du Pérou.

En 2015, le cinéaste britannique Paul Redman a visité la sculpture en pierre en compagnie d’un groupe d’hommes de Harakbut.

“L’existence même du visage sculpté a fait l’objet d’une légende, transmise de génération en génération parmi les familles Harakmbut”, a déclaré un communiqué de presse de Burness Communications annonçant la projection du film à Lima au Pérou en 2015.

“Mais peu d’entre eux l’avaient déjà vu.”

Ce qui est curieux, c’est que ce n’est pas le seul visage. En fait, la forêt amazonienne possède plusieurs sites similaires. Certains d’entre eux sont bien documentés, d’autres sont entourés de mythes.

La vidéo est un voyage époustouflant vers le visage. Bien documenté. Excitant. Émotionnel, et plus important encore, il transmet un message puissant, ce que des sites comme ceux là signifient pour les populations autochtones locales.

“C’était trois jours de randonnée difficile pour s’y rendre, mais c’était glorieux”, a déclaré Tom Bewick, directeur du programme de la Rainforest Foundation U.S., qui a participé à l’expédition, à mongabay.com.

“Le Rostro est extraordinaire, et il a vraiment le sentiment d’être un gardien de la forêt. Luis et Jaime, les principaux protagonistes du film, étaient vraiment stupéfaits.”

Le visage mystérieux est différent de tout ce que vous pouvez voir dans toute la région. De nombreuses autres formations géologiques existent, mais sont clairement d’origine naturelle, tandis que le visage d’Amarakarei montre clairement la preuve d’un travail d’outil.

Cette caractéristique géologique massive est-elle l’œuvre de nos ancêtres ?

Le visage d’Amarakarei est un élément parfait pour un film Indiana Jones.

Le visage massif taillé dans la pierre n’a jamais été étudié par les archéologues, mais le natif Harakbut croit que ce n’est pas le produit de forces naturelles : ils sont convaincus que le visage a été taillé par leurs ancêtres.

Bewick est d’accord, disant qu’il y a un certain nombre d’indices qui indiquent sa nature artificielle.

“Le Rostro est perché à la perfection surplombant une vallée fluviale et préside une chute d’eau et un bassin qui ressemble à un amphithéâtre”, a-t-il expliqué, ajoutant qu'”il y a des marques partout sur le Rostro qui indiquent qu’il a été taillé avec des outils rudimentaires”.

Mais ce qui est peut-être l’argument le plus important pour expliquer pourquoi le visage n’est pas une formation naturelle est le fait qu’il n’y a pas de roches de forme similaire dans la région. Plus intéressant encore est le fait que le courant de la rivière s’éloigne du visage, ce qui signifie qu’il est très improbable que les inondations aient produit ce visage humain étrange.

“Les Harakbut n’ont pas d’histoire écrite mais prétendent que les Rostro ont été dans leur histoire orale depuis des générations et des générations… Il est certain que d’autres études sont nécessaires”, a ajouté Bewick.

Et tandis que nous attendons avec impatience d’en savoir plus sur cet endroit mystérieux est caché au plus profond de la forêt amazonienne, nous nous demandons pourquoi les cultures anciennes ont sculpté de tels visages en premier lieu.

Était-ce pour honorer leurs ancêtres ? Leurs dieux ? Quelle que soit leur raison d’être, c’est ce qui nous pousse à aller de l’avant, en voulant en savoir plus sur l’histoire, les cultures anciennes et la raison pour laquelle ces monuments existent en premier lieu.

Source : Ancient Code 

Raspoutine : Un mystique controversé !

Raspoutine : Un mystique controversé avec des pouvoirs de guérison – Un homme mauvais ou incompris ?

L’histoire vraie de Raspoutine est un mélange de mensonges et de vérités. Quand l’histoire de la vie d’un homme contient des intrigues, des controverses et des rumeurs, il est difficile de comprendre comment tout a commencé et s’est terminé. Nous devons compter sur les experts et les livres pour percer le mystère de Raspoutine, mais jusqu’où pouvons-nous aller ?

