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jeudi 17 janvier 2013

Je voudrais vous parler au nom de l'au-delà !

Je voudrais vous parler au nom de l'au-delà  

"Je voudrais vous parler au nom de l'au-delà, d'une instruction à connaître pour tous les gens de la terre, au regard de la continuation de leur vie de la terre, après la séparation du corps et de l'âme, en montant dans une autre dimension, appelée communément : "le ciel". C'est pourquoi, au nom de Patrick et plus nouvellement Corinne, enfants de Marie Thée qui retransmet, je voudrais vous donner quelques éléments qui pourraient vous servir déjà sur la terre, en comprenant mieux le chemin à parcourir, pour préparer au mieux une meilleure place dans le ciel..."





Essai de métabiologie - La mort et après !

Essai de métabiologie - La mort et après  

Cet ouvrage apporte une réponse nouvelle à une question ancienne. Il s'agit d'une recherche, non plus basée sur la littérature, la religion ou la philosophie, mais sur la science. Tout commence par une question historique personnelle : la mort d'une épouse ; puis, se profilent des hypothèses sur l'existence d'un second corps. Alors, pour communiquer avec l'Au-delà et connaître ce corps invisible mais présent, des expériences optiques et électroniques sont tentées. De nombreuses difficultés se sont présentées. En effet, les " objets " de ces expériences ne sont pas à notre disposition. Leur réitération reste problématique et ne satisfait pas les statistiques. De plus, il faut tenir compte, lors de leur déroulement, des tensions électriques et des parasites. Pourtant, cette démarche ne propose pas des hypothèses fantaisistes, mais se veut une étude sérieuse et pluridisciplinaire, qui se fixe l'objectif de dévoiler une ouverture de connaissance sur une seconde vie.






Saint-Malo au temps des négriers !

Saint-Malo au temps des négriers  

Michelet opposait Saint-Malo, la ville des corsaires, à Nantes, celle des négriers. Cette image, simpliste et flatteuse, avait de quoi satisfaire l'historiographie malouine, plus soucieuse de célébration que de précision. La réalité est pourtant incontournable : en cent cinquante ans, Saint-Malo a vu partir environ 250 expéditions de traite qui ont assuré le transport de près de 80 000 captifs africains. Cette réalité situe la patrie de Surcouf à la cinquième place des ports négriers français et la véritable question qui se pose à l'historien c'est justement de savoir pourquoi ce rang est si modeste. Et peut-on accepter ce jugement de Roger Vercel, fin connaisseur de l'âme malouine, qui affirmait dès 1948 : " Saint-Malo a vendu du bois d'ébène, avec le seul regret de n'en point vendre davantage " ? Une expédition négrière est une opération longue, complexe et coûteuse. S'appuyant sur une documentation abondante et, en grande partie inédite. Alain Roman en décrit les rouages. Avec lui nous rencontrons les armateurs qui rassemblent le capital et achètent les cargaisons nécessaires dans l'Europe entière. Au pied des remparts de la ville nous suivons les préparatifs : recrutement des équipages et des capitaines, aménagement des navires, embarquement des marchandises. Nous accompagnons le capitaine Ohier de Grandpré sur les côtes d'Afrique où il achète ses captifs avant de leur faire traverser l'Atlantique. Un pan inconnu de l'histoire de Saint-Malo est enfin dévoilé. Qui a participé au commerce négrier ? Ce trafic pouvait-il rapporter gros ? Pouvait-on être à la fois corsaire et négrier ? Quelle fut la position des Malouins dans le débat sur l'abolition de l'esclavage et la suppression de la traite ? Voici quelques questions, parmi d'autres, auxquelles l'auteur apporte des réponses dans un livre que Jean Delumeau, professeur au Collège de France, qualifie de " solide et vrai ".









Terre d'or : Voyages en Birmanie !

Terre d'or : Voyages en Birmanie  

Il y a soixante ans, lorsque Norman Lewis parcourut la Birmanie, destination mythique entre toutes, il craignait que le pays ne subît tôt ou tard le même sort que la Chine ou d'autres contrées d'Asie, devenues, à cette époque, inaccessibles aux voyageurs pour cause de guerre ou de révolution. La majeure partie du pays aux mille pagodes était alors entre les mains de divers groupes rebelles. Lewis a cependant eu la chance de visiter des régions qui depuis sont restées fermées aux étrangers durant de longues années. Terre d'Or, récit écrit avec le flegme et l'humour caractéristiques des travel writers anglais, donne une vision empathique de la Birmanie de l'époque: ses traditions, ses contradictions et surtout ses côtés fantastiques, irréels, qui rendent le pays et ses habitants si attachants.




