Rechercher dans ce blog

lundi 5 mars 2018

Fiction N°69 - Livres !

                        Fiction N°69 - Livres                      


Sommaire

Des fleurs pour Algernon par DANIEL KEYES
Fin de non-concevoir par C.M. KORNBLUTH
Envoie tes cavaliers… par JEAN-CLAUDE PASSEGAND
La pouponnière par THEODORE R. COGSWELL
Les comédiens par GALI NOSEK
Le petit garçon perdu par AUGUST DERLETH
La nuit des mensonges par DAMON KNIGHT
la sorcière aux marrons par MARK VAN DOREN
Mission anthropologique par MURRAY LEINSTER
Mon oncle par BRUNO VINCENT


Fiction N°68 - Livres !

                        Fiction N°68 - Livres                      


NOUVELLES
Au Pilote Aveugle par Charles Henneberg
Quelle apocalypse ? par Damon Knight
Je vous salue, maris…par Belen
L’intruse par R. Bretnor
La tour d’ivoire par Anne McCaffrey
La présence désolée par Thomas Owen
Les vins de la Terre par Idris Seabright
Le virus du Nevada par Floyd L. Wallace
Le vent souffle où il veut par Chad Oliver
CHRONIQUES ET RUBRIQUES
Bas le masque, professeur Hynek ! par Aimé Michel
Ici, on désintègre ! par J. Bergier, A. Dorémieux et G. Klein
L’écran à quatre dimensions par F. Hoda


Fiction N°67 - Livres !

                        Fiction N°67 - Livres                      


NOUVELLES
M. Belzébuth est en conférence par Alfred Bester
Nocturne par Fritz Leiber
L’Enfer par Albert Ferlin
Oiseau de proie par Marion Zimmer Bradley
Sandy et son tigre par Alex Apostolides
Les cerceaux par Michel Ehrwein
Mr. Milton se met aux vers par Robert Arthur
Les prospecteurs par Poul Anderson
L’amulette par Jacqueline Osterrath
Mémoires de l’ombre par Marcel Béalu
CHRONIQUES ET RUBRIQUES
Marcel béalu ou la réalité du fantastique par Marc Alyn
De l’abeille à la fourmi, le monde étonnant des insectes par Jacques Graven
Ici, on désintègre ! par J. Bergier, A. Dorémieux, G. Klein et I. B. Maslowski


Fiction N°66 - Livres !

                        Fiction N°66 - Livres                      


NOUVELLES
Des filles, à pleins tiroirs…par Fritz Leiber
Fréquence critique par Raymond E. Banks
Contes d’ailleurs par Anne Merlin
L’homme qui n’oubliait jamais par Robert Silverberg
Les fauteurs de paix par Poul Anderson
Les trois vieilles par André Coypel
Incurables sauvages par George P. Elliot
La peau d’un autre par Théodore R. Cogswell
Le cercle de peur par Algis Budrys
La pendule par Thomas Owen
L’impasse par Charles L. Fontenay
CHRONIQUES ET RUBRIQUES
Le voyage vers les étoiles par Jean-Jacques
L’écran à quatre dimensions par F. Hoda
Aux frontières du possible par Jacques Bergier


DOSTOÏEVSKI Fedor – Livres Audio !

          DOSTOÏEVSKI Fedor – Livres Audio        


DOSTOÏEVSKI, Fedor – Journal D’un Écrivain (1873-1876)

Donneuse de voix : Pomme | Durée : 14h 48min | Genre : Essais

St Petersbourg.JPG
Ce journal, écrit et publié de 1873 à 1881, contient des réflexions de l’auteur sur la Russie, sur l’occident, sur le caractère russe, sur l’instruction des femmes, des enfants, etc, et même sur des faits divers, mais également quelques œuvres littéraires de fictions, des nouvelles.
Traduction : J.-Wladimir Bienstock (1868-1933) et de John-Antoine Nau (1860-1918).
Écouter un extrait : Préface.
Page vue 109 786 fois | Envoyer à un(e) ami(e) Envoyer à un(e) ami(e) |

DOSTOÏEVSKI, Fedor – La Timide (Version 2)