Nous pouvons dire avec certitude que Grigori Raspoutine était l’une des personnes historiques les plus intrigantes, mais les moins bien comprises en Russie. Il a eu une forte influence sur la famille du Tsar et son pouvoir a conduit à sa mort.

On dit qu’il était un saint homme, un prophète avec des pouvoirs de guérison et il semblait presque impossible de le tuer. Il a survécu à plusieurs tentatives d’assassinat avant d’être brutalement assassiné par un groupe de conspirateurs.

Était-il un homme mauvais ou incompris ?

Les premières années de Raspoutine

La date exacte de Grigori Yefimovich Raspoutine est incertaine, mais on suppose qu’il est né à la fin des années 1860. Il était l’enfant d’une famille paysanne vivant en Sibérie. Il semble qu’il était un garçon sans instruction car sa famille n’avait pas les fonds ou peut-être le désir d’envoyer le jeune Raspoutine à l’école. Selon certains historiens, Raspoutine n’a jamais appris à lire et à écrire, mais l’auteur Colin Wilson, qui a écrit le livre Raspoutine et la chute des Romanovs, affirme que Raspoutine “avait peu de scolarité ; bien que son père lui ait enseigné les rudiments de la lecture, il ne voyait pas l’intérêt d’apprendre à écrire. Il détestait la discipline ; il préférait la pêche ou la natation aux livres. (Il n’a jamais appris à écrire correctement ; les lettres qu’il écrit à la main montrent un gribouillis maladroit et enfantin)”.

À l’époque, il s’agissait peut-être d’un garçon typique, qui a eu des démêlés avec la justice. Aux yeux de Praskovya Dubrovina, il était assez digne de se marier et elle lui a donné cinq enfants, bien que seulement trois aient survécu.

Raspoutine les a tous soutenus en travaillant sur la ferme familiale pendant les premières années de leur mariage. C’est son intérêt pour la religion qui l’a poussé sur la voie l’ayant mené à la gloire et finalement à sa disparition.

Raspoutine n’était pas un moine, mais la religion dominait sa vie

Avant que Raspoutine ait eu le privilège de rencontrer la famille du Tsar, il a passé de nombreux mois dans un monastère. Bien qu’on l’appelait un saint homme, un mystique et le moine fou, il n’a jamais prononcé les vœux perpétuels pour devenir moine. Le nommer le moine fou est incorrect, mais c’est ainsi que ses ennemis l’appelaient. Raspoutine a fait plusieurs voyages en terre sainte, a cherché des chefs religieux dans sa recherche de Dieu.

Sa forte personnalité et son charisme ont influencé beaucoup de ceux qui l’ont entendu. Au fur et à mesure que sa popularité augmentait, ses partisans et éventuellement ses ennemis ont fait de même. Raspoutine avait tellement d’adeptes qu’il a commencé à construire une petite église pour pouvoir enseigner et prêcher avec aisance. Mais son point de vue sur la religion est devenu légèrement tordu. Wilson a révélé que le mystique russe est devenu “obsédé par l’ascétisme et l’idée du pèlerinage”.

Rencontre de Raspoutine avec la famille du Tsar et ses pouvoirs de guérison

Il a fallu quelques années à Raspoutine avant qu’il ne soit porté à l’attention de la famille royale russe. En 1903, Raspoutine, souvent appelé le Wander, est venu à Saint-Pétersbourg. Il était maintenant un guérisseur mystique et de foi bien connu. On disait qu’il possédait des pouvoirs curatifs inhabituels. Il avait guéri le chien de famille d’un des parents du tsar russe Nicolas II (1868-1918). Des nouvelles de cet extraordinaire mystique et des grands dons qu’il détenait, parvinrent au Tsar qui, en 1905, décida d’inviter Raspoutine à rejoindre sa cour royale.

La famille du Tsar avait un enfant malade qui souffrait d’hémophilie. Raspoutine pourrait sûrement les aider à guérir le jeune, pensaient-ils.

Nicolas II de Russie avec la famille. Crédit : Wikipedia

La guérison du jeune garçon n’est qu’une des controverses qui ont entouré Raspoutine. Les histoires vont de l’arrêt de l’administration de l’aspirine au jeune garçon, à l’imposition des mains, à l’agenouillement et à la prière pour le garçon et finalement à l’utilisation de la médecine populaire paysanne.

