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mercredi 7 septembre 2016

Bonaparte-Wyse Marie Laetitia (de Solms Rattazzi) – Le chemin du paradis (Bicheville) (tome 4) !

Bonaparte-Wyse Marie Laetitia (de Solms Rattazzi) – Le chemin du paradis (Bicheville) (tome 4)

Bonaparte-Wyse Marie - Le Chemin du Paradis - Bibliothèque numérique romande - Henri de Toulouse-LautrecBonaparte-Wyse Marie Laetitia (de Solms Rattazzi) – Le chemin du paradis (Bicheville) (tome 4) : Dans ce quatrième et dernier volume de la série Le piège aux marisLe chemin du paradis (Bicheville), Marie Laetitia Bonaparte-Wyse (Marie de Solms) conclut les fils de l’intrigue : Antoinette refuse un  marquis afin d’épouser Pierre et Gabriel retrouve Mathilde. L’auteure nous décrit de même les destins divers qu’elle attribue aux protagonistes de ses romans. Cette originale nous révèle les raisons du titre de la série et, mais aussi, ses contradictions perceptibles dans ses livres comme dans sa vie qui fut agitée : trois mariages et des relations « scandaleuses », comme  avec Eugène Sue, lui aussi exilé en Savoie.
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Bonaparte-Wyse Marie Laetitia (de Solms Rattazzi) – La Mexicaine (tome 3) !

Bonaparte-Wyse Marie Laetitia (de Solms Rattazzi) – La Mexicaine (tome 3)

Bonaparte-Wyse Marie Laetitia (de Solms Rattazzi) – La Mexicaine (tome 3) : Dans ce troisième et avant-dernier volume de la série Le piège aux marisLa Mexicaine, Marie Laetitia Bonaparte-Wyse (de Solms) tisse avec brio les fils enchevêtrés de  l’intrigue. Roger, Gabriel et Georges ainsi qu’Antoinette devenus amis se sont constitués en un groupe de « Trois Mousquetaires » pour résister aux pressions de leur entourage et rester fidèles à leurs amours. Mathilde Houlot doit se placer à nouveau et tombe – mal – chez  l’inénarrable Hélène Legendre. Sa mère et elle manquent ainsi la « fortune » que leur a léguée Suzanne Moronval. Marie Bonaparte-Wyse excelle dans les descriptions de la société de son époque et du monde du théâtre qu’elle connaissait bien.
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Bonaparte-Wyse Marie Laetitia (de Solms Rattazzi) – Les débuts de la forgeronne (tome 2) !

Bonaparte-Wyse Marie Laetitia (de Solms Rattazzi) – Les débuts de la forgeronne (tome 2)


Bonaparte-Wyse Marie - Les Débuts de la Forgeronne - Bibliothèque numérique romande - Henri de Toulouse-LautrecBonaparte-Wyse Marie Laetitia (de Solms Rattazzi) – Les débuts de la forgeronne (tome 2) : Dans ce deuxième volume de la série « Le piège aux maris », Les débuts de la forgeronne, Marie de Solms poursuit le développement de l’intrigue. On y voit Suzanne-la-folle effectuer un retour sur elle-même, Madame Baldy, la forgeronne, tenter de lancer sa fille Antoinette dans le monde – mais de quel « monde » s’agit-il ? – pour lui faire oublier Pierre, son amoureux mobilisé, et décoré pour sa conduite, les deux « méchants » Baratte et Klauss poursuivre leurs machinations, les deux amis, Roger et Gabriel, monter de Limoges à Paris  – l’un pour devenir comédien, l’autre pour courtiser Mathilde Houlot – où ils retrouvent Georges devenu journaliste « établi ». Malgré quelques préjugés désagréables de l’époque et certaines digressions, ce deuxième tome se laisse lire avec plaisir.
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Bonaparte-Wyse Marie Laetitia (de Solms Rattazzi) – Le piège aux maris (tome 1) !

