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dimanche 25 mars 2018

MATURIN Charles Robert – Livres Audio !

     MATURIN Charles Robert – Livres Audio      


MATURIN, Charles Robert – Melmoth, Ou L’Homme Errant (Œuvre Intégrale)

Donneur de voix : Florent | Durée : | Genre : Romans

Charles Robert Maturin
Charles Robert Maturin (1782-1824) est un auteur de romans gothiques. Il publia Fatale Vengeance en 1807 et fut le créateur d’une œuvre reconnue comme une des plus représentatives du style gothique : Melmoth, the Wanderer (Melmoth, l’homme errant), en 1820. Ce roman se découpe en six parties :
Tome 1,
Tome 2,
Tome 3,
Tome 4,
Tome 5,
Tome 6.
Traduction : Jean Cohen (1781-1848).

Consulter la version texte de ce livre audio.
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MATURIN, Charles Robert – Melmoth, Ou L’Homme Errant (Tome 6)

Donneur de voix : Florent | Durée : 3h 4min | Genre : Romans

Theodor Kittelsen (1857-1914) - Melmoth
Cette sixième et dernière partie va nous révéler ce qu’il advient d’Isidora. C’est aussi celle ou L’Homme errant va rencontrer simultanément John Melmoth et Monçada.
« L’Homme errant étendit le bras, comme pour dire qu’il ne les craignait pas, mais qu’il n’avait pas l’intention de leur faire du mal. Il prit ensuite la parole et le son étrange et grave de cette voix, la seule qui eût retenti si longtemps sur la terre : ce son fit sur leurs sens l’effet du tonnerre roulant dans le lointain.
- Mortels, leur dit-il, vous êtes ici pour parler de ma destinée, et des événements qui l’ont marquée. Cette destinée est, je crois, accomplie, et avec elle finissent ces événements qui ont excité votre vague et triste curiosité. Je suis ici à mon tour pour tout éclaircir : oui ; moi, moi, de qui vous parlez, je suis ici. Qui peut mieux raconter les aventures de Melmoth, l’Homme errant, que lui-même, au moment, où il va terminer cette existence qui a été un sujet d’étonnement et de terreur au monde entier ? Melmoth, vous voyez votre ancêtre. L’homme dont vous avez vu le portrait avec une date si reculée, est devant vos yeux. Monçada, vous voyez une connaissance d’une date plus récente. »
Traduction : Jean Cohen (1781-1848).
Écouter un extrait : Chapitre 36.

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MATURIN, Charles Robert – Melmoth, Ou L’Homme Errant (Tome 5)

Donneur de voix : Florent | Durée : 1h 44min | Genre : Romans

Gravure de Georges Paul Francois Laurent Laugee
Don Francisco d’Aliaga discute avec un étranger qui dit en savoir long sur Melmoth. Cet étranger va alors lui raconter l’histoire de la famille Guzman.
« La mendicité paraissait devoir être désormais la seule ressource de cette malheureuse famille. Elle se décida à en faire l’essai dès le soir même. Le malheureux père ne changea pas de place le reste de la journée. Inès s’efforça de réparer encore les habits de ses enfants, qui étaient en si mauvais état, que chaque point qu’elle faisait occasionnait une nouvelle déchirure. »
Traduction : Jean Cohen (1781-1848).
Écouter un extrait : Chapitre 31.

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MATURIN, Charles Robert – Melmoth, Ou L’Homme Errant (Tome 4)

Donneur de voix : Florent | Durée : 5h 11min | Genre : Romans

Sebastian Pether - Moonlit River Scene with ruins
Du haut de l’immeuble où il a trouvé refuge, Alonzo observe de loin une procession religieuse menée par l’Inquisition. Mais la procession va rapidement laisser place à un champ de bataille.
« Les cris cessèrent pour un moment, quand on se fut rendu maître de l’objet que l’on poursuivait, et quand on put le considérer avec des yeux avides de vengeance. Ils recommencèrent bientôt et avec eux le sanglant sacrifice. Le malheureux fut précipité contre le pavé ; puis relevé et jeté en l’air. Il fut bientôt lancé de main en main comme le taureau lance avec ses cornes le chien qui hurle et se débat en vain. Couvert de sang, défiguré, noirci par la boue et meurtri de coups de pierres, il luttait et rugissait au milieu de ces bêtes féroces, jusqu’à ce qu’un grand cri s’élevât qui fit espérer qu’une scène, aussi horrible aux yeux de l’humanité que honteuse pour la civilisation, prendrait bientôt fin. Les militaires ayant reçu du renfort arrivèrent au grand galop, tandis que tous les ecclésiastiques, les habits déchirés et les crucifix brisés, faisaient l’arrière-garde, tout brûlants de défendre la cause de l’humanité et d’empêcher qu’une pareille disgrâce ne souillât le nom du christianisme et la nature humaine. »
Traduction : Jean Cohen (1781-1848).
Écouter un extrait : Chapitre 18.