Donneuse de voix : Pomme | Durée : 1h 35min | Genre : Contes

La Timide
Conte inclus dans Journal d’un écrivain.
« Je demande pardon à mes lecteurs de leur donner cette fois un conte au lieu de mon « carnet » rédigé sous sa forme habituelle. Mais ce conte m’a occupé près d’un mois. En tout cas, je sollicite l’indulgence de mes lecteurs.
Ce conte, je l’ai qualifié de fantastique, bien que je le considère comme réel, au plus haut degré. Mais il a son côté fantastique, surtout dans la forme, et je désire m’expliquer à ce sujet.
Il ne s’agit ni d’une nouvelle, à proprement parler, ni de « mémoires ». Figurez-vous un mari qui se trouve chez lui, devant une table, sur laquelle repose le corps de sa femme suicidée. Elle s’est jetée par la fenêtre quelques heures auparavant. [...] » (Avertissement de l’auteur.)
Traduction : J.-Wladimir Bienstock (1868-1933) et John-Antoine Nau (1860-1918).
Écouter un extrait : Chapitre 1.
Page vue 7 065 fois | Envoyer à un(e) ami(e) Envoyer à un(e) ami(e) |

DOSTOÏEVSKI, Fedor – La Confession De Stavroguine

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 1h 45min | Genre : Romans

La Confession de Stavroguine
La Confession de Stavroguine à l’évêque Tykhon, censurée, a été supprimée de l’édition originale deLes Possédés (1879) de Dostoïevski et publiée seulement en 1922 comme fragment inédit.
En 1879, l’auteur est plutôt conservateur, car pour lui une vie dans Dieu, nihiliste, est très dangereuse. Toute son œuvre est basée sur le danger de la perte des valeurs, d’où la célèbre formule « Si Dieu n’existe pas, tout est permis ». Nicolas Vsévolodovitch Stavroguine, le prince mystérieux, le ténébreux nihiliste, le possédé, le déraciné qui ne se laisse jamais dévoiler est devenu presque athée, au contact de la civilisation occidentale mais on le devine parfois plutôt chrétien ; il en va de même pour ses aventures amoureuses. Son nihilisme n’a pas pour conséquence l’indifférence au Bien et au Mal, mais une obsession pour la bassesse. Stavroguine a violé la petite Matriocha. L’enfant éprouve un sentiment de honte et de déshonneur. Elle croit même avoir « tué Dieu », comme si le nihilisme était passé dans son corps. L’auteur se garde bien de prendre position. L’intéressent seulement les confrontations d’idées, l’homme en lutte avec ses doutes. Tout ici n’est clarifié qu’avec le dialogue où s’affrontent Stavroguine et le moine Tikhon.
Notons cette précision de Dostoïevski : « Cette confession écrite est le produit, à mon sens, d’un auteur en état de crise, son œuvre est celle du diable qui le possédait. Le sentiment qui a poussé à écrire ce document est exactement celui qu’éprouve un malade souffrant d’un mal aigu et s’agitant dans son lit pour trouver une position qui lui apporterait un allégement, tout au moins momentané, ou sinon un allégement, un changement de douleur. »
Traduction : Ely Halpérine-Kaminsky (1858-1936).
Écouter un extrait : Chapitre 01.
Page vue 7 342 fois | Envoyer à un(e) ami(e) Envoyer à un(e) ami(e) |

DOSTOÏEVSKI, Fedor – Le Crocodile

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 1h 45min | Genre : Nouvelles

Le Crocodile
La longue nouvelle de Dostoievski, Le Crocodile, est restée inachevée. Écrite pendant les années 1860, à l’heure où la Russie se libéralise, en même temps que Crime et châtiment, elle est, à l’opposé, une œuvre burlesque, légère, absurde, très inspirée du style fantastique de Gogol dans Le Nez. L’annonce du sous-titre est révélatrice : ce livre est « un récit véridique, sur la façon dont un monsieur, d’âge et d’aspect certain, fut avalé vivant par le crocodile du Passage, tout entier, de la tête jusqu’aux pieds, et ce qui s’ensuivit. »
L’argument est extraordinaire, kafkaïen avant la lettre et l’apologue, parodiant le mythe de Jonas dans la baleine, est très antisocial ; Dostoïevski y exprime sa haine des Allemands (le manager et sa mère) et des Français, du capitalisme occidental et du catholicisme. Par exemple, le crocodile est à la fois propriété privée et source de revenus, il est donc inviolable. D’ailleurs, il est creux et confortable à souhait ; il permet de penser, de parler, et d’être écouté.
On a parfois l’impression que l’auteur dans sa loufoquerie se moque du lecteur, en rapportant les propos du héros avalé, confortablement installé dans le ventre du saurien :
« Maintenant que j’en ai enfin le temps, je suis tout entier aux grandes idées, je me préoccupe du sort global de l’humanité. C’est de ce crocodile que sortiront désormais la vérité et la lumirère. Il n’est pas douteux que je vais découvrir une nouvelle et personnelle théorie, de nouveaux rapports économiques et que j’aurai lieu d’en être fier. Je n’avais pu m’appliquer à ces questions jusqu’ici, par suite du peu de loisirs que me laissaient mon service et les futiles distractions mondaines. Je vais tout révolutionner ; je serai un nouveau Fourier… »
Traduction : J.-Wladimir Bienstock (1868-1933).
Écouter un extrait : Chapitre 01.
Page vue 7 600 fois | Envoyer à un(e) ami(e) Envoyer à un(e) ami(e) |