Bonaparte-Wyse Marie Laetitia (de Solms Rattazzi) – Le piège aux maris (tome 1)

Bonaparte-Wyse Marie Laetitia (de Solms Rattazzi) – Le piège aux maris (tome 1) : Marie de Solms est le nom de plume le plus connu d’une petite nièce de Napoléon 1er, Marie Laetitia Bonaparte-Wyse. Écrivaine, caricaturiste élève de Daumier, elle tient un salon parisien, lieu de rencontres des ennemis de Napoléon III.  Exilée, sous l’interdiction de porter le nom de Bonaparte, elle s’établit à Aix les Bains en Savoie où elle fonde une revue littéraire (où collaborent Hugo, Sainte-Beuve, Ponson du Terrail, Eugène Sue) et un théâtre. Ce roman, premier d’une série de quatre, met en scène une vie parisienne du milieu du 19ème siècle, réaliste et finement décrite, d’ouvriers, de petits bourgeois et de femmes du demi-monde. Dans ce volume, se nouent les fils de l’intrigue où vous ferez connaissance des amoureux Antoinette, la fille du maître de forge, et Pierre, l’ouvrier ; de sa sœur Titi qui cède aux sirènes d’une vie entretenue ; de la consœur de celle-ci, la célèbre mais tragique Suzanne la Folle ; de Georges, le fils de concierge qui réussit dans le journalisme ; du sinistre Dumont-Baratte, escroc  devenu placeur ; d’Antoinette que la pauvreté force à s’engager comme préceptrice dans une famille de bourgeois de Limoges, les Daguet ; et de bien d’autres.
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Besançon Jules – Mémoires de l’instituteur Grimpion !

 Besançon Jules – Mémoires de  l’instituteur Grimpion 


Besançon Jules - Mémoires de l'instituteur Grimpion - Bibliothèque numérique romande - Laura Barr-Wells Paysage du Gros-de-VaudBesançon Jules – Mémoires de l’instituteur Grimpion : “Je suis content de moi”, avec l’accent vaudois si possible, résume à merveille ce personnage haut en couleurs… locales.
L’instituteur Grimpion n’a qu’une obsession : arriver, “grimper” (l’expression remonte à Rodolphe Töpffer dans “Les Grimpions”). Il est supérieur, sûr de lui, déterminé, ambitieux, orgueilleux, négatif, méprisant, manipulateur, prêt à tout, même aux plus sales coups, pour arriver à ses fins. Heureusement il garde un petit fond sincère, faible, amoureux, mais qu’il saura vite combattre avec ardeur.
Il épouse une femme qu’il trouve bête et moche mais qui est la fille du syndic (maire) du village où il est “régent” (instituteur). Il quitte ensuite le village pour aller à Lausanne, trouver un emploi médiocre mais qui lui permettra de faire de la politique et arriver, si possible, au Grand Conseil. Après cette ascension calculée et impitoyable, la chute sera rude…
Jules Besançon, né à Moudon en 1831, a été maître secondaire puis a enseigné le latin à l’Université de Lausanne. Dans ce roman satirique, plein d’expressions vaudoises savoureuses, il critique la politique vaudoise du milieu du 19e, avec ses radicaux, ses révisionnistes, ses conservateurs, l’Église, la loge maçonnique et les interminables débats en assemblées multiples.
Les nombreux coups de griffe aux institutions vaudoises, à l’instruction publique en particulier, sont d’une actualité saisissante, près de 2 siècles après.
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Anet Claude – Mayerling !