Les fantômes du crépuscule !

Les fantômes du crépuscule  

Alors que la guerre gronde autour de Saïgon, la jeune Duyên vit, dans sa famille, les bouleversements de la société vietnamienne, la fin des valeurs ancestrales, la confrontation des idéologies et l'attrait de l'Occident. Les destins s'entrechoquent : les émigrés fuyant le régime communiste du Nord, l'agonie des dynasties terriennes du Sud, le retour des intellectuels vietnamiens formés en Europe. Mais l'angoisse quotidienne de la guerre est également présente au sein de la famille, entre un père autoritaire, violent et joueur, et une mère volage, trop occupée par elle-même pour prendre soin de ses trois enfants... L'atmosphère oppressante de ce récit révèle que la guerre ne se limite pas au front, mais ravage aussi les foyers où les adultes reproduisent la violence extérieure, la censure, le mensonge, la corruption... Les Fantômes du crépuscule constitue une description sans complaisance d'une certaine société saïgonnaise durant la période qui a suivi le départ des Français et qui s'est terminée par la défaite américaine et la chute du régime sudiste.




À travers la Sibérie !

À travers la Sibérie  

Charles WENYON, médecin et missionnaire anglais, se rend en 1893 de Chine en Angleterre, à une époque où la construction du Transsibérien n'en est qu'à ses débuts. Il est l'un des derniers voyageurs européens à parcourir la route de la côte du Pacifique aux montagnes de l'Oural sur les traces de la malle-poste c'est-à-dire tantôt en tarantass, tantôt en bateau à vapeur. Son périple de plus de trois mois lui laisse tout loisir de contempler les merveilleux paysages de la Sibérie sauvage. Mais c'est lors des haltes dans les villes ou les villages traversés, au cours des trajets entre les relais de poste ou à bord des bateaux à vapeur qu'il fera les rencontres les plus insolites. Observateur perspicace, d'une curiosité toujours en éveil, il rapporte ce qu'il a vu et entendu en nous faisant partager ses propres impressions et sentiments face à cette nature grandiose et à ces populations souvent si différentes de lui. A son expérience personnelle, aspect le plus passionnant de ce récit, il ajoute des informations intéressantes sur les coutumes, l'histoire ou les religions des diverses peuplades sibériennes rencontrées en cours de route. Certes, l'auteur est un homme de son temps, un Britannique de l'époque victorienne, avec ses préjugés qui ne sont plus les nôtres. Mais c'est aussi un homme intelligent, cultivé, sensible à la beauté de la nature et surtout doué d'un délicieux sens de l'humour, grâce auquel il manie l'euphémisme, la litote et le sous-entendu avec beaucoup de bonheur.




Délire des tropiques !

Délire des tropiques  

Laszlo Székely est né à Budapest à la fin du XIXe siècle. Agé d'à peine vingt ans, il quitte son pays sur un coup de tête et se fait engager comme planteur à Sumatra. L'île faisait alors partie de l'empire colonial hollandais, et la " mise en valeur " de la côte Est venait tout juste de commencer. Székely s'est trouvé le témoin direct de cet événement majeur de l'histoire du colonialisme batave. Loin de porter un quelconque jugement sur cette réalité, il décrit avec surprise et naïveté le monde féroce des planteurs blancs qui vivaient souvent dans une solitude aujourd'hui difficile à imaginer. Il nous parle des nyay, ces concubines indigènes qui adoucissaient l'existence des planteurs, mais dont tout le monde feignait d'ignorer l'existence - prude protestantisme oblige ! - et décrit avec réalisme la brutalité de traitement des coolies indigènes. Une scène d'amok se termine par l'assassinat pur et simple du forcené, une chasse à l'éléphant prend une tournure plus que scabreuse. Dans cet univers impitoyable, les beuveries constituent, alors, le rare point de rencontre salvateur... Le récit de Székely a été publié en Hongrie au début des années vingt. Traduit en allemand et en anglais dix ans plus tard, il a fait sensation aux Pays-Bas et, parmi les 125 000 Hollandais de la colonie, provoqua de vives réactions.