DOSTOÏEVSKI, Fedor – Le Grand Inquisiteur

Donneur de voix : Ahikar | Durée : 1h 43min | Genre : Contes

Grand Inquisiteur
Dostoïevski a oscillé toute sa vie entre foi et incroyance, entre le cœur et la raison, entre la raison qui le faisait pencher vers l’athéisme et le cœur qui le ramenait toujours vers le Christ qu’il aimait tant.
Un fait m’a toujours marqué – qui le troublait lui aussi profondément : c’est qu’il lui fallait souvent plusieurs jours d’un travail acharné pour construire une argumentation théologique, alors que quelques heures lui suffisaient pour la démolir complètement.
Les pages du Grand Inquisiteur constituent peut-être le summum de l’œuvre de Dostoïevski : elles sont le fruit de plusieurs décennies de réflexion, toutes ses grandes idées sont là et ont fusionné pour donner ce grand conte philosophique.
Pas étonnant qu’il ait marqué des personnalités aussi diverses que Freud, Einstein ou encore Camus.
« Il a désiré se montrer, ne fût-ce qu’un instant, au peuple, à cette multitude malheureuse, souffrante, plongée dans l’infection du péché, mais qui L’aime d’un amour enfantin. L’action se passe en Espagne, à Séville, à l’époque la plus terrible de l’Inquisition, lorsque chaque jour on faisait, pour la plus grande gloire de Dieu : des autodafés magnifiques de ces sacripants d’hérétiques… »
J’ai ajouté à cette lecture l’analyse de Sigmund Freud : Dostoïevski et le parricide.
Je conseillerai en supplément la lecture des Rêves de la louve du très grand écrivain kirghize Tchinguiz Aïtmatov qui nous fait revivre dans la deuxième partie de son livre, chapitre II, la confrontation entre Ponce Pilate et le Christ dans des dialogues hautement philosophiques qui n’ont rien à envier à ceux de Dostoïevski.
Traductions : Victor Derély (1840-1904, Le Grand Inquisiteur) ; Henri Mongault (1888-1941, Dostoïevski et le parricide).
Le Grand Inquisiteur.
Télécharger le mp3 (Clic-droit, « Enregistrer sous… »)

Page vue 17 332 fois | Envoyer à un(e) ami(e) Envoyer à un(e) ami(e) |

DOSTOÏEVSKI, Fedor – Cœur Faible

Donneur de voix : René Depasse | Durée : 2h 10min | Genre : Nouvelles

Vassia Choumkov
Vassia Choumkov, simple fonctionnaire, à la veille de se marier, craint de ne pas remettre à temps son travail de copiste qu’il a négligé au profit de ses rendez-vous amoureux. Ce Cœur faible ne peut supporter la plénitude de son bonheur : accablé de ne pouvoir manifester sa reconnaissance à son généreux supérieur « Son Excellence », qui lui a donné une gratification, à la vie et à son ami Arkade Ivanovitch Néfédévitch, qui lui apportent tant de bonheur, il glisse irrémédiablement vers la folie…
« La réponse accrut la stupéfaction de l’auditoire, tellement elle paraissait étrange et déraisonnable : comment un homme pouvait-il devenir fou de reconnaissance ? »
Cœur faible est une belle évocation de l’amitié et une suite de pages émouvantes sur l’« âme slave », comme on s’y attend chez Dostoïevski.
Traduction : Georges d’Ostoya-Sochinsky (1878-1937) et Gustave Masson (1819-1888).
Écouter un extrait : Chapitre 01.
Page vue 7 236 fois | Envoyer à un(e) ami(e) Envoyer à un(e) ami(e) |