               Anet Claude – Mayerling                

Mayerling - Claude Anet - Les Bourlapapey Bibliothèque numérique romandeAnet Claude – Mayerling : Marie Vetsera, une jeune baronne, fait son entrée dans le monde. En elle, nous décrit Claude Anet, « les grâces des deux âges se mêlent » : « le sérieux de l’enfance » et « le triomphe de la femme ». Rodolphe de Habsbourg, le prince héritier de l’empire austro-hongrois, le fils unique de l’empereur François-Joseph et de l’impératrice Élisabeth (Sissi) est mal marié. Il se console par des aventures faciles et se morfond dans un gouvernement profondément conservateur où, libéral, il fait de la figuration. Entre Rodolphe et Marie que tout sépare – ils ne peuvent même pas être présentés l’un à l’autre – naît un amour désespéré et sans issue qui les emportera vers leur destin et la mort à Mayerling.
En 1930, ces événements sont encore présents à la mémoire de bien des gens. Confronté à sa mort prochaine, l’auteur nous livre de ce drame une chronique de journaliste, sans fioriture, presque sèche, d’une écriture courte et brisée, composée de tableaux, où, par touches successives, transparait la passion qui unit l’archiduc et sa maîtresse, amants prêts à tout pour être ensemble et ne jamais se quitter ! À l’urgence d’écrire de l’auteur correspond la fébrilité de cette passion, elle aussi sans issue. Sans avoir l’air d’y toucher, dans un rythme narratif épuré, Claude Anet nous propose un roman où la mort de ces Romeo et Juliette modernes est étouffée par la préservation des convenances et la raison d’État… et qui vaut mieux que ses adaptations cinématographiques ! Claude Anet meurt, lui, d’une septicémie généralisée en janvier 1931…
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Anet Claude – Ariane jeune fille russe !

    Anet Claude – Ariane jeune fille russe     

Ariane jeune fille russe - Claude Anet - Les Bourlapapey Bibliothèque numérique romandeAnet Claude – Ariane jeune fille russe : Ariane, une jeune fille de 16 ans, brillante intelligente libre et orgueilleuse, tient tous les hommes de la ville à ses pieds. Elle vit avec sa tante Varvara qui lui a transmis son idéal de liberté sexuelle et d’aventures sans engagement. Bien que son père préconise son mariage, elle trouve le moyen de faire financer ses études à l’université de Moscou par un de ses “admirateurs”. Elle y rencontre, au cours d’une représentation de Don Juan, Constantin Michel, un riche homme d’affaire occidental… Naît une relation passionnée et conflictuelle entre Ariane et son “grand prince” qui “cherche la femme et le plaisir, redoute la jeune fille et l’amour”. Cet amour vaincra-t-il ? rien n’est moins sûr…
Beaucoup de finesse dans la description de cette relation entre une jeune fille “moderne” qui souhaite préserver l’apparence de sa liberté et un don Juan séducteur, autocrate, et épris d’illusions. Ce roman fut adapté deux fois pour le cinéma.
Jean Schöpfer (Claude Anet) naît à Morges, le 28 mai 1868, d’une famille française, protestante, établie en Suisse lors de la Révocation de l’Édit de Nantes et d’une mère d’origine anglaise. Il fera, ainsi que son frère, une demande de rétablissement de sa nationalité française qui sera acceptée sans la moindre formalité. Sportif (champion de France de Tennis), journaliste, spécialiste de la Russie, il sera le premier automobiliste en Perse. Il écrit, sous le pseudonyme de Claude Anet, inspiré de Jean-Jacques Rousseau, ses voyages en Italie, en Russie et en Perse ainsi que des romans : Petite Ville, Quand la terre trembla, Rives d’Asie, Mayerling, et Ariane, jeune fille russe…
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Allais Alphonse – Les Meilleures Chroniques !

Allais Alphonse – Les Meilleures  Chroniques 

Allais Alphonse – Les Meilleures Chroniques - Bibliothèque numérique romandeAllais Alphonse – Les Meilleures Chroniques, Album primo-avrilesque : Dans ces «Meilleures Chroniques», ne vous attendez pas à ce qu’Alphonse Allais respecte quelque tabou que ce soit. Handicapés ou chauves, français, belges ou anglais, hommes politiques, curés ou militaires, garçons de cafés ou artistes branchés, noirs ou colonialistes, hommes ou femmes, féministes ou machistes (encore qu’il les aime bien) : aucun n’échappe à son humour, sa dérision et ses blagues flegmatiques. «Inventions chimériques, mystifications extravagantes, raisonnements loufoques, mais qui «se tiennent», paradoxes à la fois subtils et déraisonnables, nous retrouverons tout cela dans ce nouveau volume, placé comme le précédent sous le signe de l’absurdité méthodique» (Paul Varenne, préface de l’édition de 1935). Peut-être certains seront-ils choqués. Nous, nous avons bien ri ! Nous ne vous en souhaitons pas plus… (Suivi de l’«Album primo-avrilesque» et ses monochromes).
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Marie d’Agoult – Mémoires