Reine des coupeurs de tête !

Reine des coupeurs de tête

Margaret Brooke, jeune anglaise naïve de l'époque victorienne, débarque après une longue et pénible traversée en mer, au cœur de Bornéo, pays encore largement inexploré. Elle s'éprend immédiatement des larges fleuves bordés de mangroves, des longues plages de sable blanc, des montagnes lointaines se découpant sur les ciels tourmentés des tropiques et des senteurs indéfinissables de la forêt. Sans craindre les colères de son terrible mari, Charles, épousé sans amour et qu'elle-même nomme "Rajah" dans ses mémoires, elle s'attache à ce lieu d'immigration forcée. Elle considère avec beaucoup d'intérêt et de bienveillance la faune aussi étrange que dangereuse. Tant les chichaks, lézards familiers des maisons, les merveilleux papillons chers à son époux, les colibris, les gibbons et les macaques effrontés, que d'autres espèces nettement moins sympathiques, tels les varans, les crocodiles, les pythons ou les cobras, tout dans ce pays éveille sa curiosité et ses sens. Quelques jours seulement après son arrivée, son mari part pour une expédition chez les turbulentes tribus de l'intérieur. Mais au lieu de se plaindre de sa solitude auprès de ses rares compatriotes habitant l'île, elle invite à un thé toutes les dames malaises, se lie d'amitié et s'initie à leurs us et coutumes. Lorsque Charles revient quelques semaines plus tard, elle se débrouille dans la langue malaise et s'habille à la mode locale. Après la mort brutale de ses trois premiers enfants sur le bateau qui les ramenait en Grande-Bretagne, elle trouve le courage de revenir au Sarawak et de donner trois nouveaux descendants à son mari. Plus tard, elle s'installe en Angleterre avec ses enfants et ne revient qu'occasionnellement à Bornéo pour les présenter aux tribus Dayaks de la jungle dont elle décrit avec amour et brio les coutumes primitives. Son Rajah restera seul dans son palais de Sarawak, au milieu de ses meubles disparates et de ses palmiers en pot.










L'Abîme Ninja - Tome 1 !

L'Abîme Ninja - Tome 1  

2050, Afin de préserver la nature, les peuples du monde entier ont été rapatriés dans les métropoles. Les forêts qui encerclent désormais les villes se peuplent de criminels en tous genres, dont les féroces ninjas qui sèment la terreur en enlevant régulièrement des enfants. Gabrielle, une adolescente de 17 ans, est à son tour victime d'un de ces rapts. Alors qu'elle se croit perdue à jamais, son mystérieux ravisseur va lui faire prendre le chemin d'un palpitant apprentissage qui lui redonnera espoir. Mais dans un monde cruel dont la seule règle est de se battre ou de périr, elle sait qu'elle ne pourra pas toujours compter sur ce jeune protecteur. Avec ce roman destiné aux adolescents, Lorien Séon réussit à nous tenir en haleine jusqu'au bout en mettant en scène des personnages attachants et de nombreux rebondissements. Nous sommes plongés dans un univers angoissant où tout sentiment humain a été banni. Mais l'amour et l'amitié seront les armes de la résistance.







La Femme au rasoir !

La Femme au rasoir  

Septembre 2004. Alan Davignon a accepté de partir en Afghanistan en tant que reporter pour couvrir les premières élections libres. Sa femme, Claire, ne supporte pas cette décision prise à la légère. Débute alors l’aventure d’un homme dans un pays où les massacres continuent de faire rage. Propulsé sur la scène médiatique pour une photo de femme prise au hasard dans le feu de l’action, Alan ouvre soudain les yeux sur la société où l’image dicte sa loi : sa photographie alimente la presse du monde entier, mais que reste-t-il de la détresse de cette Afghane en deuil, qu’un journaliste surnommera « la femme au rasoir ». L’histoire d’un photographe, d’un père loin de sa famille, en plein désert afghan. L’histoire d’une femme, en proie à la douleur, prête à tout pour mettre fin à ses souffrances. L’histoire d’une rencontre et d’une photo qui, entre succès et coups bas, auront des conséquences inattendues. Jean-Claude Vian signe une analyse brillante des médias et de la réalité du monde. Mêlant fiction et actualité, récit et carnet de voyage, La Femme au rasoir est un roman alarmant, mais surtout profondément altruiste.