DOSTOÏEVSKI, Fédor – Les Possédés

Donneuse de voix : Pomme | Durée : 29h 50min | Genre : Romans

Dostoievski-Fedor-Les-Possedes
Les Possédés ou Les Démons (titre original russe : Бесы)
Dostoïevski, conservateur et nationaliste convaincu, voulait exprimer dans ce roman sa crainte des révolutionnaires à travers une fiction mettant en scène les héros (les conservateurs) face aux « ennemis de la Russie» (les socialistes et les nihilistes).
En réalité, l’auteur critique toutes les idéologies : les démocrates et les socialistes sont les possédés, les fanatiques religieux et les ultra-conservateurs aussi.
« En ma qualité de chroniqueur, je me borne à relater les faits exactement comme ils se sont produits, ce n’est pas ma faute s’ils paraissent invraisemblables. […] » Ainsi s’exprime le narrateur dans cette œuvre de fiction.
Et, à nouveau, Dostoïevski nous donne l’impression, fascinante, d’être « dépassé » par l’originalité, l’étrangeté, ou même la folie des ses personnages…
Traduction : Victor Derély (1840-1904).
Écouter un extrait : Chapitre 01.
Page vue 46 444 fois | Envoyer à un(e) ami(e) Envoyer à un(e) ami(e) |

DOSTOÏEVSKI, Fedor – L’Idiot

Donneuse de voix : Pomme | Durée : 32h 40min | Genre : Romans

L'Idiot
L’Idiot est un roman psychologique complexe : le récit met en scène une quarantaine de personnages très distincts, dont le comportement confine souvent à la folie.
Le prince, Léon Nikolaïévitch Muichkine, personnage fragile, débonnaire et naïf, débarque dans la bourgeoisie russe de cette époque, artificielle et corrompue. Il représente la douceur de la folie contrastant avec la violence folle qui anime d’autres personnages.
Les rebondissements, aussi fréquents qu’imprévisibles, éblouissent le lecteur, et… surprennent même l’auteur !
Traduction : Victor Derély (1840-1904).
Écouter un extrait : Avertissement.
Page vue 158 852 fois | Envoyer à un(e) ami(e) Envoyer à un(e) ami(e) |

Tous nos livres audio gratuits pour Fedor Dostoïevski :


DICKENS Charles – Livres Audio !

          DICKENS Charles – Livres Audio              



DICKENS, Charles – Les Papiers Posthumes Du Pickwick Club (Livre 02)

Donneuse de voix : Cocotte | Durée : 18h 10min | Genre : Romans

Charles Dickens - Les Papiers posthumes du Pickwick Club
« Dans Les Papiers posthumes du Pickwick Club, la récurrence des fantômes, des incidents terrifiants ou simplement grotesques, surtout dans les récits intercalés, témoigne du désir de l’auteur « d’envoyer des frissons dans le dos à ses lecteurs et de les faire en même temps se tordre de rire ».
La palme comique revient sans doute à la création de deux personnages extraordinaires dans Les Papiers posthumes du Pickwick Club, Mr Jingle et Sam Weller. Jingle est le champion du degré zéro de l’éloquence, sa syntaxe réduite à un empilement spartiate de mots cocasses mais redoutablement dramatiques, « langage télégraphique tintinnabulant comme son nom » : « éprouvé, à bout, petite boîte, bientôt, tas d’os, rapport police, fausses conclusions, tirer le rideau ». Quant à Sam Weller, outre son sens comique de la répartie, il pratique l’art du proverbe détourné, perverti ou forgé, d’où cet intarissable florilège d’aphorismes commentant chaque événement de façon incongrue mais essentielle.
Grâce à Mr Pickwick et à son club on se délecte des conventions sociales d’un certaine Angleterre. Ce roman satirique, où l’absurde se fait poésie, est un chef d’oeuvre d’humour ! » (Wikipédia)
Traduction : Pierre Grollier (18?-18?).
Écouter un extrait : Chapitre 01.
Page vue 6 185 fois | Envoyer à un(e) ami(e) Envoyer à un(e) ami(e) |

DICKENS, Charles – Les Papiers Posthumes Du Pickwick Club (Livre 01)