            Marie d’Agoult  – Mémoires              

Agoult Marie d’ – Mémoires - Bibliothèque numérique romandeAgoult Marie d’ – Mémoires : Après Mes Souvenirs dans lesquels Marie d’Agoult (1805-1876, elle écrivit sous le pseudonyme de Daniel Stern), née de Flavigny,  évoque son enfance et le début de sa vie conjugale avec le comte Charles d’Agoult, ces Mémoires retracent, pour l’essentiel, les cinq ans de sa liaison passionnée avec Franz Liszt. Lorsqu’elle le rencontre, elle a 27 ans, lui 21. Elle étouffe dans l’étroitesse d’un mariage avec un aristocrate dont elle ne partage ni les idées ni les valeurs. La mort de leur fille aînée éloigne encore davantage les époux. Marie sombre dans une profonde dépression. Une nouvelle rencontre en 1833 scellera leur destin : ils partent ensemble 8 jours plus tard, quittant tout pour vivre leur passion. D’abord en Suisse puis en Italie avant de revenir en France. Trois enfants naîtront de cette liaison, dont Cosima, future épouse de Richard Wagner.
[Durant les deux mois passés en Suisse], aucune lettre ne nous parvenait dans nos courses fantastiques à travers la montagne. Personne ne savait notre nom dans les maisons isolées, dans les hameaux où nous nous arrêtions de préférence. Presque partout, à nous voir si semblables par la taille, par la couleur des yeux et des cheveux, par le teint et par le son de la voix, on nous prenait pour frère et soeur ; nous en étions tout ravis.
Bien que restés inachevés à la mort de Marie d’Agoult, ces Mémoires constituent un précieux témoignage de ce destin hors du commun, celui d’une vie de femme libre, dont les idées se heurtèrent aux esprits établis. L’édition publiée ici mêle habilement les Mémoires avec des extraits des journaux intimes de Marie d’Agoult, eux-mêmes parfois commentés a posteriori par F. Liszt ! On pénètre ainsi dans l’intimité de leur vie et l’on est touché par ce récit aussi vivant que teinté parfois de nostalgie.
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Marie d’Agoult – Mes souvenirs !


          Marie d’Agoult  – Mes souvenirs        

Agoult Marie d’ – Mes souvenirs - Bibliothèque numérique romandeAgoult Marie d’ – Mes souvenirs : “Six pouces de neige sur vingt pieds de lave”, a-t-on dit de moi, et non sans justesse, écrivait Marie de Flavigny, comtesse d’Agoult (1805-1876), surtout connue pour avoir été la compagne de Franz Liszt durant 9 ans. Pour cela, elle quitta du jour au lendemain son mari et ses filles pour vivre librement sa passion amoureuse avec le pianiste et compositeur le plus adulé de son époque. Le couple – non marié – eut trois enfants dont Cosima, la future épouse de Wagner.
Ces Souvenirs (le premier de ses écrits autobiographiques) décrivent son enfance, son adolescence et sa vie de jeune épouse et mère de famille, avec une foule d’anecdotes, de détails très vivants. Fine observatrice de la l’aristocratie et de son mode de vie finissant, elle jette un regard souvent ironique sur les mœurs de l’époque. “Il était entendu qu’une demoiselle bien élevée, lorsqu’elle entrait dans le monde, devait avoir appris avec ou sans goût, avec ou sans dispositions naturelles, la danse, le dessin, la musique, et cela dans la prévision d’un mari qui, peut-être, il est vrai, n’aimerait ni les arts ni les bals, et qui, au lendemain du mariage ferait fermer le piano, jeter là les crayons, finir les danses, mais qui, possiblement aussi, en serait amateur.”
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