Nous ne saurons peut-être jamais ce que Raspoutine a fait, mais la santé de l’enfant s’est améliorée et il a été guéri. Il n’est pas étonnant que le Tsar reconnaissant et sa femme aient invité Raspoutine à rester avec eux à long terme. Raspoutine est devenu un ami proche de la famille du Tsar et le couple royal a trouvé du réconfort dans ses conseils et ses aides.

Raspoutine est entouré de gens jaloux et un complot d’assassinat est développé

La célébrité et la jalousie vont souvent de pair. Raspoutine n’était pas à l’abri de ce fait.

Lorsque l’augmentation de l’influence de Raspoutine sur la famille royale est devenue évidente, elle a créé de la jalousie chez les dirigeants de l’Église, les représentants du gouvernement et les membres de l’élite de la société. En raison de cette jalousie, il y a plusieurs histoires entourant Raspoutine qui peuvent être vraies ou non. Raspoutine devint soudain la cible de toutes les controverses et accusations possibles. Il a été dit qu’il était un membre des Khylistes, un groupe croyant que pour se rapprocher de Dieu, ils devaient pratiquer la débauche et d’autres péchés. Sa fille Maria a réfuté cette notion et a dit que Raspoutine a rejeté la secte et n’a pas du tout aimé leur pensée.

Une rumeur vicieuse a fait courir Raspoutine dans une affaire très effrayante avec l’épouse du Tsar, Alexandra. D’autres rumeurs l’ont amené à travailler avec les Allemands contre les Russes et à déclencher une épidémie de choléra en utilisant des pommes canadiennes importées. Il ne semblait pas y avoir de fin aux accusations contre Raspoutine, mais il est difficile de déterminer aujourd’hui dans quelle mesure c’était vrai.

Wilson rappelle à tous les lecteurs intéressés par Raspoutine que “les sources originales sont rares. La Révolution est venue peu de temps après sa mort, et les historiens du gouvernement soviétique étaient plus intéressés à dénigrer Nicolas II qu’à l’exactitude historique. La plupart des livres sur Raspoutine qui ont été publiés en dehors de la Russie étaient des biographies sensationnelles et bon marché qui ne font pas semblant de se détacher”.

Le meurtre de Raspoutine

Malgré le manque d’informations appropriées, la plupart des historiens s’accordent à dire qu’un groupe de conspirateurs a commencé à élaborer un complot pour assassiner le mystique russe. L’une des principales figures du complot d’assassinat était le prince Félix Yusupov (1887 – 1967), un aristocrate russe qui a épousé la nièce du tsar Nicolas II.

Quand Raspoutine a survécu à plusieurs tentatives d’assassinat, les gens ont eu peur en pensant que ce saint homme doit être immortel, mais ils avaient tort.

Dans son livre To Kill Rasputin : The Life and Death of Grigori Rasputin, l’auteur Andrew Cook décrit comment Raspoutine dans la nuit du 29 décembre 1916 a été invité à rejoindre des amis qui voulaient l’assassiner. Le prince Yusupov et le cousin germain du Tsar, le Grand-Duc Dmitri Pavlovitch a donné du poison à Raspoutine, mais cela ne l’a pas affecté.

Felix Yusupov, l’un des hommes derrière le meurtre de Raspoutine. Crédit : Wikipedia

“Raspoutine avait mangé tous les gâteaux et bu deux verres de vin empoisonné et ‘rien ne s’est passé, absolument rien’. Raspoutine rotait et bavait, mais c’était à peu près tout”, écrit Cook.

Les tueurs lui ont tiré dessus plusieurs fois, mais à leur grande surprise, Raspoutine a survécu et s’est enfui. Mais il n’est pas allé loin. Il a été grièvement blessé, il est tombé dans la cour enneigée et le grand mystique savait que la mort était inévitable. Raspoutine est mort au palais Moika. Ses assassins ont enveloppé son corps dans un tapis et l’ont jeté dans la Neva, où il a été découvert trois jours plus tard. Lorsqu’il a été examiné par un coroner, on a découvert que Raspoutine avait de l’eau dans ses poumons et qu’il était vivant au moment où il a été jeté à l’eau.