Donneuse de voix : Cocotte | Durée : 19h 15min | Genre : Romans

Charles Dickens - Les Aventures de Mr Pickwick
Les Papiers posthumes du Pickwick Club est le premier roman de Charles Dickens (1812-1870). D’abord publié en feuilleton de mars 1836 à novembre 1837, The Pickwick Papers connaît un succès quasi immédiat. Le premier numéro paraît à environ 400 exemplaires ; à la fin, le tirage s’élève à 40.000. Ainsi, comme il est dit dans l’un des premiers comptes rendus, Charles Dickens s’est trouvé « catapulté vers la gloire comme une fusée » et l’ouvrage est resté à la première place dans le cœur des lecteurs de Dickens pendant de nombreuses décennies.
En France, il a paru pour la première fois en 1871 sous forme de feuillets illustrés, sous le titre : Les Aventures de Monsieur Pickwick.
Traduction : Pierre Grollier (18?-18?).
Écouter un extrait : Chapitre 01.
Page vue 7 646 fois | Envoyer à un(e) ami(e) Envoyer à un(e) ami(e) |

DICKENS, Charles – Bleak House

Donneur de voix : André Rannou | Durée : 32h 22min | Genre : Romans

Bleakhouse serial cover
Ce roman, l’un des plus ambitieux de Charles Dickens, relate l’histoire de quelques membres de la famille Jarndyce, qui se livrent une bataille juridique interminable à propos d’une fortune ayant fait l’objet de plusieurs testaments contradictoires. Les lois anglaises de l’époque sont si compliquées et le procès dure si longtemps que lorsqu’un jugement est enfin attendu, aucun d’entre eux n’hérite du moindre penny, toute la succession ayant été absorbée par les frais de justice.
Ce roman est à la fois une satire féroce, où le comique côtoie sans cesse le tragique, d’une société foncièrement corrompue, et un thriller, un peu à la manière de Wilkie Collins, futur auteur de La Femme en blanc, et grand ami de Dickens. Le récit est écrit tour à tour par deux narrateurs : l’héroïne, Esther Summerson, – dont le mystère de la naissance nous est dévoilé de manière très progressive – s’exprimant à la première personne, et un narrateur omniscient parlant à la troisième personne.
« Bleak House » désigne la maison qui est au centre de l’action et veut dire littéralement « Maison austère, morne, désolée». « Dame Durden », terme d’affection utilisé par les proches d’Esther Summerson, est un sobriquet emprunté à une vieille ballade où elle désigne une bonne ménagère. Wat Tyler fut le meneur de la Révolte des Paysans de 1381, qui sous le règne de Richard II mit à sac une partie de Londres, et ce nom évoque des idées de chaos social et d’anarchie.
Traduction : Henriette Loreau (1857).
Écouter un extrait : Chapitre 01.
Page vue 23 938 fois | Envoyer à un(e) ami(e) Envoyer à un(e) ami(e) |

DICKENS, Charles – Les Grandes Espérances (Livre Premier)

Donneuse de voix : Océane | Durée : 8h 50min | Genre : Romans

Charles Dickens
Philip Pirrip, dit « Pip », orphelin élevé par sa sœur et le mari de celle-ci, un homme très bon, le forgeron Joe Gargery, se rend un jour au cimetière visiter ses parents. C’est là que se produit un événement qui changera son existence : il aide un forçat évadé à se débarrasser de ses chaînes…
Traduction : Charles Bernard-Derosne (1825-1904)
Écouter un extrait : Chapitre 01.
Page vue 21 976 fois | Envoyer à un(e) ami(e) Envoyer à un(e) ami(e) |

HOMMAGE À Milunisu

Donneur de voix : Milunisu | Durée : -h –min | Genre : Nouvelles

Coucher de soleil
C’est avec une vive émotion que nous venons d’apprendre la disparition de notre ami Milunisu. Nous partageons la douleur de sa famille et vous proposons de lui rendre hommage en retrouvant les magnifiques livres audio qu’il a eu la générosité d’enregistrer pour nous.
Participations :

Page vue 6 810 fois | Envoyer à un(e) ami(e) Envoyer à un(e) ami(e) |

DICKENS, Charles – Le Magasin D’antiquités (Tome Deuxième)