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MATURIN, Charles Robert – Melmoth, Ou L’Homme Errant (Tome 3)

Donneur de voix : Florent | Durée : 3h 16min | Genre : Romans

Robert Fleury - Inquisition
Dans cette troisième partie, Alonzo de Monçada raconte à John Melmoth comment il est parvenu à quitter le monastère dans lequel il était enfermé.
« Dès que je les eus renfermés, je courus auprès du supérieur qui était furieux de l’outrage fait à la sainteté de son couvent, et plus encore à sa pénétration, dont il se piquait autant que si réellement il en avait possédé. Il descendit avec moi dans le caveau. Les moines le suivirent les yeux enflammés de colère. Cette colère les aveuglait à tel point qu’ils eurent de la peine à découvrir la porte, même après que je la leur eus désignée à plusieurs reprises. Le supérieur de sa propre main enfonça plusieurs clous que les moines lui fournissaient officieusement, et ferma ainsi la gâche qui ne devait plus s’ouvrir. L’ouvrage ne fut pas long. Au premier bruit des pas qui retentirent dans le passage, les victimes poussèrent un cri, et un second quand les premiers coups de marteau furent donnés contre la porte. Elles crurent qu’elles avaient été découvertes et qu’une troupe de moines furieux voulaient enfoncer leur retraite. Ces terreurs se changèrent bientôt en d’autres bien plus affreuses, quand ils entendirent clouer la porte, et que les religieux se retirèrent. Ils jetèrent un dernier cri, mais qu’il était différent des autres ! c’était celui du désespoir : ils connaissaient leur sort.
Traduction : Jean Cohen (1781-1848).
Écouter un extrait : Chapitre 12.

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MATURIN, Charles Robert – Melmoth, Ou L’Homme Errant (Tome 2)

Donneur de voix : Florent | Durée : 2h 55min | Genre : Romans

Theodor Kittelsen(1857-1914) - Melmoth
Dans ce second volet, John Melmoth écoute celui qui l’a sauvé, Alonzo de Monçada, un espagnol issu d’une grande famille.
L’action se passe en partie dans un monastère. Le père supérieur, afin d’arriver à ses fins, usera de tortures morales et physiques envers le jeune homme.
« Vous savez, seigneur, que je suis né en Espagne ; mais vous ignorez encore que je descends d’une de ses plus nobles familles, d’une famille dont elle aurait pu s’enorgueillir dans les jours de sa plus grande gloire : en un mot, de la famille de Monçada. Je l’ignorais moi-même pendant les premières années de ma vie ; mais je me rappelle fort bien que pendant ces années il y avait un singulier contraste dans les traitements que j’éprouvais. D’un côté la tendresse la plus vive, et de l’autre un mystère impénétrable. J’habitais une chétive maison dans un des faubourgs de Madrid, et j’étais confié aux soins d’une vieille femme, dont l’affection paraissait dictée autant par l’intérêt que par l’inclination. »
Traduction : Jean Cohen (1781-1848).
Écouter un extrait : Chapitre 07.

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MATURIN, Charles Robert – Melmoth, Ou L’Homme Errant (Tome 1)

Donneur de voix : Florent | Durée : 2h 31min | Genre : Romans

Theodor Kittelsen (1857-1914) - Melmoth
Melmoth ou l’homme errant est considéré comme un classique du roman gothique. Il se découpe en six parties.
Dans cette première partie, John Melmoth est appelé au chevet de son oncle mourant. Sur place, il découvre la présence d’un mystérieux portrait.
« Dans l’automne de l’année 1816, John Melmoth, élève du collège de la Trinité à Dublin, suspendit momentanément ses études, pour visiter un oncle mourant, et de qui dépendaient toutes ses espérances de fortune. John, qui avait perdu ses parents, était le fils d’un cadet de famille, dont la fortune médiocre suffisait à peine pour payer les frais de son éducation ; mais son oncle était vieux, célibataire et riche. Depuis sa plus tendre enfance, John avait appris, de tous ceux qui l’entouraient, à regarder cet oncle avec ce sentiment qui attire et repousse à la fois, ce respect mêlé du désir de plaire, que l’on éprouve pour l’être qui tient en quelque sorte en ses mains le fil de notre existence. »
Traduction : Jean Cohen (1781-1848).
Écouter un extrait : Chapitre 01.

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