Le grand mystique des Russes avait disparu. Pour certains, il s’agissait d’une libération. D’autres étaient tristes. Mais la voix morte de Raspoutine pouvait encore être entendue par sa prophétie. Peu avant sa mort, il écrivit au Tsar en lui disant :

“Si je suis tué par des hommes ordinaires, vous et vos enfants régnerez sur la Russie pendant des siècles à venir ; si je suis tué par l’un de vos animaux, vous et votre famille serez tués par le peuple russe ! – Raspoutine”

La prophétie de Raspoutine s’est réalisée 15 mois plus tard. Toute la famille du Tsar, le Tsar, sa femme et tous leurs enfants ont été assassinés par des assassins pendant la Révolution russe. Certains soupçonnaient qu’une des filles avait survécu, Anastasia et de nombreuses femmes se sont avancées en prétendant être la fille du Tsar. Personne n’a pu fournir suffisamment de preuves.

L’histoire de la vie de Raspoutine reste incomplète. Crédit : Biography.com

Raspoutine était-il un charlatan fou et maléfique ou était-il un homme incompris, né en avance sur son temps ? Sa vie est colorée et sa personnalité captive le public. Des centaines de livres ont été écrits sur le plus grand mystique de Russie. Personne ne connaît sa vraie histoire. Si vous voulez en savoir plus sur Raspoutine, lisez quelques biographies, mais rappelez-vous qu’elles présentent toutes une histoire légèrement différente. Créez votre propre image de cette personne historique controversée qui n’a jamais été oubliée.

Source : Ancient Pages

Mystère du Troisième Reich : il affirme avoir trouvé le train d’or nazi (vidéo)

Après avoir analysé plusieurs tentatives de trouver le train avec l’or du Troisième Reich, ce Russe a établi pourquoi elles ont toutes échoué et a suggéré les coordonnées exactes où ces trésors pourraient se trouver.

Passionné par les recherches dans le domaine des phénomènes paranormaux et des mystères irrésolus, Valentin Degterev a décidé cette fois d’élucider l’énigme du train d’or nazi, indique le site de la chaîne Zvezda.

Se référant au blog du chercheur, le site écrit que M.Degterev a minutieusement analysé la tentative de l’équipe polono-allemande de trouver le train non loin du chemin de fer de la ville polonaise de Walbrzych en 2015.

Selon lui, cette tentative s’est soldée par un échec parce que l’équipe travaillait exclusivement avec des données géodésiques et des documents d’archives sans recourir à des images satellites. Il rappelle que, d’après la légende, le train a été vu pour la dernière fois entrer dans le tunnel près du château de Ksiaz. C’est pourquoi il a essayé d’établir les coordonnées exactes du tunnel à partir de photos satellites d’archives datant de 2017, «les plus récentes et de la meilleure qualité».

«Sur les photos, j’ai établi l’endroit d’où la voie ferrée partait dans le tunnel. Aussi, ai-je découvert la silhouette d’un long tunnel souterrain, ainsi que des fragments de béton d’une entrée technique. Bien sûr, cette entrée est aujourd’hui détruite. De plus, j’ai trouvé sur les photos les restes des voies ferrées. Apparemment, le tunnel n’était pas seulement souterrain, une partie était à la surface. Sur la base de ces recherches, j’ai établi un schéma général du tunnel», a-t-il déclaré.

Le Russe est arrivé à la conclusion que le train d’or avait probablement été bombardé ce qui explique sa disparition car il ne pouvait plus quitter le tunnel dont l’entrée s’est écroulée sous les bombes.

«Les Polonais ne pouvaient pas trouver le tunnel simplement parce qu’ils n’avaient pas cherché de photos satellites de la région. Il est assez difficile de trouver le tunnel à cause du terrain complexe et de la forêt dense. Cependant, le train peut être trouvé si vous vérifiez les endroits indiqués par moi selon les coordonnées exactes», a-t-il conclu.

