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jeudi 27 octobre 2016

Les Cités des Cimes !

                           Les Cités des Cîmes                      

Nichées le long de la cordillère des Andes, sur l’altiplano de Bolivie et du Pérou, se 
dressent sept cités antiques construites en pierres géantes, les mystérieuses Cités 
des Cimes sur le Camino del Inca, le vertigineux Chemin de l’Inca.

La plupart sont si haut perchées que lors du déluge, elles ne furent que léchées par 
la crête du raz-de-marée. Leurs noms ouvrent les portes dorées du rêve : Cuzco, 
Tiahuanaco, Quillabamba, Sacsayhuaman, Ollantaytambo, Urabamba, Machu Picchu.
 Mais il y en a d’autres. On suppose que le chiffre sept a été retenu pour sa valeur 
symbolique. La version officielle prétend qu’elles sont l’œuvre des Incas, mais 
les versions officielles sont myopes… Du temps des Incas, il est avéré que les Cités 
des Cimes étaient déjà très anciennes.

Leurs lointains bâtisseurs les ont voulues indestructibles. Bâties de blocs
 énormes inextricablement appariés,  elles ont tenu contre vents et raz de marées. 
Ces places fortes mégalithiques furent les refuges et les laboratoires où les élites 
pré-diluviennes ont préparé la renaissance de l’après-cataclysme… Là, bien 
à l’abri de murs cyclopéens, ces surhommes avaient soigneusement stocké 
du matériel génétique humain, mais aussi animal : c’est le sens caché du mythe 
de l’arche de Noé, qui se révèle universel.

Les mêmes précautions avaient été prises en d’autres endroits élevés de la planète, 
également dépositaires d’ADN humain et animal, ainsi que de graines : montagnes 
iraniennes, mont Olympe, mont Sinaï, Himalaya, etc. Grâce à leur technique de 
construction, les murs cyclopéens ont pu braver millénaires et  cataclysmes sans 
tomber en ruine. Leur taille gigantesque les a mis à l’abri des démolisseurs, toujours 
avides de pierres taillées. Même les séïsmes les ont épargnés.


Les bâtisseurs ont utilisé des blocs énormes soigneusement taillés, polis, ajustés sans 
mortier et  verrouillés par des queues d’aronde. Certains de ces blocs dépassent les 
cent tonnes et comportent plus de treize arêtes asymétriques, formant un véritable 
puzzle en 3D. Quels êtres gigantesques ont pu bâtir ces énigmes colossales ? 
Quelle force surhumaine, quelle puissance psychique inconnue a permis ce 
miracle ? Les archéologues et les guides touristiques ont peaufiné une phrase rituelle :


« Les énormes blocs s’emboîtent les uns dans les autres si étroitement qu’on ne peut 
glisser une lame dans l’interstice. »

Dans chaque dépliant touristique, on y a droit. Les archélogues eux-mêmes nous la 
ressortent à l’envi, sans que ni les savants, ni les guides ne puissent avancer la 
moindre solution à cet incompréhensible prodige. La solution, sans doute, n’est 
pas facile à imaginer. Avant de savoir comment ils ont fait, demandons-nous déjà 
pourquoi ils se sont donnés toute cette peine ? Là, on hasarde une explication 
plausible : les Andes sont une zone de séisme, et seuls d’énormes blocs 
verrouillés peuvent résister.

« L’assemblage en queue d’aronde de ces blocs crée en outre un verrouillage 
mutuel qui les met à l’épreuve des séismes ; de fait, les nombreux 
tremblements de terre qui ont dévasté les Andes au cours des siècles 
derniers n’ont pas entamé le parfait ajustement des blocs alors qu’ils ont 
abattu par deux fois la cathédrale espagnole de Cuzco. Plus incroyable encore,
 il ne s’agit pas de pierre locale. Des témoignages font provenir les blocs 
de carrières situées en Equateur, à 2400 km de là ! » 

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