Donneuse de voix : Christine Sétrin | Durée : 16h 20min | Genre : Romans

Charles Dickens - Le Magasin d'antiquites
Où leur errance va-t-elle mener Nelly et son grand-père ? Qui est donc ce mystérieux gentleman qui semble s’intéresser aux fugitifs ? Comment le brave Kit sera-t-il accueilli chez ses nouveaux maîtres ? L’affreux Daniel Quilp arrivera-t-il à ses fins ? Que deviendront Frédéric Trent, Dick Swiveller, Sampson et Sally Brass ?
Autant de questions restées sans réponse à la fin du premier tome du Magasin d’antiquités
Traduction : Alfred Des Essarts (1811-1893).
Illustration : Fred Barnard (1846-1896), Little Nell and Her Grandfather.
Licence Creative Commons
Écouter un extrait : Chapitre 01.
Page vue 13 528 fois | Envoyer à un(e) ami(e) Envoyer à un(e) ami(e) |

DICKENS, Charles – Le Magasin D’antiquités (Tome Premier)

Donneuse de voix : Christine Sétrin | Durée : 16h 6min | Genre : Romans

Charles Dickens - Le Magasin d'antiquités
La petite Nelly vit seule avec son grand-père à Londres dans une mystérieuse vieille maison de Londres, dont le rez-de chaussée est occupé par un magasin d’antiquités. Pourquoi cette étrange situation ? Qui sont-ils ? Pourquoi le vieillard s’absente-t-il toutes les nuits, laissant Nelly toute seule parmi ces objets sinistres et bizarres ? Le mystère plane… Bientôt une partie du secret va se dévoiler, lançant l’enfant et son grand-père sur les routes d’Angleterre, dans une longue et douloureuse errance peuplée de personnages plus pittoresques les uns que les autres : des « méchants », bien sûr, qui s’imaginent que les fuyards sont recherchés par une riche famille et espèrent bien profiter de la situation, mais il y a aussi des amis qui aideront Nelly et le vieillard tout au long de leur périple…
Adapté de nombreuses fois pour le cinéma et la télévision, Le Magasin d’antiquités fut publié par Charles Dickens pour la première fois dans son éphémère revue L’Horloge de Maître Humphrey entre 1840 et 1841, et traduit en français en 1876. Le dénouement de ce feuilleton, qui sera publié ici dans quelques semaines, suscita de vives réactions parmi les lecteurs qui, par milliers, écrivirent à Dickens des lettres enflammées.
Nous n’en dirons pas plus pour ne pas dévoiler l’intrigue…
Traduction : Alfred Des Essarts (1811-1893).
Illustration : Fred Barnard (1846-1896), Little Nell and Her Grandfather.
Licence Creative Commons
Écouter un extrait : Chapitre 01.
Page vue 17 030 fois | Envoyer à un(e) ami(e) Envoyer à un(e) ami(e) |

DICKENS, Charles – Contes

Donneurs de voix : Projet collectif | Durée : 8h 10min | Genre : Contes

Charles Dickens - Contes
La plupart des romans de Charles Dickens, dont Littérature audio.com fête aujourd’hui le bicentenaire de la naissance, furent initialement publiés sous forme de feuilletons dans différentes revues, certaines entièrement écrites de sa main. C’est le cas par exemple de Master Humphrey’s Clock, revue hebdomadaire publiée entre 1840 et 1841, dans laquelle Maître Humphrey se raconte et évoque le cercle de ses amis, parmi lesquels Mr. Pickwick. Les histoires de Maître Humphrey, présentées aujourd’hui dans le conte intitulé L’Horloge de Maître Humphrey, consistent en une sorte de canevas qui servit de cadre pour la première publication de deux grands romans : Le Magasin d’Antiquités et Barnaby Rudge.
Les autres contes de ce recueil furent pour la plupart publiés dans d’autres revues et sont autant d’incursions dans le monde de Dickens : celui des petites gens, des bas-fonds de Londres, des escrocs et des policiers, bien sûr, mais encore du rêve, du fantastique et de la poésie…
Traduction : Robert de Cerisy (1888).
Illustration : Frontispice du Tome 2 de Master Humphrey’s Clock, édité par Chapman and Hall, 1841.
Écouter un extrait : 01. Aux abois.
Page vue 22 436 fois | Envoyer à un(e) ami(e) Envoyer à un(e) ami(e) |

Tous nos livres audio gratuits pour Charles Dickens :