Les récits selon lesquels deux trains spéciaux nazis contenant prétendument de l’or et des œuvres d’art auraient disparu au printemps 1945 dans la région de Walbrzych excitent depuis des années l’imagination de nombreux chasseurs de trésors. Ces derniers s’appuient sur l’existence d’importantes constructions souterraines allemandes, y compris celles qui se trouvent autour de l’immense château de Ksiaz, proche de Walbrzych. À l’époque, les nazis y avaient mené d’importants travaux pour y installer un quartier général d’Hitler.

Source : Sputnik

Les 1 411 pièces d’or découvertes dans le Saddle Ridge Hoard valent 10 millions de dollars !

Les 1 411 pièces d’or découvertes dans le Saddle Ridge Hoard valent 10 millions de dollars. Pourtant, personne ne sait qui les a enterrées.

Un matin de février 2013, comme tous les autres matins, un couple en Californie promenait son chien le long de sa propriété. Mais au cours de cette promenade, l’un d’entre eux a remarqué quelque chose d’étrange sur le côté du sentier. La femme, Mary, avait repéré une vieille boîte de conserve qui sortait du sol.

Une partie du Saddle Ridge Hoard – © Wikimedia Commons

Intrigués, Mary et son mari John ont soigneusement extrait la boîte de conserve enfouie dans la terre. En le faisant, ils ont découvert quelque chose qui allait changer leur vie pour toujours : 1 411 pièces d’or. Les pièces étaient évidemment anciennes, frappées quelque part entre 1847 et 1894, mais elles étaient en bon état. Incroyablement, comme le couple l’a découvert peu de temps après, la valeur des pièces s’élevait à environ 10 millions de dollars.

Il s’agissait de la plus grande découverte de trésor perdu de l’histoire des États-Unis. Pourtant, personne n’arrivait à comprendre comment il est arrivé là.

Le Saddle Ridge Hoard, comme on a appelé le trésor, a probablement été enterré sur la propriété à la fin du 19e siècle. La plupart des pièces sont des pièces d’or de 20 $ frappées à San Francisco après 1854, pendant la ruée vers l’or. Cependant, il y a aussi quelques pièces de monnaie frappées en Géorgie, ce qui soulève la question de savoir comment elles ont trouvé leur chemin vers la Californie.

Des boîtes de pièces d’or du Saddle Ridge Hoard.

Contrairement à la plupart des pièces de monnaie, plusieurs des pièces de Saddle Ridge sont en parfait état, ce qui suggère qu’elles n’ont jamais été mises en circulation. Cette excellente condition explique en partie pourquoi les pièces de monnaie sont si précieuses.

Prises à leur valeur nominale, les pièces de monnaie valent environ 28 000 $, ce qui était une énorme somme d’argent lorsqu’elles ont été enterrées. Mais en raison de la rareté et de l’état des pièces, elles valent aujourd’hui des millions sur le marché.

Mais pourquoi quelqu’un enterrerait une fortune en pièces de monnaie sur sa propriété et ne reviendrait jamais les réclamer ? Il y a quelques possibilités. Certains ont suggéré que les pièces provenaient d’un casse d’une banque de San Francisco en 1901 lorsqu’un employé est sorti avec environ 30 000 $ en pièces d’or. Étant donné le moment et la valeur des pièces volées, cela aurait du sens.

Malheureusement, le gouvernement américain est intervenu pour écarter cette théorie. Selon le département du Trésor des États-Unis, les pièces de monnaie trouvées dans le dépôt ne correspondent pas à celles que l’on s’attendrait à voir dans le cas d’un vol de banque.

Une des pièces d’or frappées du Saddle Ridge Hoard.

Il y a de meilleures chances que les pièces aient une histoire d’origine plus banale. Elles pourraient être les économies d’un mineur qui est venu dans la région pour s’enrichir pendant la ruée vers l’or. Mais cette théorie n’est pas la plus plausible, étant donné qu’au moment où les pièces ont été enterrées, la ruée vers l’or était plus ou moins terminée.

L’explication la plus probable pourrait être que les pièces de monnaie ont été mises là par une personne riche, probablement légèrement désemparée, qui vivait sur la propriété et qui ne faisait tout simplement pas confiance aux banques pour garder son argent en sécurité. Il a donc enterré son argent quelque part sur sa propriété et il est mort avant de pouvoir dire à qui que ce soit où le trésor se trouvait.

Il pourrait être difficile pour n’importe quel détective amateur de trouver la réponse, puisque l’emplacement des pièces et l’identité des personnes qui les ont trouvées sont gardés secrets.

Il est possible qu’un jour ou l’autre, quelqu’un puisse comprendre comment les pièces ont fini par être enterrées. Mais pour l’instant, le secret de la plus grande découverte de trésor enfoui en Amérique restera un mystère.

Source : All That’s Interesting

Des centaines de pièces d’or romaines découvertes en Italie

Des centaines de pièces d’or de la fin de l’époque impériale, conservées dans un récipient en stéatite, ont été découvertes lors de fouilles archéologiques dans le sous-sol de l’ancien théâtre Cressoni de Côme, au nord de Milan, Italie, a informé le Ministère des Biens et Activités culturels et du Tourisme.

Le ministre Alberto Monisoli a informé que les pièces de monnaie sont datées du IVe ou Ve siècle après J.-C., mais il a ajouté que pour l’instant, on ne connaît pas exactement la signification culturelle et historique de ces pièces. On croit, cependant, qu’elles pourraient valoir des millions de dollars.

CNN cite Maria Grazia Facchinetti, numismate (ou spécialiste des pièces rares) qui dit que “celui qui a placé la jarre à cet endroit l’a enterrée de telle manière qu’en cas de danger, il pouvait aller la récupérer”.

“Les pièces étaient empilées en rouleaux semblables à ceux que l’on voit aujourd’hui à la banque”, dit-elle, ajoutant que “les pièces portent des gravures des empereurs Honorius, Valentinien III, Léon Ier, Antonio et Libio Severo”, la date ne doit donc pas dépasser l’an 474.

“Tout cela nous fait penser que le propriétaire n’est pas un sujet privé, mais plutôt une banque ou un dépôt public”, a ajouté M. Facchinetti.

D’autres découvertes ont été faites sous la forme d’une barre dorée à l’intérieur du bocal.

Tous les artefacts ont été transportés au laboratoire de restauration Mibac à Milan pour des analyses ultérieures.

Le théâtre historique Cressoni a ouvert ses portes en 1807 avant de se transformer en cinéma et de fermer ses portes en 1997.

Le site n’est pas loin du forum de Novum Comum, où d’autres artefacts romains importants ont été découverts, selon le ministère. Cette découverte est l’une des nombreuses découvertes surprenantes de monnaies romaines de ces dernières années.

Source : Ancient Pages – Traduit par Anguille sous roche

           La Caverne aux 300 Visages              

Dénezé Sous-Doué, un coin de campagne à quelques kilomètres d’Angers. Un endroit paisible et silencieux, mais dans les entrailles du village, un mystérieux souterrain trouble cette apparente tranquillité. Une énigme de l’histoire…

Nous sommes en 1740, Mathieu Chastelain, le curé du village, se promènent tranquillement dans son jardin quand le sol se dérobe sous ses pieds. Il tombe dans une cave où d’étranges statues sont sculptées dans les murs.

À l’époque, la découverte effraie les gens et l’évêque d’Angers ordonne le remblaiement immédiat de la cave. Et on entend plus parler de la cave jusqu’à ce jour de 1950, où les enfants du village retrouvent par hasard le passage souterrain. Cette fois-ci, la découverte ne va pas rester vaine.

Les fouilles sont entreprises, la communauté scientifique se mobilise, les archéologues déploient les grands moyens pour tenter d’authentifier l’origine des sculptures. Au total, plus de 300 créatures disgracieuses sculptées sur les parois sont découvertes.

Les spécialistes espèrent percer le secret de cette œuvre unique en Occident. Les sculptures seraient-elles de simples œuvres païennes ? Le fruit de rites secrets ou un sanctuaire miraculeux, et de quand datent-elles ?

« Ce qui a permis la dotation, ce sont les personnages, les costumes. Vu ces éléments, on pense que les sculpteurs se trouvaient dans ce lieu au début du XVIe siècle. Mais nous ne pouvons rien affirmer« , Chritiane Lefeuvre, Conservateur.

Durant les fouilles, les chercheurs sont en quête du moindre indice. On découvre un bélier, l’emblème des bâtisseurs. On devine un visage indien, on recherche désespérément une inscription une signature. Mais on ne trouve rien. Qui a pu donc réaliser cette incroyable fresque ?

« Il y a différents styles, ce qui nous permet de dire qu’il y a eu plusieurs sculpteurs. Peut-être un maître, quelques élèves… Qui étaient-ils ? Ça c’est un mystère« , Chritiane Lefeuvre.

Alors pourquoi ce 300 statues ont été sculptées ? « C’est très païen, c’est satirique. Ça représente une satire politique ou religieuse. C’est de l’art contestataire. Ces gens se sont défoulés dans la pierre. Cette cave est unique, d’ailleurs nous n’avons pas retrouvé une telle densité de sculptures réalisées sous terre, aussi bien en France qu’en Europe. Peut-être découvrirons-nous des indices lors de prochaines fouilles« , Chritiane Lefeuvre.

C’est ce que tout le monde attend avec impatience pour peut-être découvrir d’autres secrets élevés enfin le voile sur le mystère de Dénezé Sous-Doué. 

Source

La dague de Toutankhamon a bien été forgée dans un métal extraterrestre

Depuis des lustres, les guides du musée du Caire racontent que sa lame est d’origine céleste. Une récente étude vient de le confirmer.

Quand, en 1925, Howard Carter découvre la momie de Toutankhamon dans son ultime sarcophage, il découvre deux dagues, dont une plaquée contre sa cuisse. C’est une magnifique arme d’apparat longue de 34,2 cm. Elle est constituée d’un manche en or ouvragé, surmonté d’un pommeau de cristal de roche. Mais ce qui stupéfie l’archéologue et tous ceux qui l’accompagnent, c’est la lame !

Une lame en fer, absolument pas rouillée – hormis quelques rares endroits – malgré un âge de 3 300 ans. Bigre ! Incroyable ! Stupéfiant ! D’autant plus que les Égyptiens de cette époque ne maîtrisaient absolument pas le fer. Ils se contentaient depuis le IVe millénaire avant notre ère de façonner le bronze, le cuivre et l’or, plus malléables. Les premières mines de fer dans la vallée du Nil n’ont pas été exploitées avant le premier millénaire avant notre ère.

Howard Carter rappela alors que les prêtres égyptiens prétendaient que le fer utilisé était d’origine céleste pour permettre au jeune roi de rejoindre le royaume des cieux. Il fallait prendre ces déclarations sacerdotales au pied de la lettre. Un document diplomatique pharaonique mentionne, justement, un cadeau royal en fer reçu par le grand-père de Toutankhamon de la part du roi de Mitanni. Du reste, les anciens Égyptiens attribuaient davantage de valeur au fer qu’à l’or !

Par ailleurs, les historiens de la métallurgie ont fourni depuis longtemps la preuve que les premiers objets en fer trouvés en Égypte et au Proche-Orient ont une origine météoritique. Le plus ancien date même de 5 200 ans. Pour le savoir, il suffit d’analyser la composition du fer. Celui qui tombe du ciel possède bien plus de nickel que celui extrait du sol. Aucun objet en fer façonné avant le XIXe siècle ne contient plus de 4 % de nickel, alors que les météorites en fer en contiennent entre 5 % et 35 %.

Spectrométrie de fluorescence des rayons X

Daniela Comelli (École polytechnique de Milan), Massimo d’Orazio (université de Pise) et Mahmud el-Galwagy (musée du Caire) ont donc fait analyser la lame de la dague de « Tut » avec un nouveau procédé non destructeur de matière, appelé la spectrométrie de fluorescence des rayons X*. Bingo ! Celle-ci contient 10,8 % de nickel, ce qui est très élevé, mais aussi 0,58 % de cobalt. Ce qui leur permet d’affirmer avec une grande confiance que la lame a effectivement été taillée dans une météorite.

Source : Le point 

Cet homme a besoin de boire 20 litres d’eau par jour pour rester en vie

Cet homme a besoin de boire 20 litres 

d’eau par jour pour rester en vie

L’architecte allemand Marc Wübbenhorst doit boire au moins 20 litres d’eau par jour ou il risque de mourir de déshydratation. L’homme de 35 ans souffre de la maladie métabolique rare du diabète insipide, qui provoque une soif intense et l’excrétion fréquente de grandes quantités d’urine diluée. Si Wübbenhorst arrête de boire de l’eau, son corps commence à se dessécher et il peut mourir de soif en quelques heures.

La soif constante fait partie de la vie de Marc Wübbenhorst depuis toujours. Il n’y a rien de comparable à la soif qu’une personne normale éprouve, car elle ne disparaît pas après avoir bu un ou deux verres d’eau. Son corps ne peut retenir aucune eau, car ses reins éliminent les liquides presque aussi vite qu’il les ingère. Marc ne peut jamais ignorer sa soif pendant plus d’une heure, car il commence à éprouver de graves symptômes de déshydratation, comme des lèvres craquelées, des étourdissements et de la confusion. Ce sont des symptômes que la plupart des adultes éprouvent après deux ou trois jours de privation de liquides.

Photo : Marc Wübbenhorst/Facebook

Bien que le diabète insipide peut se développer à tout moment de la vie, Wübbenhorst est né avec la condition. Enfant, il a relativement bien géré son état, il avait beaucoup d’amis et essayait de mener une vie normale, mais à un moment donné, c’est devenu trop éprouvant et il est tombé dans une dépression profonde.

“J’ai eu une sorte de dépression d’épuisement”, a dit Marc à Neue Westfälische. “Je ne voulais plus aller au jardin d’enfants, ni peindre, ni voir la parade des lanternes.”

Chaque jour dans la vie de Marc Wübbenhorst commence avec une grande bouteille d’eau pour le remplir, mais ça ne dure pas longtemps, car il doit bientôt aller aux toilettes. C’est encore plus difficile la nuit, et le jeune homme de 35 ans admet qu’il n’a jamais dormi plus de deux heures d’affilées de toute sa vie. Il doit constamment se lever, s’hydrater et ensuite aller aux toilettes pour excréter tous les fluides. Au total, il se rend aux toilettes jusqu’à 50 fois en 24 heures.

Marc doit toujours tenir compte de sa condition lorsqu’il planifie son horaire de travail et son temps libre. Des situations comme un long vol ne pouvaient pas être planifiées de manière adéquate pour son état, car il ne savait pas comment le gérer en cas d’urgence.

Photo : Marc Wübbenhorst

“Certaines choses, comme les longs voyages ou certains sports, sont hors de question”, dit-il.

Dans son interview avec Neue Westfälische, Marc se souvient d’un incident dramatique où son diabète insipide a failli le tuer. Il a eu une journée inhabituellement longue au bureau et s’est retrouvé dans un train qui rentrait chez lui vers 22h30, sans bouteille d’eau. Son trajet n’est pas très long, donc ce n’est généralement pas une raison de s’inquiéter, mais cette nuit-là, le train est tombé en panne et il a dû se débrouiller sans eau plus longtemps que prévu.

Lorsqu’il est descendu à la gare de Jahnplatz, à Bielefeld, il souffrait déjà de graves symptômes de déshydratation. Il était désorienté et confus, et avait un besoin urgent d’hydratation. Heureusement, un ami proche était là ce soir-là et connaissant son état, il lui a donné de l’eau et lui a sauvé la vie.

Malgré tout, Marc Wübbenhorstne a appris à vivre avec et s’en sort plutôt bien, il ne peut pas voyager sur de longues distances, mais cela lui permet d’apprécier encore plus sa ville natale de Bielefeld. Il participe depuis longtemps à des projets communautaires et organise cette année la foire Sennestädter Weihnachtsmarkt avec l’aide de la communauté turque, des baptistes, des mennonites et de l’aide locale aux réfugiés.

Selon My Virtual Medical Center, le diabète insipide touche 1 personne sur 25 000 dans le monde.